Le jouet de ses étudiants Ch. 01
Teacher Is The Pet Ch. 01
Coulybaca / Orexis
Chris Collins était nerveuse et excitée.
La jeune prof âgée de 24 ans menue, et blonde faisait le tour de la petite maison qu’elle avait achetée avec son mari l’année précédente, lorsqu’ils étaient arrivés de Chicago dans cette petite ville du Texas, leur diplômes en poche.
La maison était nette et nettoyée de frais, mais elle ajustait encore certains détails en en faisant le tour. Cette activité cachait sa nervosité dans l’attente de l’arrivée des quatre étudiants de son cours de maths qu’elle devait tutorer.
Un tutorial privé. Ce terme allait sûrement prendre un sens spécial aujourd’hui.
Chris repensait aux événements qui étaient survenus les semaines précédentes, son visage afficha un sourire excité.
Elle sentit les babines de sa foufoune s’engorger de sang en repensant à ce qui lui était arrivé ce samedi soir. Elle sentait son sexe s’humidifier alors que croissaient les signes de son excitation. Ses souvenirs étaient vifs et détaillés.
Elle se tenait dans la petite salle adjacente à sa classe, elle triait les maigres réserves que lui avaient confié le district scolaire, cherchant à trier ce dont elle pouvait se servir en priorité, lorsque sa vie prit un nouveau tour.
Le district scolaire comportait de nombreuses familles rurales pauvres, et nombreux étaient ses élèves n’avaient ni stylos ni cahiers.
Le district leur offrait quelques fournitures sur les fonds fédéraux de "l’aide à l’enfance déshéritée".
Elle était vêtue comme chaque jour qu’elle venait à l’école.
Une mini jupe de cuir couvrait ses fesses. Si ce n’était le fait que sa grosse poitrine semblait toujours vouloir jaillir hors de sa brassière, jamais on ne l’aurait taxée de "mal fagotée"
Sa forte poitrine lui avait toujours posé des problèmes. Elle avait toujours attiré l’attention des hommes. Ce genre d’intérêt ne la flattait pas, elle en était gênée, mais elle avait du faire avec en grandissant et avait développé certaines techniques lorsque les choses lui échappaient.
Cependant cela faisait maintenant quelques temps qu’elle n’avait pas jugé bon d’utiliser ces techniques, tout simplement à cause de l’excitation grandissante qui lui apportait maintenant les regards de ces hommes. Certains se comportaient si le mot "salope" était tatoué en lettres de feu sur son front.
Lorsque ces hommes se faisaient agressifs elle n’utilisait plus toujours les répliques qui les figeaient immédiatement.
Elle avait besoin de dénombrer ses fournitures pour le premier jour de la semaine aussi s’appliquait-elle à compter les rames de papier, les stylos, etc…
Elle était perdue dans ses pensées si bien qu’elle n’avait pas entendu Roger White pénétrer dans la pièce.
Roger était l’image même de la plupart de ses élèves. Ils étaient tous bien bâtis, musclés, mais il ne s’agissait pas de gonflette acquise dans les salles de gym, mais des jours passés à travailler dans les champs et les forets, dès qu’ils avaient l’âge requis pour ces travaux de force.
La plupart des garçons et même certaines filles travaillaient dans les pineraies du sud du Texas.
C’était nécessaire pour augmenter quelque peu les revenus familiaux et permettre à leurs familles de vivre un peu mieux.
Par ailleurs Roger était le meneur d’un petit groupe de gars de toutes ethnies qui ressemblait fort à ces jeunes de gangs citadins, revêtus de capuchons habitant dans les banlieues des grandes villes.
Tout comme ces gangs ils employaient l’intimidation pour soumettre à leur gré les élèves les plus faibles de u lycée.
Il est vrai cependant que jusqu’ici ils n’avaient jamais commis de meurtres plus grand que de perturber la paix ambiante ou se saouler outre-mesure.
