Rappel du chapitre précédent :

Ma tante Charlotte a déboulé chez nous à l’improviste, alors que je m’appliquais à initier ma mère à la sodomie en la doigtant. Surpris, nous nous sommes rhabillés prestement, mais maman ne trouvant plus sa culotte, a du enfiler son jean au plus vite avant d’aller ouvrir à sa sur.

Malheureusement, Charlotte a trouvé ladite culotte sous le fauteuil.

« Claire, tu as oublié de remettre ta culotte » a-t-elle dit à sa sur d’un ton amusé.

Maman est mortifiée, rouge de honte, son visage passe par tous les états et c’est la colère qui prédomine quand elle s’enfuit vers sa chambre. Je tente de l’arrêter, mais elle me repousse le bras, en me lançant un regard chargé de reproches.

Par cette rebuffade, j’ai le sentiment qu’elle vient de me mettre une claque. Je reste figé, penaud, en colère contre moi-même d’avoir été trop loin.

Charlotte s’amuse de la situation et par provocation, hume la culotte de maman encore chargée des fragrances de cyprine et autres parfums musqués. Ma coquine de tante arbore un grand sourire amusé tout en posant la culotte sur le bras du fauteuil. Non pour se moquer de moi, mais plutôt dans le but de me rassurer.

Mais je reste prostré et terriblement gêné qu’elle nous ait découverts en quasi flagrant délit.

Elle n’est pas dupe de ce qui s’est passé et je suis terrifié quand elle s’approche de moi. Son sourire, comme son regard, sont chargés de malice. Elle pose sa main sur ma joue d’un geste maternel et bienveillant, puis me prend la main qu’elle porte à ses lèvres. Elle ouvre la bouche se met à sucer le doigt encore souillé, que j’avais introduit dans l’anus de ma mère.

D’un regard coquin, elle suce et lèche avec application pour faire une fellation, très suggestive, de mon majeur. Ma bandaison redouble de vigueur et ma respiration haletante lui indique combien je suis ému par son initiative.

Elle cesse de me sucer, m’adresse un sourire complice et s’en va rejoindre sa sur dans la chambre.

Je reste plusieurs minutes béat, sur un petit nuage, avant de m’inquiéter de ce que les deux femmes font dans la chambre.

Je colle mon oreille contre la porte et peine à entendre ce qu’elles se disent. Leurs murmures sont étouffés. Je perçois mieux quand c’est ma tante qui parle et arrive à saisir des bribes de phrases comme « Calme-toi », « Ne t’en fais pas… », « Allonge-toi, oui comme ça… »

Et puis plus rien pendant de longues minutes, à part quelques gémissements et grincements du lit.

Je sursaute presque quand j’entends maman dire « Non, Charlotte non, ne fais pas ça … », suivi de ses gémissements et de petits cris qui se veulent discrets.

Maman presque en suffoquant dit : « Non, s’il te plaît, Charlotte… une autre fois si tu veux, mais là … Denis est à coté, il pourrait entendre … »

Je crois deviner que ma tante commençait à allumer sérieusement sa sur. J’ai la braguette qui va exploser tant je suis excité de m’imaginer deux femmes faisant l’amour. Et ce ne sont pas n’importe quelles femmes, ce sont celles de mes fantasmes, depuis toujours !

Craignant d’être surpris à écouter aux portes, je retourne rapidement au salon.

Bien m’en prend, car les deux surs me rejoignent peu de temps après. J’ai une gaule terrible, qui n’est pas prête de débander, car je vois que maman a troqué son pantalon pour une robe courte et tellement moulante qu’il est facile de remarquer qu’elle est nue dessous.

Ses seins sont gonflés, ses tétons saillants, ses fesses sont mises en valeur à travers cette robe, qu’elle met pour la première fois à ma connaissance.

Elle se recoiffe sommairement face au miroir de l’entrée, le visage encore rosi par son trouble récent. Charlotte me fait un clin d’il en me désignant le postérieur de ma mère, qui nous tourne le dos, mais maman a remarqué son manège dans le miroir.

Elle se retourne et lance à Charlotte un regard faussement chargé de reproches, car son sourire est plutôt coquin. Je me sens rasséréné de remarquer que maman est de meilleure humeur maintenant.

Charlotte choisit de s’installer dans le canapé et m’invite à m’asseoir près d’elle. Maman s’absente quelques minutes pour préparer l’apéritif et… ma tante en profite !

