Cette aventure m’est arrivée il y a quelque temps déjà.
J’étais âgée de 36 ans au moment des faits dont je vais vous faire part. Un de mes cousins m’avait invité à aller passer quelques jours chez lui à la campagne. Qui dit campagne dit évidemment ferme et qui dit ferme dit fermier. J’avais donc sympathisé avec un voisin qui m’avait beaucoup plu et la chaleur aidant (c’était l’été), il n’avait pas eu de mal à m’attirer dans sa couche.
Je suis une femme particulière. Je suis nymphomane. Pour pas mal de garçons, ça sonne bien à leurs oreilles, chouette, une fille qui passe son temps à baiser et qui jouit facilement. Dans les faits, non. C’est une vraie maladie extrêmement invalidante et entraîne une dissociabilité, mais je fais avec et je compense, effectivement, par une activité sexuelle importante. Et comme je le disais tout à l’heure, qui dit ferme dit… animaux.
Devant mon insatiabilité, le fermier me dit que je pourrais me laisser tenter par les animaux. Les chiens tout particulièrement. Et justement, Rocky, son beau berger allemand n’en est pas à sa première femme.
Si je le veux bien, il me propose d’organiser une rencontre. Je lui demande un moment de réflexion.
— Si tu veux, dis-moi quand tu seras prête.
Une dizaine de jours plus tard, un samedi, je suis avec lui. La rencontre est pour maintenant, je lui ai donné mon accord. Patrick me propose de me déshabiller tandis qu’il va chercher Rocky dans la pièce adjacente. À peine entré, le chien me renifler sous toutes les coutures. On sent vite que la bête est habituée aux femelles, et pas qu’à celles de son espèce.
Il vient me sentir les cuisses, les fesses, la chatte.
— Assieds-toi et écarte tes cuisses, tu vas voir.
Rocky ne s’est pas fait prier et très vite, sa langue râpeuse, rugueuse, s’attaque à mon petit minou, me léchant longuement et s’appropriant toute ma vulve. Mais rapidement, il lui en faut plus. Il se redresse et ses mouvements me font comprendre qu’il veut beaucoup plus de moi.
— Si tu veux compléter ta formation, redresse-toi et mets-toi à quatre pattes. Il sait ce qu’il a à faire.
Je suis encore debout tandis qu’il s’agrippe à ma jambe, faisant mine d’en faire son amante. À peine suis-je à quatre pattes, qu’il me grimpe dessus et entreprend de me pénétrer. Patrick vient l’assister et l’aide à trouver sa voie dans mon ventre.
— Il va vouloir te posséder comme ses femelles, tu vas voir, tu vas adorer.
Je ne comprends pas tout de suite ce qu’il veut me dire puisqu’il est clair qu’il me possède déjà bien… Mais je comprends lorsque son braquemart, fiché en moi, commence à enfler encore plus.
— Patrick… mon Dieu, Patrick, qu’est-ce que c’est.
— C’est normal, c’est sa boule en bas de sa queue. C’est pour que tu ne puisses pas le faire sortir de toi et que ça bloque sa semence dans ton ventre, c’est comme cela qu’il s’assure la fécondation de sa femelle qu’il est en train de grimper.
Cette grosseur, chaude et animale qui venait appuyer sur mon point G, quel bonheur, j’étais aux anges. Je sentais par ailleurs son sperme chaud et abondant se répandre en moi, m’inonder, me remplir. Cet accouplement dura bien une bonne vingtaine de minutes avant que Rocky ne dégonfle et ne quitte mes entrailles. J’étais bien, très bien même, mais la nymphomane que je suis n’était pas satisfaite, il m’en fallait plus, je voulais continuer et le fis remarquer à Patrick.
— Patrick, je ne suis pas encore rassasiée, j’ai encore envie, je veux continuer avec un autre de tes chiens, je veux encore me faire posséder la chatte.
— Eh bien, ma belle, toi, il ne faut pas t’en promettre… Attends une seconde, je vais chercher Fureur.
Je me trémousse dans cette position, ma vulve dégouline du sperme de Rocky qui goutte sur le sol. Quand, en face de moi, un mastodonte entre dans la pièce. Fureur, c’est un Doberman. L’un de plus grand chien existant. Et d’après Patrick, tout est à l’avenant chez lui. Il vient vers moi et commence à lécher mon visage. Je lui rends son baiser et nous nous roulons une pelle mémorable. Puis, rapidement, il fait le tour de moi et vient lécher la semence de Rocky qui suinte encore de mon vagin.
Patrick, à nouveau, l’aide à trouver mon orifice et il s’y introduit rapidement, me défonçant de son sexe animalier mais monumental. Il me lime comme un fou et je fonds sous ses assauts, ondulant de mon bassin pour profiter encore plus de ses mouvements. A ce moment je me sens bien chienne à bouger mon bassin comme une salope en chaleur. Il n’y avait pas photo et Rocky était une petite bite (c’est le cas de le dire) à côté de lui. Il me possédait avec bestialité et ramonait mon intérieur comme une bête, déversant en moi des flots de semence qui venait appuyer sur les parois de mon vagin, l’écartant, l’emplissant, le distendant avec son nud qui grossissait encore et encore que je crus qu’il allait finir par me déchirer la chatte. Son nud, comme celui de Rocky, venait appuyer sur les parois de mon vagin, me faisant partir dans des orgasmes répétitifs qui m’emplissaient de bonheur.
Soudain, fureur s’arrête de bouger. Il est verrouillé en moi et il continue à déverser son jus de mâle pendant de longues, de très longues minutes. Cette foi-ci, le verrouillage a duré près de 40 minutes.
Après ce temps de plaisir bestial, Fureur sort de mon corps. Patrick le raccompagne à sa niche tandis que je fonce prendre une douche pour laver toutes les traces de cet accouplement contre nature. Bien entendu, le coquin Patrick vient me rejoindre.
— Alors ma belle ça va ? T’as aimé ? Tu sais que tu m’as épaté, pour une première fois tas pas eu froid aux yeux.
— Un peu mal aux genoux mais sinon oui j’ai aimé, j’aurais jamais pensé que c’était aussi bon d’être grimpé par des chiens.
— Si je comprends bien tu recommenceras de nouvelles expériences comme celles-ci ?
— Oui t’as bien compris, mais que dirais-tu de me rejoindre sous la douche et de me baiser toi aussi ?
— Mmmmm t’es vraiment qu’une nympho toi ma salope.
— Oui je suis une nympho mais c’est cela que t’aimes chez moi.
Patrick se mit nu et vint me rejoindre sous la douche et pas plus dérangé que ça par les assauts de ses deux bestiaux quelques instants plus tôt, il m’investit lui aussi de sa verge puissante et se déverse bien au fond de ma chatte, venant mélanger son essence masculine avec celle de ses deux chiens.