Jour 4 – Suite

Le soir venu, lorsque nous regagnons nos cabines. Une boule de trac se ballade dans mon ventre. J’ai l’impression d’être un gamin qui va avoir sa première relation sexuelle.

Meggh est allongée sur le lit. Nue. Belle comme un ange. Je prend place à côté d’elle. Ma bouche vient se poser sur la sienne. Mes mains caressant ses hanches, remontent vers sa poitrine ferme et généreuse.

Lorsque je détache mes lèvres des siennes, je lui demande si ça va.

"J’ai un peu peur…" me dit-elle.

"Si tu veux, on peut attendre. Rien ne presse, ma puce."

"Non je veux le faire ce soir, avec toi."

De nouveau nous nous embrassons.

"Tout va bien se passer mon amour."

Je ne sais pas si c’est le fait de l’appeler "mon amour", mais le visage de Meggh semble subitement s’illuminer. Ses yeux brillent. Un sourire immense la rend encore plus belle.

"Tu as déjà fait des choses avec des garçons?"

Meggh hésite un instant avant de me répondre puis me dit:

"Avec mon dernier copain, j’ai fait quelques trucs… Et j’ai fait un peu plus de choses avec des filles."

"Ah bon? Tu aimes aussi les filles?"

"Disons que j’ai eu des occasions de m’amuser avec des copines. C’était juste pour s’amuser…"

Immédiatement j’imagine ma douce nièce enlacée dans les bras d’une fille. Ses seins frôlant d’autres seins… Sa bouche embrassant la vulve d’une de ses amies… Il n’en faut pas plus pour que mon sexe s’éveille.

"Hummm je vois ça."

"Et moi je vois que cette idée te plaît beaucoup." se moque-t-elle en désignant mon érection naissante.

"Oui j’adore cette idée."

J’étouffe le petit rire taquin de ma princesse par un baiser langoureux.

"Et avec ce garçon, tu as fait quoi au juste? Enfin si tu veux bien m’en parler."

"Je ne veux rien cacher à celui qui m’appelle mon amour. Tu veux que je te raconte tout?"

"Oui. Enfin ce dont tu as envie."

"Ok. Mais je te préviens à l’avance ce n’est ni très poussé, ni très joyeux!

Début janvier, j’ai rencontré un garçon. En fait c’est le frère d’une fille de ma classe. Plutôt beau gosse. On s’est bien entendu. On se voyait souvent en potes. Puis une chose en entraînant une autre, nous avons fini par sortir ensemble. Je n’étais pas vraiment amoureuse, mais j’aimais être avec lui, tout en sachant que cette histoire ne durerait pas."

Meggh marque un instant de silence. Une de ses mains caressant mon torse.

"Au bout de quelques semaines, il est devenu plus entreprenant. Les bisous ne lui suffisaient plus. Il voulait que l’on couche ensemble. Moi, je ne savais pas trop. Certes il était mignon, mais je n’imaginais pas perdre ma virginité avec lui. J’espérais plutôt quelqu’un dont je serais totalement dingue. Chaque fois que l’on se voyait il tentait de me convaincre."

Nouvel instant de silence.

"Et puis un jour que nous étions chez lui, en train de nous embrasser, il a défait son pantalon et a sorti son engin. Il bandait. Là, il m’a dit « regarde dans quel état tu me mets! Tu peux plus me laisser comme ça. S’il te plait suce moi ou branle moi au moins»… J’ai accepté de le branler. Même si cette façon de me le demander ne me plaisait pas."

La main qui se trouvait sur mon torse quelques instants auparavant, descend sur mon ventre, avant d’effleurer, comme à son habitude, mon sexe à demi gonflé.

"À partir de ce jour là, chaque fois que nous nous retrouvions tous les deux, il fallait que je lui tripote la queue. Si je refusais, il devenait désagréable. Tant qu’il ne me demandait que ça, je ne disais rien. Parfois, moi, je lui laissais mettre mes seins à l’air, ou glisser sa main dans ma culotte. C’était juste pour lui faire plaisir car moi ça ne m’excitait pas vraiment. Il était brusque, maladroit, sans aucune douceur… Évidemment, il cherchait régulièrement à aller plus loin. Et chaque fois je lui disais que je ne me sentais pas prête. Je n’osais pas lui dire que je savais très bien que je ne serai jamais prête avec lui.

