Chapitre 2 les affres de la jalousie.

Le lendemain ou peut-être quelques jours plus tard, Yaksa, quelque peu perturbée par les hormones, ressent de plus en plus son frère comme une solution pour perdre son label de garantie et qu’il lui fasse sauter sa pastille. Elle revoit en rêvassant son frère se mastiquant le manche, lui aussi il doit avoir des besoins et pourquoi ne pas les mettre en commun. Elle sait qu’il n’est pas toujours doux et gentil avec lui et a un caractère brusque. Elle a bien remarqué que mère a depuis quelque temps l’air particulièrement contente et heureuse, comme elle ne l’a plus vue depuis très longtemps. Le père étant déjà parti à son éternel travail et maman partie faire des courses, Yaksa se dirige vers la chambre de son frère qui fait semblant de dormir, mais à voir la déformation du drap, il devait plutôt se manipuler la gaule.

— Coucou, frérot. Comment vas-tu?

— Hmmrrrr, tu m’as réveillé, j’étais en train de faire un rêve délicieux, avec une princesse qui s’était introduite dans mon lit.

— Tu ne veux pas que je sois cette princesse? Questionne-t-elle anxieuse.

— Tu peux essayer, dit-il en repoussant le drap. Elle était en train de savourer mon pain d’épice, c’était très bon.

— Tu me permets, dit la coquine en se penchant vers la bite de son frère qui est déjà bien imbibée de pré-sperme, je veux bien déguster ton saucisson. Sans autre elle engloutit cette queue bien dure, finalement, c’est pas mauvais, cela sent un peu le fauve, mais c’est justement de ça que j’ai besoin pour me calmer mes envies. Glup, glup glup …. quelques, en fin pas mal de, succions plus loin, elle se dit, c’est pas mal, mais c’est pas comme cela que je vais perdre mon ticket de garantie.

— Kasaki, j’ai envie de perdre ma virginité, elle me dérange plus qu’elle m’aide. Tu ne veux pas t’en charger?

— Mais oui chère sur, mais comme je suis un peu fatigué, je te laisse grimper sur moi pour que tu te la fasses sauter toute seule, comme cela tu iras à ton rythme.

Sans autre forme de procès, Yaksa monte sur le lit de son frère et se met à genou sur lui et approche son sexe de celui de son frère et d’un coup s’empale sur sa bite.

— Ouille, c’est fait, mais bordel que c’est douloureux. Enfin maintenant que c’est passé, je vais enfin pouvoir baiser à clito rabattu.

Sans autre, elle commence une cavalcade qui met à mal les forces de résistance de son frère et plusieurs fois il n’est pas loin d’exploser, mais en lui demandant de calmer un peu, il réussit à tenir à l’assaut de sa sur sans devoir rendre les armes. Brusquement, la porte s’ouvre, héhé qui arrive? Non, ce n’est pas Zoro avec son cheval et son grand chapeau, mais maman, telle une furie devant la concurrence, elle ne peut tolérer cette inceste qui dérange le sien.

— C’est quoi, vous êtes fous mes enfants, que faites vous?

Kasaki en bon fainéant ne se manifeste pas et c’est cette pauvre Yaksa qui se prend une baffe majestueuse dont Yoni s’est fait la spécialité.

— File dans ta chambre petite perverse. Abuser de ton frère.

— Mais mamans….

— Tais-toi et parts.

Une fois Yaksa partie, furieuse de s’être fait doubler, Yoni commande à son fils de s’habiller. Cela ne se passera pas comme cela.

Le soir venu, l’atmosphère est plutôt à l’orage, que dis-je, au typhon tropical. Le père, mis au courant est vert de rage, ce qui le change pas trop au niveau du teint avec ses soucis professionnels.

— C’est quoi ça, je ne le tolère pas dans ma maison et brusquement, il donne un grand coup de poing dans la poitrine de son fils en lui intimant l’ordre de quitter le domicile familial immédiatement.

Kasaki n’a pas l’air autrement peiné, cela fait déjà un moment qu’il avait repéré un petit studio pour étudiant pas très loin de la maison. C’est le coup de pouce qui l’aide à déménager pour ne plus voir son cornard de père.

Ayant expulsé l’ainé, il consent à garder la cadette qui n’a pas les moyens de se payer un studio et comme il reste le seul coq au milieu de sa cour un peu basse, il se dit que maintenant, cela va être sans problème. Il va pouvoir s’adonner à son grand plaisir, le travail acharné!

