Kelly et Marceau sont en couple. Un couple heureux, un couple rieur et joyeux. La vie était belle pour eux. Âgés de seulement 18 ans tous les deux, et en couple depuis deux mois, ils n’ont jamais rien tenté. Ils s’étaient donné rendez-vous un week-end pour dormir chez Kelly car ses parents étaient partis en week-end amoureux la laissant seule chez elle.
Marceau sonna à la porte, quelques secondes après, Kelly lui ouvrit et prit son petit ami dans ses bras. De longs baisers commencèrent.
« Tu m’as manqué ! Dit-elle
— Moi aussi ! Qu’est-ce que tu crois ? Tu vas bien ?
— Super bien ! Tu te rends compte, on a un week-end rien qu’à nous !!
— J’avoue que je suis content, se réjouit Marceau, j’ai pris mes affaires dans ce sac.
— Vas-y rentre.
— Je n’attendais que ça ! »
Après être entré, Marceau déposa son sac et Kelly l’accompagna dans sa chambre. La pièce où elle dormait avait tellement changé depuis la dernière visite du garçon. Kelly adorait changer régulièrement la place des meubles, la couleur des murs, la décoration. Elle était folle de sa chambre.
« Elle est magnifique !
— Tu trouves ? Demanda Kelly.
— Bah ouais, tout comme toi non ?
— Tu es super mignon… Tu préfères la chambre comme ça ou comme avant ?
— Comme ça… Tu as dû changé une bonne dizaine de fois et à chaque fois c’est merveilleux !
— Pas aussi merveilleux que ta petite tête et ta petite bouche… »
De longs baisers recommencèrent entre ces deux jeunes. Fou amoureux l’un de l’autre, ils se connaissaient par cur et ne se cachaient rien. Ils étaient petits de taille, une taille que l’on pourrait qualifier de mignonne. Kelly avait des cheveux longs et bruns bouclés en bas. Marceau avait les cheveux courts couleur noisette, et des yeux incroyablement beaux de couleur marron. Kelly avait quant à elle les yeux bleus, couleur océan.
Ils s’embrassaient longuement au point de se laisser tomber sur le lit. Après un baiser, un câlin puis après un câlin, un baiser. Cela ne s’arrêtait pas et au bout d’une heure sans avoir arrêté, ils continuaient.
« J’adore t’embrasser, fit Marceau.
— Et moi j’adore te câliner…
— Il n’empêche que…
— Que quoi ?
— Non, rien, laisse tomber. Je ne préfère pas le dire. Dit-il en souriant.
— Allez !!! S’il te plaît… supplia Kelly.
— Ben.. Il n’empêche qu’on ne fait que des câlins et des baisers…
— Ah…
— J’avais dit que je ne préférais pas le dire.
— Tu veux dire par là que tu veux essayer autre chose ?
— Beh… ça fait deux moi que l’on est ensemble et j’avoue y avoir déjà pensé plusieurs fois, mais j’attendais que cela vienne de toi. – Mais je suis prêt à attendre le temps qu’il faut. Je ne veux surtout pas te brusquer !
— Tu sais quoi ? Dit-elle sur un ton grave.
— Hmm… Tu me fais peur là Kelly.
— Arrête d’avoir peur, petit peureux ! Et écoute moi plutôt : tu ne me brusques pas.
— C’est réjouissant comme nouvelle ! Mais… ça ne me donne toujours pas de réponse.
— Tu n’es pas très intelligent mon petit Marceau… »
Après cette phrase, Kelly mit sa main sur le sexe de Marceau et commença à le masser légèrement. Ce dernier laissa échapper quelques gémissements de sa bouche et continuait d’embrasser sa petite amie. Le massage du sexe du jeune garçon saccélérait de plus en plus et une érection d’enfer monta en lui.
« Tu as une érection là ? Petit cochon ! S’exclama joyeusement Kelly.
— Oui… C’est parce que j’adore ça ! Tu sais ce qu’est une érection hein ?
— Oui, c’est un afflux de sang qui arrive dans le pénis. Je ne suis pas bête Marceau !
— Et d’où vient ce sang ?
— Du cur…
— Exactement ! Elle vient du cur ! »
Marceau prit Kelly dans ses bras afin de l’embrasser tendrement, puis il l’allongea sur le lit afin d’être dressé au dessus d’elle. Il la caressa à travers son tee-shirt mais entreprit vite l’idée de le lui retirer. Il commença à lui caresser le ventre, à lui malaxer les seins tout en l’embrassant. Kelly prit le relais et retira le tee-shirt du jeune garçon afin d’égaliser le niveau de nudité des deux adolescents.
« Tu es sûr que je ne te brusque pas par mes envies ? Je ne voudrais pas te faire de mal…
— Certainement pas, j’en ai envie moi aussi.
