LES AVENTURES SEXUELLES DÉBRIDÉES DE PATRICK.
Murielle y passe. 4
Murielle découvre d’autres plaisirs.
-Je fais ce que je peux, mais ne crois pas que j’en ai terminé avec toi, le « grand vantard » a encore des choses à te prouver !
Et je l’embroche d’un violent coup de reins faisant jaillir sous pression le sperme prisonnier de sa moule, m’immobilisant au plus profond de sa chatte avant de la ramoner à nouveau comme un forcené, communiant ensemble aux dieux de l’amour et du vice.
Suite
Après un petit interlude pour reprendre des forces ou nous avons pas mal parlé, j’enlace Murielle dans mes bras, sa tête reposant délicatement sur mon torse.
— Tu sais, Xavier est un brave type trop pris par son travail pour se rendre compte de ce qu’il perd. Mais ce n’est pas l’abruti que m’a dépeint ton père !
Je suis de nouveau d’attaque pour un nouveau round quand je vois la porte s’ouvrir et Émilie et sa mère débouler dans la chambre. Émilie s’avance pour être dans le champ de vision de sa sur Murielle et rigole en nous voyant enlacés:
— Eh bien ! On dirait le repos du guerrier retrouvant sa promise !
Sa sur essaye de cacher sa nudité d’un drap en essayant d’expliquer l’inexplicable:
— Oh, Émilie! Ce n’est pas ce que tu crois ! Patrick c’est retrouvé coincé dans le hammam et je l’ai aidé à Et…Et Après J’ai perdu le contrôle ! Il est Oh Émilie, tu ne me pardonneras jamais!
Émilie vient s’étendre à côté de la fautive prise sur le fait et lui caresse avec douceur les cheveux pendant que son autre main va illico agripper ma verge pour en ranimer la vigueur.
Ensuite, sa tête descend le long du corps de sa sur pour renifler sa chatte.
— Et tu crois que je vais accepter tes excuses ? Lui lâche-t-elle. Je vois bien l’état de ta chatte encore imbibée de son sperme !
Elle abandonne ma queue pour écarter des deux mains les lèvres gonflées et rougies de la vulve de Murielle.
-Putain la dose ! Quest-ce quil t’a mis ! Tu es encore pleine de son suc, viens voir maman!!!
— MAMAN! Au non quelle horreur !
Murielle tourne la tête et découvre sa mère adossée au chambranle de la porte, un sourire aux lèvres.
Si elle le pouvait, elle disparaîtrait dans un trou de souris
Émilie en rajoute en plongeant le majeur et l’index dans la chatte béante de sa sur:
— Approche-toi maman, viens voir comme il l’a remplie, j’ai les doigts qui plongent dans un lac de sperme!
Puis elle me regarde en me demandant :
Alors mon amour, combien de fois tu as dégorgé ton poireau dans sa moule?
— Une seule.
– Une seule ? Il va falloir que tu t’actives pour remédier à ça. Je veux qu’elle connaisse encore ce divin moment d’extase. Maman ! On va les laisser car Murielle n’a pas eu le temps de découvrir suffisamment qui est Patrick, on est rentrées trop tôt !
Puis s’adressant à sa sur :
-Je te le prête encore, profites-en à fond, enfin à fond Façon de parler car avec Patrick il ne faut pas trop en abuser, mais il a dû te faire découvrir ce bonheur ! Mais je vois qu’il s’impatiente. Mon amour, fais-la jouir jusqu’à ce qu’elle t’implore d’arrêter et que ton foutre déborde de tous ses trous ! Et toi ma chère, j’espère que tu apprécies à sa juste valeur le cadeau que je te fais ! Je vous aime !!!
Cet intermède et la main experte d’Émilie m’ont fait retrouver la forme et je me colle derrière Murielle pour que ma bite retrouve comme un poisson-pilote le chemin du conduit parfaitement graissé et alésé de Murielle qui gémit de plaisir.
Émilie embrasse sa sur avant de me rouler une pelle et elle ferme la porte en murmurant à sa mère en quittant la pièce.
-Je crois que l’on est de trop.
Murielle les regarde disparaître, complètement hébétée des derniers rebondissements avant de retrouver enfin l’usage de la parole.
-Mais Que sest-il passé ? Qu’a-t-elle voulu dire ? Pourquoi elle n’est pas folle de colère et de jalousie ?
-Que je peux te baiser autant de fois que je le veux et qu’elle te donne son absolution !
— Alors, baise-moi encore! Maisoooooohhhhhhh que t’es gros ! Je n’y comprends plus ri… Oooooooh doucement ! Rien. Comment peut-elle être contente que…Oh ooouiiiiiiiiii ! Que tu la trompes avec moi. Aaarrrggghhh ! Mon futur beau-frère est un Dieu de la baise avec une bite incroyable et ma sur me le prête ? ! Alors baise-moi Patrick, baise-moi encore et encore, fais-moi jouir jusqu’à ce que je n’en puisse plus!
Je n’ai pas voulu la démentir et j’ai remis le couvert encore et encore! Je ne peux dire combien de fois mes coups de bite l’on fait hurler de plaisir, mais ses orgasmes étaient de plus en plus rapprochés, elle n’était plus qu’une machine à jouir.
Trois fois ma semence a nourri de nouveau cette terre fertile, mais quand je veux m’en retirer, elle ne me laisse pas faire, me retenant de ses jambes, ses pieds croisés sur mes fesses.
— Non! Tu as promis « jusqu’à ce que je n’en puisse plus ».
Puisqu’elle en redemande Elle me laisse m’écarter attendant que je la pourfende à nouveau, mais quand elle me colle contre elle à la force de ses cuisses, au moment fatidique, je dirige mon engin légèrement plus bas défonçant son trou de cul retroussé quand elle m’attire à elle.
— Mon Dieu qu’as-tu fait ! Pas par-là ! Oh noooonnn!
Mais je profite qu’elle m’a ouvert la voie dans cette vallée si étroite et sonde son trou du cul au plus profond que je peux.
— Oooohhhh, Patrick! Quelle impression bizarre! Putain je ne savais pas l’effet que ça faisait par-là! Bordel ! Vas-y doucement, tu vas me déchirer ! Comment un si gros machin a pu rentrer dans un si petit trou ?
-Que c’est bon, Patrick! Oooohhhh ! Je n’aurai jamais cru Ouiiiii! Que ça soit si bon par-là ! Tu es un gros vicieux Patrick! Je suis sûre que tu adores enculer les filles! T’es un vrai dépravé, mais je veux ta bite partout où elle peut rentrer ! Mon corps t’appartient. Fais-moi jouir par tous les trous, mon petit poney !
Je lui obéis et donne des coups de boutoir dans son postérieur qui n’est plus vierge. Ma bite à la dureté d’une barre de fer lui défonce le fion à grands coups de reins. Mes couilles tapent sur sa croupe en cadence.
À ses réactions, je remarque que son prochain orgasme est proche. Je redouble ma chevauchée pour la mener au Nirvana.
-Oh Patrick ! Mais comment ? Ah, je viens ! Oui, je vais encore partir ! Ouiiiii! Oh doux Jésus ! Je mouille !!!
Soudain son corps se crispe, ses muscles se tétanisent et son sphincter essaie d’expulser ma queue en se contractant au maximum. Quelle sensation !
Sous l’énorme pression exercée sur ma verge, je me vide au plus profond de son cul, noyant ses entrailles de mon sperme, la faisant de nouveau hurler:
— AAAHHH ! Putain tu me graisses le cul! Mon Dieu, je n’aurais jamais cru que ce soit si bon ! Ouiiiiii!
Elle reprend l’initiative et projette son fessier au-devant de ma queue en un rythme fou pour enfin arriver à un ultime orgasme.
Après ce nouveau round, nous sommes passés à un rythme plus calme, plus langoureux pendant encore une demi-heure avant qu’elle ne jette l’éponge.
-Je suis exténuée, je ne suis pas habituée à de telles débauches d’énergie !
Ça n’a pas empêché Murielle d’avoir encore deux orgasmes avant que l’on descende rejoindre les autres.
Nous nous retrouvons donc devant un solide déjeuner. Murielle regarde sa sur et lui demande, effrayée :
— Émilie, peux-tu me pardonner d’avoir abusé de ton étalon ? Euh, je veux dire de ton fiancé. Tu n’es pas trop fâchée ?
Elle est surprise par la réponse de sa sur.
– Ne t’inquiète pas, c’est moi qui l’ai voulu. Mon étalon, comme tu dis, est un sacré bon coup, non ? Et tu as dû te rendre compte qu’une seule fille ne suffirait pas à combler ses besoins.
Murielle est quand même perplexe de la réponse, mais sa réaction est encore pire quand Émilie rajoute :
– C’est pourquoi je n’ai aucun remords à le partager avec vous deux, hein, maman ?
– MAMAN?
Émilie enfonce le clou.
— Ne me dis pas que tu n’avais pas remarqué le changement chez maman ! Elle est passée avant toi et a elle aussi profité des qualités assez spéciales de Patrick. Et un bon déjeuner se termine par un dessert! Viens donc m’aider !
Elle me fait me déplacer avec ma chaise pour pouvoir s’accroupir entre mes cuisses. J’ai déjà bien donné, mais la queue flasque reprend des couleurs dans sa bouche qui la ramène lentement à la vie.
Je m’étonne d’arriver encore à bander. Murielle vient la relayer et fait un remarquable travail de succion sur ma queue de nouveau en pleine forme.
Christine les regarde et dit dans un grand éclat de rire :
— Beurk! Je connais quelqu’un qui disait il n’y a pas si longtemps que la fellation était une pratique dégueulasse !
La suite au prochain épisode.