Je sonne chez lalla zohra avec qui je partage une grande complicité. Je la vois régulièrement car elle me fait vivre mes fantasmes dans des jeux de rôles captivants.

C’est une voluptueuse brune marocaine en déshabillé transparent qui m’ouvre la porte. Ses yeux bruns en amande et ses lèvres gourmandes donnent à son visage un air volontaire et sensuel. Sa robe de nuit s’ouvre sur un corset rose qui comprime ses seins généreux.

Un slip brésilien allonge ses jambes gainées de bas fixés par quatre paires de jarretelles qui mettent en valeur ses cuisses fuselées. Perchée sur ses cuissardes à talons aiguilles, elle me prend la main pour me faire entrer dans son univers.

Après l’échange de quelques mots, elle me demande:

— Karim, décris moi ton fantasme actuel pour que je puisse répondre à tes attentes.

Je lui confie alors que:

— Je rêve de devenir une fille dotée d’une somptueuse poitrine, d’une croupe à damner un saint, d’un clito ultra sensible et d’avoir une garde robe pleine de lingerie.

— J’aimerais aussi qu’une fascinante dominatrice me prenne avec son gode ceinture ou qu’une belle transsexuelle me fasse l’amour toute la nuit.

— Beau programme, tu me donnes des idées, me dit zohra d’un air inspiré.

— A partir de maintenant, je m’adresse à toi au féminin et puisque tu es déjà  entièrement épilée, je vais t’aider à t’habiller et à te maquiller.

— Suis moi dans ma chambre, nous allons choisir tes dessous, me dit elle en me prenant par la taille.

Un peu plus tard, ayant achevée ma métamorphose, elle me met devant la glace pour que je puisse juger du résultat.

— Regarde toi ma belle, tu es prête pour l’amour, me chuchote-t’elle à l’oreille.

Le miroir me renvoie l’image troublante d’une belle de nuit portant tous les symboles de la féminité.

Je porte une perruque blonde bouclée très glamour. Mes yeux allongés par le maquillage sont mis en valeur par de faux cils. Un rouge intense souligne mes lèvres pulpeuses. Un slip ouvert encadre ma queue d’un écrin de dentelle et de soie qui met ma croupe en valeur en dévoilant mon oeillet.

Lalla zohra complète mon harnachement de femme fatale en accrochant huit jarretelles affriolantes à mes bas pour maintenir les coutures bien alignées et orne mes cuisses de deux ravissantes jarretières.

Virevoltant devant la glace, j’admire ma silhouette élancée et ma taille sanglée dans mon ensorcelante guêpière qui fait ressortir ma croupe. Puis, je marche dans la chambre pour sentir la tension de mes bas en frottant mes cuisses l’une contre l’autre pour les entendre crisser. Lorsque je me déplace dans la pièce, je mets en valeur mes fesses hautes et bien cambrées qui font généralement craquer les femmes.

Lalla zohra n’y fait pas exception et me dit en les fixant avec insistance:

— Allonge toi sur le lit ma chérie, je suis impatiente d’explorer ta croupe.

Elle me renverse sur le dos et glisse sa main sous ma nuisette en la remontant lentement le long de mes cuisses.

Puis, elle la referme sur mes bourses qu’elle caresse avec douceur.

Ne pouvant lui résister, j’écarte les jambes pour lui faciliter la tâche.

— Je vais te faire craquer ma chérie, me chuchote-t-elle à l’oreille.

En souriant, elle continue à saper ma résistance en sentant durcir mon clito sous ses doigts.

Puis, écartant la fente de mon slip, elle m’enfonce son majeur dans les fesses.

Très expérimentée, elle le recourbe vers le haut en massant avec insistance ma glande d’amour tout en continuant à me masturber d’une main experte.

J’ai très vite une érection spectaculaire.

— Tu mouilles beaucoup ma belle et ton oeillet est déjà bien ouvert.

— Attends moi un instant, je vais me changer, me dit-t-elle d’un ton prometteur.

Un moment plus tard, elle réapparaît vêtue d’une longue cape rouge et de bottes assorties.