— Cela fait deux mois que l’on se connaît, mais disons qu’on a une particularité.
— Ah oui ? Laquelle ?
— On ne s’est jamais vu nus, même pas en sous-vêtements.
— C’est l’occasion alors ! » remarqua Kelly.
Kelly recommençait le massage du sexe de Marceau tandis que ce dernier déboutonna le pantalon de la fille. Il lui enleva laissant apparaître un ensemble blanc plutôt moulant. Il souriait puis ses mains baladeuses lui caressèrent le corps et il la doigta à travers la culotte.
Après une trentaine de secondes de caresses, il ne put s’empêcher de s’allonger sur elle afin de l’embrasser longuement tout en faisant glisser son corps sur le sien. Kelly jugeant que le niveau de nudité n’était pas égal se releva pour allonger Marceau sur le lit et lui enlever son pantalon.
Chose faite, il portait un boxer gris à motifs or très moulant.
Kelly ravie, recommença un massage. L’érection de Marceau reprit de toute sa vigueur.
« Je me demande à quoi la tienne ressemble, demanda Kelly.
— Si tu veux vraiment le savoir, si tu as une curiosité digne de celle de Léonard de Vinci, enlève ce qui la cache.
— Tu fais de magnifiques phrases… »
Sur ce, elle enleva le boxer de Marceau et son sexe se dégaina. Brandi vers le ciel, il stupéfia Kelly qui le prit en main et le masturba. Marceau ferma les yeux et haleta de plaisir. Ce jeune garçon avait du mal à se retenir.
« Tu me dis si ça vient, je voudrais pas te faire éjaculer aussi vite, je voudrais en profiter un peu…
— Je te le dirai, promis ma petite Kelly d’amour.
— Dans ce cas, je suis rassurée pour le faire.
— Faire quoi ? »
Sans répondre à cette question, elle commença une fellation au jeune adolescent. La toute première fellation de Kelly était incroyablement bien faite, et le plaisir que recevait Marceau était énorme. Elle le suça avec la langue, et réussit à l’avaler entièrement plusieurs fois.
Marceau poussait des gémissements tout en maintenant la tête de Kelly.
« Fais attention, ça arrive… »
Kelly se retira alors. Marceau se redressa et l’embrassa en la complimentant sur ce qu’elle venait de faire. À son tour, il mit à nue Kelly. Il l’embrassa tout en pénétrant avec deux doigts son vagin. Des gémissements déferlèrent de la bouche de la fille. Il retira ses doigts et allongea Kelly afin qu’elle se positionne au mieux pour lui faire un cunnilingus. Il se mit entre ses jambes et mit sa langue sur le sexe de la fille. Elle adorait ça, Marceau continua pendant quelques minutes et à bout de force et en sueur, Kelly ne put se retenir de mouiller d’excitation.
De nouveaux baisers et de nouveaux câlins entre eux commencèrent. Puis Marceau entrepris le fait de positionner Kelly dans une position spéciale.
« Mais… C’est pas que je suis contre Marceau mais je n’ai pas de matériel…
— Ne bouge surtout pas ! »
Marceau descendit du lit et de l’étage, puis fila à l’étage inférieur tout nu. Heureusement que personne n’était dans la maison, car un jeune garçon pubère se baladant nu n’est pas très courant.
Kelly n’avait pas bougée d’un pouce et Marceau était revenu, capote et lubrifiant aux mains. Il les leva en l’air, en signe de victoire et cela amusa Kelly. Il s’était déjà entraîné à en mettre une, et sur ce coup-là, il réussit sans difficulté. Il appliqua un lubrifiant puis se remit au dessus de Kelly.
« Tu es prête ? Attention, ça va te faire mal…
— Je sais, mais je suis prête, je veux ressentir du plaisir avec toi. »
Marceau entra doucement dans son vagin. Kelly poussa des cris de douleurs au fur et à mesure qu’il rentra en elle plus profondément. Il s’arrêta et se retira un peu puis rentra. Des mouvements de va-et-vient commencèrent. Les gémissements de plaisir remplacèrent ceux de douleur et les mouvements allaient de plus en plus vite.
Pendant quelques minutes, les deux jeunes adolescents firent l’amour comme de vrais adultes et furent en sueur.
Kelly ne put se retenir plus longtemps, elle finit par jouir. Marceau voyant le plaisir de son amour et entendant ses cris de jouissances ne put se retenir lui aussi. Il explosa au fond de la capote. Une fois fait, son mouvement ralentit et il se laissa tomber sur Kelly.
« C’était génial Marceau… En plus d’être beau comme un dieu, tu sais y faire, dit-elle exténuée…
— Merci… Mais toi aussi tu as été géniale. »
Les deux amoureux se rhabillèrent et reprirent baisers et câlins en toute innocence.