À mon réveil, ma femme n’est plus dans notre lit, ils sont tous les deux en train de déjeuner dans la cuisine ; elle, debout, prépare le café avec une ravissante nuisette blanche en soie laissant entrevoir des seins qui pointent légèrement ; lui, appuyé contre la table de la cuisine, torse nu. Son boxer est déformé par une grosse bosse : normal, il mate son 95C !
Chérie, regarde dans quel état tu mets notre invité !
Elle prend un air surpris.
Oh, Nicolas C’est normal chez toi, le matin ?
Non Madame : c’est vous qui me faites bander ! Vous êtes trop canon
Elle me regarde, puis sourit. Je sens quelle crève d’envie d’aller plus loin avec Nicolas. Je la regarde puis je ne sais pas pourquoi il me semble que cette situation me fait aussi bander à mon tour. Je lui fais un clin d’il et hoche la tête en direction de Nicolas.
Chérie, tu ne devrais pas le laisser souffrir de si bon matin
Elle s’approche de lui, commence par l’embrasser à pleine bouche, laisse glisser sa main sur son boxer pour enfin sortir son sexe. Elle commence par lui caresser la queue légèrement puis, avec deux doigts, elle le décalotte à moitié Il a encore de la marge : je peux voir dans les mains de ma femme cette bite s’allonger et se raidir.
Elle se met alors à genoux, commence par lui lécher les testicules tout en continuant ses va-et-vient.
Son gland commence à sécréter ; elle tire sur le prépuce pour finir de le décalotter puis le prend en bouche. À mon tour, je bande comme un fou en voyant ma femme se lâcher sur ce jeune homme monté comme un Black ! Mais je reste voyeur passif.
Elle commence à le sucer ; sa queue raide ne peut rentrer entièrement dans sa bouche : heureusement, car elle ne ma jamais sucé comme ça Une vraie salope ! Sans un mot et comme si je nétais pas là, elle le suce et le masturbe comme une morte de faim sur un morceau de viande !
Au bout de trois minutes, je remarque que Nicolas se raidit, se crispe et gémit « aaaah »
Elle continue ses va-et-vient avec sa main, recule légèrement la tête quand le premier jet de sperme sécrase sur son visage puis elle se rapproche et, faisant des bruits de succion, elle avale goulûment sa semence !
Hum, Nicolas, tu aurais pu attendre que j’avale un café avant de me remplir l’estomac de sperme !
Ces mots sortis de la bouche de ma femme me scient les jambes : quelle salope !! Mais finalement, quel plaisir pour moi car c’était bien là mon souhait depuis plusieurs années.
Nous commençons enfin notre déjeuner, mais je constate que Nicolas bande toujours
Chérie, regarde !
Surprise, elle lui demande :
Tu bandes encore, Nicolas ?
Oui : j’ai envie de vous pénétrer.
Ma femme me regarde et sourit ; à ce moment, je décide de ne plus rester passif mais de devenir actif.
Chérie, allonge-toi. Le dos sur table !
Soumise, elle s’exécute. Je lui écarte les cuisses et commence par la sucer : sa chatte est humide d’excitation Je lui demande de sucer encore Nicolas pendant que je la doigte et continue de la lécher. Alors que je sens quelle va jouir, je me retire et me positionne sur le côté.
Nicolas, vas-y ! Prends-la : elle est toute à toi ! Et baise-la comme une garce !!
Sans un mot, elle commence à se caresser le clitoris ; sa chatte est devenue une fontaine et Nicolas na aucun mal à la pénétrer. Il positionne son gros gland à l’entrée, lui frotte légèrement le clitoris puis commence à rentrer sa bite… Elle, elle commence à me sucer.
Je suis heureux de voir cette grosse queue rentrer dans ma femme et en ressortir trempée, preuve quelle est satisfaite de cette bite. Au début, il fait des va-et-vient au ralenti ; puis, plus elle émet des râles de plaisir, plus il accélère. Quand elle commence à jouir, je peux le voir mettre des coups de reins à lui casser le bassin !!! Et le bruit de ses assauts clac, clac, sur les fesses de ma femme, quel bonheur Il est en train de la baiser comme je ne l’avais jamais baisée.
Voir ce que ma femme peut encaisser mexcite, et je me finis en me masturbant sur ses seins. Elle se met alors à hurler à réveiller tous le lotissement. Quant à Nicolas, il la baise encore bien dix minutes avant de sortir sa queue pour lui jouir sur le ventre, avec, là encore, de sacrés jets de sperme alors qu’il venait de d’éjaculer trente minutes avant ! Puis il relève ma femme et, se collant contre elle, il l’embrasse encore à pleine bouche.