Lorsque Roger avait pénétré dans la pièce, il avait calmement refermé la porte dans son dos.
La restriction de la lumière pénétrant dans la pièce attira l’attention de Chris et elle se retourna alors que Roger était déjà sur elle.
La salle était entièrement plongée dans le noir à l’exception des légères flaques de lumière passant sous la porte.
Il la repoussa prestement contre le mur. Il posa sa main sur sa bouche et ses yeux se firent menaçants dans la semi-obscurité.
Ils rayonnaient comme ceux d’un prédateur.
— Hello, Madame Collins. J’attends ce moment depuis le début du trimestre… Je vais ôter ma main de ta bouche… Si tu cries, je serai obligé de te faire mal ! Je voudrai bien ne pas te faire de mal, mais je le ferai si tu m’y forces, je préférerai que tu reste calme et que tu fasses ce que je te dis, cela t’éviterait de souffrir !
Lentement son jeune élève de 18 ans, enleva sa main de sa bouche, sagement elle préféra se taire.
Elle voulait disputer le jeune homme en tentant de reprendre le contrôle de la situation, mais en fait au lieu de récupérer le contrôle de soi elle subissait l’emprise de son jeune élève.
La main qui lui couvrait la bouche entoura son cou. Pas trop fort, pas au point de lui couper le souffle mais suffisamment pour la maintenir contre le mur.
Il empoigna de sa main libre son gros nichons droit qu’il entreprit de peloter rudement au travers de son chemisier.
Chris tendit la main pour capturer la sienne et lui enjoignit :
— Roger tu n’as rien faire ici… Et tu n’as aucunement le droit de te comporter ainsi avec moi !
Le ton de son intervention était totalement dénué d’autorité et Roger s’était contenté de réagir en affermissant sa prise sur son cou alors qu’il serrait fermement son sein éveillant une myriade d’étincelles douloureuses dans sa poitrine, lui faisant ressentir sa faiblesse.
— Tu as tort ma chérie, je vais où je veux et je fais ce que j’aime salope !
Son étreinte se resserrait encore sur sa poitrine, après un long moment il relâcha son étreinte.
Qu’elle ressente de la douleur, de la douleur ou du plaisir, son manque de caractère dans cette situation devait rester inconnu, il soulagea son étreinte dès qu’elle cessa de tenter de le repousser.
— Je vois que tu comprends la situation salope ! Dorénavant tu m’appartiens, tu es ma petite chienne… Tu feras ce que je veux et tu me serviras comme une bonne petite esclave, comme ma petite chienne… C’est bien compris ?
Un grand frisson la parcourut… Elle ne savait pas pourquoi, mais elle sentait qu’elle lui appartenait… Elle avait tort, mais sentait qu’elle regretterait vivement tout mouvement de révolte… Elle sentait plus qu’elle comprenait que son emprise s’avérerait sexuelle, cela s’imprima dans son esprit avant qu’elle réponde…
Cela voulait dire qu’elle allait devoir tromper son mari, mais il était tellement mollasson que ce soit dans son comportement social ou sexuel.
Elle réfléchit rapidement : ce garçon avait plus de 18 ans, il n’était donc pas mineur et tout risque d’accusation de détournement disparaissait de ce fait, elle pouvait donc se laisser aller à lui appartenir.
Une des clauses de son contrat d’enseignante pouvait entraîner la perte de son travail, mais le risque était encore pire que cela. Chris ne s’était jamais sentie aussi excitée. Après ces instants fugitifs où ces pensées lui traversèrent l’esprit elle donna sa réponse.
— Oui monsieur
Sa soumission était complète, elle ne pouvait plus que lui complaire désormais.
Elle avait oublié toutes les clauses de moralité et de non-fraternisation de son contrat d’enseignante avec le district scolaire, quelque chose venait de s’éveiller en elle et elle devrait s’y conformer désormais.
— Oui maître !
— C’est bien ma petite chienne, tu apprends rapidement… Tu vas bien me servir…
Roger se recula d’un pas en lui donnant ses premières instructions.
— Remonte ta jupe que je puisse admirer tes charmes !
Sans aucune hésitation, elle répondit :
— Oui maître…
Et elle se pencha pour remonter sa jupe. Elle portait un collant couleur chair au-dessus d’une petite culotte de coton blanc qu’on voyait clairement au travers du collant.
Elle rougit alors que l’ourlet de sa jupe arrivait sous son menton.
Elle ne comprenait pas pour quelle raison elle rougissait comme une tomate alors qu’elle se réjouissait d’être commandée et que quelqu’un puisse disposer d’elle de cette façon.
ce devait être une réaction instinctive pensait-elle.
Sa chatoune la démangeait et ses nichons durcissaient sous l’oil observateur du jeune homme, et voila que déjà, elle se demandait ce qu’il allait exiger d’elle maintenant, elle espérait inconsciemment que ce serait dégradant.
Elle n’eut pas à attendre bien longtemps alors qu’il se rapprochait à nouveau d’elle.
Il posa sa main sur la ceinture élastique de son collant et glissa sa main à l’intérieur puis dans sa petite culotte descendant de plus en plus bas.
— Ecarte les cuisses salope, ton maître veut palper ta chagatte.
Chris écarta docilement une de ses cuisses lui livrant u accès plus aisé à sa féminité. Sa respiration se fit plus haletante alors que Roger explorait de ses doigts fins sa fente embrasée la transformant en marécage.
— Je vois que ma petite pute est heureuse de livrer ses charmes à son maître !
Elle ne pouvait répondre que d’une seule façon, de toute manière aucune autre réponse ne lui était venue à l’esprit :
— Oh oui maître… Tu ne porteras plus jamais de collant chienne… Tu vas acheter une ceinture porte-jarretelles et des bas, ainsi que des petites culottes affriolantes et laisser tomber ces horribles cache-sexe en coton que tu portes… Tu dois toujours être prête à te faire baiser selon mes désirs…
— Comme vous voudrez maître…
Roger extirpa sa main de sa petite culotte et porta son doigt à ses lèvres. Chris respira à plein poumon le parfum musqué de sa chatoune tandis qu’il lui intimait de le lécher.
— Goûte à ton jus intime qui enduit mon doigt salope !
Docilement et sans une seule protestation elle prit le doigt entre ses lèvres et le débarrassa minutieusement de son jus intime, juste comme si elle léchait une toute petite bite !
Il posa ses mains sur ses épaules et la força à s’agenouiller. Chris savait pertinemment ce qu’il attendait d’elle, elle étala sa jupe en corolle en s’agenouillant sans protester.
La bosse déformant l’entrecuisse de Roger était au niveau de son visage.
— Suce moi salope !
Elle le regarda dans les yeux tout en tendant la main vers sa braguette et murmura :
— Oui maître.
Elle déboutonna son jean et le descendit sur ses chevilles, son caleçon suivit rapidement, elle reprit alors q sa bite en semi-érection en main et entreprit de la branler tendrement avant de l’enfourner dans sa petite bouche.
La forte odeur de sueur et de pisse lui frappa les narines, ce n’était sûrement pas faute d’hygiène, mais plus vraisemblablement du à l’heure avancée. Elle frémit bien plus en constatant la taille de sa pine.
Bien que son expérience à cet égard fut des plus réduites, elle savait que la bite de son mari était en dessous de la norme, elle ne mesurait que 9 cm… Celle de son maître avoisinait les 15 centimètres à ce qu’elle put constater.
Pleine d’un inconscient désir de combler son maître elle eut quelques difficultés à l’accueillir dans sa gorge, c’était la première fois qu’elle tentait de prodiguer une "gorge profonde" à autrui.
Elle le suçait tendrement alors qu’il l’accablait de commentaires aussi salaces que sacarstique.
— Suce-moi bien fieffée salope ! Tu n’es rien d’autre qu’une chienne en chaleur ! Tu dois me sucer de ton mieux ainsi que les copains que je te désignerai ! T’es qu’une vraie salope qui meurt d’envie de te faire traiter comme une pute, b’est ce pas chienne ?
Sa réponse était spontanée, elle n’aurait pas été autre si elle avait pris le temps de la réflexion :
— Oui maître, je suis une vraie salope qui meurt d’envie d’être traitée comme une pute !
Roger lui agrippa les oreilles et se mit à remuer rageusement les hanches d’avant en arrière, il la baisait en bouche plus qu’elle ne le suçait.
Il révélait sa férocité en se servant ainsi d’elle, utilisant sa bouche comme une chatte.
Elle gémit sous les coups de boutoir alors que son excitation montait.
C’était extrêmement dégradant, humiliant de se faire baiser ainsi pensait-elle en son fort intérieur. Elle ne comprenait pas ces sentiments, mais ils étaient bien réels et elle adorait être ainsi abusée.
Lorsqu’il éjacula dans sa bouche, elle sentit un intense orgasme ravager sa chatoune inondée de cyprine.
Elle se mit à avaler sa semence, c’était quelque chose qu’elle avait toujours refusé à son époux !
Elle ne perdit pas une goutte de son sperme chaud, allant jusqu’à ramasser d’un doigt habile les filaments qui suintaient aux commissures de sa bouche pour les lécher avidement.
Il se rajusta et la laissa pantelante dans la petite pièce.
— Sois disponible tous les jours ! Je reviendrai te prendre !
— Bien maître…
Le soir même Chris arrêta dans la petite épicerie proche de son domicile et acheta les bas et les petites culottes qu’il lui avait enjoint de porter dorénavant.
Le lendemain elle arborait fièrement sous sa jupe une paire de bas auto-fixant et une affriolante petite culotte.
Roger installa une chaise dans la petite salle servant d’entrepôt et la courba dessus, il releva sa jupe, descendit sa petite culotte et la baisa en chatoune.
Elle n’avait jamais été baisée par une bite aussi grosse, il lui semblait quasiment se faire dépuceler nouveau. Bien que la perte de son pucelage avait été assez douloureuse alors que cette fois cela lui semblait délicieux.
Un orgasme massif la terrassa alors qu’il coulissait sans vergogne dans sa petite chatoune asservie, son emprise grandissait considérablement à chaque coup de boutoir.
Elle était maintenant et à jamais sa pute et lui obéirait en tout.
Du moins était-ce ce qu’elle pensait à cet instant.
Alors qu’il vomissait son foutre dans sa chatte asservie, elle pensa fugitivement au risque de se faire engrosser, mais s’il fallait en passer par-là pour ressentir un tel plaisir, il en serait ainsi !
Comme s’il lisait dans son esprit il commenta alors :
— Si je t’engrosse ma chienne… Si tu as un enfant… Celui-ci m’appartiendra tout comme tu m’appartiens !
Chris nota mentalement de reprendre la pilule, cependant elle lui répondit :
— Bien maître…
Il se soulagea en elle et abusa de ses charmes chaque jour à partir de cet instant.
Il la baisait en bouche, en con, en cul…
Elle se montrait de plus en plus complaisante au fil des jours, sa soumission se faisait plus nette à chaque fois qu’il la sautait.
Elle avait arrêté de porter des petites culottes selon ses consignes e s’était rasée la foufoune? La bise soufflant sur son mont chauve lui semblait d’un érotisme extrême.
Elle avait rechigné les premières fois qu’il lui avait enjoint de nettoyer sa bite de la langue alors qu’il venait de l’enculer, comme après lorsqu’il venait de la fourrer en chatte.
Mais cette révulsion initiale passa rapidement tant était grand son désir de lui complaire, bien que le goût merdeux lui déplut profondément.
Toutes ces pensées lui traversaient l’esprit alors qu’elle attendait son maître et ses amis pour les "tutorer".
