J’AI DECIDE DE CONSACRER CE CHAPITRE DE L’HISTOIRE DE JULIE A SA COPINE AURELIE. CETTE HISTOIRE RELATE LES AVENTURES DE LA PETITE BRUNE DANS LE SEXSHOP PENDANT QUE JULIE SE FAISAIT BAISER TOUS LES ORIFICES DANS LA CABINE DE GLORY HOLE. UNE PETITE DEDICACE ET UN GRAND MERCI A LAURE POUR SON INSPIRATION ET SON AIDE SUR CE TEXTE.
Aurélie est vraiment heureuse de pouvoir enfin passer un peu de temps avec sa meilleure amie. C’est qu’elle l’avait un peu inquiétée la veille à ne pas répondre à ses nombreux coups de fil. Heureusement, bien qu’un peu glauques, les explications de Julie l’avaient rassurée. La jeune brunette avait elle aussi connu quelques moments intenses lorsqu’elle taillait des pipes dans les chiottes de l’école pour être acceptée par le groupe de salopes populaires de Charlène. Mais depuis qu’elle s’était assagie au contact de sa Juju, elle n’avait plus trop l’occasion de bouffer de la bite, si ce n’est avec son dernier petit ami qui venait de la lourder. Depuis, elle préfére les calins de son amie, et tout particulièrement les jeux coquins auxquels les deux jeunes filles s’étaient adonnées la veille. Quel pied elle a pris à se faire enfiler par le gode de Julie en live devant des inconnus! L’apothéose fut tout de même d’avaler tant de sperme depuis ce matin, entre Julie qui lui fait un "snowball" bien baveux, et François qui lui baise le fond de la gorge avec sa grosse bite de black avant de lui remplir la bouche de tout son foutre.
Imitant sa copine, Aurélie garde la pose et ouvre grand la bouche, alors que François et son collègue sortent leur smartphone pour immortaliser ce moment. Pendant que les deux ouvriers filment les deux gamines, Julie attire sa copine à elle et lui roule une pelle bien baveuse. Aurélie laisse sa copine l’embrasser et partager avec elle la belle dose de foutre qu’elles viennent d’enfourner. Quel pied elle prend, un doigt à s’astiquer la chatte bien trempée, elle sent la langue de sa copine lui fouiller la bouche. Leur souffle chaud se mèle l’un à l’autre, les relents de sexe et de dépravation dans la petite cabine chauffée par les rayons du soleil estival, Aurélie sent son coeur s’emballer. "HUM, HUM, HUM" leur baiser s’intensifie, Aurélie accélère le va et vient de ses doigts trempés de cyprine. "FLOCK, FLOCK, FLOCK", la jeune fille se fouille la chatte à grands bruits de mouille, est-ce qu’elle va se faire jouir?
Elle y est presque lorsque Julie rompt le contact, au grand désarroi d’Aurélie qui se contente d’avaler sa dose de foutre et se carresse le clitoris, les deux doigts bien luisants. La petite asiatique sort ses jolis doigts de sa vulve imberbe et dégoulinante de mouille et les engoufre dans la bouche ouverte de sa copine. Aurélie relâche, à contre coeur, la pression sur son petit bouton et à l’instar de sa copine, enfourne ses doigts gluants entre les lèvres pulpeuses de sa Juju.
Une fois leurs doigts bien nettoyées, les deux copines terminent leur session d’exhibition devant ces deux inconnus par un dernier baiser.
-Eh ben dis donc vous êtes de vraies petites salopes. N’hésitez pas à repasser si vous êtes encore en chaleur. Avec François on est tous les jours dans le coin.
Les deux petites les remercient pour la bonne dose de foutre, Aurélie réajuste son string sur sa chatte encore trempée de mouille, et le haut de sa robe sur ses joli 95D aux tétons bien gonflés et bien durs maintenant. Elle, qui souhaite bosser dans le social pour aider les plus démunis, est très satisfaite d’avoir pu aider François. Elle pourrait bien répéter l’opération, à défaut d’être aussi beau que ces ex, il est plutôt bien bâti et quel membre.
