Gina nen revient pas, elle va sur ma recommandation braver un tabou respecté, commettre ce quelle considère sans doute comme un sacrilège, faire lamour avec un autre dans le lit conjugal. Je lis son énorme surprise sur son visage. Et le petit con se réjouit ouvertement daccéder aussi facilement au lit quelle lui avait refusé. Tromper, passe, mais pas dans le lit du mariage, il est sacré! Cette logique méchappe, mais depuis quelques heures jai eu tant de surprises. La chambre offre un espace plus restreint. Je vais me trouver tout prêt deux. Ils sont debout à côté du lit, se tiennent les mains, se regardent dans les yeux. Je tousse. Ils séloignent à bouts de bras et font semblant dêtre étonnés de découvrir leur nudité. Julien regarde les seins, feint de voir pour la première fois la broussaille du pubis, sexclame, trouve que cest beau et attirant, admire les longues jambes, tombe à genoux devant la touffe et explore du regard.
-Tu peux membrasser et caresser autant que tu veux. Louis le veut ainsi et il faut que tu apprennes. Ta bouche, tes mains, ta langue, ton nez: tout est permis pour te remplir de la vue dun corps de femme, pour timprégner de ses odeurs propres. Tu devrais te relever et prendre possession de mes seins. Tu verras, les seins de la femme sont extrêmement sensibles et réactifs. Voilà, caresses-les doucement, prends les pointes entre ton pouce et ton index et roules-les délicatement entre tes deux doigts. Vois, ils durcissent et jen frissonne de la tête aux pieds. Englobes les dans tes mains ouvertes, sens leur poids et la douceur de la peau.
-Cest fabuleux. Quelle découverte sensationnelle.
Le faux cul maîtrise parfaitement la prise et se penche sans y être invité pour déposer ses baisers admiratifs sur ces seins déjà adorés depuis des semaines en mon absence.
-Oui, mon petit, suces-les, vois les raidir. Si tu fais aussi bien avec ta future, mon cher petit apprenti, tu voleras vers le succès. Tu me bouleverses malgré mon expérience avec Louis. Jen tremble, chaque femme saura apprécier cette caresse de la bouche, le frottement léger et humide de la langue. Cest bon, continue, sois doux et calme, passes de lun à lautre et reprends entre tes doigts celui que ta bouche délaisse. Oh! Oui. Cest bien, ne tarrête pas, il faut savoir être patient et faire durer. Après ça, tu auras gagné, ces préliminaires sont irrésistibles. Cest une femme dexpérience qui te laffirme. Dis-moi, Louis, tu permets? Je peux me laisser aller, cest si violent? Tu es un mari exceptionnel.
Elle soupire de bonheur et vérifie que je reste impassible observateur du plaisir quelle me dérobe mais avec mon accord. Jai même droit à un sourire entendu. Je bous, jenrage, jai envie de tuer. Elle se paie ma tête en minterpellant pour me crier son plaisir. Cest de ma faute. Je naurais jamais dû évoquer la possibilité de me donner ce spectacle avec un tiers, ni introduire ce loup dans ma bergerie, jaurais dû hier refuser de laisser se dérouler cette initiation et jaurais dû cet après-midi foutre ce petit salopard à la porte et procéder à une mise au point immédiate avec Gina. Lautre descend langue tendue des seins vers le nombril en laissant une trace de salive, en marque ce corps abandonné à ses désirs, saventure de nouveau à lentrée du sexe, hume, fourre son nez entre les bouclettes qui en dominent lentrée, lèche les lèvres externes gonflées dattente, me regarde avec lair de me dire que le spectacle et le toucher le ravissent. Il embrasse chaque cuisse, y trace une nouvelle traînée de salive à la manière dun escargot, sourit dun bonheur non dissimulé en oignant de salive le lieu du culte damour quil consacre et où il fera ses dévotions sous mes yeux de cocu qui signore! Gina retire la main appuyée sur la tête du brave petit découvreur, peu sûre de résister à lenvie de faire lamour immédiatement si lamant perd sa timidité apparente. Elle tient à respecter la progression. Il doit remonter à sa hauteur.
-A moi de texplorer. Sois attentif. Fais bien attention aux sensations que tu éprouveras, note tes points les plus sensibles de manière à pouvoir guider ta future compagne.
Jaime lévocation dune possible remplaçante. Pour linstant je vois les mains de ma femme, posées à plat sur une poitrine où le poil est rare. Les mains effleurent en un mouvement circulaire toute la surface de peau. Au passage des doigts agacent les tétons de lhomme. Elle sait lexciter. Sous couvert dinstruction elle prodigue les plus sensuelles preuves damour à lamant.
-Tu sens, une pression légère, un toucher en surface procure une étrange sensation.
-Cest vrai, continue, cest si bon, tu dois le voir dans mes yeux.
Effectivement elle fixe amoureusement son regard, oublieuse brièvement de sa situation de maîtresse. Et lui donc, sait-il encore quil est lélève. Elle se reprend, baisse les yeux, comme pour suivre la descente de ses mains effleurant lestomac puis le bombé du ventre en direction de la flèche tendue vers la caresse prochaine. Sans honte Julien bande, raide, dur, développe ses centimètres. Les mains remontent sous les aisselles, prennent appui et redescendent tandis que Gina se penche pour déposer des essaims de baisers fiévreux sur le torse, le ventre et finalement après un coup dil hésitant dans ma direction sur le bout du gland dressé.
-Bien, nous avons rempli notre contrat pour cette première expérience. La prochaine fois, après une rapide révision nous passerons à lacte deux.
Ils étaient au bord de lexplosion. La déception lisible verse un baume dune immense douceur sur mon cur blessé.
-Julien je te félicite, tu es un élève très doué. Je verrai avec un immense plaisir la deuxième phase de ton initiation. Si tu veux bien récupérer tes affaires, jai à discuter avec mon amour de femme.
Il sen va, flamberge au vent, passe au salon et se précipite vers sa chambre. Gina, encore rouge de volupté, cache mal sa frustration derrière le mensonge dune gêne très étrange: quand on sait quelle ignore que je sais. Elle allait le prendre en bouche et le sucer, sucer, pomper, vider, avaler. Et la voici en face de ma réalité de mari. Lamant envolé, ne reste que le mari dupe, le cocu volontaire. Elle a bien un peu honte sans doute, mais si peu au regard de ce qui reste à faire ou de ce que promet le programme de ce stage et les intermèdes durant mes heures de travail.
-Alors mon chéri, ce nest pas trop pénible de regarder. Jespère que tu nas pas souffert? Ta maîtrise est extraordinaire, tu nous regardes sans broncher, quel admirable mari. Jai une chance inouïe de tavoir rencontré et dêtre aimée de toi. Ca va? Que penses-tu de mon rôle dinstructrice, ai-je été à la hauteur au moins?
-Tu as été parfaite. Jai admiré ta maîtrise. Je tai revue telle que tu étais à nos débuts. Je crois même que cétait mieux, il y a notre longue expérience en plus. Toute ton expérience ajoutée à tes qualités naturelles ta fait apparaître plus comme une véritable amante et moins comme une maîtresse. Tu avais lair si impliquée, si naturelle: je me disais en vous regardant: « ces deux là se conduisent comme de véritables amants de longue date, sembrassent avec une passion incroyable pour des étrangers ». Je ne me suis presque jamais imaginé que vous appreniez à vous connaître. Je nai vu ni une enseignante, ni surtout un élève. Jai parfois cru voir lélève guider la maîtresse.
-Tu exagères. Jai été à laise, jai mené constamment et jai su rester dans les limites fixées en contenant la fougue incroyable de ce puceau. Quelle belle queue il a ce petit!
-Puceau, ce garçon? Tu ne peux plus le croire, ça saute aux yeux. Cest un très mauvais acteur. A quelques reprises il a essayé de donner le change, mais quand tu le chauffais un peu, il semballait et laissait paraître sa vraie nature. Cest un séducteur de première classe, crois moi. Une femme aussi avisée que toi devrait sen rendre compte.
-Eh! bien non, au contraire, sa manière de sappliquer ma émue. Jai senti son envie de bien assimiler, de recommencer ces longs baisers enfiévrés pour atteindre la perfection. Je ne vois pas ce que tu peux lui reprocher.