Elle s’approche de moi en ouvrant sa cape et me dit en souriant:

— Je t’ai réservé cette surprise ma chérie.

Je reste sidérée en découvrant le gode ceinture qui est fixé sur ses hanches.

Semblant sortir de son ventre, un sexe monstrueux se balance lourdement entre ses cuissardes. Son gland épais se prolonge d’une hampe sur laquelle courent de grosses veines apparentes. Je n’arrive pas à détacher mon regard de cette queue en latex en doutant fort de pouvoir la prendre dans mes fesses.

— Ce gode atteint presque les trente centimètres. Mais, c’est surtout son diamètre qui va te donner du plaisir, rajoute t-elle en connaisseuse.

Elle me le montre complaisamment sous tous les angles pendant qu’elle le lubrifie en me décochant des regards brûlants.

Puis, avec une étrange lueur dans les yeux, elle s’avance vers moi.

— Lève toi mon ange et remonte ta combinaison, je veux te prendre debout comme une fille des rues.

A la fois excitée et inquiète, je la retrousse fébrilement sur mon ventre en dévoilant mes jarretières.

Contrôlant mal mon émotion, ma queue jaillit d’un coup par la fente de mon slip ouvert.

Zohra sourit devant ce spectacle et me plaque contre la cloison de la chambre en m’ouvrant les cuisses avec son genou.

Elle relève mes bourses pour dégager l’accès à ma grotte et pousse le gode dans la fente de mon slip. Puis, elle s’enfonce doucement en moi sans me quitter des yeux. Haletante, la poitrine palpitante, je me laisse embrocher sans résister. Elle me cloue maintenant au mur comme un papillon en m’embrassant avec fougue.

Elle accompagne ses coups de reins de puissantes poussées de ses mains sur mes hanches qui m’empalent littéralement sur le pieu.

Peu après, elle entame une irrésistible danse du ventre en le tournant lentement dans mes chairs.

— Tu as un sexe de huit cent grammes dans les fesses ma belle, me dit elle en me violant avec une joie non dissimulée.

Elle continue à se tortiller vicieusement dans mes reins en frottant son clito contre le gode.

Soudée à moi, elle me relève une jambe pour pousser toujours plus loin son énorme dard.

Ne tenant plus en équilibre que sur un talon aiguille, je mets mes bras autour de son cou pour me stabiliser.

L’image que me renvoie le miroir est très excitante.

Je suis debout, une jambe remontée sur sa hanche.

Ma combinaison retroussée sur le haut de ma cuisse, laisse apparaître mes bas et mes jarretelles tendues à craquer.

Fascinée, je vois mon corps tressauter en cadence à chacun de ses coups de reins.

J’ai vraiment l’impression d’être dans la peau d’une fille et que l’on plaque contre un mur pour satisfaire ses pulsions.

Cette vision me fait fondre de plaisir et je remercie Lalla zohra par la pensée de m’avoir fait vivre ce fantasme.

Me voyant trembler de désir et vaciller sur mes escarpins, elle me dit avec un sourire prometteur:

— Je vais t’achever sur mon lit ma belle.

Elle m’allonge sur le dos et place deux coussins sous mes fesses pour les mettre à la hauteur du pal qui se balance entre ses cuisses.

— Écarte les jambes et prends tes chevilles en main pour rester ouverte, me dit elle.

Debout face à moi, elle contemple ma rosette qui s’ouvre comme une fleur.

J’ai des frissons lorsqu’elle s’approche en tenant d’une main ferme le glaive qu’elle me destine.

Galvanisée par ce spectacle, elle ne peut plus attendre et c’est avec un regard brûlant qu’elle me pénètre avec une lenteur calculée.

Mes sphincters cèdent peu à peu sous la pression du gland démesuré et je laisse échapper un cri lorsqu’il me transperce le ventre.

Elle me possède méthodiquement, profondément.

— Pousse fort ma chérie, m’ordonne-t-elle.

Puis, écartant mes fesses avec ses pouces, elle se laisse tomber de tout son poids.

Je sens alors le pal se ruer dans mes reins.

