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La Gestionnaire – Chapitre 28




La nouvelle scène est plongée dans le noir. Une grille isole les spectateurs que nous sommes. Des gradins sont installés dans la partie large du couloir. Toute l’assistance assise, la lumière s’estompe. La scène s’éclaire doucement. Dans un coin, une très grande panière en osier, trône. Une masse semble occuper ce lieu bizarre. Un spot éclaire la panière. Nous pouvons distinguer une personne couchée. La lumière réveille la personne. Elle sort de son "couchage". Elle marche à quatre pattes. Elle porte un casque de cuir noir. Son torse est couvert d’une sorte de gilet qui laisse les seins nus. Ses mains sont équipées de gants qui protègent la peau fragile des paumes du contact rugueux du sol. Ses genoux et ses pieds sont protégés eux aussi par des bottes de cuir noir. Elle se déplace dans l’espace réservé uniquement à quatre pattes. Une grille se soulève. Un énorme rottweiler entre en scène. Il est surpris par la lumière aveuglante. Il tourne la tête vers nous. Il sent la présence de personnes mais l’éclairage ne lui permet pas de nous découvrir.

La femme est retournée dans sa panière. Le chien s’approche. Elle se couche sur le côté, jambes écartées. Elle glisse ses mains vers son ventre en levant sa jambe. Il sort sa langue et commence à lui lécher la cuisse, doucement, timidement. La langue s’occupe de son entrejambe comme s’il a fait cela toute sa vie. Vu les mouvements de reins et de ventre de Charlotte, le léchage provoque chez elle un bien fou, très agréable. Elle se met sur le ventre et ouvre encore plus ses jambes dans une exposition évidente d’invitation sexuelle. Le chien comprend immédiatement et commence à lécher son sexe humide avec ferveur. Charlotte écarte ses grandes lèvres pour permettre au chien d’avoir accès à son vagin. Sa langue râpeuse envoie des ondes de plaisir dans tout le corps de Charlotte. Elle respire de plus en plus fort et son cul se lève à la rencontre du museau du chien. Il lape avidement mon jus d’excitation. Elle gémit de plaisir et le chien redouble de vigueur. Le vagin est rempli du mélange gras et odorant de la bave et de sa mouille.

L’attitude de Charlotte démontre son envie d’être baisée par le chien. Carole s’est pelotonnée contre moi. Virginie, de son côté, est subjuguée. Elle se rapproche de moi. Elle me prend la main et la glisse entre ses cuisses. Elle exige que je la caresse. Mes doigts ne peuvent s’empêcher d’entrer en mouvements. Carole me demande :

— Est-ce possible qu’un chien baise une femme ?

— Je n’en sais rien, mais vu comment il répond aux invites de Charlotte, il n’est pas à son premier essai …

Le chien grogne de contentement à mesure où il lubrifie la vulve rose et juteuse ; sa langue longue et puissante fait tordre de plaisir le corps de la jeune femme, par la stimulation de sa vulve et de son clitoris devenu ainsi extrêmement sensible. Ses yeux s’élargissent quand elle voit le pénis du chien qui commence à sortir de son fourreau protecteur. Il est pointu, rouge vif, énorme maintenant dans toute sa longueur et épaisseur induit par sa convoitise d’animal, et il semble grandir encore !! Des gouttes de liquide sortent de sa pointe rouge alors que son sexe raide palpite et touche presque le pelage de son ventre alors qu’il se tient devant elle. Soudain il arrête son léchage et la contemple, comme si elle est une chienne à couvrir. Charlotte est pratiquement dans le même état animal. Elle a envie d’être couverte, se sentant plus chienne que femme devant le chien en rut. Elle se relève et se met lentement sur les genoux, puis à quatre pattes comme la chienne en chaleur. Elle s’installe le cul juste devant le museau du chien, les fesses face à la tête énorme du chien.

