Isabelle et moi nous nous connaissons depuis maintenant plus de 5 ans. Elle a les cheveux châtains, des yeux gris-vert. Elle est plutôt petite et mince avec une petite poitrine. Pour ceux qui aime les détails : 1m57 et 75B. Et ce qui ne gâche rien pour le podophile que je suis, elle a de très jolis petits petons et adore que je m’en occupe. ¨

Nous aimons tous les deux le sexe. Isa sait que j’ai, par le passé, eu des aventures avec des hommes et cela ne la dérange pas. De son côté, étant fort peu sure d’elle, elle n’hésitait pas à écarter de temps à autre les cuisses pour se faire apprécier. Je le savais mais cela ne m’importait pas vraiment sachant notre couple solide. Nous n’en parlions pas c’est tout.

Nous avions un couple d’amis : Anne et Nicolas. Anne était une adorable petite rousse qui me plaisait beaucoup, un peu « femme-enfant » de la même taille, corpulence et pointure qu’Isa. Quant à Nicolas, beau grand mec qui ne laissait pas indifférent la gent féminine en général et ma femme en particulier. La connaissant, cela ne m’étonnerait d’ailleurs pas qu’elle lui ait déjà fait connaître son intimité.

Un soir où Nicolas était venu manger à la maison sans Anne (cela arrivait parfois), la soirée a « dérapé » sous la pression subtile mais conjointe d’Isa et Nicolas et nous avons fait notre premier trio. J’ai eu le bonheur de pouvoir sucer une belle queue (cela me manquait) et de voir Isabelle se faire prendre par un autre homme devant moi. Lorsqu’il a éjaculé en elle, je n’ai pas manqué de bien nettoyer sa queue ainsi que la chatte de ma femme. Ce fut délicieux.

Nicolas et moi sortions parfois entre hommes (je le connaissais avant de rencontrer Isabelle) pour aller boire un verre et refaire le monde. Nous avons bien entendu reparlé de cette chaude soirée et je lui ai dit que j’avais adoré sucer sa queue mais aussi que sa femme m’excitait et que j’aimerais bien qu’on essaye de faire un « quatuor ». L’idée l’a immédiatement excité mais ce ne sera pas facile me dit-il, Anne étant un peu coincée. Qu’à cela ne tienne lui dis-je, chauffe là un peu en discutant avec elle et fait monter le désir. Je lui propose d’organiser une soirée jeu d’ici quelques semaines.

Rentré à la maison, j’en parle à Isabelle qui est immédiatement toute mouillée par l’idée. J’en profite illico.

Vint la soirée tant attendue. C’est le début de l’été et il fait chaud sans être étouffant. Comme d’habitude, je suis au fourneau, ce qui est préférable si l’on veut bien manger. Nos invités arrivent. Conversations banales mais sachant qu’Anne a une bonne descente, nous prenons tous les trois soin de ne jamais laisser son verre vide. Le repas se passe et la conversation dévie légèrement vers le sexe, juste assez pour nous émoustiller un peu mais sans exagération.

Isa propose de prendre le café au salon et de commencer notre partie de Trivial Pursuit. Vu que nous y jouions souvent, des équipes « couples » seraient inégales. Je fais donc équipe avec Anne et Isa avec Nicolas. C’est Isa qui propose une nouvelle règle : pas de « damier » ni de dés. Une équipe tire une carte au hasard et pose la question de son choix à un membre de l’autre équipe qui doit répondre seul, sans aide. S’il répond bien, la main passe à l’autre équipe. S’il répond mal, la main passe également mais il doit enlever un vêtement.

Anne est un peu réticente mais Nicolas la convainc d’essayer, lui dit que nous nous sommes déjà tous vu tout nu au sauna et qu’on arrête quand elle le souhaite.