Charlotte se tourne vers moi, pose une main sur mon épaule et l’autre sur mon genou et me chuchote : « Tu as beaucoup changé Denis ! »

Lentement sa main glisse du genou à l’intérieur de ma cuisse et moi, je la laisse faire, mieux, j’écarte les jambes !

La progression de sa main s’accélère et ses doigts effleurent délicatement mon sexe durci et mes testicules. Elle ne me quitte pas des yeux durant tout le temps qu’elle me caresse, puis me pétrit le sexe à travers mon pantalon.

Je crois que, submergé par l’émotion, je vais juter sous peu. Charlotte s’en aperçoit, cesse de me caresser et reprend une posture plus sage alors que maman arrive les bras chargés.

Je m’empresse de l’aider, en tentant de dissiper mon trouble, mais ma queue tendue déforme trop ma braguette pour passer inaperçue. Maman a remarqué que je bandais comme un cerf, mais ne fait aucun commentaire. Pour tenter de me dédouaner, je lance le disque de son crooner préféré, celui que nous avions vu en concert…

Tout de suite, ma mère et sa sur balancent la tête en rythme en fredonnant la chanson.

Le temps de cet apéro, tous les trois sommes détendus et joyeux. Très souvent Charlotte se tourne vers moi pour me prendre à témoin de ce qu’elle vient de dire. Ce faisant, elle frotte souvent son genou contre le mien ou le laisse en contact suffisamment longtemps pour que le trouble me reprenne.

Ma tante glisse soudainement dans la conversation :

— J’aurais besoin de quelqu’un qui puisse s’occuper de ma pelouse, je pourrais compter sur toi, Denis ?

— Bien… Bien sûr… Si tu veux ! Réponds-je en bégayant

— Ça ne te gêne pas, Claire, si je t’emprunte ton fils demain, pour qu’il s’occupe de mon gazon ?

— Euh, non, il n’a pas cours demain après-midi. Répond maman, un peu gênée

Ce qui me surprend, c’est que le jardinet de tante Charlotte, n’est constitué que de quelques mètres carrés d’herbe, ce qui ne nécessite pas vraiment ma venue chez elle. A-t-elle autre chose en tête ? Je le pense… et maman également, au vu de sa mine renfrognée.

Avant de nous quitter, Charlotte me regarde profondément dans les yeux, pour me demander : « Je peux compter sur toi demain ? À partir de 14h, ça te va ? ».

J’acquiesce, avant de lui faire la bise pour lui dire au revoir et ma tante fait riper ses lèvres pour effleurer la commissure des miennes. Je reçois alors un nouvel électrochoc !

Une fois la porte refermée, maman m’enlace la taille et se réfugie dans mes bras. Je lui fais un long câlin, mais mes idées sont ailleurs, je me sens coupable de ce qui vient de se passer avec ma tante. Je n’ai rien tenté avec elle, mais je n’ai pas réagi quand elle m’a provoqué.

Je me sens lâche de tromper ma mère avec sa propre sur !

Je berce délicatement maman et reviens sur terre pour me consacrer au moment présent et surtout à elle.

Je souffle à son oreille :

— Attends, Claire, je vais nous mettre de la musique.

— Vas-y mon chéri, je t’attends…

Je l’ai appelée par son prénom au lieu de lui dire « maman ». Je me considèrerais donc plus comme son compagnon, que comme son fils ? Maman n’a pas réagi non plus, comme si elle trouvait cela normal.

Bien entendu, je lance le disque en le positionnant sur son morceau préféré et c’est tout sourire qu’elle m’ouvre les bras. Nous dansons si serrés l’un contre l’autre qu’elle sent bien mon érection contre son ventre. Elle pulse son bassin d’avant en arrière au rythme de la chanson mais en mimant un coït.

Je m’embrase complètement qu’elle fasse ces mouvements suggestifs et lui appuie sur les fesses pour la serrer encore plus fort.

Je me penche sur son visage et nos bouches se lient en un baiser qui me fait tout oublier.

Maman glisse les mains entre nous et entreprend d’ouvrir ma braguette pour y glisser ses doigts, puis comme elle est trop gênée pour me pétrir efficacement, elle me desserre la ceinture. Nous restons liés par la bouche alors que je l’aide à déboutonner mon pantalon, qui finit par tomber au sol.