-Tu nas pas été étonnée de le voir débusquer aussi facilement ton clitoris pour le lécher et le sucer? Tu as eu à ce moment un sursaut réflexe significatif. Je ne crois pas au hasard. Pour moi, le « petit » a une longue expérience des femmes. Si ce nest pas avec toi, il a dû en connaître dautres.
-Oh! Mais voudrais-tu maccuser davoir déjà couché avec lui? Tu me peines. Ce nest pas possible. Et si tu ne me présentes pas immédiatement des excuses pour ces soupçons injurieux, je renonce à poursuivre cette expérience. Cest fini tu peux aller le lui annoncer.
-Tu viens de prendre une sage décision. Ce jeune loup na pas besoin de leçon, il sait sur le bout des ongles comment emballer et baiser une femme. Il ta bernée, attendrie pour que tu te jettes dans ses bras. Et il me prend pour un imbécile, samuse à me faire assister à mon cocufiage. Ecoute, il vient de quitter la maison. Il doit être furieux de navoir pas conclu devant moi ce soir. Il aurait triomphé.
-Je narrive pas à croire quil ait déjà fait lamour. Je serai plus attentive à la prochaine session.
-Comment, tu ne renonces plus? Tu mas promis darrêter si je te le demandais, et solennellement, ce soir je te demande de mettre fin à ce cirque.
-Mais que va-t-il penser? Tu ne peux pas tout casser sur un coup de tête, sous prétexte que tu as des impressions. Allons chéri, sois raisonnable. Jai bien compris, avant de commencer que tu regrettais davoir accepté hier. Cétait quoi cette idée bizarre de vouloir lobliger à payer?
-Si on paie des cours de piano, de violon ou dauto-école, je ne vois pas pourquoi des cours pratiques déducation sexuelle dans laquelle en plus tu livres ton corps seraient gratuits.
-Tu voudrais me vendre, jouer au souteneur et me faire passer pour une prostituée? Non mais tu divagues.
-Tu comprends que donner ton corps en pâture aux appétits dun gamin est différent dune leçon de tout autre instrument. Le violoniste ou le pianiste ne se prostitue pas. Pour moi le problème est réglé. Ton puceau nest pas puceau, si tu continues, pour moi il sera ton amant. Je ne serai pas ridicule plus longtemps. Tu ten iras.
-Voilà, tu montes sur tes grands chevaux, tu menaces de me chasser parce que je ne suis pas de ton avis. Tu jouais au monsieur tolérant et pour un rien tu deviens un tyran domestique, tu imagines que je te trompe avec un malheureux gamin incompris. Allez, calme-toi. Sil veut continuer, il paiera ses cinquante euros, je nen fais pas une affaire détat. Dans le fond, tu as raison, je suis beaucoup plus indiquée pour ce brave petit quune pute à cinquante balles. Ca te va? Tu as prévu une date pour la prochaine séance?
-A raison de trois séances, puisque tu tiens à enseigner, vous vous rencontrerez le lundi, le mercredi et le vendredi. As-tu prévu une séance pour moi, ton mari? Il me restera 4 jours pour jouir des droits que tu voudras maccorder. Donc votre prochaine séance se déroulera vendredi dans deux jours. Et la nôtre?
-Mais je suis à ta disposition à tout moment. Dailleurs après léchauffement avec le puceau, jen aurais bien besoin, moi aussi. Tu viens?
-Jai peu de goût pour les plats réchauffés, excuse-moi. Pour votre prochaine rencontre jaimerais vous voir jouir. Lui te sucerait jusquà lorgasme et pourrait se servir de ses doigts. Et toi tu lamènerais à éjaculer en le masturbant et en lui taillant une de ces pipes dont tu as le secret. En qualité de spectateur privilégié jaimerais te voir vivre deux orgasmes, le premier sur ses doigts et le second sous sa bouche. Lapprenti devra être en pleine possession de ses moyens pour te noyer une fois la gorge et pour te couvrir le visage et les yeux de sperme. Le mieux serait dalterner. Et tu ne devras pas oublier denseigner le 69.
-Quelle imagination. Je me demande si tu ne devrais pas former des jeunes femmes.
