Bonjour à toutes et à tous.
Je souhaite vous faire part d’une histoire vraie. Cela m’est arrivé il y a 2 ans, quand j’avais 17 ans. Je m’appelle Sébastien, et bien entendu je n’en dis pas davantage pour des raisons de discrétion. Je vais en vacances chaque été depuis ma plus petite enfance en bord de mer, plus précisément en Vendée. Avec mes parents et mes deux surs, nous sommes toujours allés au même endroit, essayant divers campings au fur et à mesure des années jusqu’à trouver celui qui nous convenait le mieux. Un nouvel été commençait et nous étions par conséquent sur notre lieu de vacances. Une forêt de pins séparait notre camping de la plage, nous pouvions entendre le bruit des vagues car quelques mètres seulement nous séparaient de cette belle mer reflétant le soleil. Une bonne semaine après notre arrivée, nous avions prévu de passer l’après- midi sur la plage comme presque chaque jour. C’est alors qu’une idée m’est venue à l’esprit. J’avais la chance d’avoir beaucoup de liberté, et j’étais particulièrement frustré de ne pas m’être masturbé depuis que nous avions planté les tentes. M’isoler dans la forêt pour me masturber pendant que le reste de ma famille bronze sur la plage me paraissait une bonne idée, je pourrais ainsi me soulager sans éveiller le moindre soupçon. Après avoir mis mes parents au courant que je ne viendrais pas avec eux, je pris le nécessaire à essuyer mon sexe à la fin de mon affaire et m’en allait dans la forêt. Une longue piste cyclable permettait de s’y enfoncer, tournant de temps à autre, montant et descendant. Lorsque j’estimais être suffisamment loin du camping, je quittai le chemin pour m’aventurer dans la forêt, en prenant garde de ne pas trop m’éloigner non plus. Désormais à l’abri des regards, je baissai mon short et mon boxer au niveau de mes mollets et commençai à me toucher la bite. La chaleur, ajoutée à mon manque, me fit bander très dur en un rien de temps. J’allais et venais sur ma bite à l’aide de ma main et c’était bon. Je ne tardais pas à jouir d’ailleurs, aspergeant le sol couvert d’aiguilles de pin et de sable. Je passai ensuite un des mouchoirs que j’avais pris pour essuyer ma queue, et me reposai quelque temps, là où je métais arrêté. Les jours suivant, j’ai recommencé la même chose jusqu’à avoir une autre idée. Beaucoup de cyclistes et randonneurs passaient sur la piste cyclable, et j’eus envie de tenter une expérience. Je voulais m’exhiber, faisant semblant de me branler, pensant être seul et me faire, entre autre, "surprendre" par une parfaite inconnue. Je me disais que la vue de mon sexe dur et bien tendu, accompagné de petit gémissements éveilleraient le désir d’une quelconque femme passant sur le chemin et aboutirait à une éventuelle relation sexuelle. Au jour d’aujourd’hui, avec le recul je m’aperçois que j’étais rêveur, mais je vous assure que sur le moment j’y croyais dur comme fer ! Je ne suis pas déçu de l’avoir fait. Je me rendais vers l’endroit maintenant habituel où je me faisais du bien, et continuai davantage. J’arrivai à un endroit où il était facile de se cacher au cas où je me ferais surprendre par un homme, un couple ou même une famille. Légèrement écarté du chemin, dans un petit passage, je me masturbai à la vue de tous. Quand j’entendais quelqu’un venir, je me rapprochais des buissons qui étaient là pour me cacher derrière au cas où, comme je l’ai dit, la personne ne conviendrait pas à mes espérances. Les gens défilaient et, au cours de l’après-midi, plusieurs femmes ont vu ma bite. Je prenais soin d’éviter les couples et les hommes. Des femmes à vélo, à pied, des jeunes, des plus âgées, même des adolescentes ont vu ma queue en coup de vent. Cela m’excitait beaucoup et je prenais encore plus de plaisir à me branler. C’est alors qu’une belle brune aux cheveux longs, robe bleue et lunettes de soleil passa à vélo. Ne pouvant que me voir, elle m’aperçut en pleine branlette, la queue bien raide. Mon champ de vision ne me permettait pas de voir plus loin. J’étais dans une petite allée, je ne voyais qu’un bout de chemin en face de moi, le reste était caché par les arbres. Je me disais donc qu’elle aussi s’en allait. Mais tout à coup, je n’entendis plus les roues de son vélo rouler sur le sable, comme si elle s’était arrêtée. Mon cur se mit à battre la chamade, je devins tout rouge, j’avais les mains moites et surtout, je bandais de plus belle. Je fus épaté de la voir devant moi. Elle était revenue ! J’avais réussi mon coup ! Submergé par l’excitation, je continuai de me branler sous ses yeux. Elle semblait avoir une quarantaine d’années, ni jolie, ni laide. Un début de bronzage, une petite fossette au creux de la joue, des petits seins et de bonnes cuisses. Elle était pourtant sublime. Sans un mot, elle s’agenouilla devant moi et commença à me lécher le gland. Quel bonheur ! Après quelques léchouilles que je qualifierais de baveuses, elle décalotta parfaitement mon gland et prit ma bite en bouche. Ses joues, sa langue, son palet sur ma bite, avec un léger frottement sur ses dents ! Avec le plaisir que je ressentis à force de me branler, j’entrai aussitôt en transe et ne pus m’empêcher de haleter. N’importe qui pouvait nous voir dans notre recoin, mais cela m’était égal, le temps n’existait plus. Il ne restait plus que moi, mon plaisir, elle et sa bouche. Elle me pompait la bite de plus en plus rapidement, c’était bon, ça faisait du bien. J’en voulais encore mais je n’osais pas entreprendre quoi que ce soit, de peur de tout casser et de la voir fuir. C’est quand je me mis à gémir qu’elle comprit que j’allais jouir. Elle arrêta aussitôt sa fellation puis prit mon sexe en main. Elle me branlait frénétiquement, et le plaisir que je ressentais n’avait rien à voir avec celui que j’éprouvais quand je me masturbais moi-même. Je n’en pouvais plus et j’éjaculai par saccades en râlant de manière très audible. Elle se releva et se décala pour ne pas en avoir sur elle, tout en continuant son geste, bien que plus lent. Quelques secondes plus tard, elle essuya le sperme qu’elle avait sur la main, à l’aide de sa belle robe bleue. Elle en profitait pour nettoyer mon sexe aussi. Silencieuse comme à son arrivée, elle repartit sans dire le moindre mot. Je repris mes esprits et, lorsque je sortis à mon tour de ce petit recoin, elle n’était plus là. Je n’ai pas vu son sexe, ses fesses ou encore ses seins. Elle n’a pas non plus avalé mon sperme. C’est là que j’ai compris que la sexualité n’avait que peu de ressemblance avec la pornographie, car cela ne m’a pas empêché de jouir comme jamais auparavant. Ce fut ma première relation sexuelle et, par conséquent, ma première fellation. Je n’ai jamais revu cette femme ; je ne connais même pas son nom, et pourtant elle restera longtemps gravée à la fois dans mon cur et dans ma tête. Le plaisir de l’inconnu est unique.