ceci est la suite du chapitre 12 qui a été amputé de toute cette partie
……..
Elle resta un peu interdite par ma répartie, mais je devais la laisser réfléchir. Elle repoussa « Oko » (après tout c’est comme ça que je l’appellerai) qui était toujours entre ses suisses, qui essayait toujours de lui manger sa touffe. Elle se leva, alla jusqu’à la cuisine en trainant la jambe, revint, me regarda fixement .puis finit par accepter
— D’accord, je vais t’aider.
— Supeeer ! Je t’aime toi.
Je me levais comme un ressort et me précipita sur elle, pour cette fois lui donner un long baiser, insérant ma langue dans sa bouche qu’elle avala goulument. Avec fougue, elle me serra contre en écrasant ma poitrine contre la sienne et glissait sa main sur mon sexe trempé de bave et de cyprine.
— Tu me fais devenir folle avec tes idées et moi je marche ! Si ta mère savait ça, elle nous ferait enfermer toutes les deux. Embrasse moi!
— Si tu lui dis rein, comment veux tu qu’elle sache. Et puis elle, je ne sais pas ce qu’elle fait avec Mambo ! Tu le sais toi ?
Je la sentis frémir contre moi quand je lui parlais de ma Maman et de Mambo.
— Ta mère et Mambo ! Mais où vas tu chercher tout ça ?
— J’aimerais tant ! Ce serait super, on pourrait le faire toutes les deux et avec toi si tu en avais envie.
— Tu es une véritable obsédée.
Nos bouches s’ouvrirent et nos langues se rencontrèrent pour la première fois, scellant par ce fait notre amitié, notre amour, notre secret commun. Doucement je fléchissais les jambes, descendais doucement jusqu’à ce que ma bouche se trouve à la hauteur de son sexe et quand mes lèvres touchèrent son clitoris trempé de la bave d’Oko, elle jeta son ventre en avant pour que je boive le miel qui avait coulé et qui coulait encore de son sexe.
Sa jouissance fut aussi rapide que celle qu’elle venait d’avoir avec Oko et les cris qu’elle poussa me fit comprendre qu’elle en voulait encore.
Tout ne faisait que commencer entre nous deux.
Je me relevais sans la quitter des yeux, lui donnais ma bouche à lécher, puis j’appelais Oko qui vint immédiatement me renifler les fesses. Pas besoin de lui expliquer, je savais qu’il avait compris ce que j’attendais de lui et de suite son museau chercha mon entre jambe.
J’étais trempée, tremblante par l’excitation qui me prenait le corps. Sans mot dire, je me mis à quatre pattes, relevais ma jupe, puis les reins relevés, les fesses écartées, je lui présentais mon sexe affamé et gluant.
Oko lui aussi semblait nerveux, il gémissait, me sentait puis me léchait. Mmm quel délice !
— s’il te plait : tu n’as pas un tee short à me prêter ? Je ne voudrais pas qu’il me laisse des marques aves ses pattes.
— Tiens ! Prends ma robe de chambre me dit elle en se déshabillant.
J’enfilais prestement le vêtement et tendit ma croupe à Oko. Excité comme il était, il ne mit pas longtemps pour se mettre sur mon dos, donnant des coups de reins dans le vide. Je sentais la pointe de son sexe cogner mes fesses et les premières giclées de sperme couler le long de mes cuisses. Je me cambrais pour présenter l’entrée de mon vagin face à sa bitte. Il s’énerva et sauta sur le côté sans oublier de m’envoyer un jet puissant sur mes fesses.
— Aidez-le chérie. Il ne trouve pas l’entrée. Il manque d’expérience avec les femmes.
— Je vais essayer de le maintenir et de le guider. Tu te rends compte ce que tu me fais faire ? C’est dingue ce qu’il peut cracher !
— Je jouirais comme ça, seulement quand il me jouit dessus tellement c’est bon de sentir son sperme chaud sur mes fesses.
— Tu es vraiment une salope toi !
— Oui comme toi ! Allez, vite dépêche toi, j’en peux plus tellement j’ai envie.
Il revint et me monta à nouveau, son sexe cherchant toujours l’entrée de ma grotte humide.
La tête poser sur mes avants bras, je regardais entre mes jambes et je vis la main de Monique attraper le fourreau d’où sortait un bout su sexe d et le présenter enfin devant mes lèvres gonflées. Au contact chaud de mon intimité, Oko poussa violemment et rentra d’un seul coup toute la longueur de son sexe en m’arrachant un cri de douleur et de surprise.
— Il t’a fait mal ?
— Un peu, mais c’est surtout de bonheur. C’est trop bon : il va falloir que tu essaies aussi. Tu as vue avec quelle force il me baise.
— C’est fou ! Tu me fais mouiller comme une salope avec tes trucs
Sa bitte bien logée dans mon vagin, il entama des va et vient frénétiques. Je sentais sa barre de chair rentrer en moi et à la base la boule gonfler progressivement. J’étais trempée par sa semence et ma mouille et à chaque entrée, il allait encore plus loin poussant la pointe de son sexe fin et dure dans mon sexe bouillonnant, sa pointe frappant avec force mon utérus, que j’eu l’impression qu’il le traversait.
Je tremblais sous le plaisir regardant mon sexe rejeter le trop plein de sperme qu’il déversait en moi et qui s’écoulait le long de mes grosses lèvres. Puis mon amant ne bougea plus : il venait de me faire sienne.
J’étais sa chienne et me possédait entièrement. Il venait d’entrer dans la totalité de son engin en moi, déversant à grands jets brûlants sa semence au fond de mon vagin. Je le sentais grossir, s’allonger et remplir intégralement mon ventre. J’étais prise, collée à lui et la prochaine fois je le laisserais se retourner pour qu’il puisse me tirer de partout. Je sais que Monique appréciera de me voir dans cette position
Se détendre avant tout, je devais me détendre pour profiter pleinement de cette saillie.
A présent son sexe poussait le pas de ma matrice et j’étais totalement prise et pleine de sa chair. Sa boule pressait délicieusement les muqueuses sensibles de mon intimité et je sentais à présent mon corps frissonner, trembler, comme pris de spasmes incontrôlables. Je gémissais, râlais, couinais de plaisir. Monique était éberluée par le spectacle qui lui était donné de voir. Elle se caressait, se doigtait aussi vite qu’elle le pouvait, hypnotisée par la saillie que me donnait mon chien.
– Tu ne dis plus rien ! Tu as mal ?
— Non, caresse-moi, vite, je vais pas tarder de jouir . lui ordonnais-je d’un ton qui n’acceptait aucune contradiction.
Aussitôt elle se glissa sous mon ventre et me gratifia de douces caresses sur les flancs puis entre les jambes, pinçant au passage mon clito qui était gonflé : prêt à exploser.
La joue collée contre le carrelage de la cuisine, je suffoquais, j’étais en nage. Oko me fertilisait toujours et j’avais l’impression d’avoir des litres de spermes dans le ventre. Le salaud, comme moi il en avait envie.
Etait ce l’odeur de Nalla qui le rendait aussi vigoureux ou alors simplement avait il pris goût à me monter, le fait est, il me baisait royalement comme jamais je ne l’avais été. C’était décidé : j’en ferais mon maître puisque Maman avait Mambo, me promettant que je le lui prêterais de temps en temps
Les doigts de Monique faisaient merveille, Je ne contrôlais plus rien, fermais les yeux et me concentrais sur mon plaisir immense, imminent, imparable : j’allais jouir. Je sentais la lame de plaisir qui venait inexorablement
— AHHHH, AHHH, Ouiiiii !!! Monique….Je t’aime
Mon cri déchira le silence qui n’était jusqu’alors rythmé par les halètements du chien. Je sentais un voile noir arriver, des mouches dans les yeux, des picotements dans la tête qui descendaient le long de ma colonne vertébrale et remontaient de mon bas ventre en de longs frissons.
Oko continuait de me baiser, en donnant de temps à autre quelques petits coups de rein afin de bien assurer son lien avec sa femelle. Dans ma semi inconscience, je regardais la semence suinter de mon sexe et s’écarter sur le sol.
— Lèche-le !
— Qui ? Quoi ? Le chien !
— Lèche-moi je te dis ! Colle ta bouche à mon sexe.
Comme une bonne soumise, Monique se pencha sous moi, colla sa bouche contre mon sexe, ne pouvant éviter les précieuses gouttes de mon mâle qui lui coulaient le long de ses lèvres. Par dessous, je la regardais laper, avaler le sperme qui sortait de ma chatte distendue. C’était divin, elle savait y faire, me rassurant sur le fait que ce n’était pas la première fois qu’elle léchait une femme.
Ce faisant, par la positon qu’elle avait été obliger de prendre pour se glisser sous mon ventre, elle me proposait aussi une vue imprenable sur sa toison pubienne. Son sexe était ouvert et ses poils gluant de mouille : elle avait visiblement aimé la représentation . peut-être même serait-elle prête à y participer . ? Demain pourquoi pas : avec Aurélie ! Je restais persuadée qu’elle n’en resterait pas là et qu’elle demanderait sa part.