Julie a elle aussi rajusté sa petite robe légère, repris son apparence innocente avec ses petites couettes et son sourire juvénile, et toutes deux quittent leurs amants de passage d’un dernier baiser sur la bouche en remerciement pour ce bon moment.
Elles redéscendent du fourgon repues de sperme et reprennent leur chemin en direction du sexshop. Alors que Julie taqhuine sa copine sur les belles bites qu’elles viennent de se farcir, Aurélie reste un peu songeuse. Elle avoue qu’elle n’aurait jamais sucer un parfait inconnu et encore moins un employer de la voirie dans son camion dégueulasse, elle a tout de même kiffer se faire buriner le fond de la gorge.
Elle ne pensait même pas être capable de faire une gorge profonde. Il reste tout de même un sentiment qui la rend un peu perplexe, elle avoue à demi mot à Julie avoir été excitée par la perte de contrôle de la situation. A bien y repenser, elle a même tripé de se faire abuser, voir humiler de la sorte. Pendant quelques minutes, elle n’était rien d’autre que le vide couille d’un parfait inconnu. Elle en vient même à envier Julie d’avoir été abusée dans son sommeil par Hector et lui avoue même qu’elle aurait bien aimé être à sa place.
Toujours en direction du centre ville, les deux amies continuent à discuter de leurs expériences toutes nouvelles d’avaleuses de sperme, et Aurélie ne peut s’empêcher de reluquer les magnifiques mamelles de sa copine qui, toujours sans soutien sous le fin tissu de sa petite robe, se balancent de manière lancinante au rythme de leurs pas. "Heureusement qu’elle est sans talons, c’en est presque indécent tellement elle est bonne c’te chienne", Aurélie est toujours un peu perdue dans ses pensées quand tout à coup la robe de Julie est soulevée par un énorme courant d’air, dévoilant à tout le monde le cul nu de sa copine.
Aurélie attrappe Julie par la main, pour la dégager au mieux des collibets et des insultes qui ne manquent pas de pleuvoir. Dans leur course, la belle brune constate que les têtons de son amie ont encore durci et pointent outrageusement à travers le tissu élastique de sa robe. "Elle en manque vraiment pas une pour se faire remarquer!" Et comme si cela ne suffisait pas, alors qu’elles sont enfin dans la rue du sexshop, elles sont la cible des ouvriers du chantier voisin qui ne manquent pas de chauffer les belles sur leurs atouts et combien ils aimeraient se les farcir.
Aurélie a le souffle coupé lorsque sa garce de copine, lui attrape le cul à pleines mains et lui roule une énorme pelle devant les ouvriers déjà bien chauffés rien qu’à leur présence. La surprise est de courte durée, et la belle se laisse aller et joue de ce spectacle avec sa copine devant ce groupe de mâles en rut. Lorsque Julie la libére de son étreinte, les deux gamines éclatent de rire et se précipitent main dans la main à l’intérieur du sexshop.
En entrant dans la magasin, Aurélie est tout d’abord surprise par le courant d’air déscendant de la climatisation directement sur son dos. Le contraste avec la chaleur extérieure déclenche un frisson chez les deux belles qui sentent simultanément la pointe de leurs seins durcir sous le tissu de leur robe. La belle brune est ensuite impressionnée par l’étendue de films, objets, costumes et autres accessoires qui remplissent le petit magasin. Bien qu’elle se soit mentalement préparée, elle est tout de même intimidée par un tel étalage de produits pornographiques, puis ses magnifiques yeux bleus croisent le regard pervers du propriétaire, un gros rital, en train de leur reluquer les nibards.
Elle est comme hypnothisée par ce regard intense et sombre. Elle oublie la laideur de cet homme imposant et gras du bide, et se perd dans les pensées de ce qu’il pourrait lui faire avec ses énormes paluches terminées de gros doigts longs et boudinés. Elle aperçoit à peine les ouvriers se précipitant vers l’arrière du magasin, et encore moins l’employé qui discrètement range les étales du fond. Elle prête tout juste attention aux explications du rital, et c’est Julie qui la sort de sa torpeur en lui tendant un stylo.
-() Au pire, on peut toujours partir quand bon nous semble non?
-Bien, tendez vos poignets. Avec ça , vous pouvez vous rendre dans l’arrière boutique jusqu’à la fermeture et profiter de tous nos services.
Il leur tamponne une marque avec la date du jour sur le poignet et les fait passer par une petite porte derrière le comptoir. Elles déscendent une flanquée de marches et se retrouvent dans le sous-sol. Il leur présente différentes gammes de films qu’il vend à une clientèle privilégiée leur raconte-t’il. Elles arrivent ensuite aux étales proposant des godes de toutes tailles et de toutes formes. Aurélie se prend à fantasmer sur des godes incroyables, le string déjà bien humide de la mouille qui dégouline de sa petite chatte. Mais c’est une imitation de bite de cheval, grande comme son avant-bras qui attire son attention.
Aurélie est une très bonne cavalière, elle monte à cheval chez son oncle depuis l’âge de six ans. Elle n’avait pas prêté plus d’attention à un phalus équin jusq’à ce qu’elle taille ses premières pipes dans les chiottes du collège. Et tout ceci serait resté anecdotique jusqu’à ce qu’elle voit cette énorme bite de vinyl, et ne lui revienne en mémoire le travail effectué avec son oncle pour collecter le sperme de ses étalons. Elle se souvient avoir fantasmé sur l’énormité de ces sexes et sur les énormes quantité de sperme collectées.
Louis ne manque de remarqué son intérêt pour le membre artificiel. Il ouvre la vitrine et présente l’énorme bite à la jeune brunette. Le souffle coupé, la belle réalise que Monsieur Louis met à sa portée un de ses fantasmes jusqu’alors refoulé. Elle est à sa merci, à la merci de cet énorme rital au regard perçant, elle ne peut plus détaché son regard de cette énorme bite factice. Son coeur bat la chamade, elle veut le toucher, le tenir, elle souhaite s’empaler dessus. Elle veut qu’on lui lèche le clitoris pendant qu’elle s’embroche sur cette bite démesurée. Seul son désir existe, elle ne voit plus Julie, elle n’entend plus Monsieur Louis, elle se demande comment quelqu’un peut s’enfiler un tel monstre de 50cm de long et 7 à 8cm de diamètre. Elle se demande si ELLE peut s’empaler sur un tel monstre.
Elle se mord la lèvre inférieure de désir pour cette bite disproportionnée. Elle sent sa chatte la titiller, le désir la prend au ventre, elle a besoin de se soulager, de se doigter le minou. Elle descend machinalement la main le long de sa cuisse douce, remonte le pan de sa robe et carresse sa petite fente détrempée au travers du petit triangle de tissu. Son coeur bat la chamade, s’embale, elle écarte la fine protection de son string et commence à s’astiquer la chatte. Comme dans un songe, elle entend au loin Monsieur Louis.
-Eh ben dis-moi petite, ça te fait envie une belle queue comme celle-là hein? Mais je ne crois pas que tu sois prête pour un tel engin.
Elle sent son gros doigt s’insinuer dans son intimité déjà bien trempée.
-Mais c’est que ça te fait vraiment mouiller! Montre moi ça, on va voir ce que tu peux encaisser ma belle. Toi l’asiat’, laisse moi avec ta copine, on prend cette salle. Je te laisse aller visiter les autres pièces et tu nous rejoins quand tu auras fini.
Il ouvre la porte sur une salle plongée dans la pénombre, et au milieu de laquelle se trouve une petite table à peine éclairée. La petite brune entre dans la pièce toujours dans une sorte de transe, elle est ramenée à la réalité par la "VLAM" de la porte claquée par Monsieur Louis.
-Alors petite, tu aimes les grosses bites?
Aurélie observe une dizaine de godes de différentes tailles et de différents diamètres, bien alignés sur la petite table en face d’elle. La belle brunette se retourne pour faire face à son nouvel amant, Monsieur Louis dépose la grosse bite artificielle à la verticale sur le sol et s’agenouille devant elle. Il lui soulève la robe, Aurélie sent de nouveau son coeur s’accélérer, prêt à exploser dans sa poitrine. Elle est à la merci de ce gros porc. "Est-ce que Julie a ressenti le même désarroi avec le turc?" Aurélie n’a pas le temps de répondre à cette question, le gros rital écarte le dernier rempart si fragile qui protégeait encore un peu sa petite chatte.
Elle l’observe en train d’humidifier son gros doigt avec sa bave, elle sent sa grosse main poisseuse glisser le long de sa jambe douce et fraichement épilée. Alors qu’il remonte lentement sa main et la glisse derrière son genou, la belle sent sa respiration s’accélérer, son coeur palpite d’anticipation, il la dégoûte avec ses cheveux gras plaqués sur son crâne, mais elle a envie de sentir son gros doigt lubrifié lui fouiller la chatte. Il lui soulève la cuisse, lentement, si lentement. Il la passe par dessus son épaule afin de bien exposer l’entrejambe de sa proie. Aurélie va défaillir, elle prend appui de ses deux mains sur le bord de la table pour ne pas tomber.
Il carresse du bout du doigt le petit vagin d’Aurélie, lui titille doucement le clitoris. Quelle sensation de sentir cet étranger lui caresser son petit bouton complétement exposé. Elle se mord de nouveau la lèvre inférieure, elle savoure pleinement les attouchements de ce gros doigt sur son clitoris. Il redescend alors le long de la fente pour finalement rentrer entièrement son majeur d’un seul mouvement. Aurélie rejette la tête en arrière dans un "AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH" de jouissance.
-C’est bien ce qui me semblait, tu es vraiment étroite petite pute, mais tu mouilles bien. On va bien s’occuper de toi, t’inquiètes!
Il se relève, le majeur toujours fiché à fond dans la vulve étroite. De sa main gauche, il écarte les bretelles de la robe d’Aurélie, et libère ses nichons du léger soutien de la robe. Ses belles mamelles pendantes sont un vrai appel au viol pour ce vieux pervers qui lui fouille la chatte et la fait bien mouiller. Il lui empoigne un sein et suce les petits tétons bien durs avec avidité, tout en entamant le pistonage de la petite chatte. Aurélie n’en peut plus, elle halète de jouissance la chatte bien labourée par le gros doigt et le téton mordillé par les petits coups de dent du rital.
-Oh Ouiiiiii, HUN, HUN, Aaaaaaah c’est bon Monsieur Louis!
Ca ne fait pas trente secondes qu’il s’occupe d’elle qu’Aurélie est déjà en train de jouir. Avec juste un doigt dans la vulve, le gros pervers est vraiment doué. La petite brune halète de plus en plus fort, de plus en plus vite en rythme avec les vas et vients du gros doigt. La petite chatte gonfle sous l’affluence de sang, s’humidifie de cyprine, Monsieur Louis y insère un deuxième doigt, la rempli bien et accélère encore le mouvement.
-Ah Ah, HUN, Oh oui, ENCOOOOOORE!
Aurélie n’en peut plus, Monsieur Louis ralentit, accélère, ralentit de nouveau, elle sent l’étau de la grosse main se resserré sur son sein, il lui mordille le téton dur et gonflé de sang. La petite brune, le coeur battant, et le souffle court est sur le point d’hurler de jouissance quand tout à coup son amant retire les doigts de sa chatte ruisselante de mouille.
Le sein libre, la chatte tout à coup vide, Aurélie essaye de se mettre à genou pour s’attaquer à la bite de Monsieur Louis mais deux grosses paires de mains caleuses l’attrapent par les bras et la bloquent dans son élan. Monsieur Louis déshabille complétement la belle qui se trouve totalement nue, uniquement "vétue" de ses talons hauts. Il lâche la robe à même le sol et présente à la petite brune un gode de belle taille.
Les bras bloqués dans l’étau formé par les deux ouvriers qui l’entourent, Aurélie ne peut plus bouger. Elle est à la merci de son amant et de ses deux nouveaux tortionnaires. Ils l’installent sans ménagement à plat dos sur la petite table derrière elle et la bloquent d’une main chacun. La tête dans le vide, honteuse d’avoir envie que ce gros porc la fasse jouir de nouveau, elle observe les deux ouvriers ouvrir leur braguette de leur main libre. Les yeux embrunmés de plaisir, l’adolescente ne cherche même pas à voir leurs visages, elle n’a d’yeux que pour les belles bites qui se présentent à elle.
-Tu les veux nos belles queues, p’tite salope, hein?
-Va falloir que tu les mérites petite chienne, écartes tes beaux jambons que notre ami te farcisse la chatte!
Honteuse, Aurélie ne peut s’empêcher d’admirer les deux bites qui pendent nonchalamment de chaque côté de son jolie visage. Monsieur Louis l’a privée de sa jouissance en se retirant si brusquement. Elle veut bouffer de la queue, elle a envie qu’on lui débourre la chatte, mais son coeur s’emballe, sa respiration s’accélère, elle a peur de ce qu’ils vont lui faire. "Merde, putain, ils sont trois! Dans quelle merde j’me suis fourrée?"
"Clac, clac" Elle panique, tout devient très concret, Monsieur Louis lui claque la vulve détrempée de mouille avec la superbe bite en vinyl qu’il vient d’attraper sur la table.
Machinalement l’adolescente relève ses jambes, écarte les cuisses et expose impunément sa vulve imberbe. Elle sent ses joues s’empourprer alors que le vieux rital lui écarte les grandes lèvres pour exposer le clitoris déjà bien gonflé de sang. La petite brune a les nerfs à fleur de peau, le moindre attouchement de ce gros porc, le plus petit souffle sur son petit bouton la font trésaillir. "Comment est-ce que gros porc peut me mettre dans ces états?" Elle ne comprend pas ce qui lui arrive, elle a peur de ce que ces trois salauds vont lui faire, mais elle ne peut s’empêcher de vouloir sentir ces queues en elle.
C’est parti, Aurélie sent le contact du plastique froid sur sa vulvue en chaleur. Le gros sac fait lentement glisser la bite inerte sur sa chatte, les vas et vients le long de la petite fente de l’adolescente la lubrifient rapidement. Il presse le gode sur les chaires molles et juteuses de la petite chatte bien ouverte, et présente le gland à l’entrée de la vulve qui en épouse les formes généreuses.
-OUF, OUF, NNNNH, ooh non arrêtez, c’est trop groooos! HAAAANNNNN
Ca y est le gros gland est passé, la petite vulve se resserre sur le frein de la bite en plastique. Le gros rital jubile de voir la jeune adolescente tortiller du bassin alors qu’il commence à pénétrer la petite chatte avec le gode. Inéxorablement, sous la pression constante du gros pervers, le gros sexe se fraye un chemin dans la vulve dont le chaires peinent à épouser les formes. Tiraillée entre douleur et jouissance, Aurélie ne sait plus si elle doit pleurer ou jouir, des larmes commencent à perler dans ses jolis yeux couleur d’acier.
-AH, AH, non, oui, ouf oooh vous me déchireez AIIIIIE!
"VLAN" Un des ouvriers vient de lui décrocher une claque majestueuse de sa grosse main.
-Ta gueule poufiasse, une petite allumeuse comme toi doit pouvoir bouffer de la queue sans nous faire chier avec ses gérémiades.
-Hey mec, calmos, me l’abîme pas celle-là, elle est toute fraiche. Baise lui la bouche si tu veux, mais me la dérouille pas, OK?
Le mastodonte qui vient de la giffler, ne se fait pas prier. Il lui lâche le bras, tire sur les belles anglaises de la petite brune, pour bien lui incliner la tête en arrière. "AIIIEEE!" Il profite de la bouche ouverte pour y fourrer sa grosse queue encore molle. Aurélie goûte bien malgré elle cette bite plutôt large mais pas trop longue, aux relents d’urine et de sperme séché. Il enfourne la belle bouche d’un trait jusqu’à la garde, écrasant ses grosses burnes poilues contre le petit nez retroussé de la belle. Bien calé dans la bouche chaude et humide, il attrape à pleines mains les belles mamelles aux petits tétons et observe le propriétaire des lieux pistonner la petite chatte qui se détend bien à présent. La jeune fille est sans défenses devant ses tortionnaires, ses cris étouffés par la bite dans sa bouche donnent de la vigueur à l’ouvrier qui se délecte de cette scène, il sent sa bite gonfler, durcir, et atteindre l’entrée de la jeune gorge.
Il commence alors à piloner sans ménagements la bouche d’Aurélie à grands coups de reins, en rythme avec le gode qui lui perfore la chatte. La petite commence à prendre goût, bien malgré elle, à ce débourrage brutal des deux orifices. Le pilonage en règle de sa vulve, le gros gland qui lui force l’entrée de la glotte, les burnes poilues qui claquent sur son nez à chaque nouveau coup de bite. Elle sent sa chatte se détremper et son visage s’empourprer de honte d’aimer se faire posséder et humilier de la sorte. Le gros rital est aux anges, la petite mouille bien malgré ses réticences initiales, et le gode la pénètre sans aucun problèmes maintenant.
La bouche complétement distendue par la grosse queue qui la baise sans vergogne, Aurélie commence à trembler des cuisses, elle à du mal à garder les jambes ouvertes, et le gros rital qui continue à lui marteler le fond de la chatte avec cette grosse bite sans vie. Elle commence à s’enivrer des odeurs de queue, et de ses propres sécretions, elle est bercée par le gargouillis visqueux de la bite pleine de bave qui lui pilone la bouche. Elle ne devrait pas mais elle commence à aimer les vas-et-vients du gode dans sa chatte, et Monsieur Louis sait y faire, il maintient un rythme soutenu et accélère de temps en temps, à l’improviste.
"PLOC", Monsieur Louis vient de retirer le gode de la chatte bien offerte qui reste ouverte devant lui. Il en attrape un deuxième et tend le premier encore dégoulinant de cyprine à l’ouvrier qui se branle devant cette scène de soumission. La chatte vide et toujours avide de queue, Aurélie tend la tête en arrière pour donner à son bourreau un meilleur angle d’attque. "GUAH GUAH GUAH" Ce dernier, qui lui martelle la bouche encore plus suavagement, est sur le point d’exploser dans cette belle gorge accueillante, mais il n’en a pas encore assez il veut encore lui baiser la bouche. Il retire sa queue couverte de bave, un grand filet le reliant encore à la belle.
Le deuxième ouvrier profite de la bouche libre pour y fourrer le gode toujours bien humide de cyprine, forçant l’adolescente à goûter pour la première fois de sa vie à sa propre mouille. Il lui burine alors la bouche à son tour. Son collègue libère les belles mamelles et attrape les fines chevilles d’Aurélie pour bien lui écarter les cuisses et permettre au gros rital d’insérer le nouveau gode de plus gros calibre dans les muqueuses détendues de la belle. Cette fois, plus aucuns préparatifs, Monsieur Louis besogne la belle directement sans même lubrifier la grosse queue de ses jus.
-HUMMPF!
Surprise, et la bouche toujours pleine, Aurélie lâche un cri étouffé, et écarquille les yeux de surprise et de douleur. Sa respiration accélère de nouveau sous les assauts combinés des deux godes, qui lui travaillent les deux trous sans ménagement. La douleur, très brève cette fois, laisse place à un certain plaisir. Elle ne supporte plus trop d’être l’objet sans défense de ces trois monstres, mais son corps contredit ses peurs, sa vulve s’ouvre encore un peu plus, et libère toujours plus de mouille dans un "FLOC FLOC" malsain agrémenté de couinements étouffés par le baillon improvisé dans sa bouche.
L’ouvrier lui retire le gode de la bouche, l’attrape par les cheveux pour lui redresser la tête et l’obliger à regarder le vieux propriétaires lui maltraiter la chatte bien exposée, et les cuisses bien écartées par son collègue. "HUMPH, HUMPH, AAH, AAH, oui Monsieur Louis, continuez, OUF, OUF" Perdue dans ses cris, elle voit l’ouvrier pointer l’objectif de son smartphone sur son joli minoi déformé par la jouissance, la douleur, la honte et l’humiliation. Caméra en main il se dirige de l’autre côté de la table, la filmant sous différents angles. Il attrape quelque chose sur la table et revient vers le joli visage de l’adolescente. Il la filme pour immortaliser les expressions d’effroi et de panique lorsque la belle découvre l’énorme gode ventouse d’au moins 40cm de long et 5 à 6cm de diamètre. Il est équipés de grosses testicules à la base, et le vît et lézardé de grosses veines bien saillantes. Le propriétaire retire son engin dans un gros bruit de mouille, et laisse le temps à la belle de prendre conscience de ce qui l’attend.
-Pitié Monsieur Louis, pas ça, je ne pourrai pas!
Il lui glisse, avec aisance, deux doigts dans la vulve et les retire trempés de mouille.
-On dirait que ton corps n’est pas d’accord, regarde comme il mouille d’impatience de recevoir cette belle bête. Et il faut bien que je te prépare pour la suite, non?
Alors qu’il prononce ces mots, une note de malice vicieuse dans ses petits yeux fourbes, elle cherche un peu de compassion, l’implore du regard. Mais rien n’y fait, l’ouvrier tend le monstre de vinyl au vieux rital, tire de nouveau sur les belles boucles pour offrir cette belle bouche à son collègue qui a à peine débandé. Ce dernier s’attaque de nouveau sauvagement à la gorge de l’adolescente, alors que celle-ci sent la pression de l’énorme gland à l’orée de sa chatte toujours offerte en pâture à ce gros vicieux.
Elle sent de nouveau ses muqueuses s’écarter autour de l’énorme vit. Les aspérités des veines saillantes offrent de nouvelles sensations à la belle, dont le coeur s’accélère encore de peur et d’excitation. Une fois arrivé en contact avec le fond de sa chatte, Monsieur Louis se met à bien besogner la belle. Cette fois c’est lui qui se synchronise avec les coups de butoirs que subit la bouche de la petite brunette. Alors que ses deux tortionnaires lui bourrent les trous bien offerts, le troisième larron continue de s’astiquer le manche en filmant la scène. Il lâche de temps à autre sa bite pour lui attraper un mamelon et malmener le téton entre ses gros doigts. Il les pince, les tord, lançant des décharges dans le corps de la petite, la forçant à se cambrer. "HUMPH! HUMUIII! HUMPH!" Les cris étouffés se mélangent de nouveau aux gargouillis de la grosse queue qui lui défonce la chatte.
Le moment tant attendu par ces trois pervers approche. Les deux collègues sont sur le point de jouir, ils ne vont plus pouvoir tenir très longtemps devant tant de décadence. Le premier se retire de la belle bouche, Monsieur Louis débranche la petite de son bel objet et tous deux la soulèvent sans ménagement pour présenter la vulve grande ouverte à la verticale du gode équin qui attend Auélie fiérment dressé depuis le début de la scéance.
Telle une poupée désarticulée, épuisée par les assaults qu’elle vient de subir, Aurélie se laisse porter, les jambes bien écartées à la verticale de l’énorme objet. Le troisième compère ne râte rien de la scène qu’il continue d’enregistrer smartphone en main, de l’autre, il présente le gland aplati à l’orée de la vulve grande ouverte, luisante et dégoulinante de mouille de l’adolescente. Aurélie sent le gland du sexe factice écarter ses petites lèvres. Le calibre du monstre inerte la dilate beaucoup plus que les godes précédents. Jusqu’où cette dilatation va-t-elle aller? La déchirure? Aurélie panique à cette idée.
-Non, pitié ! Non ! Arghh!
L’énorme protubérance est passée, les lèvres de la petites se resserrent autour de la colonne à peine plus fine que le gland en forme de champignon. Devant ses cris, les deux hommes lâchent Aurélie et la laisse s’empaler sous son propre poids sur le chibre. La tête de l’horrible sexe lui écarte l’intérieur de la chatte, ses muqueuses peinent à s’adapter à la progression irréstistible de la bite massive. Les jambes écartées et recroquevillées l’empèchent de prendre suffisamment d’appui pour empécher sa descente, son poids continue de l’empaler, la douleur est horrible.
Aurélie sent les parois de son vagin la bruler au passage du sexe en vinyl alors que son col s’écrase sur le gland qui sous son poids essaie de s’engager dans son utérus. Plutôt que de s’extirper au plus vite de sa position, la jeune fille se recroqueville en se tenant le ventre, mais c’est sans compter sur Monsieur Louis. Il lui attrape les poignets et les croise dans son dos forçant la petite à bomber sa grosse poitrine. Les jambes toujours largement écartées, la chatte écartelée par l’énorme sexe, le col de l’utérus au bord de la déchirure, elle se met à pleurer.
-Bande de salaud, Argh!
Elle ne peut pas resister, les yeux écarquillés, elle hurle alors bien empalée sous son propre poids. Sans ménagement, ils relâchent ses belles jambes, la jeune fille peut enfin prendre appui sur ses pieds. Accroupie, empalée, elle tente maintenant de retenir sa descente mais ses cuisses lui font souffrir le martyr dans cette position. Les deux ouvriers profitent bien du spectacle de cette belle petite pute soumise à tous leurs désirs pervers, ils se délectent d’humilier cette garce qui les avait allumés avec sa salope de copine quelque temps plus tôt. Ils s’écartent un peu d’elle, se masturbant la queue devant le spectacle de cette magnifique pétasse toujours maintenue dans cette position humiliante par le vieux rital. Ils prennent un malin plaisir à asperger de leur sperme gluant ce joli minoi déformé par la douleur, les premières volées de sperme se mélant aux larmes de douleur de l’adolescente.
Ils lui crachent chacun cinq ou six giclées de foutre bien chaud, lui engluant les cheveux, et le visage, dégoulinant sur ses jolis seins. Aurélie, la chatte plantée sur cette énorme bite de cheval, les cuisses en feu de supporter son propre poids pour ne pas s’empaler plus et protéger son utérus, sent le sperme couler sur son visage, et ses nibards. Aveuglée, les yeux couverts de jute, elle les entend s’esclafer alors qu’ils s’éloignent d’elle l’abandonnant comme une trainée à son triste sort. L’esprit encore embrumé par la douleur et la jouissance, les mains enfin libérées de la poigne du rital, elle se retrouve seule toujours plantée sur cette bite démesurée, les chaires en feu, pliée en deux par la douleur.
Elle tente de reprendre pieds avec la réalité, elle se relève difficilement extirpant sa petite chatte toute déformée par les pénétrations extrèmes qu’elle vient de subir. Lentement, très lentement, de peur de se déchirer, elle ressort l’énorme mandrin de son petit minou. Continuant de sangloter elle se relève centimètre par centimètre sentant le gode ressortir comme un couteau quitterait une plaie à vif. Finalement, dans un gros bruit de succion elle arrive enfin à se dégager. En plus de la brulure atroce, son col la fait souffrir et l’inquiete.
Elle se rend compte de ce que ces porcs viennent de lui faire subir, de ce qu’elle les a laissé lui faire sans même se débattre. Comment a-t’elle pu descendre si bas dans la décadence, comment a-t’elle pu prendre du plaisir à se faire défoncer, maltraiter par ces porcs? Honteuse, la chatte en feu, les jambes flageolantes de douleur et de fatigue, elle repère sa robe à même le sol. Une douleur poignante dans le ventre, elle se penche, honteuse, les seins ballants, et dégoulinants de foutre, pour la ramasser. Elle cherche son string, "Merde, qu’est-ce qu’ils en ont fait!" aucune trace de sa petite protection, comment va-t’elle repartir? Elle ne peut pas se promener la chatte béante à l’air. Elle sent encore sa mouille dégouliner le long de ses cuisses.
Les jeux du matin sont bien loin. "Et Juju, qu’est-ce qui lui est arrivé?" Elle en a complétement oublié sa copine. "Cette chienne, elle va me le payer!" Mais non elle ne peut pas en vouloir à Julie, c’est elle même qui a accepté de se soumettre aux délires vicieux de ces porcs. Elle qui a pris du plaisir à se faire défoncer, humilier, insulter. "CRICH", la porte s’ouvre dans son dos, "Oh non pas encore!" prise de panique Aurélie ose à peine se retourner. Mais dans le miroir elle observe sa Juju, entièrement nue, entrer dans cette salle des godes.