Charlotte doit sentir son haleine humide et chaude sur l’intérieur de ses cuisses écartées. La langue du chien revient de nouveau et plonge dans le vagin totalement exposé et ouvert. Charlotte ne peut retenir un gémissement. La langue râpeuse la pénètre et lèche tout le jus qui coule le long de ses cuisses. Alors le chien grimpe dans la panière, attiré par ce sexe parfumé et frémissant. Il comprend l’intention de Charlotte et grimpe sur elle. Ses bras fléchissent un peu sous le poids du chien sur son dos. Elle ferme les yeux, ne voulant pas voir l’action bestiale sur le point de se commettre quand elle sent les pattes antérieures du chien venir encadrer son torse. Le chien se fige un moment et se met à gémir doucement quand il présente la pointe de son pénis énorme devant l’entrée du vagin trempé de désir. Après quelques tentatives ratées, le chien réussit enfin à trouver l’entrée de son vagin et s’y enfonce jusqu’à la garde. Charlotte pousse un grand cri de plaisir. Il accélère son mouvement de va-et-vient en elle.

Son cul se cambre et présente le ventre au pénis canin. Il la défonce comme si elle était une chienne. Elle crie. Elle ouvre vivement les yeux et se découvre dans le miroir mural entre les pattes du chien, le pénis enfoncé dans son sexe et les testicules gros comme des balles de golf au-dessous de sa fente, frapper en cadence les lèvres de sa vulve. Le chien se retire avant d’effectuer une nouvelle poussée puissante, son sexe massif frottant étroitement contre les parois de son vagin heureusement bien lubrifié. Charlotte pense que ce n’est pas possible – son pénis grossit encore !! Les poussées du chien deviennent de plus en plus rapides ; le cylindre énorme épaississant un peu plus à chaque seconde, semblant se souder à jamais aux parois distendues de son vagin. L’orgasme de Charlotte devient insupportable. Son vagin n’est que spasmes autour de ce pénis qui l’envahit. Le chien halète et salive sentant approcher l’orgasme. La bave du chien lui goutte sur son dos et coule le long de ses bras à mesure où il la pistonne de plus en plus rapidement.

Ses pattes serrées le long de sa poitrine bloquent presque sa respiration, la chaleur de la bête et sa fourrure la fait ruisseler de transpiration, pendant que ses seins se balancent en cadence sous les poussées passionnées du chien.

Charlotte glisse une main entre ses jambes pour tâter l’énorme sexe qui la défonce. Elle sent au bout de ses doigts les veines énormes et le tronc épais glisser entre ses doigts collants à chaque mouvement du chien. Toujours plus rapide, le chien remue son pénis palpitant dans le vagin trempé, ses fesses ondulant sous ses poussées puissantes ; son ventre tendu à chaque intromission. Il continue à la baiser avec force et vigueur. Le chien commence à geindre lourdement quand son orgasme devient éminent. Son pénis se dilate encore, le soudant littéralement au vagin et l’empêchant d’y coulisser, puis le chien se fige et commence à éjaculer son sperme chaud dans le vagin torturé de Charlotte. L’orgasme de Charlotte explose comme jamais quand elle sent les jets puissants la remplir. Elle jouit comme une folle. Son cul va à la rencontre du sexe animal. Le chien jouit en propulsant de puissants jets de sperme qui rapidement déborde du vagin déjà rempli par le sexe du chien. Il pousse son sexe avec force, poussé par son instinct animal de conservation de l’espèce, cherchant à remplir sa femelle de sa semence.

