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Le réveil des sens – Chapitre 10




Le lendemain de notre après-midi mémorable à l’infirmerie de la faculté, Chloé rentra de ses cours toute guillerette. Bien entendu je lui demandais les raisons de son euphorie.

— Tu sais maman, dés que j’ai vu Anne je n’ai pas pu m’empêcher de lui raconter notre aventure d’hier.

— Tu aurais pu tenir ta langue, lui rétorquai-je, je me doute que ton récit l’a énormément intéressé, je pense aussi, connaissant ta copine, qu’elle a dû mouiller un max en t’écoutant et qu’elle n’a pas attendu la fin des cours pour s’octroyer une petite gourmandise.

— Tu as bien deviné, ajouta ma fille, elle a mouillé c’est vrai et son petit plaisir elle l’a pris tout de suite, debout, dans la cour, avant de rentrer en classe.

— Devant toutes les autres ?

— Pas devant mais au milieu de tous les autres. Tu sais qu’Anne est très sensible et grâce à sa poche trouée, un petit aller-retour sur son clito lui a suffit pour l’envoyer en l’air. Mais ça ce n’est qu’un court épisode de la journée.

— Vite raconte demandais-je !

— Ne soit pas si impatiente voyons. Donc avant la pause de midi, il y avait pas classe à la dernière heure, aussi, prétextant un mal de ventre, Anne demanda pour aller à l’infirmerie en souhaitant que je l’accompagne. Une fois sur place, l’infirmière, prénommée Martine si je me souviens bien, demanda la raison de notre venue et bien que m’ayant reconnue, elle n’osa pas faire allusion, devant Anne, de ce qui s’était passé entre nous la veille. C’est donc moi qui parlai la première. Mon amie, lui dis-je, soit disant, a mal au ventre mais je crois qu’elle a surtout envie de se faire tripoter la chatte. Je ne sais pas ce qu’elle a en ce moment mais elle a la chatte en chaleur, elle vient de s’envoyer en l’air deux fois, la première fois en arrivant, avant de rentrer en classe puis elle a recommencé pendant l’heure de travaux dirigés et bien, malgré ses deux orgasmes, elle a encore envie de jouir alors j’ai pensé à vous. L’infirmière rougit et bafouilla des mots incohérents. Vous aviez laissé entendre, hier, que vous préféreriez une chatte plutôt qu’une queue et bien je vous en amène une qui ne demande que vos doigts et votre langue. Martine resta muette aussi sans la laisser reprendre ses esprits, je soulevais la robe d’Anne et baissais sa culotte. Regardez ça, lui dis-je, une petite chatte de pucelle qui mouille déjà comme une salope qu’elle est. Pour lui prouver mes dires, j’avais ouvert ses petites lèvres. En plus elle bande continuais-je en faisant saillir son clito. Allez, ne vous faites pas prier, Anne n’attend plus que vos caresses et si vous la faites jouir je vous promets de m’occuper de votre minou. Quand je vis l’infirmière se diriger vers la porte, j’eus peur qu’elle ne sorte mais quand elle poussa simplement le verrou, j’ai su alors que nous avions gagné.

— Alors demandai-je à ma fille ? Qu’a-t-elle fait ?

— Elle s’est tout de suite mise à genoux devant Anne qui avait posé ses fesses au bord du lit pour pouvoir mieux s’offrir à la bouche de l’infirmière. Sa langue devait être efficace car Anne, bien que connaissant son aptitude à jouir rapidement, se mit très vite à gémir de plus en plus fort ? Elle entra bientôt en transe, ses jambes furent agitées de tremblements et le cri qu’elle poussa au risque d’alarmer les personnes pouvant se trouver dehors, retentit à nos oreilles.

— Et toi que ressentais-tu ?

— Une drôle de sensation, pas vraiment une excitation non, plutôt un rôle de simple voyeuse qui était étrangère à tout ça, j’étais dans un état second, jusqu’au moment où Martine, les lèvres dégoulinantes de mouille, me fit refaire surface en me disant qu’elle avait fait sa partie et que maintenant c’était à moi de tenir ma promesse. Elle se troussa, se déculotta et m’offrit sa moule. Bien que je l’avais déjà vu, je fus quand même impressionnée par sa taille avec ses petites lèvres boursouflées, son clito saillant.

— Tu l’as fait jouir ? Avec tes doigts, ta langue ?

— Les doigts au commencement puis ma langue. Elle disait des mots sans suite, projetait son ventre en avant en se tripotant les seins. Pendant ce temps Anne avait repris ses caresses sur son minou. Elle nous disait qu’elle avait encore envie de jouir, que ce ne serait pas la dernière de la journée parce que sa mère la solliciterait dés son retour à la maison et qu’elle ne pourrait pas branler sa mère sans l’interdire à celle-ci de lui rendre la pareille et que, fatiguée ou pas, elle jouirait encore. Entendant les commentaires d’Anne, l’infirmière, d’une voix chevrotante tant le plaisir suprême était proche, ne put s’empêcher de lui dire : « Toi aussi tu te gouine avec ta mère ! Tout comme Chloé. Vous êtes deux belles salopes mais j’aime les salopes. Ca y est, je viens, toi aussi Anne, jouissons ensemble ». Voilà maman, conclut Chloé, nous avons malheureusement du retourner en cours bien que l’infirmière fut prête à nous donner un billet d’excuse pour pouvoir continuer à s’amuser avec nous.

— Et bien, ma fille, quelle histoire. Te reste-t-il suffisamment de force pour t’occuper un peu de ta pauvre mère qui a passé sa journée chastement, certaine que tu saurais, à ton retour, mettre toute ta science en branle pour me satisfaire.

— Ne craint rien maman, je suis en pleine forme tu sais. Ce sont surtout Anne et Martine qui se sont fatiguées, moi je n’ai joui qu’une fois, sous mes doigts, pendant que je léchais l’infirmière.

    Ma fille glissa une main sous ma jupe, trouva ma chatte sans protection et s’étonna de la trouver aussi mouillée, je lui rappelais que son récit était pour quelque chose dans mon état.

— Au fait maman, me dit Chloé tout en s’occupant de mon minou, Martine m’a dit qu’hier, après notre départ, papa, toi et moi, elle était restée avec notre prof de français.

— Pourquoi, dis-je ironiquement, elle voulait prendre un cours de grammaire ?

— Non, plutôt un cours de langue, répondit Chloé tout aussi ironique. Elles ont mis les bouchées doubles comme pour combler leur retard en matière de lesbianisme. Elle m’a dit qu’elles avaient adopté la position qui consiste à mettre leurs chattes en contact et que la morphologie de leurs minou, c’est à dire des petites lèvres hypertrophiées et un gros clitoris, avait eu pour effet de les mener rapidement vers l’orgasme. Crois-tu Maman, que nous pourrions essayer cette position ?

— Essayer, on peut toujours mais je crains que nous ayons des difficultés pour atteindre l’orgasme de cette manière alors qu’avec nos doigts, comme tu me fais en ce moment, c’est la jouissance assurée.

C’est au moment où je prenais mon pied que mon mari entra dans la pièce.

— Mais vous ne pensez qu’à ça, ironisa-t-il tout en se déboutonnant la braguette et en sortant son chibre en érection.

— Comment se fait-il que tu bandes déjà le questionnai-je ?

— Voilà un quart d’heure que je suis rentré du boulot et que je vous ai écouté et, si j’ai bien entendu, nous aurions révélé les plus bas instincts de notre chère infirmière.

— Mais pourquoi n’es-tu pas venu nous rejoindre, notre fille et moi ? Nous aurions aimé te caresser la bite pendant que nous nous branlions.

— J’ai préféré attendre que vous jouissiez comme cela vous serez plus détendues pour vous occuper de moi.

Chloé et moi n’avons pas hésité une seule seconde. La bite de mon mari n’attendait plus que nos caresses et ce dernier ne fut pas long à venir.

Une fois qu’il eut éjaculé, mon mari nous raconta sa journée qui n’avait rien à envier à celle de notre fille.

— Je pensais sans arrêt à notre aventure d’hier et devant moi, ma collègue Micheline, tu sais celle que j’ai ramenée un jour chez elle.

— Ah oui, la vieille.

— D’accord elle a la soixantaine mais encore appétissante, des rondeurs là où il faut, toujours vêtue sexy.

— Et bien, à un certain moment je sentis son regard sur moi ou plutôt sur mon entrejambe. Il est vrai que je m’étais mis à bander et, vu mes dimensions plutôt imposantes, cela faisait une sacré bosse. Je ne sais pas ce qui m’a prit, moi qui avait toujours été si pudique, j’empoignais ma queue et mimais une masturbation. Moi qui pensais choquer ma collègue, j’en fus pour mes frais car Micheline, non seulement continua-t-elle à regarder ma main qui faisait des allers-retours sur mon pantalon mais elle fit rouler son siège pour ne plus avoir son bureau entre nous. Et là, surprise ! Micheline avait la jupe retroussée.

— Quand même dit-elle, depuis que j’attendais que tu te décides. Tu ne t’aies jamais rendu compte combien je désirais que notre relation amicale prenne une autre tournure. Si tu savais comme je suis heureuse que tu t’aies enfin décidé.

— Tu sais Micheline, j’aime ma femme et depuis quelque temps je l’aime encore plus et si tu me vois dans cet état aujourd’hui, c’est parce que, justement, je pense à elle.

— Je respecte ta fidélité mais ne pourrions-nous pas nous faire un petit plaisir sans que pour cela tu transgresse tes convictions ?

— De quelle manière ?

— Et bien, en nous donnant nous même du plaisir. Tu sais j’en ai l’habitude, je vis seule depuis si longtemps.

— Tu aimes de satisfaire seule ?

— Par la force des choses mais, tu sais, tu es très souvent dans mes rêves mouillés. Je fantasme sur toi depuis longtemps déjà. Tu as vu, il y a quelques minutes, je suis apparu devant tes yeux avec la robe troussée très haut, tu n’as pas été surpris ?

— Si, un peu, tu veux dire que déjà tu étais en route à te…

— Oui je me caressais la chatte. Je le fais presque chaque jour, là, derrière mon bureau, en te regardant travailler, pensant que se sont tes doigts qui fouille mon minou. Mais aujourd’hui j’ai envie que tu me regardes, que tu saches enfin que je jouis à cause se toi. Tu veux bien me regarder dis ?

— Oui, montres-moi, montres-toi.

    Micheline se troussa complètement, amena ses fesses au bord du siège, écarta ses jambes et déplaça sa culotte pour laisser apparaître son sexe et introduit deux doigts dans sa fente qu’elle se mit à faire aller et venir.

— Bon sang que c’est bon, j’aime ton regard sur moi, montres-moi combien tu bandes, sors-la.

    Je m’exécutais.

— Qu’elle est belle, je me doutais que tu en avais une grosse. Oh ! Tu te branles aussi, c’est beau un homme qui se branle.

— Donnes-moi ta culotte, je vais me branler avec elle et je déchargerai dedans.

    Micheline me passa sa culotte que j’enroulais autour de ma queue et repris ma masturbation. Nos jouissances, quasi simultanées, nous saisit d’un coup.

— Merci, ce fut divin, j’espère que c’est une expérience qui se renouvellera ?

— Surement mais j’ai peur que nous soyons tentés d’aller bien au-delà, crois-tu que nous saurons résister ?

— Je ne sais pas avoua Micheline, j’aimerai bien, dans un premier temps que nous nous caressons mutuellement.

— Tu vois, déjà tu souhaites plus, mais si tu tiens vraiment à voir évoluer nos rapports, je connais un moyen mais encore faut-il qu’il te séduise.

— Tout ce que tu veux, je suis prête à tout pour avoir un jour ta queue dans ma chatte.

— Et bien c’est simple, pour ne pas tromper ma femme, la seule solution c’est qu’elle soit avec nous. Serais-tu d’accord ?

— Oui mais elle voudra que tu la baises aussi ? Pourras-tu contenter deux femmes surtout que je risque d’être gourmande ?

— Pas de problème pour ma femme si tu ne vois pas d’inconvénients à ce qu’elle s’occupe, elle aussi, de toi et pourquoi pas toi d’elle.

— Ta femme est gouine ?

— Bi, disons qu’elle est bi mais toi ?

— Je n’ai jamais fais ça avec une femme mais pourquoi pas, si Paris vaut bien une messe, une bite dans la chatte vaut bien quelques léchouilles sur le minou.

    J’avais écouté ainsi que Chloé, captivée, le récit de mon mari, essayant de me représenter la scène. Mon mari rebandait et moi je mouillais.

— Baises-moi criai-je !

— Moi aussi papa cria à son tour notre fille.

— Doucement les donzelles, je n’ai qu’une bite, penchez-vous l’une à côté de l’autre.

Mon mari nous baisa toutes les deux. Pendant qu’il en pénétrait une il branlait l’autre et alternativement. Lorsque mon orgasme arriva, je pensais déjà à la langue de la collègue de mon mari qui, très bientôt, me fera jouir.

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