Sa langue titillait mon bouton, suçant, léchant aussi les lèvres et sans doute la tige canine qui était fichée en moi. De loin, je sentais arriver un tsunami de plaisir, les premières vibrations me le disaient.
Le sexe planté en moi excitait toutes les parties disponibles de mon vagin et de ma matrice. Les caresses buccales de mon experte partenaire ainsi que les odeurs musquées de sa vulve dans laquelle je venais de plonger ma langue avide m’amenaient sans coup férir à l’apogée de la jouissance.
La précédente avait été sublime, mais celle-là s’annonçait dantesque.
Oko toujours imperturbable m’inondait de son jus : Monique elle, se délectait du trop plein coulant de long de mon sexe et moi je sentais que je perdais tout contrôle, mon bassin s’agitant frénétiquement à la rencontre de mon chien. Je le voulais encore plus en moi.
Sa pointe était fichée au plus profond de mon être, son bout tapissait mon utérus de puissants jets de sperme et sa boule écrasait mon point G. Mes seins étaient tendus, mes tétons hypertrophiés. Tout en moi n’était plus qu’une zone érogène.
Je dévorais la chatte de Monique qui me le rendait bien et geignait également comme une possédée. La situation lui avait aussi échappée depuis longtemps. Les contractions dans mon anus et dans le ventre précédaient l’arrivée proche de l’orgasme dévastateur.
Comme une malade, Je soufflais, haletais, gémissais, grognais et criais enfin ma jouissance .pour la première fois, je jouissais de mon chien en présence d’une autre femme !!! C’était merveilleux
Une bombe atomique explosât dans ma tête et dans mon corps. Tout mon être n’était que tremblements, spasmes, frissons de plaisir et ma jouissance fut si forte, que le sexe d’Oko fut éjecté, laissant échapper par ma chatte béante, un torrent de sperme sur le visage de Monique.
Elle n’avait jamais vue et ne savait pas comment se finissait le coït. Ses cheveux maculés, la bouche gluante d’un mélange de salive, sperme mouille, elle fixait l’énorme queue qui pendait devant ses yeux et continuait à déverser les dernières giclées sur sa bouche affamée.
Epuisée, je tombais inanimée sur le sol, parcourue par des décharges résiduelles, c’est à peine si je vis Monique se précipiter sur Oko, observer sa tige et . la prendre en bouche goulûment.
— Prends la dans ta bouche ! Avale la, suce la !
Elle n’avait pas attendu que je lui dise ce qu’elle avait à faire. Sans dégout, elle attrapa le pénis énorme entre ses mains et l’avala goulument, lui laissant lâcher les dernières gouttes de semence au fond de sa gorge. La taille était toujours impressionnante !
Je la regardais qui le pompait comme si c’était le sexe d’un homme, léchant, glissant sa langue autour de la boule énorme. J’étais heureuse pour elle. Elle venait en moins de deux heures de m’embrasser, de me lécher, de se faire lécher par un chien et maintenant sans aucune gêne, sans aucun dégout, elle le pompait avec avidité.
Et dire que j’avais cet engin dans la chatte. La seule que je me demandais, c’étais comment avais je pu ce matin, accepter un si gros sexe dans mon anus.
— Alors ! tu as aimé sa bitte dans ton ventre ? Et moi : as tu trouvé que je me débrouillais bien ?
— C’était divin ! Je ne sais quoi faire pour te remercier et pour ce qui est de tes prestations : à un moment, je me suis demandé si tu ne t’étais pas déjà servi d’un chien toi aussi.
— Ça, je ne te le dirais pas. Enfin, c’est à toi de deviner.
C’était décidément la journée ! Mais avant de foncer à la salle de bains, je me retournais vers Monique et lui demanda :
— Tu veux bien répondre à deux questions et me dire franchement ?
— Lesquelles ! me répondit elle, ne relâchant toujours pas le sexe, le laissant s’écouler le long de ses seins
— Maman et toi ! C’est vrai hein ?
Me regardant bien dans les yeux, posant un baiser sur le bout violacé d’Oko.
— Tu as vue juste. C’est oui.
— Super ! On va s’aimer comme des folles toutes les trois. Et ça fait longtemps ?
— Bientôt quatre ans, après mon divorce. D’ailleurs c’est à cause d’elle et pour elle que je l’ai fait.
— T’es trop cool ! Tu aimerais faire comme moi, te faire baiser par Mambo ou par lui ?
— Ça fait trois questions. Tu triches mais je vais te répondre franchement. J’hésite tu sais, mais si tu m’aidais, comme je viens de le faire pour toi, je réfléchirais à ta question et je te répondrais demain quand tu viendras avec ta copine ! Tu m’as rendue complètement dingue et j’ai le ventre en feu maintenant.