Quelques jours se passent sans problème, quand Yoni, regrettant de s’être séparée de son rejeton et avec une pression croissante sur ses ovaires affamés d’une belle bite demandeuse, se décide d’aller visiter son fils pendant que le père est à son travail. Elle espère qu’il ne lui tiendra pas rigueur.

Elle se rend à son domicile et frappe à la porte, Kasa lui ouvre en peignoir de bain.

— Bonjour mère, comment vas-tu depuis que je suis parti? Je m’excuse, mais j’allais prendre une douche pour me réveiller, il faut maintenant que j’utilise de ce subterfuge puisque tu n’es plus là pour mon réveil.

— Bonjour mon fils, je vais plus ou moins bien, je m’ennuie de ta présence et tes câlins me manquent.

— Je t’en prie, je prends ma douche et je suis à toi. Installe-toi.

Songeuse la mère enlève sa veste, sa jupe et finalement décide de se mettre complètement à poil et elle va s’étendre sur le lit quand Kasa sort du bain essuyé et va s’étendre à côté d’elle sans autre. Ils restent un moment tranquille comme cela, mais Yoni n’est pas venue pour se reposer, elle veut qu’à nouveau son fils la baise comme il sait si bien le faire et elle se penche sur l’objet de sa convoitise qui se dresse fièrement, le prend en main, créant un grand frisson chez son fils, c’est la première fois qu’elle est clairement demandeuse et qu’elle lui prend le mandrin. Mais c’est pas tout, elle continue de se pencher en avant et commence à déposer un petit baiser sur l’extrémité de sa pine, créant un frisson encore plus grand chez son fils et sans attendre elle engloutit tout dans sa bouche, et à la façon Ice-cream (crème glacée pour les puristes), lui applique une belle fellation, nettement supérieure à celle que Yaksa avait lui avait faite, c’est vraiment un délice. Mais à son tour, il aimerait bien pouvoir goûter les saveurs féminines quand elles sont cuites à point et pas encore arrosée de crème de poireaux.

— Maman, viens sur moi et mets ton sexe en face de ma bouche, j’aimerais aussi goûter les délices de ton minou.

— Oui Kasa, je suis toute excitée, mon jus d’amour est à point, tu vas pouvoir te régaler, dit-elle entre deux coups de langue.

Ils se mettent en 69 et après bien des coups de langue de part et d’autre, la sonnette retentit.

— Qui cela peut bien être? Vite, cache-toi dans la penderie en attendant.

Yoni se tapisse au fond de la penderie et referme le panneau, alors que Kasa va ouvrir et voit sa sur sur le pas de porte, réclamer à son tour que son frère vienne s’occuper de sa tirelire.

Après les bisous d’usage, Kasa baisse son froc et lui dit: d’abord, suce et ensuite on verra.

Elle trouve cette queue, comme elle l’avait imaginé, bien dressée prête à l’emploi et sans autre elle commence à la sucer, mélangeant sans le savoir, sa salive à celle de sa mère, mais elle laisse un peu trop trainer ses dents sur le frein et cela stop tout de suite le plaisir et de là le désir.

Kasa remonte son pantalon et lui dit:

— Taille-toi, tu reviendras quand tu sauras mieux lécher les bites, je ne veux pas que tu utilises ma queue pour faire ton apprentissage, c’est vraiment trop désagréable de sentir tes dents m’abimer ma pine.

— Mais…..

— Dégage!

Évidemment, il pensait à sa mère, tapissée au fond de l’armoire qui l’attendait la chatte à l’air, prête à l’emploi et surtout elle savait sucer!

Mais il se trompait lourdement, une fois sa fille sortie, la mère folle de rage et de jalousie commence à lui faire reproche qu’il n’a pas à toucher sa sur et qu’elle n’est pas d’accord, elle tente de lui flanquer une à nouveau une baffe, mais cette fois-ci, Kasa est plus rapide et lui attrape la main et en retour lui en colle une. Cette attitude marque la fin de leurs complicités, mais Yoni, qui entre temps a quitté son mari qui ne lui servait à rien, se trouve sans rien pour apaiser sa fringale de bite.

Reviendra-t-elle vers ce fils qui sait si bien calmer sa fringale ou ira-t-elle voir ailleurs, ce sera l’objet d’un éventuel prochain chapitre.

Related posts

Anniversaire en famille – Chapitre 1

historiesexe

Fellations familiales – Chapitre 2

historiesexe

la route des landes est logue et enuyeuse, par Annie – Chapitre 2

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .