Une fois Kévin et Clara partis, Abba regarde l’assistance, sourit et dit.
— Si vous saviez quel pied on a pris à faire ces tatouages. Vraiment ce Week-end a été parfait. On s’est bien occupé de cette chienne.
— Je crois que ce que j’ai bien aimé, dis-je, parmi plein d’autres choses, c’est de prendre Abba pendant qu’elle plantait ses ongles dans les tétons de la chienne. Je voyais ses ongles rentrés dans la chair et elle tournait. Ensuite, elle a lâché les tétons et elle lui a fait écarter les cuisses et a planté ses ongles dans le clito. Tout en faisant cela, elle remuait son cul, je n’ai pas pu me retenir. C’était trop bon.
— Et tu souviens, dit Abba, quand j’ai été chercher sa culotte pour lui servir de bâillon. Qu’est-ce que j’ai ri. Elle était crade de chez crade, cette culotte. Elle avait à moitié chié dedans. Je lui ai fourré dans la bouche et lui ai ordonné de la garder.
Marc et Claudie nous regardent.
— Pourquoi je ne suis pas étonnée. Je ne suis pas étonnée de Clara, je la connais bien, je dirais même très bien et je ne suis pas étonnée de vous deux. Bien sur que c’est vous qu’ils sont venus voir.
Claudie sourit en disant cela. Elle a les yeux brillants.
— Vous êtes vraiment des pervers tous les deux, continue-t-elle, et être entre vos mains doit être un enfer ou un paradis, c’est selon.
— D’après Clara, c’est un paradis, dis-je.
— Possible, et, vous vous êtes amusés avec ses orifices ? demande Marc.
— Bien sûr, on les a dilatés et bien dilatés. Heureusement qu’elle avait le bâillon, sinon elle aurait ameuté tout le quartier tellement elle gueulait. On lui a mis une bouteille de champagne dans la chatte, j’ai cru qu’on n’y arriverait pas mais à force de persévérance, on arrive à tout. On a débouché la bouteille et nous nous sommes servis. Elle a gardé la bouteille jusqu’à ce qu’elle soit vide.
— Vu l’état de la culotte qui m’a servie de bâillon, j’ai jugé utile de lui nettoyer le cul avec la balayette, renchérit Abba. Il fallait que son cul soit bien propre, alors je l’ai passé plusieurs fois. Ensuite je l’ai rincé avec un bon lavement.
— vous n’y êtes vraiment pas allé de mainmorte.
— On a vraiment pris notre pied. Week-End fatiguant mais vraiment très bien
.
Marc ressert une tournée. Claudie reste là songeuse. Nous buvons notre apéritif, prenons nos amuse-gueules et passons à table. On raconte nos vacances. Une plage sympa dans une île grecque. On a bien farnienté. Claudie et Marc ont, bien sûr, été en Vendée. Nous prenons les digestifs dehors, il fait bon nous avons une belle arrière-saison.
Claudie prend la parole
— Vous savez, on va toujours au même endroit en vacances. On a nos habitudes. On va souvent à une plage, disons, nudiste. Là, on rencontre des gens surtout des Anglais. On aime bien.
Claudie doit avoir trop bu, parce que Marc nous l’avait déjà dit pendant le repas.
— Je sais que Marc l’a dit tout à l’heure, mais je tenais à le rappeler, dit-elle en souriant. Ne croyez pas que je radote, ou que j’ai trop bu, non, mes idées sont très claires
On l’écoute attentivement. Je n’arrive pas à savoir où elle veut en venir. Je regarde Abba, elle est comme moi.
— Nous allons donc souvent sur cette plage Nous sommes un couple très libre comme vous le savez et de voir les tatouages de Clara m’a donné une idée.
Tout le monde attend la suite
— Je voudrais que vous me fassiez un tatouage sur les fesses
— Et que veux-tu comme tatouage ?
— Sur la fesse gauche un WH et sur la droite RE
C’est ABBA que réagit la première.
— Et le O, tu veux qu’on l’améliore. Il doit être un peu sombre.
Tout le monde éclate de rire.
— Bon, ce n’est pas tout ça, mais il faut qu’on les voie ses fesses. Mets-toi à quatre pattes, cul bien relevé que l’on se rende compte.
Claudie s’exécute avec empressement. Elle a le cul l’air. On discute avec Abba. On n’est pas tout fait d’accord ou on doit faire le tatouage. C’est Marc qui tranche. Il sera fait au milieu. Les lettres seront grosses et rouges.
— C’est ce que je disais, dit Abba, ton anus est bien sombre, pour moi, il faut faire le O, vu l’écartement de tes fesses, il se verra bien. Mais, dis donc, Claudie, c’est quoi cette mouille qui sort de tes lèvres ? Tu es comme l’autre salope. Cela ne m’étonne que vous soyez copine.
Claudie reste à quatre pattes et commence
— Depuis le temps que nous nous connaissons Clara et moi. Oui, on se ressemble. Oui, on a fait les quatre cents coups. Oui, je suis une salope comme elle, et oui, je l’envie et, de vous entendre parler, la façon de dire, c’est comme-ci j’étais un objet pour vous et cela me fait mouiller.
Abba lui caresse la vulve doucement. Elle enfonce sans aucun problème deux doigts. Claudie creuse ses reins et commence à gémir. Abba souris et enfonce ses cinq doigts dans la chatte de Claudie. Elle commence un va-et-vient en douceur. Claudie se cabre, gémit. Marc a sorti son sexe et s’approche du couple. Il caresse les fesses d’Abba. Celle-ci, en signe d’assentiment, relève sa jupe et se met à quatre pattes. Marc ne se fait pas prier, baisse son pantalon et pénètre Abba. Je les regarde un peu. Moi aussi, je bande. Je sors ma queue et me mets derrière Marc et l’encule profondément. Son anus est souple, Marc est bi et son anus est souvent visité. J’imprime le rythme, doucement pour commencer et de plus en plus vite. Marc est obligé de suivre mon rythme. Abba, tout en subissant le va et vient impérieux, remue sa main qui est plantée dans la chatte de Claudie. On entend les halètements de plus en plus fort. C’est Claudie qui jouit la première suivie peu de temps après de Marc. Je me retiens et continue le va-et-vient, Abba jouit et je me vide dans l’anus de Marc.
— Tu peux te relever, Claudie. Je te propose de faire le tatouage samedi prochain. Tu auras un beau WHORE marquer sur ton fessier.
— Je t’imagine en train de mettre ta serviette, à genoux, le cul tourner vers la plage et les anglais qui voient ce WHORE, dit Abba
Marc ajoute :
— Comme cela, quand je ferais une levrette, je verrais et çà me fera bander. Humm, j’ai hâte
— Et moi, ça me fait mouiller dit Claudie avec un grand sourire, et merci Abba cela faisait longtemps que je m’étais faite fister.
Nous nous disons au revoir, je prends ma veste dans le vestibule et cherche mes clefs de voiture. Je tombe sur un trousseau de clefs que je ne reconnais pas tout de suite. Je le fais voir à Abba. C’est le trousseau que nous avait donné Kevin et Clara la dernière fois. On va pouvoir s’amuser avec Clara…