Le chien s’arrête soudainement, pour que son pénis engorgé se retire du trou où il est enfoncé, mais c’est peine perdue. L’extrémité du pénis du chien est si gonflée qu’il est pratiquement soudé aux parois vaginales de Charlotte. Le sexe du chien est coincé dans sa vulve. Le chien se dégage ! Charlotte s’affale soulagée, la poitrine sur le lit, les fesses hautes et les cuisses écartées, le sperme s’échappant de sa vulve rouge du traitement subit. Elle s’endort presque immédiatement, pendant que le chien lèche son pénis endolori. Un silence de mort règne dans l’assistance. Tout d’un coup, un autre chien pénètre dans l’arène. Il vient immédiatement vers la panière. Il se dresse sur les pattes arrière et saute sur le dos de Charlotte. Elle se cambre pour faciliter l’accès de son ventre. Il la pénètre à son tour. Il est plus grand et plus puissant que le premier. Il la prend plus fort et comme une brute. Son pénis sort complètement du vagin et y entre de nouveau avec une hargne digne d’un soudard.

Elle hurle de plaisir. Le chien augmente la cadence de ses coups de reins. Elle halète, elle jouit. Un orgasme dévastateur la traverse. Il est encore plus puissant que les premiers. Le chien ralentit sa cavalcade. Il pousse une dernière fois. Son nud gonfle. Il veut descendre du dos de Charlotte. Il ne peut pas. Son sexe est bloqué dans le ventre da la femme. Il prend appui sur le dos de Charlotte et recule d’un coup sec. Il jappe de douleur. Charlotte pousse un hurlement de douleur et de désespoir. Il s’en va dans un coin de la pièce. Il commence à lécher son sexe endolori. Un moment plus tard, après avoir fini sa toilette, le premier chien revient. Charlotte est affalée dans la panière. Il regrimpe dans la panière et recommence à lécher la vulve meurtrie de Charlotte. Elle se réveille sur le coup et essaie de repousser son museau envahissant, mais sans résultat. Sa longue langue mouillée recommence à envoyer des impulsions sexuelles par tout son corps, hors de tout contrôle. Elle commence inconsciemment à onduler son fessier vers la langue chaude, à plat ventre sur le matelas.

Ses fesses sont serrées mais la langue du chien parvient à lécher tout son sexe jusqu’à son anus, le lubrifiant en le baignant de salive, mêlée des sécrétions du vagin de Charlotte. Excitée de nouveau, elle commence à lever ses fesses pour mieux exposer son sexe au léchage du chien. Mais l’épuisement de la séance précédente l’a laissée à demi-consciente. Le chien la monte de nouveau et commence ses poussées de préparation pour entrer son sexe. Mais Charlotte est un peu trop basse cette fois. Son pénis n’appuie pas contre l’ouverture de son vagin, mais contre son ouverture anale ! Soudain d’une poussée rapide et puissante, le chien entre la moitié de son pénis dans l’anus de Charlotte. Elle écarquille les yeux de douleur et de surprise. Elle essaie de repousser la tentative sodomite, mais le chien est trop rapide et il pousse le reste de son sexe lubrifié dans l’anus offert. Charlotte grogne des paroles inintelligibles. Elle suffoque de sentir ce pieu envahir son rectum. Le chien est même encore plus excité qu’avant par cette nouvelle ouverture beaucoup plus resserrée.

Une fois de plus son pénis commence à augmenter dans toutes les dimensions, dilatant l’anus de Charlotte dans des limites qu’elle n’ose pas imaginer !! Le plaisir prend peu à peu le pas sur la douleur. S’appuyant du front sur le matelas, elle ouvre ses fesses à deux mains pour permettre au sexe massif de la pénétrer au plus profond. Puis elle se met à caresser son clitoris gonflé pour atteindre peut-être un orgasme encore plus puissant. Chaque poussée distend un peu plus son ouverture anale, et cela lui apporte un plaisir délicieux. Elle sent le sexe aller et venir dans son anus à travers la mince barrière qui sépare le sexe de ses doigts plongés dans son vagin mouillé. Charlotte n’en revient pas de se faire enculer par un chien ! Charlotte va à la rencontre de chaque poussée en levant haut ses fesses et en écartant les cuisses afin d’ouvrir son anus au maximum. Elle halète et gémit au même rythme que le chien. Le chien se met à gémir plus fort, son pénis gonfle encore puis il lance de formidables giclées de sperme brûlant au fond du cul de Charlotte.

