Le dîner du plaisir.
Quand je reçus un mail, signé de Valérie elle-même, minvitant à dîner un soir de la semaine suivante, jétais fou de joie. Surtout avec la promesse quelle mavait faite de la laisser la pénétrer ! Je répondis que cétait un grand plaisir et que japporterai le dessert et une bonne bouteille de champagne.
Moins dune semaine plus tard, jarrivai chez eux. Je fus accueilli avec une grande hospitalité et beaucoup de gentillesse. Eric me fit visiter la maison pendant que Valérie terminait la préparation du repas. Celui-ci était simple mais délicieux. Au moment du dessert, nous avions déjà commencé à abandonner notre sérieux un peu protocolaire. Valérie avait largement ouvert son chemisier et ses seins magnifiques ne demandaient quà sortir. Jai alors pris une grosse cuillère de la crème glacée que javais apportée et je lai déposée sur un des seins de la maîtresse de maison. Elle a poussé un petit cri à cause de la sensation froide qui fit durcir instantanément ses tétons.
Elle enleva complètement le chemisier et je garnis son autre sein dune cuillère de crème glacée. Ainsi, avec Eric, nous avions chacun le nôtre. Nos deux bouches se mirent à la téter goulument. Elle semblait y prendre un grand plaisir et retira sa jupe. Dessous, elle ne portait pas de culotte. Sa chatte était entièrement épilée et elle était encore plus attirante que les fois précédentes. Je laissai Eric la lécher le premier, puis je pris sa place. Elle mouillait déjà comme une grosse cochonne et ont aurait dit que quelquun avait déjà éjaculé dans sa moule tant elle était crémeuse. Jai barbouillé son sexe de crème glacée et je me suis régalé pendant un bon moment.
Eric est allé chercher le champagne et il est revenu avec trois coupes. Il nous a servis, puis en a fait couler sur le pubis de Valérie, jusque dans ma bouche. Cétait délicieux de boire ainsi à sa source en finissant de déguster la crème glacée. Au bout dun moment, je me suis relevé et jai laissé ma place à Eric. Cest lui qui a fait jouir Valérie. Comme dhabitude, son orgasme fut dévastateur et elle nous avait déjà mis tous les deux dans un état pas possible. Nous bandions comme de ânes !
Elle sest mise à masturber nos deux bites, une dans chaque main. Ensuite, elle a demandé à Eric de me sucer. Cest avec gourmandise quil a enfourné ma queue et je buvais du champagne en regardant sa femme qui se masturbait juste à côté de moi. Cétait donc ça la vie de château
Mais avec Valérie, les surprises étaient toujours au rendez-vous. Elle demanda à son mari de se relever et elle se planta devant moi.
— Aujourdhui, jai envie que ce soit toi qui le suce Vas-y ! ma-t-elle ordonné.
Surpris, je me suis mis à genoux devant Eric. Elle a guidé son sexe dans ma bouche et je lai sucé maladroitement. Je navais pas autant dexpérience que lui, mais jai essayé de faire ce que jaurais eu envie quil me fasse et il a rapidement trouvé ma fellation très agréable.
Valérie lencourage, puis lui dit quelle voudrait le voir jouir dans ma bouche.
Eric prends son sexe à la main et se branle au dessus de ma bouche. Jattends avec une certaine appréhension la venue de sa semence. La situation excite Valérie qui prend plaisir à mhumilier.
— Toi aussi tu es ma petite salope me dit-elle. Il va te jouir dans la bouche et tu vas tout avaler, petite pute !
Je me sens terriblement excité par les ordres que me donne Valérie. Visiblement, elle prend autant de plaisir à me soumettre et à mhumilier que quand elle le fait avec son mari. Eric se vide dans ma bouche et son sperme coule sur ma langue. Valérie me force à avaler. Je découvre le goût âcre de ce liquide épais. Je déglutis, puis jouvre la bouche pour bien montrer à ma maîtresse que jai tout avalé.
— Cest bon, tu peux boire pour te rincer la bouche ! me dit-elle.
Je montre ma coupe qui est vide. Je nai plus de champagne
— Attends, je vais te la remplir ! me dit Valérie en approchant ma coupe de son sexe.
Je vois un petit jet durine sécouler de son sexe et remplir mon verre. Elle en fait autant avec celui dEric, nous trinquons avec sa pisse et nous vidons nos verres avec une moue difficile à cacher. Valérie est ravie.
Un peu plus tard dans la soirée, nous passons un moment à détendre Valérie avec de douces caresses. Elle sest mise nue sur le lit et nous lui faisons un massage à quatre mains dune douceur extrême. Elle sabandonne complètement et nos mains se croisent sur son corps. Elles se relaient pour masser ses fesses, effleurent tantôt sa peau avant de la masser en profondeur. Nous y passons plus dune demi-heure, ne négligeant, évidemment, pas ses pieds. Chacun de nous en prend un en charge et elle nous laisse faire avec délectation. Nos mains, puis nos langues finissent par lui procurer un orgasme et elle nous remercie. Elle est redevenue Valérie la douce.
Alors que la soirée avançait, je ne voyais pas la promesse de Valérie de me laisser la pénétrer se concrétiser. Eric devait en avoir autant envie que moi, car cest lui qui remit la question sur le tapis.
— Ma chérie, tu navais pas promis à Patrick quil pourrait te pénétrer, la dernière fois que nous nous sommes vus ?
— Si ! répondit Valérie. Jusque là, tu étais le seul à avoir ce privilège, mais jai décidé que ce serait terminé. Par contre, tu sais ce que je te demande avant davoir le droit de jouir en moi ?
— Oui, je dois me faire enculer
— Eh bien pour toi, cest pareil ! me dit-elle en me regardant. Cest Eric qui va sen charger
— Mais, je nai jamais fait une chose pareille, protestai-je.
— Tant mieux ! Je vais assister à ton dépucelage Quel régal ! Allez, va te mettre en position sur le lit !
Je me mis à quatre pattes sur le lit et jattendis quils me rejoignent tous les deux. Valérie prit du gel et en badigeonna mon anus. Elle me pénétra successivement avec son index, puis avec son majeur, puis avec les deux à la fois. Je me rendis compte que, bien lubrifié, cela ne faisait pas si mal que cela
Eric sest positionné derrière moi et a enfilé un préservatif. Je me suis retourné pour jeter un coup dil : jamais je navais trouvé sa queue aussi grosse ! Il posa son gland contre la rosace brune de mon cul et poussa doucement. Jeus limpression que mes chairs se déchiraient. Valérie sétait approchée pour bien voir le pieu de chair pénétrer dans mon rectum. A force defforts, Eric parvint à lenfoncer complètement. Javais mal, mais je restais stoïque, ma fierté de mâle mempêchait de le montrer.
Valérie vint se placer devant moi et me donna sa chatte à lécher. Elle était, une fois encore, trempée dexcitation. Cétait un véritable régal ! Jen oubliais presque la douleur.
— Vas-, encule-moi bien cette salope ! cria-t-elle à Eric pour lencourager. Puisquil veut me baiser, eh bien il faut quil le mérite ! Défonce-le !
Eric sactiva de plus en plus vite dans létroit corridor de mon cul. Je léchais toujours le sexe de Valérie et elle se branlait le clitoris, ne faisant qualimenter la mouille que me langue épongeait. Au bout dun moment, le plaisir céda la place à la douleur que je ressentais depuis le début. Eric ne faiblissait pas et je me mis à gémir. Ce que voulait la belle brune au bord de lorgasme. Non seulement je me faisais dépuceler, mais jallais jouir par le cul ! Une sensation totalement nouvelle !
Finalement, Valérie nous arrêta. Elle me gratifia dun sourire et maida à me relever.
— Viens dans ma chatte, tu las bien méritée ! me dit-elle. Par contre, mets un préservatif, je ne veux pas prendre de risque !
Je fis ce quelle demandait, jenfilai une capote et je mis mon gland à lentrée de son vagin, entre ses lèvres. Ce ne fut pas moi qui la pénétrai, mais elle qui sempala. Elle fit avancer son bassin et je vis disparaître ma verge, pourtant conséquente, dans son sexe affamé. Comme cétait bon ! Comme jétais bien ! Avec une science savamment acquise, elle contractait son périnée et exerçait des pressions délicieuses sur ma verge.
Soudain, elle sarrêta et fit signe à Eric de sallonger.
— Jai envie dune double ! lui dit-elle.
Elle écarta ses fesses et vint s empaler sur la queue dressée dEric. Son cul devait être habitué à la sodomie, car elle ne broncha pas. Elle tournait le dos à son mari et me fit signe de revenir prendre possession de son autre orifice. Je me suis à nouveau introduit dans son vagin et jai du coordonner mes allers-retours avec ceux dEric. Chacun de nous sentait les poussées de lautre à travers la paroi intime de Valérie.
Soudain cest une explosion de plaisir qui la terrasse. Un véritable feu dartifice des sens. Elle est incapable d’émettre autre chose que des gémissements et des cris de plaisir inarticulés. Nous croyons quelle va tomber, mais elle s’agrippe aux draps.
Lorgasme que nous lui avons procuré la laisse au bord de la syncope. Elle veut se lever, mais le plaisir est si fort qu’elle a du mal à tenir sur ses jambes. Elle saffale enfin sur le matelas, les bras en croix et nous demande de jouir sur ses pieds.
Nous retirons nos préservatifs et nous nous branlons chacun sur un des ses pieds. Elle nous a tellement excités que nous atteignons lorgasme rapidement. Ses pieds se couvrent de notre semence. Elle coule le long de ses orteils.
— Et maintenant, léchez ! nous ordonne-t-elle.
Nous nous penchons vers elle, mais elle nous arrête.
— Non ! Echangez vos places !
Complètement sous son influence, nous lui obéissons une fois de plus et je me retrouve à lécher le sperme dEric, pendant que sa langue lape le mien. Valérie récupère en nous regardant à ses pieds. Désormais, nous sommes deux à faire tout ce quelle voudra pour la satisfaire.
Pour ma part, cette rencontre restera inoubliable et je proposerai à ce couple hors-normes décrire et de raconter lhistoire de leur vie sexuelle.
Je sais quil y a de quoi passionner les lecteurs des sites sur lesquels je publie des textes érotiques et surtout, recueillir leurs confessions me permettra de les revoir !
(Fin)