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"Ma femme a une grossesse fort peu ordinaire !" , partie II – Chapitre 3




Eva séparée du chien s’essuyait sa petite chatte, avec le sperme canin qui lui gouttait sur les cuisses.

Je rejoignis le groupe, excité comme une puce, après que Cécile m’ait fait signe de rappliquer.

Cécile se jeta sur moi, me roula une pelle d’enfer, bien baveuse à souhait, et très rapidement elle me baissa short et slip et commença à me branler de sa main, pendant que de l’autre elle essayait de me doigter le cul.

En 5 secondes je me retrouvais à poil devant le petit groupe hilare.

Cécile ne cessait de m’embrasser le torse, me mordait les tétons ,puis se mettant à genoux devant moi elle commença à me sucer.

Mon Dieu c’était bon, je n’allais pas tarder à venir.

Alors Eva s’approcha de nous :

"  Désolé Paul je sais que tu avais envie de me baiser, mais je dois me nettoyer des assauts de Dino, par contre avec ta petite femme je peux te tailler une pipe d’enfer."

Et elle rejoignit Cécile à genoux devant moi et les deux me suçaient chacun leur tour, voire toutes les deux en même temps.

Après quelques minutes je gémissais et leur envoyait la purée.

Mon sperme retomba sur les cheveux, visages, seins

Alors elles s’embrassèrent goulument et se mirent à se lécher mon sperme mutuellement !

Mon Dieu, j’étais au paradis, voir ma femme lécher sa copine, la tripoter l’embrasser pendant que celle-ci lui rendait la pareillec’était trop bon ! Cécile me dit :

« Alors Paul tu aimes ta nouvelle femme, libérée et folle de sexe, tu vas en profiter mon chéri, tu peux faire de moi tout ce que tu veux !

— Alors on t’avait pas menti, je t’avais dit qu’on te la rendrait folle de sexe ta petite femme.

— Oui ! J’adore le cul maintenant, grâce à vous !

Maintenant mon petit mari il peut me pendre par tous les trous avec ses nouveaux copains Mais d’abord on va tous aller chez ma mère, qui a 49 ans est encore bonne.

On lui dira de mettre la guêpière qu’elle cache dans sa garde robe, on sortira le gel pour lui lubrifier sa chatte, parce qu’elle l’a trop sèche, je le sais parce que ça frotte un peu quand elle me demande de la goder !

Oh ! Vous verriez les gros godes qu’elle se met dans la chatte, la salope de bourgeoise catho qui va toujours à la messe.

Mais elle préfère le faire avec moi, et puis quand je le fait mal depuis que j ai 18 ans, elle m’attache sur la grosse croix de saint André qui est dans le grenier et puis elle me fait plein saloperies !

— Mon Dieu Cécile tu es soule tu racontes n’importe quoi ?

— Non, non, depuis que j’ai 18 ans elle me viole, me fouette quand je suis méchante, me met des insectes dans la chatte.

Le pire c’est que je crois que ça me plait, de me faire forcer comme ça par ma mère

C’est une vraie perverse sous ses airs de sainte ni touche !

C’est pour ça que je n’aimais pas baiser avec toi, tu es trop gentil, moi j’ai besoin d’avoir mal pour prendre mon pied, qu’on me prenne avec un peu de violence !

Tu verras après on va voir maman, on va tous la baiser, l’enculer et puis on regardera les films qu’elle a tournés quand elle me torturait cette salope !

Et on en fera notre esclave sexuelle parce que cest puni par la morale catholique ! »

Abasourdis par ces révélations qui venaient du fond du cur on se regardait tous ébahis

Je la serrais contre moi :

« Oui mon amour on va t’aider à te vengerd’autant plus que ta mère ne pourra rien dire, car je l’ai filmé chez elle quasiment à poil en train de se branler devant la télé !

T’as raison c’est une vraie salope ! »

Nous étant rhabillés et arrêtés pour récupérer dans un bar de plage, Cécile nous raconta son calvaire avec sa mère.