Charlotte hurle de plaisir en sentant les rafales la frapper au plus profond d’elle. Le sentiment d’être remplie de sperme contracte son anus autour du pénis canin par son propre orgasme, comme pour traire le sexe de tout son sperme… Charlotte est au paradis, des étoiles plein les yeux, alors que le chien achève ses dernières poussées. Charlotte s’effondre à plat ventre sous lui, terrassée par l’émotion, suspendue par le pénis encore fiché dans son petit trou. Peu à peu le sexe se dégonfle lentement. Le chien retourne sur son tapis pour se nettoyer et s’endort. Charlotte porte timidement les doigts à son anus, de crainte d’en évaluer sa dilatation après un tel traitement, et aussi pour sentir couler entre ses doigts le sperme chaud qui en sort à gros bouillons. François-Xavier entre dans l’arène. Il fixe une laisse au collier de cuir de Charlotte. Il la sort de la panière. Elle marche à quatre pattes. Je ne comprends pas pourquoi elle ne se lève pas. Il franchit une porte et entre dans une nouvelle arène.

Charlotte suit. Elle n’a aucune révolte. La lumière montre un superbe cheval attaché dans le milieu de la pièce. François-Xavier annonce :

— Et maintenant le top !

Charlotte avance sous le cheval et le caresse près du fourreau. Le pénis en sortit. Il était gigantesque ! Il faisait au moins 45 centimètres de long et cinq centimètres de diamètres. Charlotte le prend en main. Elle peine à en faire le tour de ses doigts. Le sexe est luisant des sécrétions animales. Il est humide et collant. Charlotte approche son visage de ce sexe monstrueux. Elle sort sa langue et commence à lécher de haut en bas l’énorme tige de chair. Elle suce le gros pénis. Elle ne peut même pas le prendre complètement en bouche. Sa langue caresse chaque centimètre du pénis animal. Charlotte délaisse le sexe chevalin. Elle cherche quelque chose autour d’elle. Elle a trouvé. Une botte de paille a été laissée dans la pièce. Charlotte la pousse sous le ventre du cheval. Elle monte sur la botte et s’y installe en levrette. Elle passe sa main entre ses cuisses et attrape le pénis du cheval et tente de l’introduire dans mon vagin. C’est vraiment gros. Carole ne peut se retenir :

— Il va la déchirer !

— Je n’en sais rien ! Mais je la connais, elle ira jusqu’au bout !

Mais le cheval sent la femme en chaleur. Le bout de son sexe est entré en contact avec le vagin tout chaud. Il donne alors un grand coup de butoir. Charlotte hurle de douleur. Le sexe du cheval est entré dans le ventre de Charlotte. Le cheval la défonce littéralement. Son pénis bute contre le fond de son vagin. Le plaisir et la douleur se mêlent mais le plaisir prend le dessus. J’ai l’impression que Charlotte ressent encore plus de plaisir avec le cheval qu’avec les chiens. Il la pistonne de puissants va-et-vient. Elle crie sa jouissance. Le cheval éjacule en elle. Le sperme déborde de son sexe. Sa satisfaction obtenue, il se retire du ventre de Charlotte. Elle reste immobile dans cette position de femelle offerte. Quelques minutes s’écoulent dans un silence de marbre. Chaque assistant est estomaqué par la situation et la prestation de Charlotte. Elle bouge un peu. Le cheval bande de nouveau. Elle le saisit de nouveau et se le plante à nouveau dans son sexe béant. Le cheval la pénètre avec une plus grande force encore que la première fois.

Nous pouvons constater qu’elle ressent encore plus de plaisir qu’à la première fois. Le sexe perfore et heurte avec puissance le fond de son vagin. Elle crie sans retenue. Un orgasme d’une rare puissance la submerge, lorsque le cheval éjacule. Elle perd connaissance et s’écroule sur la botte de paille. Elle ne bouge plus. Carole m’interroge :

— Il l’a tué !

— Non, elle a connu la petite mort ! Il va lui falloir une dizaine de minutes pour s’en remettre !

François-Xavier revient sur la scène :

— Mes amis, voici ce qu’est une vraie soumise ! J’ai proposé à son actuel propriétaire de lui acheter ! Il a refusé ! Je la lui laisse donc, non sans un certain regret ! Jérôme venez reprendre votre soumise !

J’avance vers la scène. Carole et Virginie me suivent. En passant le long du mur, je prends deux couvertures qui sont prévues pour couvrir les chevaux après leurs entraînements. Je prends le bras de Charlotte. Je constate que les gants protecteurs immobilisent ses mains en position équerre. Il en est de même pour ses genoux. Elle ne peut pas se redresser. Elle est obligée de se tenir à quatre pattes. Je lui jette une couverture sur le dos. Je passe mon bras sous ses genoux et dans son dos. Je l’enlève. Carole la couvre avec l’autre couverture. Je traverse l’assemblée. Les participants s’écartent devant moi. Je regagne le studio mis à notre disposition. Carole, Virginie et moi libérons Charlotte de ses entraves. Nous la passons sous la douche. Elle n’est pas dans son état normal. Elle est comme ivre. Elle ne tient pas debout. Elle semble hors de la réalité. Je lui parle :

— Charlotte, c’est Jérôme… Réponds-moi !

— Jérôme ! Tu es revenu… C’est pour me baiser mon Maître adoré ! C’est quand tu veux, où tu veux, comme tu veux !

Elle est droguée. Je penche aussitôt pour la drogue du viol. Le tristement fameux GHB. Les deux femmes l’habillent. Je range les sacs et charge la voiture. Nous montons dans l’espace. Charlotte est à l’arrière entre Carole et Virginie. Je quitte le château. Il est à une demi-heure de route de la maison de Charlotte. Je roule depuis quelques minutes quand me vient une idée. A l’entrée de la ville, je me dirige vers une zone résidentielle. Je compose sur mon mobile un numéro.

— Allo ? Martine ?

— Une voix ensommeillée me répond :

— Hum …

— Excuse-moi de te déranger, c’est Jérôme !

— Jérôme ? Je n’y crois pas ! Espèce de salaud ! Tu pars sans même me dire "au revoir" et tu me réveilles en pleine nuit !

— Martine j’ai besoin de toi en urgence !

— Que veux-tu ?

— Peux-tu faire une prise de sang et une analyse rapidement ?

— Bien sûr ! Mais pourquoi ?

— Je suis chez toi dans quelques minutes !

— Tu fais trois appels de phares dès que tu arrives devant le portail !

Cinq minutes plus tard je suis devant le portail d’entrée du laboratoire d’analyses de Martine. Trois appels et le portail pivote. J’entre et m’arrête devant le perron. Martine est là. Nous descendons. Charlotte descend comme un automate. Martine la regarde :

— C’est pour elle ?

— Oui ! Quen penses-tu ?

— Tu le sais aussi bien que moi ! Elle est chargée comme un mulet de la "pilule du viol" ! Je la pique pour confirmer !

Elle s’active et réalise prise de sang et va dans son labo. Charlotte est assise sur sa chaise, immobile, zombie ! Plus tard, Martine sort avec un sourire triomphant :

— Je ne me suis pas trompée ! Il lui faudra environ quatre heures pour revenir à la normale !

— Je te remercie, Martine… nous allons te laisser …

— Tu reviens quand tu veux mais sans ton harem !!

Nous roulons dans la nuit. La maison de Charlotte est là. J’ai gardé un trousseau de clés. Une demi-heure plus tard, Charlotte est couchée. Carole et Virginie ont préparé un lit improvisé auprès du lit de Charlotte. Nous nous endormons.

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