Ma mère fait alors quelque chose d’inattendu ! Subitement, elle s’agenouille et, après une seconde d’hésitation, ouvre la bouche pour me gober le sexe. Si je suis surpris par son initiative, rapidement je réalise que c’est la première fois qu’elle suce une bite. Elle est malhabile au possible, mais je suis survolté d’excitation en réalisant que, ma mère s’est agenouillée pour me faire une pipe !

Je lui tiens la tête et me mets à limer sa bouche, mais en poussant un peu trop, je manque de l’étouffer. Elle a un tel haut-le-cur, que je cesse mes mouvements et libère sa tête.

Elle m’attrape par les fesses et s’applique à aller et venir de plus en plus profondément dans sa bouche.

Je la laisse gérer la fellation et mon plaisir monte à vitesse grand V. Malgré mon avertissement, elle continue à me téter avec avidité et se trouve surprise quand mon premier jet de semence inonde sa bouche. Elle se recule par réflexe et les jets suivants, que je ne contrôle plus, giclent sur son visage et sur sa robe.

Maman recrache une grosse partie de mon jus mais en déglutit un peu en grimaçant.

Ouah ! C’est la plus mauvaise pipe que l’on m’ait faite, mais c’est celle que j’ai le plus aimée !

Maman se relève et arbore un sourire satisfait, je passe les doigts sur son visage, pour essuyer au mieux le sperme qui la souille. Puis, tous deux, allons à la salle de bain pour nous rincer. Moi les mains et la bite, elle… préfère prendre une douche.

J’apprécie qu’elle le fasse sans la moindre gêne, malgré ma présence.

Je ne peux m’empêcher de lui caresser le corps en prétextant vouloir la savonner.

Au sortir de la douche, je l’enveloppe dans une grande serviette pour la sécher et l’enlace tendrement.

Lors du câlin qui s’en suit, je lui dis :

— J’aimerais que tu restes nue ce soir

— Oh non ! Ça me gênerait !

— En culotte alors…

— Et soutien-gorge !

— Sans soutien-gorge !

— D’accord, sans soutien-gorge, mais toi, je veux que tu portes ton short en jean.

— Mais… il me serre, il est trop petit !

— Justement, tu seras bien moulé ! Et tu ne mets pas de slip !

Et bien dis donc ! Ma mère se révèle coquine à vouloir mater son fils portant un short trop serré.

Je m’exécute et quand je retrouve maman dans la cuisine, je constate qu’elle aussi a fait ce que je lui avais demandé. Elle ne porte qu’une culotte, mais a choisi la plus sexy. J’admire sa croupe et surtout le galbe de ses fesses séparées par la dentelle de son string.

A mon approche, elle se tourne vers moi, mais masque ses seins en croisant les bras. Elle mate avec ravissement mon short gonflé et je la sens frétiller

Je m’avance un peu plus, lui saisis les poignets et les plaque dans son dos afin qu’elle découvre son buste.

Elle émet un petit gémissement mais pas de douleur, car bien que je l’aie saisie autoritairement, je ne lui ai pas fait mal. Non… sa plainte reflète plutôt un désir de soumission.

Je me prends au jeu auquel elle m’invite tacitement et lui administre une petite claque sur les fesses. Elle se dégage brusquement, se retourne, pose les coudes sur le meuble et me tend son derrière, jambes bien tendues.

Elle attend la suite et moi… je me trouve embarrassé pour frapper le cul de ma mère.

Après la première claque, elle me dit « plus fort ! »

Aux claques suivantes, elle me demande « encore plus fort !»

J’alterne des douces caresses avec de violents coups du plat de la main et maman ne se plaint absolument pas, au contraire. Elle se pince les seins, se glisse un doigt dans la culotte, alors que je lui bats chaque fesse alternativement. Son excitation est contagieuse et je trouve du plaisir à lui faire rougir le cul.

L’odeur de sa mouille se diffuse dans la cuisine et… je me mets à bander de nouveau !

J’écarte son string et quand j’introduis mon majeur dans son anus, il rentre sans difficulté car elle l’a parfaitement lubrifié. Ainsi, maman avait pour projet de m’offrir son cul !

Elle tourne la tête vers moi, pour me dire : « Vas-y mon chéri, encule-moi ! »

Elle, qui est toujours polie et distinguée, se lâche complètement. Peu m’importe en ce moment la façon dont elle s’exprime, car il me faut la satisfaire.

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