-Je nai pas cette vocation. Je trouverais déplaisant pour toi de devoir assister à un spectacle pareil. Jaurais aussi le sentiment insupportable de te trahir. Je me suis donné à toi entièrement et je suis de nature fidèle. Jai des fantasmes tu le sais. Mais je respecte mes engagements. Quoique, nous avons des chambres libres et en me forçant je pourrais changer de menu avec une jeunette, comme tu le suggères.
Tu prendrais plaisir à nous regarder? Je vais recruter et menvoyer en lair comme toi. Six ans de vie commune: il paraît que la vie de couples suit un cycle de sept ans. Donc il serait temps de timiter et de trouver un moyen innocent de menvoyer une fille neuve, éventuellement une vierge timide, à dépuceler aussi amoureusement que tu éduques Julien. Nous serions à égalité et si tu ten allais avec ton petit protégé si doué, je ne resterais pas seul comme un con naïf et déjanté.
Je reprends volontairement les termes utilisés par lamant en début daprès-midi. La coïncidence la trouble légèrement.
-Tu as été le premier à évoquer lutilisation dun homme pour texciter. Insinuerais-tu encore que je te suis infidèle en rendant ce service?
— Oui. Tu mavais promis darrêter si je le demandais. Je constate que nous navons pas la même appréciation sur le degré de connaissances sexuelles de ton protégé. Cest un expert selon moi. Tu ne veux pas ladmettre pour pouvoir continuer à tirer profit de mon autorisation. Fais à ta tête. Refuse de mettre fin à cette tromperie déguisée. Ne tétonne pas de me voir te tromper sous prétexte déducation sexuelle.
-Si je remarque quil en sait plus quil le prétend, je mettrai fin à sa formation Tu es injuste. Si javais su je naurais pas commencé. Mais de quoi aurai-je lair si je cesse?
-Tu as bien peur de lapparence, dailleurs limitée à Julien sauf si tu as annoncé urbi et orbi ta bonne action. A qui as-tu fais savoir ce que tu as entrepris?
Ce mercredi soir, nous dormions quand Julien est rentré. Le jeudi après-midi il na pas pu faire lamour à Gina, jétais à la maison occupé à bricoler. Il a disparu après avoir reçu de Gina des recommandations courte sur lhoraire du lendemain. Le vendredi pour la même raison, il a dû attendre 17 heures pour nous rejoindre. Le tabou de la chambre conjugale vaincu, je me suis installé au pied de mon lit. Ils se sont longuement embrassés, ont procédé à un effeuillage lent. En connaisseur, il a libéré avec précision et dextérité les agrafes du soutien-gorge, Gina a baissé avec tendresse le slip du garçon. Julien a dégagé un peu tremblant le collant porté sans culotte et dégagé le gousset du pli médian de la vulve avec délicatesse et comme sil en avait lhabitude, confirmant à mes yeux dobservateur critique la certitude davoir devant moi un homme entraîné.
Ils ont repris leurs caresses pendant quelques minutes. Et nous voici à laspect nouveau. Sur le drap, allongés, ils passent à la deuxième phase. Dautorité Gina prend le flambeau en main et souffle sur le gland. Sa main gauche fouille les poils du pubis, la droite monte et descend le long de la tige virile, tire vers le bas le prépuce pour découvrir la tête du gland. Elle recouvre celle-ci de salive, la bécote à plusieurs reprises puis y dépose religieusement ses deux lèvres entrouvertes. Julien sursaute, redevenu comédien et pose une main dans la chevelure de ladoratrice, lui imprime un mouvement alternatif au cours duquel la bouche humecte de plus en plus bas le piston. Tout en aspirant le membre, Gina opère une rotation. Sa jambe gauche passe au-dessus du torse et Julien se retrouve yeux, bouche et mains en face du sexe féminin dont il prétend tout ignorer. Instinctivement, il pose une main su chaque hémisphère et des deux pouces ouvre le losange de chair vive de la vulve, fait apparaître les petites lèvres roses. Il fixe attentivement ce monde nouveau, lattire à lui, envoie la pointe de sa langue sur lorifice du vagin et remonte vers le méat pour aller relever le clitoris. Il ny connaît assurément rien, sa bouche se referme sur le tendre bourgeon, le suce et le rend à la langue frétillante. Gina que rien nétonne abandonne sa proie pour lâcher un énorme soupir de bien être. Je ne lai pas entendue parler de 69, mais la pratique dépasse la théorie. Comme monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir, Julien pratique le cunnilingus du premier coup avec laisance de celui qui en a une connaissance innée. Le menton trempé de salive et de cyprine, il fourre son nez dans le creux béant, lape, parcourt les bords, enfonce sa langue agile. Il prend de grandes respirations et plonge en milieux humide pour de longues courses de succion. La longue préparation, sa science des lieux et de leurs réactions ont des effets immédiats. La croupe qui le surplombe se met à fuir en tout sens, se lève, se cabre puis sécrase à la recherche dun contact plus fort. Il limmobilise des deux mains et un pouce malicieusement appliqué sur lanus calme les soubresauts des fesses. Gina est vaincue, se laisse dominer par un premier orgasme obtenu de cet ignorant glorieux. Il est fier davoir fait sa petite démonstration à ce « con » de mari, comme il me désigne.