À vrai dire, je pensais de plus en plus à mettre fin à notre histoire car je voyais bien qu’une seule chose l’intéressait vraiment. Parfois je le retrouvais, avec dans l’idée de rompre. Mais c’était comme s’il le savait. Et il devenait plus doux, plus tendre. Alors je lui laissais encore une chance.

Ça a duré ainsi jusqu’en Mai."

Ma nièce marque un silence prolongé. Inquiet, je lui demande si ça va.

"Oui mon amour. Moi aussi je peux t’appeler ainsi?"

"Bien sur que tu peux."

"Tu vois, je n’aurai jamais dit ces mots à lui. Bon où j’en suis? Ah oui.

Donc ce jour de Mai, je le retrouve chez lui. Comme à chaque fois, ça commence par des bisous. Mais ce jour là, il se déshabille entièrement. Il me demande de le branler, ce que je fais. Quand il bande bien, il me demande de le sucer. Chose que je ne lui ai jamais faite. J’avoue qu’essayer une fois me tentait bien, mais je savais que dire oui une seule fois signifierait devoir le faire à chaque fois. Et ça, c’était pas ce dont j’avais envie. Il n’a pas attendu ma réponse. Il s’est alors penché pour attraper un paquet sous son lit. Il me l’a tendu en souriant. Il m’a dit «Tiens, c’est pour toi. Je sais que tu me feras pas la pipe que j’attends, alors à la place j’aimerai que tu essayes ça devant moi.»

Dans le paquet, il y avait un ensemble string et soutien-gorge en dentelle blanche. Bon vu la marque, je savais qu’il ne s’était pas ruiné, mais j’étais super touchée de recevoir un cadeau. Même si c’était un geste intéressé de sa part. J’ai donc accepté de faire cet essayage devant lui. C’est lui qui me guida par la voix sur ce que je devais d’abord retirer. Je prenais ça comme un jeu. Tout en me faisant faire un strip-tease, lui se masturbait. Bien sur, est arrivé le moment où je me suis retrouvée nue. Il était rouge. Il se branlait à toute vitesse. Il me demanda de tourner sur moi même. De desserrer les jambes. Là, je me suis dit qu’il en avait rien à faire que je porte son ensemble. Me voir à poil lui convenait très bien. C’était la première fois que j’étais nue devant un mec, et ce n’était pas aussi beau et romantique que je l’avais imaginé. J’ai donc enfilé le string et agrafé le soutien-gorge. Il m’attire sur le lit. Plaque sa bouche sur la mienne. Et me colle sa bite dans la main. Tout en l’embrassant, je le masturbai. Ses mains moites me tripotaient partout à la fois. Ses gestes, encore une fois, étaient brusques. Là, je me suis mise à douter de toutes ses expériences avec les autres filles qu’il prétendait avoir eu. En fait, je crois qu’il était aussi vierge que moi."

Meggh se tait. Pousse un soupir dont je ne saisis pas si c’est un soupir de déception ou d’autre chose. Puis elle reprend.

"À un moment il me dit qu’il a grave envie de moi. Il veut que je me remette nue, que l’on fasse l’amour. Je refuse. Il me demande de le sucer. J’hésite. Il continue et me demande d’accepter au moins de lui embrasser le bout et ses couilles. J’ai accepté en lui expliquant que je n’irai pas plus loin que des bisous, ce qu’il a accepté lui aussi.

Au moment où je me suis penchée sur sa queue, il a glissé sa main dans mon string. Je n’ai pas eu le temps de poser ma bouche sur son engin que je sens qu’il glisse violemment un doigt en moi. J’ai eu vraiment mal. Et là, il a perdu la tête.

Quand je lui ai dit qu’il m’avait fait mal et que je ne voulais plus continuer, il s’est jeté sur moi, m’a arraché le string. Il était comme fou. Heureusement, je suis plus leste que lui et j’ai pu me libérer de son pétage de plomb. Je me suis habillée à toute vitesse et je suis partie sans attendre une seconde de plus. Le temps que je remette mes vêtements, il n’a pas bougé mais il m’a insulté. J’ai eu droit à toutes les insultes de son répertoire. La dernière chose qu’il ma dite, c’est qu’il en avait assez de sortir avec une fille aussi chaude qu’un congélateur.