— Je t’aiderais si tu en as envie : je te le promets. D’ailleurs, tu peux tout me demander, tu peux faire et essayer tout ce que tu veux avec moi, je serais toujours partante.
Dommage qu’il ne puisse te saillir maintenant et que les autres soient partis, sinon je te ferais monter ce soir. Contrairement aux hommes, ça dure dix fois plus longtemps et leur langue est à mourir, mais pour ce qui est de baiser, ils ne peuvent pas recommencer de suite : dommage !
Mais tu ne perds rien pour attendre, demain , ça va être ta fête et pour ce qui est de te soulager, pardonne moi si je ne peux pas, je suis trop fatiguée, mais tu as tout ce qu’il te faut dans ton tiroir, n’est ce pas ?
— Salope ! Tu crois que je ne savais pas pour le jouet? Ta mère est la seule à venir chez moi et je sais qu’elle a tout ce qu’il faut chez elle et ici alors à part toi, qui d’autre aurait pu me le prendre ! Mais je me vengerais si tu ne restes pas avec moi
Maintenant à toi pour une question et je veux la vérité
— Ok ! J’aime quand tu m’appelles salope et pour la vengeance, j’adore quand on me fait mal.
— Chantal ? Quand tu disais « on va pouvoir s’aimer toutes les trois » tu voulais dire que toi et ta mère ?…
— Oui, je suis son jouet ! ça te gêne ?
— Non pas du tout ! Je vais adorer cette situation tu ne peux pas savoir à quel point. Vivement que ma cheville aille mieux
— Je suis folle amoureuse de Maman et maintenant je ne vais plus pouvoir me passer de toi, mais tu ne lui parles pas de ce que je viens de faire avec Oko. Promis !
Tu sais pourquoi ? Je lui ai demandé la même chose qu’à toi : celle de m’aider pour me faire prendre par Mambo et elle a dit « oui » c’est super non ! Elle ne sait pas que je l’ai déjà fait, tu ne lui dis rien ! Ok
— Comme tu as fait avec moi ! T’es vraiment une belle salope et une chienne dans toute sa splendeur. Ok ! Je ne lui dirais rien
— Je suis une chienne, mais tu m’aimes quand même ?
— Si je ne t’aimais pas, crois tu que j’aurais fait tout ce que tu m’as demandé ? Tu dors avec moi ?
— Je ne sais pas. Aurélie vient chez moi demain matin de bonne heure. Embrasse moi !
— Dans l’état où je suis ?
— Oui, j’adore ! Viens donne moi ta bouche.
Lovée contre son corps brulant, la bouche collée à la sienne, je me délectais des restes de sperme qui trainaient sur ses lèvres, quand le téléphone nous fit sursauter toutes les deux.
— Qui cela peut il être à cette heure : dit doucement Monique en s’étirant pour attraper le combiné
— Allo ! Ah c’est toi ! Oui elle est là, je te la passe. C’est ta Maman !
— Allo maman ! Vous êtes arrivés ? il ne fallait pas te faire du souci, je t’avais promis de venir chez Monique !!!! Oui tout va bien et Monique est vraiment géniale. On s’entend super bien toutes les deux et elle voudrait que je dorme chez elle ! Oui je sais qu’elle n’a qu’un lit et que nous dormirions toutes les deux ! Tu serais d’accord, c’est super mais je ne lui ai encore pas dit « oui », tu sais qu’Aurélie vient me rejoindre demain ! Oui d’accord, je ferais comme je voudrais et si je ne dors pas avec elle ce soir, je sais que maintenant tu es d’accord et que je pourrais venir chez elle quand je le voudrais ! Alors ça, je ne te garantie pas que je serais sérieuse : tu me connais! Je t’embrasse moi aussi, tu me manques beaucoup et à Monique aussi, tu ne peux pas savoir! Ne fais pas l’étonnée : j’ai tout deviné pour vous deux ! si tu voyais la tête qu’elle fait. Oui je t’aime très fort ! Et à toi : je te manque beaucoup ? Reviens moi vite, je t’aime Maman. Oui je te passe ta copine, elle en crève d’envie. Je t’embrasse moi aussi… Tu veux que je te dise où je voudrais t’embrasser ? entre les fesses : oui sur ton petit trou! Ok, je te passe Monique.
Pendant que je parlais avec Maman, elle c’était glissée contre moi, sa bouche sur mes seins tendus pendant que se doigts s ’amusaient avec mon bouton aussi gros que mon petit doigt. Il avait été très dur pour moi de garder le fil de la conversation tant ce qu’elle me faisait était bon.