Gina a du mal à se remettre dune envolée aussi rapide, proteste vigoureusement contre la tentative dintrusion du pouce dans sa pastille. Elle sapplique sur la verge, se lenfonce contre les joues, lenvoie au palais, gobe la totalité du membre, se retire en toussant, crache sur le gland. Sa tête monte et descend à allure folle pendant que les doigts de Julien entreprennent de forer le conduit du vagin. Je nai pas entendu de consignes et pourtant les séquences senchaîne avec un naturel digne dun film X. Ces deux là ont communiqué, mais où et quand. Par téléphone? Se sont-ils rencontrés pendant leurs heures de travail, à loccasion dune pause. Enfin lexperte obtient les saccades de sperme espérées. Elle aussi a fait sa démonstration et ouvre sa bouche pour me montrer la cueillette blanche et gluante qui voudrait glisser vers les lèvres mais quelle aspire pour lavaler. Le premier acte est joué, chacun a marqué des points. Etait-il nécessaire que la maîtresse se nourrisse de léjaculat. Lapprenti devait-il montrer une pareille maîtrise du sujet. Jamais à mes débuts je naurais égalé sa performance.
-Alors, Louis, tu apprécies. Le petit se débrouille assez bien.
-Tu nes pas mal non plus. Voulez-vous arrêter?
-Non, dit Gina, il nous faut un deuxième essai, tu lavais prévu. Julien, essaie de me faire jouir avec tes doigts.
Elle se couche sur le dos, passe ses mains entre ses jambes, saisit par lintérieur larrière de ses genoux pour les relever et les écarter en même temps. A hauteurs des hanches, en perpendiculaire, Julien écrase un sein puis lautre, passe son bras droit par-dessus le genou droit de ma femme, ose la main sur le sexe, lenveloppe, presse et frotte les grandes lèvres et insiste lourdement sur le clitoris à labri. Gina na donné aucune indication nouvelle, elle surveille mes réactions, un peu inquiète de voir loiseau oublier les consignes de maladresse. Avec assurance il plonge lindex et le majeur dans le four préchauffé à la bouche. Il se promène tranquillement, mais au premier bond du ventre, il perd patience, augmente la cadence. Gina geint, rebondit par à-coups répétés. Julien sent quil peut la bousculer. Dans un clapotis, immonde selon moi, il accélère, tourne ses doigts vers le haut, les sort, et cette fois en fait entrer trois et secoue avec rage ce ventre pour lui imposer un orgasme intense qui coupe la respiration de la formatrice. Elle a trouvé son maître.
Elle la fait agenouiller et saccroupit devant un membre moins agressif. Fait-elle exprès de laisser traîner laffaire? Elle a beau prendre lengin à deux mains, flatter les bourses, sucer le nud, il ne se presse pas à envoyer la purée. Vers moi elle tourne son dos. La vulve refermée est congestionnée et rouge, les frottements lont marquée. Ses fesses ne cachent pas lillet sombre encore interdit au petit. Au dessus de la croupe, à la vitesse dune machine à coudre apparaît et disparaît larrière de la tête. Elle sacharne, crache pour lubrifier, serre et agite la base, lèche la raie fessière, revient au gland, multiplie les astuces. Enfin lenfant grogne, annonce quil part et blanchit les paupières fermées et les joues rougies par leffort. Quelques jets seulement si sollicités et si difficiles à obtenir.