La partie commence doucement. Nous nous sommes en effet entendu Isa et moi pour ne pas aller trop vite et laisser à Anne le temps de s’exciter, ce que l’alcool aide aussi. Les filles font cependant le forcing en nous posant des questions difficiles de sorte que Nicolas et moi sommes assez rapidement tout nu avec par ailleurs une excitation qui commence à être bien visible. La partie va bon train et Isa nous suit de près car il ne lui reste plus que sa petite culotte. Anne a encore sa petite culotte et soutien-gorge mais il est vrai que les questions qui lui sont posées sont mûrement sélectionnées pour ne pas qu’elle se retrouve la première en tenue d’Ève.

C’est à présent au tour de Nicolas de répondre. Anne lui demande :

— Dans quel pays se trouve le Kilimandjaro, le plus haut sommet d’Afrique ?

Il l’ignore mais comme il est nu, que faire ?

L’idée est bien évidemment de passer aux gages mais alors que personne n’y croyait, Anne se lance et propose très naturellement un gage. Petits regards complices entre Isa et moi

Nicolas dit

— OK mon cur mais puisque tu le proposes, à toi de choisir mon gage.

Anne devait y avoir déjà réfléchi car elle lui dit sans hésiter :

— Puisque tu es un peu exhibitionniste, tu vas aller fumer une cigarette sur la terrasse.

Nous habitions certes une rue peu passante et il était 22h00 mais le risque d’un passant n’était pas exclu.

Il accepte en disant qu’il avait justement envie d’une clope. Moi aussi dis-je mais les deux femmes, m’interdisent de concert de sortir. C’est le gage de Nicolas, pas le mien et mon tour viendra disent-elles un sourire coquin aux lèvres. Elles vont à la cuisine refaire une tournée de café et déboucher une énième bouteille de vin. Elles discutent ferme, tout sourire. Nicolas me dit que la soirée a bien commencé et espère qu’Anne ira jusqu’au bout.

Anne vient nous rejoindre. Je laisse Nicolas avec elle et me dirige vers la cuisine pour aider ma compagne mais surtout pour savoir de quoi elles ont parlé. Isa me répond qu’elle a dit à Anne que nous avons déjà fait des trios sans dire avec qui évidemment, que c’était génial, que cela avait même renforcé notre entente sexuelle, ce qui au passage était tout à fait exact. Anne n’en a pas été vraiment étonnée me dit-elle et semblait même en être encore plus excitée. C’était comme si, me dit Isa, le fait d’avoir pour amis un couple libéré l’autorisait à passer, elle et Nicolas, du côté obscur de la force.

La partie recommence. C’est à Anne de répondre. Isa lui pose une question assez difficile et Anne en perd son soutien-gorge, ce qui la met à égalité avec elle dont c’est à présent le tour. Elle répond correctement.

A mon tour à présent de répondre. C’est Isa qui me pose une question dont elle sait parfaitement que je connais la réponse mais attend sans doute de voir comment je vais répondre…

— Qui a dit : Le sexe masculin est ce qu’il y a de plus léger au monde, une simple pensée le soulève ? me demande-t-elle en regardant ostensiblement mon sexe et celui de Nicolas.

C’est San Antonio mais je ne m’en « souviens » pas dis-je avec un petit sourire.

A Isa et Nicolas donc de me choisir un gage. Ils chuchotent et, sans doute sur une suggestion de mon épouse qui connait fort bien mon penchant pour une certaine partie de l’anatomie féminine, Nicolas m’invite à m’occuper des pieds d’Anne comme si c’était ceux d’Isa et ce jusqu’à ce qu’il y ait un nouveau gage.

Anne a pour seule réaction de se tourner un peu dans le canapé et de me présenter ses deux adorables petits petons, fort bien entretenus et qu’elle a le bon gout de ne jamais vernir. Je suis naturellement aux anges de ce gage. Je m’empare donc doucement des pieds d’Anne que j’avais déjà eu à maintes reprises l’occasion d’admirer sans jamais pouvoir les toucher, les caresser, les sentir, les embrasser, les lécher. Et c’est exactement ce que je ferai, dans cet ordre, pendant les questions qui suivirent.

A Nicolas de répondre et n’ayant pas envie de voir mon gage s’arrêter trop vite, je lui pose une question facile. Il répond évidemment. Au tour d’Anne, question facile, réponse correcte.

La position d’Anne me donnait une vision directe sur son entrejambe encore masqué par sa petite culotte. Je n’ai cependant pas tardé à remarquer que la situation combinée avec mes soins avait pour conséquence une humidité grandissante de ladite petite culotte, ce qui me fit bander encore plus. Évidemment, tout le monde s’en aperçut.

A Isa à présent qui, je le rappelle, a toujours sa petite culotte. Or, il est temps pensais-je que les gages concernent aussi ces dames mais pour cela, il faut d’abord les dénuder. Me méfiant de la solidarité féminine, je choisis une question vache tout en suçant les délicieux petits coussinets d’orteils de ma coéquipière. Pour toute réponse, Isabelle se lève et fait doucement tomber sa petite culotte, laissant apparaître ses lèvres humides et dénuées du moindre poil. Ce spectacle met immédiatement Nicolas au grand garde-à-vous, ce qui ne manque pas de faire sourire son épouse.

Toujours pas de nouveau gage. Je continue donc à cajoler les petits petons et Anne à mouiller de plus en plus sa culotte. Connaissant Nicolas, ce n’est pas le style à s’occuper des pieds de son épouse. Il est même réticent au cunnilingus alors qu’Anne adore cela m’avait-il un jour confié. Mais revenons à nos moutons car c’est à présent à moi de répondre et je connais la réponse. Dilemme. Je réponds correctement et je continue à m’occuper des pieds d’Anne mais je sens d’un autre côté qu’il est temps que le jeu s’accélère pour ne pas faire retomber son excitation grandissante. Je préfère néanmoins répondre correctement pour pouvoir faire « tomber » Nicolas à la prochaine question.

C’est ce qui se passe mais ayant toujours à l’esprit le fait de ne pas « brusquer » Anne, je lui laisse choisir le deuxième gage de son époux : il doit donner trois bisous à Isabelle à trois endroits différents de son choix. Gage un peu plus coquin mais très soft malgré tout. Nicolas choisit ses lèvres, son sein gauche et enfin son nombril. J’observe Anne qui s’en amuse. C’est à son tour et elle répond mal à la question qui lui est posée. Son dernier rempart vestimentaire est enlevé sans la moindre hésitation. Je peux ainsi enfin admirer sa jolie toison rousse mais fort bien maitrisée ainsi que les deux lèvres roses qui s’en échappe.

Anne pose ensuite une question à Isabelle qui reçoit, enfin, son premier gage. Anne m’invite à le choisir. Je fais semblant de réfléchir car je sais déjà ce que je vais demander à Isa. En effet, elle m’a récemment dit qu’elle aimerait bien gouter le sexe d’une femme, le sentir mouiller sous ses coups de langue. En outre, Anne aime cette pratique que Nicolas délaisse. Enfin, passer à un acte sexuel réel sera sans doute plus facile à accepter pour Anne si cela se fait avec une femme. Nicolas et moi profiterons du spectacle.

— Isa, tu vas gouter au minou d’Anne, lançais-je.

Elle répondit « OK ? » en regardant Anne qui ne disait rien mais qui avait refermé les jambes. Isa s’avance et se met à quatre pattes devant Anne qui ne dit toujours rien mais ne desserre pas les jambes. Isa commence à lui caresser et à lui prodiguer des petits bisous sur les chevilles, les mollets, les cuisses en remontant toujours plus haut. Nicolas s’est évidemment rapproché. Il caresse et embrasse son épouse comme pour la rassurer mais surtout me dis-je pour lui donner son consentement.

Finalement Anne ne résiste plus et laisse petit à petit le visage d’Isa s’avancer entre ses cuisses pour atteindre l’endroit tant convoité. La scène est belle et les deux femmes y prennent manifestement beaucoup de plaisir. Je me rapproche d’Anne pour mieux voir mais me garde bien de la toucher. Seule ma jambe touche la sienne afin qu’elle se rappelle ma présence. Mon visage est proche du sien. Nicolas arrête de l’embrasser et lui fait un petit signe des yeux dans ma direction. Anne comprend, tourne son visage, pose sa main sur l’arrière de mon crâne et m’embrasse avec passion. Ma main lui caresse à présent le ventre et ses adorables petits seins légèrement tombants. Isa est toujours entre les cuisses d’Anne tandis que Nicolas caresse les fesses de mon épouse en ne manquant pas de glisser sa main entre celles-ci pour exciter son minou à présent très humide.