Elle dut hélas arrêter ses caresses pour reprendre le téléphone et je me devais de lui rendre le plaisir qu’elle venait de me donner et ma bouche se colla sur ses poils trempés de salive canine. Ma langue allait de sa fente parfumée à son sillon fessier. Je me délectais de la mouille qui coulait de son sexe, suçant, aspirant, enfonçant ma langue dans son anus tellement distendu que je me disais que Maman devait souvent s’amuser avec.
— Allo ! Oui elle est trop « top » ta fille comme elle dit tout le temps. Oui elle sait ! Excuse moi, mais elle a tout deviné pour nous deux. Moi aussi je t’aime et toi aussi tu me manques aussi. Reviens nous vite mon amour. Si elle dort avec moi, je te promets de ne pas lui faire du mal ! Oui exactement les mêmes choses que tu me fais quand tu es avec moi. J’ai ta permission, je peux lui faire ce que je veux ?.. promis, je ne lui ferais que du bien. On t’attend avec impatience. Tu veux parler à Chantal ? Non à bientôt.
La bouche collante, je reprenais doucement mon souffle avant de lui demander :
— Alors ?
— C’était trop bon, tu aurais du continuer, j’allais encore venir ! Elle m’a demandé si tu savais pour nous deux et tu as entendu ma réponse. Elle avait l’air très heureuse que tout soit claire entre nous trois et elle est « ok » pour que tu dormes avec moi. Et tu as compris que je pouvais faire ce que je voulais avec toi. Alors tu restes pour me finir ?
— J’ai très envie tu sais, mais je suis trop fatiguée. Je dois nettoyer les dégâts sur les carreaux et je vais rentrer. Tu ne m’en veux pas dis moi ! Et puis je dois faire rentrer Mambo et il y a aussi Oko à ramener, à moins que tu ne veuilles le garder avec toi ? Promis que la prochaine fois je resterais avec toi, maintenant que Maman est au courant
Si tu savais comme je suis heureuse !!!!!!!! Je crois bien que je suis amoureuse de toi.
— Moi aussi je suis amoureuse de toi. Mais pour ce qui est de garder « Oko » comme tu l’appelles, je ne le ferais que si tu restes avec moi. Et bien entendu s’il est en pleine forme, car je ne pense pas qu’il puisse me faire grand chose, dans l’état où tu l’as laissé.
— Dis ! Tu ne t’en es pas privée toi non plus. Regarde le, le pauvre, il dort. Tu sais pourquoi je rentre, je te l’ai dit !
— Oui je sais et je te comprends. J’ai hâte de connaître celle qui te prend à moi
— Demain ! Et prépare toi car ça va être chaud avec elle. Dis-moi ? Tu vas rêver à ce qui c’est passé entre nous deux?
— Je n’arrête pas d’y penser. Tu vas me faire devenir chèvre toi.
— Tu penses aux chiens et tu te caresses en rêvant à moi et en les imaginant dans ton ventre.
— T’es vraiment salope de me laisser comme ça. File avant que je te viole avec mes jouets.
— Demain promis, je me donnerais complètement à toi. J’aimerais bien que tu mettes la ceinture avec le gros « god » et que tu me fasses l’amour avec. Ça doit être super de se faire défoncer par un engin aussi long et aussi gros
— Je te le ferais promis et attends toi à souffrir.
— Hummmmmmmmmmmm !!! Bye je t’aime mon amour
Elle me prit dans ses bras, posa une main sur mes fesses, enfila son petit doigt dans mon anus, puis me gratifia d’un baiser à couper le souffle.
— T’as pas voulu me répondre à la question que je t’ai posée tout à l’heure mais je suis certaine que Maman t’a déjà fait goûter Mambo. Toi aussi tu te débrouillais trop bien quand tu le suçais.
— Allez file : je t’aime ma chérie, je vais rêver à toi.
Je fermais la porte, le chien derrière moi, regrettant presque de partir après l’envie qu’elle venait de me donner en me titillant mon petit trou. Plus ça allait et plus j’aimais me faire toucher entre les fesses. La prochaine fois, je me ferais sodomiser devant elle.
Demain elle acceptera d’être saillie par Oko ou un autre : je suis certaine qu’elle ne va penser qu’à ça dans son lit. Après, Aurélie et elle pourront faire de moi ce qu’elles voudront : me faire monter par la meute entière si elles le désiraient, je serais leur esclave.
Vivement que Maman revienne pour qu’elle puisse s’amuser de mon corps elle aussi.
Je voulais prendre une douche, me tremper dans un bain bien chaud et dormir, dormir, dormir