Elle savait déjà que le seul sujet abordé ce soir serait la sexualité humaine ainsi que la dépravation de leur esclave, il ne serait aucunement question de maths !
Elle frissonna en pensant qu’il travaillerait sûrement les additions. Elle devait calculer le nombre de mentules qui l’utiliseraient et le nombre d’orgasmes qui la terrasseraient entre les bras des copains de son maître. Les additions faisaient partie du programme de math après tout ! Elle frémit à cette pensée lubrique.
Sa tenue était à la frontière de ce qui pouvait être accepté par les autorités académiques. Son short bouffant était très court sa brassière ne faisait que couvrir ses nichons.
Si elle levait les bras au niveau de son visage, ses nibards s’évadaient sous la brassière.
Elle ne portait ni soutien-gorge ni petite culotte et avait les pieds nus.
Plus tôt dans la matinée, son époux, Jack Collins, avait essayé de lui demander des explications en la voyant ainsi accoutrée, elle l’avait rabroué violemment.
— Occupe-toi de ton cul… Je dois recevoir des élèves qui viennent travailler à la maison…
— Tu vas donner une leçon ainsi attifée ?
— Oui, fous le camp dans ta tanière et restes-y tant qu’ils seront ici !
Il savait parfaitement qu’il était inutile de discuter avec elle, il était encore plus soumis qu’elle.
Sa fierté masculine ne lui avait cependant jamais permis de le reconnaître, mais il le savait en son fort intérieur.
Lorsqu’elle se montrait autoritaire avec lui, il se réjouissait de se sentir dominé.
Alors qu’initialement cela les avait rapprochés c’était maintenant un mur qui s’élevait parfois entre eux. Elle avait besoin de se sentir dominée et son époux s’avérait un mollasson incapable de la mater !
Il avait installé une glacière dans sa tanière, ainsi il n’avait pas à la quitter pour boire une bière bien fraîche.
La pièce était prête et Chris n’attendait plus que la venue de son maître et de ses acolytes.
Ils pénétrèrent dans la maison, comme des conspirateurs par la porte de derrière, on aurait dit quatre envahisseurs de l’au-delà.
Il y avait Roger bien sur, flanqué d’Eric, Todd et Jamal.
Ils avaient tous quatre plus de dix huit ans, Jamal l’aîné en avait 19. Il avait pris du retard dans sa scolarité le temps que ses enseignants se rendent compte qu’il était dyslexique.
Eric était mexicain, c’était indéniable. Il était petit, ce qui caractéristique de son ethnie, ce qui lui donnait un complexe de "petit Napoléon" et une nature susceptible et impatiente. Il s’habillait dans le style "cholo" : cheveux courts retenus dans un filet qui permettait de conserver une coupe impeccable et créative de différentes couleurs. Il portait un short large kaki et un tee-shirt sans manche, ses muscles roulant sous sa peau tannée.
Jamal était un afro-américain de couleur noire très sombre, sa taille avoisinait celle des piliers de la NFL.
Todd semblait bienveillant, à l’exception de son ami mexicain il était le plus petit du groupe, et était loin d’être aussi musclé que ses copains.
Il était efflanqué en fait bien qu’il soit aussi fort qu’un bouf qui passait dans les prairies du texas.
Il n’aurait pas fait partie de la bande s’il n’était le cousin de Roger, il semblait vraiment un gringalet au regard des autres.
Son apparence bienveillante et innocente était cependant un certain avantage lorsque le gang voulait se procurer de la bière en se servant d’une carte volée dans un des magasins locaux.
Cette particularité lui avait conféré une bonne insertion dans le groupe.
Chris ouvrit la porte de derrière et invita ses copains à entrer dans la cuisine. Ils inspectèrent ses charmes du regard alors qu’ils avançaient vers elle.
Chris rougit comme une tomate en voyant leur visage afficher leur concupiscence.
2 août 2008
Coulybaca ([email protected])
Avec l’aimable autorisation de l’auteur : Orexis