Un amour de fille (2)

Résumé :

Je me présente, je m’appelle Anne et j’ai 45 ans. Je suis divorcée depuis 3 ans de mon mari et je vis avec ma fille Sophie de 17 ans. Je vous est expliqué au premier chapitre ma relation avec David le nouvel homme qui partage ma vie. Cette relation m’a transformée…

Chapitre 2

Ma relation avec David continuait à suivre son rythme et nos ébats provoquaient une osmose entre nous. Nos petits jeux coquins continuait et le tabou concernant ma fille était brisé mais toujours présent en moi. David le sentait mais savait jouer de mon désir caché, il savait m’emmener dans mes retranchements et me faire perdre l’esprit.

Ces petits jeux sont toujours psychologique et il aime les mise en scènes bien faite, il aime tout simplement nous sublimer. Au fil du temps j’assumais ces jeux et je me surpris même à en prendre une fois l’initiative lui demandant de l’aide pour mes devoirs… David en voulait plus cependant, c’est un homme droit et exigeant et il me fit comprendre que je devais bien plus m’occuper de ma fille, de son éducation et de sa sexualité.

Il me proposa dans un premier temps de séduite à ma fille de me rapprocher encore plus d’elle pour qu’elle me ressemble pleinement. Cette idée me faisait horriblement peur, même si je suis proche de ma fille je n’ai jamais abordé un tel sujet avec elle et encore moins le fait d’avoir le même homme. Je ne savais donc pas comment m’y employer mais David m’expliqua que je devais être patiente et prendre le temps d’avoir sa totale confiance. Il me proposa alors que je lui apprenne à marcher avec des escarpins. Je trouvais en effet son idée subtile et une bonne entrée en matière. En même temps cette idée est naturelle chez lui, il adore que je mette des escarpins et cela est loin de me déplaire. Sophie avait déjà mis de petits talons mais jamais de chaussures à talons hauts. Il se proposa de nous en acheter une paire chacune pour que j’ai le prétexte de lui montrer comment marcher. J’approuvais cette idée et cela me permettait d’y aller très progressivement avec Sophie mais David releva le défi en me disant que la finalité de lentraînement serais que ma fille n’est que ses escarpins pour marcher. Il me demandait de la préparer pour qu’elle devienne une jeune femme très sexy, droite qui s’assume. Nos câlins pendant la discussion ne me permettait pas de me concentrer pleinement et j’acceptais ce défi non sans appréhension.

David acheta les escarpins comme prévu, deux jolies paires identique d’escarpins noirs en dain avec de joli talon de 7-8 cm environ. David n’étant pas la ce week-end et vu le temps pluvieux prévu je me dis que le week-end serait une bonne occasion pour apprendre à ma fille.

Je lui ai montré le cadeau dès vendredi soir en lui expliquant qu’il était important pour une femme de savoir marcher en talon. Sophie était très enthousiaste à l’idée d’apprendre, elle ne résista pas à l’idée de les essayer tout de suite mais fut rapidement consciente de sa maladresse. Je lui promis de commencer la leçon demain, je ne me sentais pas d’attaque ce soir.

Le lendemain, en début d’après midi je propose donc à Sophie de commencer à apprendre. Elle me rejoint alors dans le salon dans un de ses jogging de la maison. Je la regarde alors et lui explique que cela ne sera pas possible ainsi. En effet, des escarpins ne peuvent se mettre avec une telle tenue et qu’elle devait aller se changer pour mettre une jolie jupe et chemisier. Ma demande fut acceptée et Sophie compris qu’elle devait se prendre au jeu. Elle me répondit qu’elle allait se préparer comme si elle devait aller à une soirée pour ne pas me décevoir. Je m’étais moi même habillé sexy pour lui montrer l’exemple et afin j’espère de susciter un désir en elle.

Elle revint ensuite, se présentant devant moi toute fière. Elle portait une petite jupe plissée grise mi cuisse, accompagnée de bas, un chemisier à dentelle blanc qui la serrait un peu et mettait en avant sa jolie poitrine ferme. Elle avait pris soin de mettre son collier que je lui ai offert à son anniversaire, un petit collier de perle ras du coup des plus beau. Une petite pointe de rouge à lèvres mettait son visage en valeur.

— Très bien Sophie, je vois que tu as tenu compte de ma remarque. Tu es magnifique dans cette tenue et celle-ci est parfaitement en adéquation avec la situation.

Sophie tourna sur elle-même.

— Merci maman, souriante, toi aussi tu t’es préparée dis t’elle, tu as besoin d’être en condition pour m’apprendre ?

— Oui Sophie, cela va de soit. Comment t’expliquer à bien les utiliser si je ne te donne pas l’exemple.

— C’est vrai tu as raison maman, cela est bien plus pratique.

Je lui tendis alors sa paire d’escarpin .

— Tiens Sophie, regarde déjà pour commencer.

Je me mis à faire deux aller retour dans le salon, lui montrant la sensualité de la démarche

— Tu vois Sophie, tu dois arriver à ce résultat. Pour cela la première chose à gérer c’est ton équilibre. Tu dois le trouver avec tes muscles. Tes cuisses et mollets doivent travailler pour garder une démarche classieuse et sexy.

Sophie me regardait l’air épaté.

— Heu oui maman mais je vais déjà essayer de pas me tordre la cheville, lol

— Oui, cherche d’abord ton équilibre. Allez enfile tes chaussures et essaye, viens jusqu’à moi déjà.

Sophie enfila délicatement ces chaussures et se leva. Sa posture était hasardeuse mais mettait en avant sa poitrine prisonnière de son chemisier.Elle avança doucement jusqu’à moi, le pas peu sur.