Ayant 18 ans et encore vierge, Cécile voulait découvrir les choses du sexe malgré sa mère qui lui posait un carcan psychologique sur les épaules.

Elle éprouvait des sensations malsaines, devant certaines situations glauques qui lui procuraient du plaisir malgré elle

Un soir que sa mère était partie à une réunion des vieilles rombières du culte de l’église, elle tomba par hasard sur une soirée thématique consacrée à la violence faite aux femmes, avec deux films et un débat.

« Le justicier de New York » avec Charles Bronson qui relatait l’histoire tragique de sa femme et de sa fille,violentées par des pervers, puis «  La journée de la femme » ou une jeune écrivaine partie à la campagne se faisait violer plusieurs fois par des ploucs du village.

Cécile sentit monter, bien malgré elle, une tension, une chaleur dans sa poitrine, son sexeson cur se mettait à battre plus fort et elle se sentait toute excitée.

« Mon dieu, je suis perverse et lubrique, comment puis je m’exciter sur des sujets comme ceux-là ? C’est horrible. »

Et pourtant la moiteur dans sa petite culotte devenait de plus en plus importante, sa vulve gonflait, sa petite fente s’ouvrait alors que le film commençait

Quand les jeunes racailles pénétrèrent dans la maison de la pauvre femme avec sa fille, elle commença à se caresser la chatte, puis avec l’agression sexuelle elle ne se contrôlait plus.

Elle retira vivement sa nuisette rose, et quitta sa culotte, poussa son bassin au bout du fauteuil, étendit ses grandes jambes sur deux poufs et les écarta et elle osa se passer la main sur son sexe, se branler le clitoris et s’enfoncer 3 doigts dans la chatte elle était lubrique et bestiale, mais en vint à jouir très rapidement.

Elle avait honte, elle s’en voulait mais elle avait éprouvé un plaisir démentiel, s’imaginant perversement à la place des victimes dans le film.

Elle devait regarder la réalité en face : elle était une fille perverse et vicieuse, elle jouissait de regarder des femmes se faire maltraiter et avait le fantasme de se faire violer.

Oui c’était très moche, mais elle se disait qu’on ne choisissait pas ses perversions et ses fantasmes.

Et bien qu’elle ait cet acte horrible en horreur et en aversion, dans un coin de son esprit elle fantasmait sur ce fait.

Il lui faudrait trouver un copain qui veuille bien se prêter à des jeux de rôle un peu violents avec elle

Parce que l’autre alternative, se balader en tenue sexy dans des quartiers glauques, provoquer des mecs pour qu’ils la forcent et la baisent, ne lui plaisait pas vraiment du moins elle espérait que sa raison l’empêcherait toujours d’en arriver là, sinon quelle déchéance !

S’étant acceptée telle qu’elle était vraiment, ce qu’elle n’avait osé faire durant sa jeunesse, elle se prépara pour le second film, moite de désir.

Cette fois elle trouva une lampe de poche allongée, avec un manche doux et lisse et une extrémité conique, voila qui ferait un très beau godemiché !

Puis elle trouva de la vaseline à usage médical dans la pharmacie de la maison et se prépara à se donner du plaisir devant le deuxième film qui était encore plus glauque et noir, si c’était possible.

Et effectivement lors de la première agression sexuelle de la petite blonde, qui lui ressemblait tellement, par les 4 mecs, elle se donna un orgasme phénoménal qui la laissa pantelante, essoufflée.

Elle avait tellement joui, gémis et crié qu’elle n’entendit pas la porte d’entrée s’ouvrir, puis la porte du salon.

Sa mère, en chignon blond, lunettes d’écailles, tailleurs gris très stricte était rentrée plus tôt.

Et elle trouva sa fille chérie, nue,les cuisses écartées, en train de se goder devant un film dégueulasse, la chatte toute mouillée et hurlant son plaisir

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