Isa se retire et m’attire par le bras vers elle. Sa bouche et son menton sont luisants d’un mélange de salive et de cyprine. Elle m’embrasse goulument pour me faire partager ce doux mélange avant de m’inviter à prendre sa place. Anne est à présent dans un laisser-aller total suite aux douces caresses buccales que lui a prodiguées Isa. Je vais donc enfin pouvoir goûter au nectar de ma belle rousse. Je m’approche doucement, caresse de mes doigts ses lèvres trempées. Ma bouche entre rapidement en action. Le gout est doux et légèrement salé, comme j’aime. Je m’attarde sur le clitoris que je titille de petits coups de langues alors qu’un doigt est à présent dans son antre pour lui caresser le haut du vagin.

De son côté, Isa s’est tournée vers Nicolas désormais assis dans l’autre fauteuil. Toujours à quatre pattes, elle le gratifie d’une superbe fellation.

Je sens des petits soubresauts dans le bassin d’Anne, ses jambes se resserrent autour de mes joues. Elle pose ses deux mains sur le haut de mon crâne pour me repousser et part dans un orgasme fort bruyant. Je ne me laisse pas faire et persiste dans mes coups de langue. Je me recule cependant quelques instants pour lui permettre de reprendre son souffle et se décontracter mais recommence aussitôt ce qui l’entrainera dans deux autres orgasmes successifs, le dernier accompagné d’une quantité non négligeable de liquide intime que je déguste sans en perdre la moindre goutte.

Nicolas est toujours assis dans le fauteuil mais Isa s’est maintenant empalée de dos sur lui, ses deux mains sur les genoux de Nicolas et pratique des vas-et-viens fougueux. Anne, temporairement épuisée, se penche vers moi et m’embrasse bouche grande ouverte comme si elle voulait happer ma langue. Elle me dit

— Puisque tu aimes, va lécher ta femme en train de se faire prendre par mon homme.

Je ne peux que suivre une aussi délicieuse invitation et me mets immédiatement en devoir de brouter le minou d’Isa en ne manquant pas de donner des coups de langue sur la verge de mon ami. Isa et Nicolas jouissent quasiment en même temps tandis que je continue mon uvre. Comme la première fois, je nettoie consciencieusement tant le sexe d’Isa que la queue de Nicolas afin que pas un atome de sperme ne soit perdu.

Anne s’est approchée et nous a regardés en caressant délicatement ses lèvres humides. Je suis toujours à quatre pattes entre les jambes des deux amants. Elle pose son pied sur mon épaule et me pousse délicatement afin que je tombe sur le dos. Elle approche son visage de ma queue, la parcourt de sa langue mais ne s’y arrête pas. Elle remonte, se soulève et s’empale sur ma queue, bras tendus, ses deux mains sur mon torse. Ses petits mouvements sont une torture et je suis tellement excité que je ne tarde pas à jouir en elle. Anne reste empalée sur moi quelques instants, sans bouger, le sourire aux lèvres montrant ses magnifiques dents blanches. Elle retire ma queue et plaque sa main contre son vagin afin d’empêcher mon sperme de s’évacuer. Je la vois alors remonter vers mon visage et placer son sexe au-dessus de ma bouche pour finalement retirer sa main. Mon sperme me coule dans la gorge et ma langue fouille ses adorables lèvres jusqu’à un nouvel et ultime orgasme.

Il n’y aura plus d’autres questions posées ce soir-là.

Related posts

Lucile amoureuse salope – Chapitre 4

historiesexe

un moment si intense – Chapitre 1

historiesexe

Nuit charnelle – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .