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Mes infidèles années – Chapitre 1




Ma vie d’infidèle ne se résuma en réalité pas qu’à Florence, quoique ma maîtresse ait ouvert la boite de Pandore. Cette nouvelle série vise à vous raconter quelques-unes de mes escapades. Contrairement à mon autre histoire, je ne vise pas d’ordre chronologique, j’écrirai donc au fur et à mesure que les souvenirs reviennent.

Toutes ces histoires sont aussi vraies que ma mémoire le permet, seuls les noms ont été changés et quelques parties un peu romancées.

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Minuit était passé depuis longtemps. Elles étaient deux dans la voiture de derrière, des gamines fêtant leur permis tout juste acquis en étant de toutes les soirées de l’été. La conductrice devait en tenir une couche vu comment elle zigzaguait sur la petite route de campagne, et par deux fois elle me fit une sacrée frayeur en freinant un peu tard. J’avais davantage les yeux rivés sur mon rétro que sur la route, histoire de vérifier que je n’allais pas me faire percuter par une petite conne.

Et ce qui devait arriver arriva. Je m’arrêtai à un feu, à la sortie d’un petit village perdu dans la cambrousse, et elle ne s’en aperçut que trop tard. Le choc ne fut pas particulièrement violent, mais il eut le don de mettre hors de moi, tant j’aurais du me douter que ça allait finir comme ça. Je sortis comme une furie de ma voiture, imité par la conductrice, complètement paniquée.

C’était une petit rousse qui ne devait pas avoir 18 piges depuis longtemps. Je la dépassais d’une bonne tête malgré ses talons. Elle avait de très longs cheveux, frisés, qui encadraient une jolie frimousse toute ronde et constellée de tâches de rousseurs. Elle était un peu grosse, mais s’affichait sans complexe avec un mini-short et un débardeur. Quant à ses seins, je ne sais pas si une taille pareille est autorisée par les conventions internationales, et c’est sans aucun doute possible la plus grosse paire que j’aie vu de toute ma vie ; c’est bien simple, il me fallait faire des efforts colossaux pour la regarder ailleurs que dans les tétons.

« J’suis vraiment désolée » se confondit-elle « je vous ai vu que trop tard !! »

Je l’ignorai en me penchant pour constater les dégâts. Pas grand chose en fait, la plaque d’immatriculation était un peu tordue, la peinture écaillée et le pare-choc rayé et légèrement cabossé, rien de grave en soi. De son côté, c’était un peu la même chose, mais vu l’état de sa caisse, je n’étais pas certain que l’on verrait la différence. Je me tournai vers elle qui se dandinai d’une jambe sur l’autre, le regard légèrement vitreux. Aucun doute, elle était bourrée.

« Va falloir faire un constat » dis-je. « Et vous êtes clairement en tort. »

Elle hocha la tête en se mordant la lèvre, elle avait l’air au bord des larmes. Sur le fauteuil passager, sa copine avait l’air de n’en avoir strictement rien à foutre et je la soupçonnai de n’être pas seulement imbibée d’alcool. Je soupirai en sortant mon portable.

« Bon, j’appelle les gendarmes. »

La chauffarde releva brusquement la tête.

« Hein ? Mais pourquoi ? »

Je fis la moue.

« Parce que vous êtes clairement bourrée et que vous avez sûrement fumé aussi. Vaut mieux que vous perdiez votre permis plutôt que de vous tuer ou de tuer quelqu’un. »

Elle me lança un regard suppliant et, voyant que j’avais du mal à détacher les yeux de son décolleté, tira sur son débardeur pour me révéler le haut d’un joli soutien-gorge clair. Quelque part dans mon pantalon, mes instincts primaires s’éveillèrent.

« On peut peut-être s’arranger, non ? » minauda-t-elle.

Je haussai un sourcil.

« C’est à dire ? » demandai-je.

Elle tira un peu plus sur son haut et se pencha légèrement en avant. Ma bouche était étrangement sèche, mon boxer bizarrement étroit.

« Une pipe et on oublie les gendarmes ? »

Je la regardai droit dans les yeux. Ceux du haut.

« Tu sais, la vie c’est pas un film porno » répliquai-je « on peut pas régler tous les problèmes en taillant des pipes. Surtout quand on a fait une connerie. »

« S’il vous plaît » supplia-t-elle. « Je viens à peine d’avoir mon permis, si les gendarmes viennent je vais le perdre ! »

Je haussai les épaules.

« Fallait y penser avant de prendre le volant bourrée, non ? »

Elle était sur le point de fondre en larmes. Elle avait beau me faire bander comme un âne avec ses attitudes provocatrices, je n’avais pas l’intention de laisser un danger pareil sur la route. Elle avait beau être touchante avec ses grands yeux verts humides, je ne voulais pas me faire avoir.

Sa pote finit par sortir elle aussi. Elle était plus grande, brune avec un carré, plutôt mince et sans trop de formes. Elle avait un joli visage, bien découpé, piqueté de boutons d’acné. Il y avait un je-ne-sais-quoi chez elle qui me donnait terriblement envie, une pulsion primitive et soudaine. Je voulais la retourner, la pencher sur le capot, faire claquer mes reins contre ses fesses, couvrir ses petits seins et ses joues de sperme.

« Vous êtes sûr que vous voulez pas accepter sa proposition ? » demanda la petite brune avec la voix pâteuse de celle qui a fumé le joint de trop. « Ça arrangerait tout le monde j’crois. »

Je braquai mon regard dans le sien, poussai un profond soupir.

« Bon, d’accord. Mais c’est sur ton visage que j’éjaculerai. Ok ? »

Elle eut l’air horrifiée par cette idée, mais finit par céder devant le regard suppliant de son amie. La rousse se mit aussitôt à genoux devant moi, mais je l’arrêtai.

« Pas dans la rue. »

Je désignai le parking d’une supérette, plongé dans l’obscurité, à une cinquantaine de mètres.

« Prenez votre caisse, on va là-bas. Et pas la peine d’essayer de vous barrer, j’ai noté votre plaque d’immatriculation. »

Chacun remonta en voiture, direction le parking. A peine fûmes-nous arrivés que la rousse, dont j’appris plus tard qu’elle se prénommait Fanny, s’agenouilla devant moi, baissa mon pantalon et mon boxer, et s’engouffra ma bite jusqu’à la gorge.

Elle avait une façon étrange de sucer, sans mettre la langue ni les mains, sans vraiment serrer les lèvres, mais en donnant de violents coups de tête qui expédiaient mon membre jusqu’à sa glotte. Une pipe digne des meilleurs pornos en somme, mais pas forcément super agréable à recevoir. Mais voir cette rouquine se donner à fond m’excitait au plus haut point, tout comme ses énormes seins qui ballottaient à chacun de ses allers-retours.

Pendant qu’elle me suçait, sa pote s’était roulé une clope et fumait tranquillement, appuyée contre la portière de leur voiture, ne nous accordant qu’une attention discrète. En mon fort intérieur, j’espérais qu’elle mouille comme une dingue en voyant sa copine avaler goulûment ma hampe.

Je laissai quelques minutes s’écouler, j’étais excité comme il faut, mais les qualités de la rouquine ne risquaient pas de me faire venir et je commençais à me lasser. Je l’attrapai doucement par le menton et la forçai se relever.

« Qu’est-ce qu’il y a ? » demanda-t-elle, visiblement surprise.

Je haussai les épaules en la fixant dans les yeux.

« Désolé de te le dire, mais tu risques pas de me faire jouir comme ça, tu fais des pipes de porno, c’est pas comme ça qu’on suce dans la vraie vie. »

Elle eut une moue mi-vexée, mi-embarrassée.

« Bah je fais quoi alors ? » s’enquit-elle.

Je l’attirai vers moi et plongeai ma main dans son short. Sans réfléchir, elle se colla contre moi et leva la tête pour m’embrasser. Sa bouche avait le goût de ma bite, mais ses lèvres douces me le firent vite oublier. Tandis que sa langue forçait l’entrée de ma bouche, mes doigts se faufilaient sous la dentelle de son shorty, dépassaient son pubis entièrement glabre et s’attaquaient à sa fente et à son bouton, complètement trempés. Sa respiration s’accéléra sous mes caresses, ses baisers se firent encore plus fougueux, je l’assis sur le capot de sa voiture et la dessapai jusqu’à la ceinture.

Sans cesser de l’embrasser, je la doigtai frénétiquement, à la manière de ces pornos dont elle semblait friande. Je bandais toujours, et elle ne se priva pas de me branler comme une forcenée, jusqu’à ce que je vienne prendre position entre ses cuisses et ne substitue ma queue à mes doigts. Son antre était chaude, accueillante, détrempée, je coulissais dedans sans aucune difficulté. Ses mollets vinrent reposer sur mes épaules, facilitant encore mon travail, je me tenais à ses cuisses autant que je les caressais, ses énormes seins valdinguaient chaque fois que mes bourses claquaient contre sa raie.

Elle criait son plaisir dans la nuit, sans tenir compte des voisins qui auraient pu nous entendre. Des cris trop sonores pour être vrais, mais pourquoi pas ?

N’y tenant plus, je la fis descendre de voiture, la couchai contre le capot, croupe tendue, et la pris à nouveau. Dans la faible lumière d’un lointain lampadaire, je distinguai son petit trou et y enfonçai le pouce tout en la baisant. Chaque fois que mes reins cognaient contre ses imposantes fesses, le choc se répercutait dans tout son arrière-train, le faisant onduler jusqu’aux larges hanches auxquelles je me cramponnais.

Je jetai un regard à sa pote. Elle s’était roulée une autre cigarette, qu’elle fumait en échangeant des sms. J’avais du mal à croire qu’une fille puisse se trouver à moins d’un mètre de sa copine en pleine levrette et n’en ai rien à foutre à ce point.

A force de se sentir fixée, elle leva les yeux de son portable et nos regards se croisèrent. Si pendant un temps j’avais hésité à remplir le ventre de la rouquine de ma semence, ce petit quelque chose chez elle éveilla de nouveau mes pires instincts et je sus que c’est sur elle que j’éjaculerai.

« Je vais pas tarder à venir » lui signalai-je sans cesser de pilonner sa copine. « Tu sais ce que ça veut dire. »

Elle jeta sa clope, rangea son portable et s’agenouilla à côté de moi. Je me tournai vers elle et lui présentait mon sexe empoissé du jus de sa copine, qu’elle regarda sans trop comprendre.

« A toi de me finir » expliquai-je. « A la bouche ou à la main, comme tu veux, tant que je jouis sur ton visage. »

« Et tu devrais virer ton haut » ajouta la rouquine en se rhabillant « le sperme c’est super visible sur du noir. »

La brune grimaça et retira prestement son débardeur, révélant une petite poitrine moulée dans un soutien-gorge noir très pigeonnant. Elle tendit une main hésitante vers ma queue, l’empoigna et la masturba doucement.

« Et avec la bouche ? » proposai-je.

Elle secoua la tête.

« Non, juste avec la main. »

« Dommage, je suis sûr que tu suces mieux que ta pote. »

Elle me jeta un regard de défi et approcha sa bouche de mon sexe… sur lequel elle déposa un petit bisou.

« C’est le seul contact avec mes lèvres que tu auras » trancha-t-elle.

« Tant pis » soupirai-je. « Finis-moi vite alors. »

Sa masturbation hésitante gagna petit à petit en assurance et elle se mit à me branler férocement au-dessus de son visage. Je poussai un râle.

« Ferme les yeux, ça vient. »

Elle eut tout juste le temps de s’exécuter, bien que ça fut inutile. Le premier jet, relativement puissant, macula son menton de sperme, avant qu’une cascade, blanche et épaisse, ne s’abatte sur ses petits seins et son jean.

Une fois la rivière tarie, tout le monde nettoyé et rhabillé, nous remplîmes le constat à l’amiable et je laissai les filles partir, finalement bien content de cette petite aventure.

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