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Réconfort et vieilles dentelles V. La pharmacienne. – Chapitre 1




Je vous ai raconté dans une histoire précédente (Réconfort et veilles dentelles IV. La cliente de la pharmacie) comme je m’étais fait une "nouvelle amie", l’ayant rencontrée dans une file d’attente de la pharmacie.

Cette belle sexagénaire ayant montré un goût et des dispositions pour les jeux s.m. et la soumission, nous nous étions régalés tous les deux.

J’avais bien deviné que cette femme curieuse était plutôt du genre commère. C’est d’ailleurs sa curiosité et son culot qui l’avaient conduite à me suivre chez moi et à éprouver mes traitements à ma façon, dont elle ne s’était pas plainte, à vrai dire.

Mais je ne m’étais pas douté de ce qui allait suivre (et je ne parle pas de ses visites suivantes chez moi, à l’improviste parfois, où elle était venue rechercher un peu de soulagement comme des sensations fortes (l’orgasme constituant un traitement éprouvé pour de multiples maux et douleurs chroniques en raison de son effet morphinique-like.))

Aussi fus-je grandement surpris de voir un jour, quelques mois après, ma pharmacienne sonner chez moi.

J’ouvris la porte de ma maison et, étonné, la découvris derrière le portillon.

Évidemment, je la reconnus immédiatement. Cela faisait de longs mois que je fréquentais cette pharmacie, et j’avais déjà eu affaire à elle, quand ça n’était pas à ses préparatrices en pharmacie.

Cette petite dame d’environ 57 – 58 ans, attendait patiemment, avec son air sérieux, voire un peu coincé, de petite souris un peu bcbg, un peu province.

" – Bonjour ! "lui dis-je "la clé à la main, en allant lui ouvrir.

" – Bonjour" répondit-elle. "Je peux vous voir ?

— Mais bien entendu" dis-je en masquant mon étonnement.

Effectivement, ça devait être sérieux pour qu’elle se déplace en pleine journée, alors qu’elle aurait pu décrocher son téléphone. Je me dis qu’elle ne devait finalement pas avoir mon numéro. Et puis je me rappelai également que la pharmacie était fermée entre midi et quinze heures, curieusement comme en province, et qu’on se trouvait justement dans cette plage horaire.

Je lui demandai de me suivre, étant quelqu’un de bien élevé et d’accueillant, et la fis entrer dans ma maison.

D’autant qu’entre professionnels de santé, donc un peu collègues, je n’allais pas la traiter comme une étrangère.

Je l’invitai à entrer dans la cuisine, lui proposai un café qu’elle accepta, avant même de la questionner sur l’objet de sa visite.

Je lui demandai de s’asseoir mais elle resta debout.

Elle avait un air ennuyé – du moins c’est comme ça que je le percevais (qu’est-ce qui pouvait bien y avoir de grave, d’aussi embêtant, pour qu’elle se dérange en personne et affiche cet air-là ?) – et gardait le plus souvent les yeux baissés.

Je sentais que ce qu’elle avait à me dire était difficile, et qu’elle craignait sans doute de me le dire.

" – Bon," lui-dis-je" tandis que le café coulait, "que me vaut donc l’honneur de votre visite, et que vous vous soyez déplacée jusqu’ici pour me voir ?

— Voilà, " répondit-elle, toujours avec son air ennuyé, "vous savez que lorsqu’on est pharmacien on entend beaucoup de choses enfin, je veux dire, de la part des patients ils se confient beaucoup à nous

— Oui en effet. Enfin j’imagine. Et alors?" répondis-je intéressé.

" – Eh bien, vous savez, il y a une cliente, Mme M., qui m’a dit que vous lui délivrez un traitement enfin oui, un traitement qui lui fait le plus grand bien.

— Oui, je vois, "dis-je en me mettant à sourire, voyant tout à fait de qui elle parlait et de quel traitement il s’agissait. D’autant qu’il y en avait qu’une seule, de ses clientes, qui venait me voir pour ça.

Mais elle, restait tout à fait sérieuse, gardait son air grave et continuait à regarder le plus souvent le sol, levant ses yeux vers moi de temps en temps.

" – Et alors ?" continuai-je, d’un air des plus sereins, lui montrant bien que je n’étais absolument pas troublé.

" – Eh bien, Docteur, je trouve ça enfin j’ai trouvé ça surprenant. D’autant que vous êtes bien salarié, vous n’avez pas de cabinet, n’est-ce pas ?

— Oui, c’est tout à fait exact. Vous le savez bien, d’ailleurs.

— Oui, je le sais

— Et donc?" continuai-je, lui montrant bien que je ne voyais pas où était le problème.

" – Eh bien" dit-elle en se raclant un peu la gorge, "vous me faites de la concurrence vous ne trouvez pas ?

— De la concurrence ?" répondis-je, hilare. "Mais je ne délivre aucun médicament, je ne suis ni pharmacien, ni propharmacien et qui plus est, si je "délivre" des traitements, je n’en fais pas commerce ; ce sont des remèdes ce qu’il y a de plus naturels, administrés bénévolement et par pur altruisme !

— Oui, mais bon quand même" balbutia-t-elle dans sa lippe, "ça n’est pas très régulier"

Elle regardait ses souliers, avec lair peu convaincu par ce qu’elle disait. Un petit silence s’installa, je la regardais amusé.

Puis elle ajouta :

"- Je pourrais vous dénoncer

— Sans rire ? Vous m’amusez beaucoup, Mme Dubuis. Je vous imagine. Qu’iriez-vous raconter ? (A qui d’abord, à la police, au Conseil de l’Ordre ?) Que je fais "du bien" à l’une de vos clientes ? Que je lui donne du plaisir ? et que je vous fais concurrence, c’est ça ? Mais vous ne leur prodiguez pas le même bien à vos clientes, il me semble?

— Non mais Ça n’est pas très normal

Pourquoi à une de mes clientes Pourquoi seulement à elle ? Si votre "traitement" est aussi efficace qu’elle le dit, pourquoi vous n’en faites pas bénéficier d’autres ?

— Et qu’en savez-vous d’abord ?"

Elle ne répondit pas à ma question, mais visiblement de plus en plus gênée par ses propres propos, elle s’était tournée de trois quarts, et toujours debout, juste devant ma table elle dit d’une voix à peine audible :

" – Pourquoi pas à votre pharmacienne?"

Là je jubilai intérieurement, car elle venait de me confirmer ce que je commençais à deviner depuis deux bonnes minutes quant à l’objet de sa visite et sur où elle voulait en venir.

Elle avouait, la coquine.

J’étais quand même sidéré. Je n’aurais pas cru que mon "traitement" ferait des émules.

Je m’approchai lentement et me plaçai derrière elle, à moins de deux centimètres de son corps.

Je posai doucement mes mains sur sa taille, et lui dis, ma bouche tout près de son cou, juste derrière son oreille :

"- Eh bien, ma petite pharmacienne, vous avez besoin d’être soignée?

— Je je

— Vous avez donc envie d’éprouver vous-même mon "traitement" miraculeux?

— Il paraît qu’il marche bien

— Hum, vous savez que je vous tire mon chapeau : avoir le courage de venir jusqu’ici pour m’en parler et le réclamer"

Ma petite pharmacienne (je l’appelle ainsi non pas parce qu’elle était si petite que ça – sur ses talons elle était un tout petit peu plus petite que moi – mais surtout parce qu’elle était menue, et donnait une impression de fragilité, avec sa petite voix et ses manières calmes et douces) ne bougeait pas ; ses yeux bleu-vert tirant sur le gris regardaient droit devant elle.

Ses cheveux fins et blonds étaient assez courts. Je pouvais sentir son eau de toilette, fleurie et délicieuse.

Mes mains sur sa taille m’apprenaient depuis qu’ils s’y étaient placées que c’était une fausse mince, ou du moins, on pouvait supposer que cette quinquagénaire (fin de cinquantaine) s’était légèrement empâtée avec les années.

" – Puisqu’il est en ainsi, ma petite pharmacienne, posez le bout de vos doigts sur la table et faites en sorte qu’ils y restent. Vous avez voulu que je vous soigne, je vais vous soigner, moi !"

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