Mon mari et moi adorons que je lui raconte après avoir conduit sur autoroute en tenue sexy si j’ai eu droit à des appels de phares. Tous deux terriblement excités ensuite nous régalons à faire l’amour.
Un jour ou il faisait chaud, vêtue d’un tee-shirt et d’une mini jupe que j’avais remontée jusqu’aux fesses sans rien dessous, je conduisais sur autoroute pour exciter les chauffeurs des véhicules plus hauts que le mien. Très peu de camion mais des appels de phares de quelques camionnettes qui ne me laissaient pas indifférente.
Je quittais l’autoroute et dans mes pensées érotiques je fus surprise par un gendarme qui me faisait signe de m’arrêter sur le côté où m’attendait un de ses collègues. J’ai essayé de remettre de l’ordre dans ma tenue en tirant sur ma jupe mais je n’y suis pas entièrement parvenue. Cet homme me salua et de là où il était, il reluquait mes jambes et je me demandais s’il voyait que je ne portais rien. Il m’annonça un excès de vitesse et me pria de le suivre jusqu’au fourgon. Cette fois je ne pouvais pas cacher ma nudité en descendant de ma voiture et vu son air il en a bien profité. En chemin, il demanda à ses deux collègues de le suivre.
Je me suis assise face au premier, séparée par une table, les deux autres attendaient debout.
Celui face à moi, m’annonça que l’infraction valait 90 euros et trois points de moins mais qu’il y avait moyen de s’arranger si je montrais à ses copains comment j’étais habillée sous ma jupe.
J’hésitais sur le moment, mais comme d’autres en avaient profité dans leur camionnette, pourquoi pas eux. Je remontais ma jupe jusqu’aux fesses et les laissaient se délecter du spectacle. J’eus droit à des compliments sur ma tenue vestimentaire, mon physique et mon attitude.
Le premier se leva et dit tout sortant son sexe, un point par gendarme et par sucette. Malgré mon état d’excitation, je refusais mais il s’approcha de moi, pris ma main, la posa sur son sexe qui était très dur et commença à se branler. Quand il retira sa main, la mienne continua son geste machinalement, intéressée par les deux autres queues qui se dressaient devant moi. Très vite il attira ma tête vers sa queue que je pris volontiers en bouche pour lui prodiguer une pipe tout en lui caressant les testicules. A l’entendre, il avait l’air d’apprécier et ses compagnons ne tardèrent pas à vouloir la même chose. Ma bouche passait de l’une à l’autre tout en caressant les deux autres avec mes mains. Le plus pressé des trois annonça sa proche jouissance et pris ma tête pour que je l’embouche. Il se répandit en moi et avalai avec plaisir cette semence. Une fois fini, je voulus rendre la pareille aux deux autres mais ils préféraient autre chose. L’un des deux restants me fit me lever, me fit lui tourner le dos, me pencha en avant pour poser mes mains sur la table. Dans cette position, je lui dévoilais mes fesses ; il passa son sexe sur toute ma fente dégoulinante de plaisir puis enfonça sa queue au plus profond de ma chatte. Le deuxième avait soulevé mon tee-shirt jusqu’aux épaules pour me caresser les seins d’une main et le clitoris de l’autre pendant que son copain me besognait. Ainsi soumise, leurs propos aidant, je sentis l’orgasme arrivé et ne pus m’empêcher de laisser échapper des cris de plaisir. Il n’en fallu pas plus pour que mon amant se répande en moi en me gratifiant de quelques compliments osés. Quand il se retira, son compère me fit mettre à genoux sur la banquette pour me prendre par derrière comme il a dit à ses potes.
Ainsi offerte, il m’écarta les fesses, me caressa la chatte dégoulinante de sperme, et m’en enduit le petit trou pour y fourrer quelques doigts. Après ce massage, il annonça à ses compagnons qu’il allait me sodomiser ; il approcha sa queue, la posa sur ma rondelle et s’enfonça en moi sans trop de difficulté. Les deux autres me caressaient les seins et le clitoris pour m’exciter encore plus. En fin de compte c’est celui qui me pénétrait qui fut excité car il ne tarda pas à répandre tout son jus en moi. Je dois reconnaître qu’à ce moment , j’aurais bien aimé que ça dure plus longtemps ; Comme si il le savait, le premier à avoir joui en voulait encore et s’assit sur la banquette en me demandant de venir m’asseoir sur son sexe qui avait repris des dimensions impressionnantes. Trop heureuse de l’invitation je me laissais prendre par cette verge ; il me léchait les seins, m’embrassait à pleine bouche et en me prenant par les fesses me faisait monter et descendre sur sa queue. Puis il demanda à celui qui m’avait prise appuyée sur la table de venir m’enculer car bonne comme j’étais, je devais apprécier le sandwich.
Effectivement, je me laissais aller et dois avouer que j’attendais cela sans avoir osé le demander. Le troisième se branlait tout en me regardant, me disant des choses cochonnes et qui paradoxalement me plaisaient et m’excitaient. D’ailleurs, je ne pus retenir longtemps mon orgasme qui fut si violent et intense que j’ai continué à jouir alors que mes deux amants avaient fini de se vider en moi depuis un certain temps. Celui qui se branlait avait vidé ses couilles sur ma poitrine recouverte d’une quantité non négligeable de semence malgré sa deuxième éjaculation. Je me suis habillée, mon tee-shirt épongeant le sperme et ma jupe récupérant tout ce qui s’échappait d’entre mes fesses. Arrivée à la maison, mon mari a remarqué les tâches sur mes vêtements et a été impatient que je lui raconte mon histoire. Tellement excité, il n’a pas attendu que je la finisse et je l’ai continué pendant qu’il me léchait et me caressait. J’ai eu un nouvel orgasme avant la fin de l’histoire.