Le souffle coupé, je referme instinctivement mes mains dessus en essayant en vain de freiner sa course.

— Ce doit être la première fois que tu prends un tel calibre dans les fesses?

En réponse, je croise mes jambes dans son dos et éperonne sa croupe avec mes talons aiguilles pour qu’elle accélère ses va et vient.

— Puisque tu aimes cela mon ange, je vais déployer tout mon savoir faire, me dit-t-elle.

Collée contre moi, elle trouve facilement mon point G et le pilonne avec une habilité diabolique.

A d’autres moments, elle tourne vicieusement le gode dans mon fourreau pour me faire sentir ses reliefs tourmentés.

Puis, elle roule et ondule du bassin en faisant vivre d’une manière prodigieuse ce pal qui m’enflamme le ventre.

Me voyant perdre mon contrôle, elle me comprime la racine du sexe pour m’empêcher de jouir.

Mais, elle voit à mon souffle court et aux tremblements de ma queue que je ne vais pas pouvoir résister longtemps.

Elle me chuchote à l’oreille:

— C’est le moment ma chérie, donne moi toute ta sève.

Savourant l’instant, j’essaye de prolonger mon plaisir en contractant mes fesses pour retenir la lave que je sens monter dans mes reins.

— N’essayes pas de me résister, m’assure-t-elle en riant.

En effet, pleine de ressource, elle gratte lentement mon frein avec son ongle.

L’effet est indescriptible et j’explose en laissant échapper un râle de délivrance et de plaisir.

Elle plaque alors son bassin contre moi en poussant le gode à fond dans mes entrailles.

Mon sperme trop longtemps contenu éclabousse sa main avec une puissance inhabituelle avant de retomber en longues coulées épaisses sur ma guêpière.

Je reste immobile, toute étourdie de bonheur, les yeux mi clos et en extase en contemplant le mince filet de sève qui s’échappe encore de mon sexe.

Très expérimentée, zohra presse mon périnée et ma queue en faisant sortir mes dernières giclées de sperme.

— Tu avais des réserves, me dit-t-elle en voyant ma lingerie recouverte de foutre.

Puis, elle me retire le gode en m’épongeant de son mieux.

— A ton tour de me donner du plaisir, me dit-t-elle.

Très chatte, elle s’allonge sur moi et m’embrasse à pleine bouche en pressant ses seins contre ma poitrine.

Je frotte mes jambes contre les siennes en m’enflammant au contact électrique de ses bas. Mon excitation redouble quand zohra serre vicieusement mon gland entre ses cuisses gainées de nylon.

Excitée par ma superbe érection, elle plaque son clito gorgé de sang contre mon sexe turgescent.

Avec l’instinct d’une mante religieuse qui a trouvé sa proie, sa chatte humide et avide de sexe s’ouvre alors sur ma queue en la dévorant avec une rare voracité.

Survoltée, zohra se tortille un long moment sur ma verge et finit par jouir en m’inondant de cyprine.

— Je vais te faire découvrir une autre de mes spécialités, me dit-t-elle enfin calmée.

Elle se lève et sort d’un tiroir une poire remplie de lubrifiant.

Avec des gestes précis, elle se penche sur moi et m’enfonce la canule dans les fesses en tapissant ma muqueuse d’un gel.

Puis, elle me fait asseoir sur le lit, le dos appuyé contre le mur.

Avec un regard complice, elle ouvre la fente de mon slip et plonge ses cinq doigts dans ma grotte en jouant habilement du poignet pour les faire rentrer.

— Tu es déjà  bien ouverte, cela va être facile ma chérie, me dit-t-elle.

Elle localise très vite mon point G qu’elle presse avec la pulpe de ses doigts en m’arrachant des gémissements de bonheur.

Stupéfaite, je vois son poignet s’enfoncer lentement dans mon ventre.

Elle me fiste de plus belle en léchant mon frein jusqu’à ce que j’éjacule en jets puissants dans sa gorge.

S’étouffant sous la pression de mon sperme qui lui éclabousse les lèvres, elle s’empresse de l’avaler rapidement.

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