— Bien c’est un bon début mais tu dois être un peu plus en arrière et tu verras que tu sera plus à l’aise. Allez réessaye.

— Oui d’accord je vais essayer me répondit ’elle.

Elle s’éloigna alors pour continuer tandis que la vision de ses fesses remuantes me faisait penser que nu, ce spectacle serait splendide. Je ne savais pas comment lui proposer quand elle manqua de peu de se tordre la cheville.

— Sophie ça va ?

— Oui oui c’est rien maman tinquiète pas

— Bon très bien mais tu dois mieux utiliser tes muscles. En fait je crois que tu avais raison Sophie.

— Comment ça raison maman ?

— La tenue qui accompagne les escarpins n’est pas dés plus simple pour apprendre. De plus je ne peux pas voir les contractions de tes muscles. Cela serait quand même plus simple sans toute cette tenue.

— Tu veux que je lève mes bas maman ?

— Oui mais pas que, je peux comprendre si tu ne veux pas mais il serait plus simple de lever l’ensemble, le mouvement des hanches est essentiel.

— Heu maman je sais pas, tu crois que c’est indispensable ?

— Oui bien sur, cela facilitera l’apprentissage puis bon il vaut mieux que tu apprennes avec ta mère qu’avec une inconnue non ?

— Lol oui c’est sur que vu comme ça.

Sophie alla se rasseoir sur le canapé. Elle leva les chaussures puis ses bas qu’elle fit glisser le long de ses jambes magnifiques. Elle fit descendre sa jupe délicatement et la plia pour la poser sur la table basse.

Je la regardais faire avec attention, je n’en croyais pas mes yeux.

Elle déboutonna son chemisier. Ses jolies seins fermes était alors visible et suscitait un frisson en moi. Non pas que je ne les connaisse pas mais disons que je ne les avais jamais vu sous cet angle, l’angle du désir.

Elle se retrouvait là assise devant moi avec un simple string noir, j’étais comme paralysée,

— C’est bon maman là je peux réessayer ?

Je mis quelques secondes à répondre le regard bloquer sur elle.

— Heu oui oui Sophie, vas y, masseyant sur la table basse, le regard à hauteur de ses hanches.

Sophie se mit à marcher devant moi, son déhanché était maladroit mais terriblement plaisant, cependant elle ne se tenait pas assez droite.

— Attends Sophie tu dois être plus droite dis je.

— Oui mais ce n’est pas facile maman.

— Je vais t’aider, dis je me levant

Je m’approche lentement d’elle ne la quittant pas des yeux

— Rentre un peu plus tes fesses et fait sortir ta poitrine

— Mais ce n’est pas facile maman surtout pour marcher.

— Allez un petit effort, tu vas voir.

Surpassant mes limites, je viens contre elle et une main vint sur ses fesses et l’autre sur sa poitrine, l’aidant à tenir droite. Je ne sais pas comment j’ai pu oser faire cela mais mon corps en frissonnait et je sentais à travers mes mains le sien également vibrer.

— Là tu as la posture parfaite Sophie, essaye de te tenir comme ça en marchant.

— Oui, je vais essayer dit’elle

Je sentais sa voie un peu tremblante, elle était sûrement très troublée. Elle fit un aller retour puis revient vers moi.

— Alors ?

— Ce n’est pas encore trop ça mais je sens que tu y mets du tiens.

— Oui maman j’essaye.

Bon je vais essayer de te guider pour un nouvel essai afin que tu ressentes la démarche.

Je me dressais sur son coté droit et mes mains revenait sur elle. Je les sentais moite, comme chargée d’émotion et les frissons menvahissaient à nouveau au contact de sa peau. Je la sentis légèrement sursauter quand je l’ai remise bien droite.

— Allez avance, vas-y, dis je

— Oui d’accord j’y vais.

Sophie avance alors doucement. Je la suivais et mefforçai de corriger sa démarche. J’avais du mal à rester lucide sentant son corps se frotter sur mes mains. Ses fesses douces se contractaient sous ma main et je sentais ses seins dur, le téton durcit sous ma main ne demandant qu’à pointer. Au bout du salon je croisais son regard, si tendre et désirable. Je me sentais bête telle une petite fille ne sachant que faire.

— On fait le retour maman, je crois comprendre la démarche.

Cette phrase ne fit qu’un tour dans mon cerveau, je n’en croyais pas mes oreilles.

— Oui c’est mieux Sophie, nous pouvons faire le retour.

Je ne pouvais que profiter encore plus de ces quelques moments et j’avais beaucoup de mal à contrôler mes mains, je ne pouvais afficher comme ça mon envie de la caresser. J’en profitais doucement et ne boudait pas le plaisir qui m’était offert.

Arriver au point de départ Sophie sarrêta. Tandis que je mapprêtais à la complimenter…

— Oh zut maman je n’avais pas vu l’heure, j’ai rendez-vous avec Karine pour aller au cinéma, il faut que je file

Jeus à peine le temps de dire oui qu’elle fila dans sa chambre s’habiller. Elle en ressortit deux minutes après dans une tenue de tous les jours. Elle vient vers moi me fit le bisous habituel sur la joue et me dit

— Merci maman, à ce soir, je rentrerais vers 21 h et encore merci pour les cours.

— Amuse toi bien mon cur, profite en et à tout à l’heure

Dès qu’elle eu fermé la porte, je me sentais bouleversé. Mais que pense t’elle ? Se doute t’elle de quelque chose ? As t’elle le même désir que moi?

A suivre si cela vous plaît.

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