Voilà, mon homme, tu sais tout… J’ai jamais eu aussi peur."

"Quel con ce mec! Et c’est donc pour ça que tu n’allais pas bien ces derniers temps?"

"Oui entre autre. Surtout, c’est qu’ensuite il n’arrêtait pas de me harceler. D’abord pour s’excuser, ensuite pour m’insulter. À la fin, il a essayé de me faire une réputation au lycée. C’était vraiment l’enfer. Maman voulait que l’on fasse quelque chose contre lui. Mais ça s’est arrêté. Et maintenant je t’ai toi."

"Oui ma puce, je suis là. Plus personne ne te fera de mal."

"Embrasse moi!"

À cette injonction, je ne peux que répondre favorablement. Je serre ma nièce entre mes bras,  et je l’embrasse langoureusement.

Allongés sur le lit, Meggh vient se positionner sur moi. Étendue sur moi, comme ce matin même, elle couvre mon visage, mon cou, mes épaules et mon torse de baisers.

De mon côté je lui caresse le dos du bout des doigts, provoquant un frisson sur sa peau soyeuse.

"J’ai peur de ne pas être à la hauteur…" me confie-t-elle dans un murmure.

"Tu es déjà à la hauteur, bébé. Et ne t’inquiète pas, je te guiderai. Mais ce soir, c’est moi qui vais tout faire. Toi, n’auras qu’à te laisser aller."

Je fais alors basculer Meggh sur le lit. En partant de son visage, j’entreprends la découverte de son corps avec mes lèvres. Après son cou, je fais étape sur sa poitrine. Ses mamelons gonflés deviennent un moment mon centre d’intérêt. Ma langue titille ses tétons. Je les suce avec gourmandise. Je palpe ces globes fermes et appétissants. Je vole de l’un à l’autre. Meggh me caresse les cheveux et la nuque. Entre mes lèvres et sous ma langue ses tétons deviennent durs. Avec gourmandise, je tète ces seins juvéniles. Ma nièce laisse échapper quelques petits gémissements.

Ma seconde main, inactive jusque là, entre à son tour en action. Je lui caresse la hanche. Descend sur sa cuisse, jusqu’à son genou. Puis je remonte pour venir saisir une de ses fesses. Quelque soit l’endroit où je pose ma main et ma bouche, je ne trouve que douceur et chaleur. Doucement, je ramène ma main baladeuse sur le ventre de Meggh. Connaissant son expérience malheureuse avec son ex petit ami, je me fais aussi doux que possible. Je fais glisser ma main en direction de son pubis glabre. Puis vers son entrejambe. Dans un geste réflexe, elle referme les jambes. Mais pas plus d’une seconde. De nouveau elle s’ouvre à mes caresses. Je délaisse ses seins pour replacer mes lèvres sur les siennes.

"Je t’aime ma puce!"

Au même instant où je prononce ces mots, ma main vient se poser sur son sexe. Celui ci ruisselle de cyprine. Mon index trouve son clitoris. Meggh gémit à ce contact. Tout doucement, je fais glisser mon doigt sur son bouton. Puis progressivement, j’imprime un mouvement plus rapide. Le visage de mon ange trahi son plaisir. Je devine rapidement quel rythme lui procure le plus de plaisir. Parfois, je fais descendre un doigt dans sa fente. Les premières fois, seuls quelques millimètres de mon doigt entrent dans son vagin. Puis la première phalange. Enfin, j’introduis mon doigt véritablement. Meggh semble apprécier car ses petits gémissements se poursuivent.

"Tu es si doux."

Ces mots confortent mon sentiment.

Après être retourné sucer sa magnifique poitrine, je viens placer mon visage entre les jambes de ma jeune nièce. Je dépose des baisers sur l’intérieur de ses cuisses, là où la peau est la plus fine. Descendant, à chaque bisou, plus prêt de son intimité.

Le premier contact de ma bouche sur son sexe humide est un véritable bonheur. Je suis tout à mon plaisir. Oubliant que Meggh est ma nièce, qu’elle n’est encore qu’une ado, et qu’elle est toujours vierge… En fait non, tout ça reste présent à mon esprit et mon plaisir s’en trouve multiplié par 10. Par 100. Par 1000. Être l’initiateur de ma nièce me comble de fierté. L’interdit me fait bander encore plus fort.

Ma langue passe sur ses lèvres intimes. Je recueille le liquide parfumé qui s’écoule de sa fente virginale. J’embrasse sa vulve. J’introduis ma langue dans son vagin. Je m’abreuve à la source du plaisir. Le sexe de Meggh est si mouillé qu’il macule mon menton et ma bouche de cyprine. Je me sers de ma langue comme d’un sexe. Je la fais glisser autant que possible en elle. Faisant des va-et-viens en elle.

Les petits "han" de plaisir de ma nièce me ravissent. Son corps se tortille sur la couchette. Sa main gauche fourrage ma chevelure, alors que la droite malaxe allègrement ses seins aux mamelons saillants.

Quittant à regret l’intérieur de son vagin, mes lèvres viennent sur son clito. Dès les premiers mouvements de ma langue sur son bouton, Meggh se met à balancer son bassin d’avant et arrière. Comme si à chaque mouvement, elle cherchait à plaquer d’avantage son entrejambe contre ma bouche.

Et lorsque mes lèvres enserrent son bouton pour l’aspirer et le sucer, tout en le caressant avec la pointe de ma langue, Meggh décolle le bassin du lit, et appuis avec force contre ma bouche.

"Ooooh ouiii! Ohh ouuiiiiii!" râle-t-elle. "Je vais jouir!"

J’en profite pour faire entrer deux doigts dans son vagin et la pistonner.

Cette fois, les deux mains de Meggh appuient sur ma tête. Son corps se crispe d’un coup. Elle saisit l’oreiller qui se trouve à côté d’elle et s’en sert pour étouffer le long râle de plaisir que lui provoque son orgasme. En aucun cas, je ne stoppe ma sucion sur son clitoris. Je veux tellement que son plaisir se poursuive… Moins d’une minute après ma nièce jouis à nouveau.

Je décolle enfin ma bouche, un peu engourdie par l’activité, de sa chatte.

"Tu manques d’entraînement mon vieux Paulo!" me dis-je intérieurement.

Si le bas de mon visage est couvert de mouille, il en est de même pour les fesses, et le sillon de Meggh. Je me fais un devoir, pour le moins agréable, de récolter ce nectar. Et quand ma langue vient frôler son anus, ma jeune amante pousse un petit ah de surprise.

Mais comme je le souhaitais, son sexe ne cesse de libérer son jus d’amour. Signe de son excitation continue. Je remonte vers son visage. Ma bouche se colle une nouvelle fois sur la sienne. Meggh semble adorer mes baisers au goût de son minou. Elle me prend dans ses bras et m’étreint fortement.

Lorsque nos lèvres et nos langues se séparent, elle approche de mon oreille:

"C’est tellement bon…" me murmure mon ange.

"Bébé, ce n’est que le début de notre histoire. De notre nuit…"

Je me défais un instant de sa douce emprise pour saisir les préservatifs qui se trouvent dans la table de nuit. Mais quand Meggh voit ce que j’ai en main, elle m’apprend:

"Tu n’es pas obligé, je prend la pilule…"

"Tu es sûre que tu veux sans?"

Sans rien ajouter, Meggh m’étreint à nouveau et m’embrasse. Cette réponse me convient parfaitement.

L’instant unique se fait proche. Je lui adresse des mots tendres. La couvre de doux bisous. Puis après l’avoir guidé de ma main pour qu’elle écarte les jambes suffisamment, je me place entre ses cuisses.

Sans quitter son regard, je lui caresse la joue, descend sur sa poitrine. Je sens son cur battre fort. Peut-être aussi fort que le mien. Pour la première fois de ma vie, et sans doute la dernière, je vais prendre la virginité d’une jeune fille. Et quelle jeune fille! Ma nièce! Une adolescente belle à damner tous les saints.

D’une main, je dirige ma queue dressée depuis nos premières étreintes. Avec mon gland, j’effleure son clitoris à plusieurs reprises. Meggh gémit et mordille sa lèvre inférieure. Sa vulve humide est prête à m’offrir le plus beau des cadeaux. J’introduis lentement mon gland. Il disparaît entre les chairs roses, luisantes et chaudes de cette chatte vierge. Ma queue glisse lentement. L’hymen de Meggh n’oppose que peu de résistance. Bien moins que je ne me l’étais imaginé. Le visage de Meggh ne laisse apparaître aucun signe de douleur. Soulagé, je peux me libérer et laisser cour à notre plaisir.

À petits coups de reins, je fais aller et venir ma bite. Puis petit à petit, mes mouvements prennent de l’ampleur et de la force. Les parois serrées du vagin de ma nièce épousent parfaitement mon sexe. Hummm quel plaisir. Pour cette première fois, je ne cherche guère à prendre des positions originales. Je laisse Meggh sur le dos pour profiter du magnifique spectacle de son visage si expressif dans le plaisir. Ses yeux me fixent avec intensité. Sa bouche entre-ouverte laisse passer, entre deux gémissements, un souffle court. Pour profiter de ses seins qui bougent à chacun de mes coups de reins tout en conservant leur maintien.

Je passe un bras sous l’un de ses genoux pour lui relever une jambe. Que cette fille est belle! Lorsque j’accélère, le bruit de mes couilles qui claquent sur Meggh se fait bien entendre. Parfois je quitte du regard ma jeune nièce pour regarder mon sexe tendu coulisser dans son vagin étroit. Il brille de cyprine. Je prend plaisir à le faire sortir et le refaire entrer quand après une sortie accidentelle, j’ai réintroduis ma queue en provoquant un nouveau râle de Meggh. Avec un pouce, je câline son clitoris. Associé à mes coups de reins, Meggh semble au comble de l’extase. Son corps se cabre. Ses muscles se tendent. Son vagin se contracte autour de ma queue.

"Han!Han! Oh oui… Je… vais… jouirrr!"

J’accélère mon jeu de hanches afin de jouir au plus vite. Mon sperme jaillit alors dans l’intimité la plus douce de ma nièce. Plusieurs jets qui me transportent dans une jouissance comme j’en avais rarement connu. Meggh, dont les jambes s’étaient relevées pour m’entourer, me libère.

Je m’allonge à ses cotés. Nos souffles sont courts. Immédiatement, celle qui est à présent ma «maîtresse» vient se blottir dans mes bras comme elle en a pris l’habitude. Elle embrasse mon torse. Revient sur mes lèvres. Retourne sur mon torse. Du bout de deux doigts, elle touche ma bite ramollie, mais toujours humide de nos deux liqueurs. Puis, pour la première fois depuis notre départ, elle la prend complètement dans sa main. La tenant comme si cétait un petit oiseau blessé.

"Ton sexe est aussi épuisé que moi!" s’écrie-t-elle.

"Il a juste besoin d’un peu de repos. Mais si tu le gardes dans la main, il ne va pas tarder à se réveiller."

Le petit rire cristallin de Meggh me comble de joie.

"Jamais je n’aurais cru que cela soit aussi bon." me confie ma nièce. "J’ai toujours su qu’avec toi ça serrait beau. Mais que ce soit… aussi fort… Je peux te le dire à présent: j’ai toujours voulu que tu sois le premier. Je savais qu’il y avait peu de chance que ça arrive. Mais je t’aime tellement et depuis si longtemps…"

"Depuis si longtemps?"

"Oh oui. Je te l’ai déjà dit, tu es le père que je n’ai pas eu, l’ami que j’attends et à présent tu es l’homme avec qui je veux être. Pour toujours…"

Ces mots d’amour me touchent. Sa candeur m’émeut. Ignore-t-elle vraiment qu’en dehors de ce bateau, la Terre entière cherchera à nous juger?

"Faire l’amour te rend très amoureuse ma puce."

"Il y a longtemps que je le suis." précise-t-elle.

Son corps de rêve se blottit d’avantages contre moi. Après un moment de silence Meggh baille.

"Tu es fatiguée ma puce?"

"Jouir 3 fois aussi fort et en aussi peu de temps ça m’a tué. C’était vraiment trop bon."

Sa voix se fait de plus en plus faible. Meggh se faisant absorber par le sommeil. Elle ajoute cependant:

"Même avec les jumelles, quand on se caresse, on ne jouis pas aussi fort…"

"Tu veux dire que les filles avec qui tu as couché sont Alix et Julie?"

Mais je n’obtiens aucune réponse. Meggh s’est endormie.

À suivre

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