À ce moment là, j’étais dans un état d’excitation que je n’avais encore jamais connu, si bien que je n’appréhendais même pas ce dépucelage. Katia me dit alors :
-Dégage tes coudes du sol, fous ta gueule par terre et mets tes deux mains devant ta bouche ! Parce que tu vas crier et jouir comme la petite pute que tu es, et parce que ta sur dort. Tu as d’ailleurs intérêt à ce qu’elle ne se réveille pas.
Je m’exécutai rapidement, sentant toujours son gland bouger sur mon anus. J’étais allongé le cul bien en l’air, cambré et totalement offert. Ses deux mains tinrent alors mes fesses, comme une femelle qu’on allait prendre. Elle releva alors l’une de ses deux jambes tandis que le genou de l’autre resta collé au sol, sans doute pour avoir un meilleur angle de pénétration. Katia cracha dans mon cul histoire d’avoir un semblant de lubrification. Je la vis prendre sa queue ferme dans sa main et faire glisser son gland doucement mais fermement à l’intérieur de mon cul. Je ressentis une très brève douleur, presque immédiatement remplacée par une sensation encore inconnue mais totalement enivrante. Je sentis son bas-ventre taper contre mes fesses.
Sa queue était entièrement entrée en moi. Je poussai un long râle de soulagement mêlé à du plaisir. Je ne tenais plus mon corps, heureusement que ses deux mains me tenaient fermement au niveau des hanches. La sensation d’avoir ce sexe si dur et si long en moi avait touché des parties de mon corps encore inconnues. Mon sexe, bien qu’il ne fût pas en érection, mouillait allègrement. Je lâchai prise, ne contrôlant plus mon corps. Pourtant, elle avait simplement fait glisser doucement son sexe en moi. Sa clémence allait être de courte durée. La dernière chose dont je me souvins parfaitement furent ces mots :
-Mon dieu, ce cul est merveilleux ; à la fois serré et tellement confortable à l’intérieur. Si t’étais une vraie bonne femelle, tu serais mouillée comme jamais. Je vais te défoncer puis te féconder, sale chienne !
Au moment où retentit ce "ienne", la dernière syllabe de sa phrase, ce fut le début d’un mélange de sensations que je ne saurais encore aujourd’hui décrire avec précision. Elle commença à me pénétrer, cette fois-ci à la faveur de coups de reins beaucoup plus amples, plus rapides et sans ménagement. Son premier coup de rein fut tellement sec que je ressentis une douleur lorsque ses couilles percutèrent les miennes. Ce fut bien la seule douleur que je ressentis. Mon cul s’était ouvert, et elle ne se priva pas d’en profiter. Elle me défonça sans retenue, faisant claquer ses couilles contre les miennes à chaque coup de reins, son bas-ventre frappant littéralement mes fesses.
Sans compter les fessées qu’elle lâchait, fermement emportée par le mouvement de plaisir qu’entraînait le dépucelage de mon cul. Ses mouvements ne ralentirent pas un seul instant, rythmés aussi par mes gémissement bruyants, heureusement atténués par mes mains sur ma bouche. Elle me défonçait sans relâche. Avec le recul, je ne crois pas qu’elle prêtait attention à moi. Elle prenait son pied, se servant de moi comme d’un simple vide-couilles, un objet de plaisir. Sa queue, que j’avais l’impression de sentir grossir en moi, passait et repassait entre mes fesses pour me remplir.
Jusqu’alors j’avais oublié que j’étais un homme, me sentant comme une femme se faisant baiser, impuissante face au plaisir et la domination de l’homme. Très vite, je pus me rappeler que cela aurait dû être le contraire. Tandis que je ne bandais toujours pas, je sentis mon sexe se contracter pour finalement, sans que je pusse retenir quoi que ce soit, sentir une éjaculation incroyable éclabousser le sol. Encore un peu de l’énergie qui me restait pour essayer de contrôler mon corps s’était évaporée tant la sensation de cette éjaculation avait été intense. Inconsciemment, je me relâchai encore un peu, pensant naïvement terminer sur cet orgasme quasiment jubilatoire.
