A 38 ans, j’étais fiancé avec Anne, une fille superbe, blonde, yeux verts, 1,73, 58 K, une poitrine 85B mais très ferme et haut-perchée, elle ne porte d’ailleurs jamais de soutien-gorge, un cul divin, et en plus très intelligente.
J’étais cadre dans une grosse boite et elle travaillait pour une agence de pub.
Un après-midi, elle me téléphone, toute excitée :
_ Chéri, je t’avais parlé de cette nouvelle campagne de pub, tu te souviens ?
_ Oui, bien sûr, et ?
_ Et c’est mon projet qui a été retenu, le patron est super content et je vais avoir une grosse prime et devenir responsable pour tous les nouveaux projets, tu te rends compte !?
_ Oui c’est formidable !
_ Ecoute, j’ai décidé de fêter ça, et je paie un pot ce soir avec les copines dans la salle de fitness que le patron a aménagée au sous-sol, viens me chercher vers 20h, c’est plus prudent si je suis pompette !
_ Ok, pas de problèmes, à tout à l’heure
Je recevais souvent des coups de fils de clients ou de fournisseurs de l’étranger et ce fut le cas ce soir-là, malheureusement, j’arrivais donc en retard
Il n’y a plus que quelques voitures au parking dont celle de mon amie, mais la porte est ouverte.
Je descends rapidement à la salle, mais bizarrement tout est éteint
En m’approchant, j’entends des bruits sourds et des cris qui semblent venir d’une porte, au fond de la salle
Je me dirige vers la porte et l’ouvre, et là, je tombe sur une scène qui me terrifie …
Anne, ma tendre amie, est là devant moi, hurlant de douleur, en pleurs, échevelée, ses vêtements déchirés, dépoitraillée, une fille qui lui tire les cheveux, une autre qui lui maintient les bras derrière le dos, la troisième qui lui pince les tétons, et une dernière qui lui bourre le ventre de coups de poings !
_ mais que ? vous êtes folles ! lâchez-là, bande de salopes !!
Je me dirige vers les filles pour aider mon amie et à ce moment, je reçois un grand coup sur la tête qui m’étourdit
…
…
Je me réveille doucement, j’ai mal à la tête, j’entends des bruits bizarres et des cris étouffés, je sens mes poignets attachés, j’ouvre les yeux
Je suis couché, menotté à un radiateur
Anne est devant moi, pendue, la tête en bas avec deux cordes qui lui écartent les jambes et qui sont nouées à des anneaux au plafond.
Elle est nue, des pinces, avec des boules de fonte suspendues, lui massacrent les tétons, ses seins pendent vers le sol.
Une des filles lui a collé son minou sur la bouche, l’obligeant à le lécher, c’était donc ça, les cris étouffés !
2 autres lui fouettent les fesses avec des ceintures, elle a déjà le cul écarlate, la quatrième fait coulisser un gode énorme dans son vagin, et une 5ème, sans doute celle qui m’a assommée, regarde en rigolant et en buvant du champagne à la bouteille.
Comme la fille qui se faisait brouter le minou se retire, le regard désespéré d’Anne croise le mien, elle pleure, elle semble avoir très mal.
Comme je bouge un peu, la fille qui boit s’aperçoit que je suis réveillé et vient vers moi
_ Ta salope a sûrement couché avec le patron pour que son projet soit retenu, mais on va lui faire payer !!
Anne me regarde à nouveau et secoue la tête en criant :
_ ne les écoute pas, elles sont folles, elles sont jalouses, c’est tout
schlaf ! la fille vient de la gifler violemment
_ on va te faire taire, poufiasse !
Et joignant le geste à la parole, elle lui enfonce une boule de cuir dans la bouche et l’attache derrière la tête, ne lui permettant plus que des mmmmpppfff !!
A ce moment-là, je réalise que la pièce dans laquelle nous nous trouvons est un peu bizarre … toutes sortes de fouets, de martinets, de godes, de pinces et tous les instruments classiques du SM sont accrochés au mur.
Dans un coin, une cage où on ne doit pouvoir se tenir qu’à 4 pattes, une croix de St André sur un mur, des anneaux partout, aux murs, au sol, au plafond, 2 strings
_ Eh oui, mon mignon, c’est ici que le boss assouvit ses fantasmes, mais cette fois-ci, c’est nous qui en profitons et ta copine qui va déguster !!
_ NON ! je vous en prie, ne lui faites plus mal, laissez-la tranquille, laissez-nous partir !
_ Pas question, on veut s’amuser !
Je ne sais pas ce qui me prend, mais je crie :
_ Laissez-là, arrêtez de lui faire mal, prenez-moi à sa place si vous voulez !
Je vois Anne qui essaie de crier non, et qui me regarde désespérément en secouant violemment la tête
Celle qui semble être la meneuse me regarde d’un oeil curieux, puis sourit sadiquement et dit :
_ Eh, les filles, on a un mec à dispo, qu’en pensez-vous ?
_ oh oui oh oui, occupons-nous de lui !
Joignant le geste à la parole, les 5 filles arrêtent de s’occuper d’Anne et s’approchent de moi
Elles m’immobilisent, pendant que la chef, armée d’une paire de ciseaux, coupe mes vêtements
Je me retrouve rapidement à poil, et je suis honteux de mon excitation … car je bande comme un âne !
_ eh ben dis donc, ça lui fait de l’effet, à ton copain, dit-elle en se retournant vers Anne.
On m’attache un collier avec une barre qui passe dans un anneau autour du cou, puis les poignets aux anneaux terminant la barre de chaque côté.
2 anneaux autour des chevilles, avec une courte chaîne les reliant, on me fait lever et avancer à petits pas vers le milieu de la pièce, où Anne est toujours suspendue, la tête en bas
On lui enlève le ball-gag, elle hurle
_ NON, laissez-le tranquille, bande de garces !
_ ta gueule, salope, et suce-le !
Et on me pousse, la queue toujours tendue, vers la bouche d’Anne, qui refuse de l’ouvrir
_ Aïïïeee … mpppfff !!! la chef vient de lui tordre les tétons, pendant qu’une autre appuyait sur son crâne par derrière !
Ma queue se retrouve au fond de sa gorge, sa tête est toujours maintenue, on me fouette le cul, ce qui me fait faire un mouvement de va-et-vient dans sa bouche
_ Allez, suce, suce-le bien, fais-lui cracher sa purée !
Anne n’aime pas ça, je le sais, elle m’a rarement fait une pipe, et de toutes façons sans jamais avaler mon sperme, mais la situation m’excite d’autant plus, et je ne tiens pas longtemps
Ma bite se gonfle, Anne le sent et essaie de se retirer, mais un autre coup sur mes fesses propulse ma queue au fond de sa gorge au moment où je jouis …
La jouissance est longue, Anne s’étouffe, mais finit par avaler ma semence.
Finalement on m’autorise à me retirer, en lui envoyant encore une giclée sur les seins, le jus coule dans son nez, puis sur sa bouche et ses yeux.
_ Là, c’est bien ! tu aimes ça, hein, sale pute !? en tout cas, lui, il a aimé !!
Anne ouvre les yeux, pleins de larmes et de sperme, honteuse, je la regarde d’un oeil triste en essayant de lui faire comprendre que je suis désolé
Je me retourne vers les filles et leur dit :
_Bon, vous avez eu ce que vous voulez, libérez-nous, maintenant, je vous promets qu’on ne dira rien
…
…
_ Vous laisser !? Ah ah, mais tu rigoles, pauvre pomme, on commence juste à s’amuser !!
… à suivre