Acte 1
Rebecca , la petite quarantaine, dentiste à Tour, mariée depuis 20 ans avec Charles, son premier amour de jeunesse, avec lequel elle a eu deux enfants. Tout va bien dans sa vie, bien intégrée, elle est une femme épanouie. Sexuellement, Charles, toujours prêt à la satisfaire la fait jouir à chaque rapport, deux à trois fois par semaine. Elle na jamais eu de relations autres et ne semble pas avoir un manque de ce côté-là.
Ce jour, un nouveau patient vient au cabinet, en urgence, elle ne souhaitait pas le recevoir fatiguée par sa journée, mais le patient étant recommandé par une de ses amies du sport, elle le prend.
Lhomme, la petite trentaine, trapue, les yeux dun bleu profond. A sa tenue, Rebecca en déduit quil travaille sur les chantiers. Ce dernier sexcuse de sa tenue mais souffre dun abcès dentaire.
Rebecca commence le traitement. Lhomme est stressé. Elle remarque tout de suite ses mains,, larges, abîmées par le travail, mais dune taille incroyable laissant supposée une force hors norme.
Régulièrement, Charles lors de leurs ébats, lui dit quelle est attirée par les brutes épaisses, quelle rêve de se faire prendre de force par des gars de chantiers. A chaque fois elle dément, mais ces paroles crues lexcitent. Elle repense à la veille, quand Charles la sodomisée à sa demande en lui disant des obscénités de la sorte. Pourquoi repense- t elle à cela en voyant cet homme qui semble si vulnérable dans son fauteuil ? Elle est troublée mais se concentre sur son travail. Après 5 minutes de traitement, les premiers soins soulagent très vite le patient qui se détend. Il la regarde dans les yeux , comme souvent les patients, la position de travail favorisant ses regards. Souvent, elle remarque chez ses patients hommes une certaine attirance. Il est vrai quelle est plutôt séduisante, même en tenue de bloc, avec ses yeux dun bleu clair limpide.
Ce regard insistant la trouble, le patient allongé sur son fauteuil, à sa merci. Elle profite dun changement dinstrument pour toiser sa victime : elle remarque tout de suite, sous ce pantalon de travail, une bosse énorme au niveau du sexe de cet homme qui parait pourtant si ordinaire.
Son mari Charles, a un sexe dune taille normale, rien dextraordinaire mais cela lui suffit amplement. Depuis ses accouchements, lors de leurs ébats le couple a recours régulièrement à des sex toys. Rebecca en a de toutes les tailles. Sa préférence va à un sex toy classique, en silicone, dune taille standard et souvent son mari la prend en mettant linstrument dans son vagin en même temps que son sexe. Rebecca apprécie cette sensation de plénitude vaginale et jouit en général très vite ; il lui arrive même davoir deux orgasmes rapprochés, au plus grand plaisir de Charles.
Elle termine le soin, en mettant un pansement provisoire. Elle informe le patient quil faudra revenir pour finir le travail. Ce dernier semble embêté, il doit partir en déplacement la semaine suivant pour deux mois à létranger. Rebecca cherche une solution et réalise quelle est de garde le dimanche suivant, sans savoir pourquoi, elle propose au patient un rendez vous le dimanche en fin de programme.
Rebecca termine son programme opératoire de la journée, fatiguée. Elle rentre chez elle excitée, sans savoir pourquoi. Le soir même, à la plus grande surprise de Charles, dans leur chambre, une fois les enfants couchés, elle lui fait comprendre quelle est disposée à se faire prendre. Elle commence par une longue fellation, qui met son mari dans un état second. Elle lèche la hampe de chair avec ferveur, plus quà lhabitude. Elle sent son vagin qui suinte dun mucus qui la brûle et qui coule le long de ses cuisses. Charles remarque cette excitation, il sort le sex toy fétiche de Rebecca, lui fait lécher et lui enfourne brutalement dans le vagin. Elle proteste pour la forme mais adore cette brutalité mesurée. Charles commence à la pilonnée avec cette colonne de silicone partageant le conduit élargi avec son sexe. Rebecca sent le désir et le plaisir monter en elle. Elle écarte ses cuisses au maximum, elle a envie de se faire remplir. Charles commence à lui dire au creux de loreille, des cochonneries qui lexcitent : tu aimes salope, je vais te défoncer le vagin tu sens ma queue et ton god ? Elle ne répond pas elle savoure. Ses mots crus lexcitent, elle pourtant si bourgeoise, si bien élevée, se transforme en véritable chienne une fois excitée et pleine. Elle aime comme son mari la prend. Charles lui demande son cul, comme à lhabitude elle refuse mais cest un non qui veut dire insistes et tu auras ce que tu voudras. Charles la connaît, il sait quil va pouvoir la sodomiser, cela ne fait que revigorer son érection mais il en veut plus. Il retire le god du vagin de sa petite femme et le présente devant la rondelle rosée de son amazone qui est dans un état second. Cette dernière proteste tout en poussant sur son ventre. Elle sent le bout en silicone entrer dans son rectum. Charles va doucement, applique des petits mouvements de va et vient qui rapidement dilatent la rondelle bientôt entièrement ouverte, noffrant quasi plus aucune résistance à linstrument magique. Au bout de quelques minutes, Rebecca a les quinze centimètres de silicone dans le rectum. Cest la première fois en dix ans que Charles lui enfile un si gros instrument dans lanus. La situation la surprend et lui fait atteindre un état dexcitation encore jamais atteint depuis son dépucelage à 18 ans par cet homme qui aujourdhui la possède. Charles reprend sa pénétration vaginale. Il lui demande si cette double pénétration lui plaît, elle lui répond par un oui interminable qui emporte un orgasme profond, vibrant, venant du plus profond de ses entrailles. Son rectum est parcouru dondes à la fois de plaisir et de contractions douloureuses. Rebecca perd pied, elle ne contrôle plus rien et sabandonne à cette jouissance puissante. Cette dernière entraîne, comme une explosion en chaîne, lorgasme de Charles qui éjacule au fond du vagin de sa femme. Tous deux sendorment exténués, ce rapport les ayant achevés. Rebecca sent son anus dilaté comme jamais, elle a un peu mal mais les endorphines libérées lors de cet orgasme ravageur, la mette dans un état de pleine sérénité. Avant de sendormir, sans savoir pourquoi, Rebecca repense à son dernier patient du jour et revoit limage de ce gonflement sous le pantalon de chantier.