Bien mal m’en eut pris. Katia se retira effectivement de mon cul, mais à aucun moment elle n’avait parlé de s’arrêter ici. Elle me releva, me fis m’allonger sur le dos sur le canapé, laissant mon cul dépasser dans le vide. Elle me déplaça avec une telle facilité que je ressentis encore une fois cette sensation agréable d’être dominé, une absence totale de virilité.
-Ne crois pas un seul instant que, parce que tu as joui comme une chienne, c’en est terminé. T’es là pour mon plaisir, salope. Le tien, on s’en fout.
Elle me fourra mon caleçon dans la bouche, fit un nud avec un tee-shirt et une veste pour lier à la fois mon pied droit avec ma main droite, et la même chose côté gauche. J’étais là, pleinement offert à elle, plus de retenue possible, ni de résistance. J’étais attaché, bâillonné et mon corps était à sa disposition. Je ne me doutais pas que cette position lui offrait encore un meilleur accès à mon trou. Elle reprit sa queue dressée comme jamais pour fourrer ses 20 centimètres jusqu’au fond de mon cul. Cette pénétration étant encore plus profonde qu’en levrette, je tournais légèrement de l’il tant le plaisir m’envahit, sans compter mon cri masqué par mon caleçon. Très vite, je revins à la raison. Elle me gifla, puis saisit mon menton avec sa main.
-Regarde-moi dans les yeux quand je te défonce comme une chienne. Regarde bien partir toute ta virilité, toute ta masculinité. Je veux que tu sentes à quel point t’es qu’une chienne, qu’une femelle qui se fait défoncer. Je veux que tu ressentes la frustration d’avoir une queue, je veux que tu pries pour avoir une chatte et te faire défoncer encore plus. Je ne veux pas que tes yeux quittent les miens tant que je te lime, salope !
Son regard était autoritaire, ferme. Sa mâchoire était serrée tant elle s’appliquait à me défoncer le plus fort possible. Le fait de me voir attaché sans moyens de résistance amplifiait grandement le plaisir. Son sexe était tellement dur que je sentais, à chacun de ses passages, les veines frotter sur les parois de mon anus. Au bout de longues minutes de limage intense, faisant remuer mon ridicule petit sexe tel un clitoris gonflé, je sentis le plaisir monter en elle.
Son souffle s’accélérait, parsemé de petits gémissements à peine audibles. Alors que je pensais la voir éjaculer tout en me pénétrant, elle se retira d’un coup de mon cul, et ce sans prévenir. Elle retira la capote puis vint au dessus de moi, passant entre mes membres toujours attachés, s’agenouilla sur mon torse, retira le caleçon qui obstruait ma mâchoire et me lima la bouche. En à peine quatre aller-retours, elle lâcha tout son sperme dans ma bouche en poussant un grand râle de plaisir et de soulagement.
-Avale tout et nettoie bien ma queue, salope !
Avec une légère appréhension, j’avalai ce liquide visqueux qui remplissait ma bouche. Cela me provoqua un léger dégoût. Pas franchement agréable, pas insurmontable non plus. De toute façon, il le fallait. Je m’occupai alors de bien nettoyer son sexe pas encore totalement retombé de sa splendeur précédente. Elle semblait satisfaite. Elle me détacha et me saisit par les cheveux pour me mettre par terre, à quatre pattes, la tête collée au sol juste à côté de mon sperme. Elle mit alors son pied sur ma tête.
-Allez, salope ! Nettoie ça avec ta langue !
Tandis que je m’exécutais à contrecur, elle me dit :
-T’es une sacrée bonne salope, j’aurais pas imaginé ça. Entre ta bouche à pipes et ton cul taillé pour accueillir des queues, on va bien s’entendre. J’ai quelques amis qui vont avoir hâte de t’essayer.
Je me sentais vraiment honteux à ce moment précis. À la fois à cause du fait de lécher mon propre sperme par terre, mais surtout à cause de la sensation d’excitation ressentit lors sa phrase, prouvant que j’étais en passe de devenir une vraie salope.