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Le Mariage de Mathilde – Chapitre 2




Jour J-7 = « le voyage »

Les passagers en provenance de Cayenne-Rochambeau : arrivée porte 13.

J’ai plusieurs fois pris l’avion, mais rarement sont les fois où je suis aussi heureux d’être attendu par une aussi belle femme que Mathilde !

Yann ! m’appelle-t-elle.

Elle est là, dans une jolie petite robe en jeans, normalement toute boutonnée sur le devant, mais qu’elle a laissée ouverte sur sa poitrine, laissant voir la naissance de ses seins, et un peu de leur sillon…

Je dois avouer que je me suis demandé, en descendant de l’avion, comme on allait se « retrouver » : façon Julia Ninos dans « Le Mariage de mon meilleur ami »… ou tout simplement comme deux bons amis ? Je n’ai même pas à y penser : Mathilde me saute déjà au cou, manquant de peu de me faire tomber, le tout en m’embrassant… sur la joue (soyons sérieux : elle va se marier) !… Et là, c’est la cavalcade de questions !

Tu vas bien ? Tu as fait bon voyage ? Vous n’avez pas eu trop de turbulences ? Vous avez mis combien de temps ? Tu as eu quel film ? Tu as bien avancé ton roman ? Tu …

C’est peut-être méchant à dire, mais je suis comme sauvé par le gong… un gong qui prend la voix d’une jolie hôtesse, aux longs cheveux bruns bouclés et aux yeux bleus, le tout sur un corps mince, et agréablement proportionné :

Je vois que vous avez retrouvé votre amie… j’espère avoir le plaisir de vous retrouver, un jour, sur un autre vol… me lance-t-elle, avant de s’éloigner.

Mathilde l’observe quelques secondes, puis me regarde à nouveau avec son petit air malicieux :

Tu me racontes ? me dit-elle.

Loin de moi l’envie de choquer les jeunes personnes qui pourraient entendre quelques-unes de mes explications, je préfère attendre le calme solitaire de la voiture.

Si vous le prenez comme ça… mais dans ce cas, mon cher, vous aurez tout intérêt à ne manquer aucun point de détail ! me répond-elle, du tac au tac.

Nous échangeons un regard hautain que nous tenons pas plus de cinq secondes, avant de partir dans un fou rire…

A peine installés dans sa voiture qu’elle me presse de lui raconter mon histoire.

« Je passe les formalités habituelles : le show des hôtesses pour indiquer les mesures d’urgence, le décollage, la petite collation… et tout le toutim. Cependant, je précise que l’appareil était à moitié vide, ce qui fait que j’ai pu avoir une place en première classe, sans voisins…

On avait décollé depuis trois heures environ, le film qui était projeté était plutôt stupide, si bien que j’avais préféré écouter de la musique. Je somnolais doucement, lorsque j’ai senti une main se poser sur ma jambe !

Reprenant mes esprits, je me suis retrouvé dans la pénombre de la cabine, où tout le monde semblait dormir… enfin, presque tout le monde : une hôtesse était assise dans le fauteuil voisin, et me caressait la cuisse !

Elle m’a regardé avec un sourire coquin, et a posé son index sur ses lèvres, pour me faire comprendre qu’il ne fallait pas faire de bruit… enfin, pas trop…

Sa main est venue caresser la bosse qui se formait entre mes jambes, puis sans hésitation, elle a ouvert le pantalon et glissé sous le caleçon ! Je peux te dire que cette hôtesse est assez douée pour ce qui est des caresses !… Mais bon, je ne suis pas resté immobile pour autant : j’ai déboutonné son chemisier… elle ne portait pas de soutien-gorge… et je lui ai alors caressé les seins, tout en lui pinçant doucement ses tétons, en les faisant rouler entre mes doigts.

Au bout d’un moment, elle s’est levée pour venir s’agenouiller entre mes jambes, et sans attendre, elle s’est mise à me sucer… divinement, je dois l’avouer ! J’ai failli lui exploser deux fois dans la bouche, mais elle le sentait, et ralentissait alors ses caresses buccales.

Quand j’ai senti que j’allais partir pour la troisième fois, je l’ai arrêtée, et aidée à se relever. Elle s’est rassise, et à mon tour, je me suis agenouillé entre ses jambes. Délicatement, j’ai remonté sa jupe sur ses cuisses. Je lui ai enlevé sa petite culotte… petite dentelle noire… et j’ai approché ma bouche de sa petite chatte. J’ai commencé par caresser mes lèvres sur les siennes, avant de leur donner de petits coups de langue. Je l’entendais qui commençait déjà à gémir ! Puis j’y ai enfoncé ma langue, aussi loin que je pouvais : elle m’a plaqué la tête contre son minou pour que j’aille au plus profond ! J’ai continué ainsi, jusqu’à ce que je la sente se raidir : elle a dû avoir un orgasme !

Toujours à genoux, je me suis redressé, et sortant une capote d’une poche, je me la suis enfilée.

J’ai passé mes mains sous ses fesses, et je l’ai attirée vers moi : mon sexe s’est retrouvé face à sa petite chatte dégoulinante. Elle a croisé ses jambes dans mon dos, et doucement, j’ai posé mon gland sur ses lèvres, que j’ai un peu caressé, avant de m’enfoncer en elle… tout en l’embrassant, pour étouffer d’éventuels cris…

Je suis parti dans un petit va-et-vient : ses seins remuaient sous mes coups de reins… je ne te raconte pas comment ça m’excitait encore plus !

Peu de temps après, c’est elle qui m’a arrêté. Je me suis relevé pour retourner à ma place. Tout en maintenant sa jupe à sa taille, elle est venue s’asseoir sur mes cuisses, en me tournant le dos. Délicatement, elle a saisi ma bite, et s’est empalée dessus, avant de commencer à glisser de haut en bas sur elle. Au départ, mes mains étaient sur ses hanches, mais je les ai rapidement portées sur ses seins que j’ai à nouveau massés, caressés, pincés…

Au bout d’un moment, elle s’est à nouveau arrêtée, pour se relever, se tourner vers moi, et se rasseoir sur mes cuisses… Heureusement qu’on était en première classe car ce n’est pas en classe vacances qu’on aurait pu le faire !

Elle a repris mon sexe en main pour s’empaler à nouveau dessus …

J’avais sa poitrine à hauteur de mon visage : pendant qu’elle recommençait à glisser le long de ma verge, j’ai sucé ses seins, mordillé ses tétons…

… Et on a fini par exploser en même temps… Elle m’a embrassé amoureusement, avant de se relever, et de libérer ainsi mon sexe.

Elle m’a ensuite enlevé le préservatif, et m’a fait un nettoyage en règle ! … Je n’ai jamais vu une hôtesse aussi dévouée pour ses passagers !

Elle s’est ensuite rassise pour remettre un peu d’ordre dans sa tenue, tout en discutant… en me demandant si j’étais attendu, si j’étais libre… vu qu’elle avait une semaine de vacances, qu’on aurait pu passer, ensemble, chez elle… Mais je lui ai répondu que j’étais attendu pour le mariage de ma meilleure amie… sur quoi elle a ajouté, en me laissant un petit papier plié, que ce n’était peut-être que partie remise… et elle est retournée à son poste.

J’ai ouvert le mot : c’était son adresse et son téléphone !

Plus tard, elle est passée avec une collègue pour distribuer les petits-déjeuners. Je lui ai souri, et elle m’a fait un clin d’il en me passant mon plateau. Nos mains se sont touchées… et je l’ai sentie qui me laissait quelque chose… J’ai attendu qu’elles soient passées pour regarder : dans ma paume, j’ai trouvé sa culotte en petite dentelle noire… »

« A ce que je vois, tu profites toujours de chaque occasion qui te tombe sous la main ! » me lance-t-elle avec un sourire coquin !

Tu peux parler ! … C’est bien toi qui m’avais rejoint dans les toilettes du train !

Peut-être, mais tu n’avais pas dit non à ce moment-là ! … Ni quand on y est retourné avant d’arriver sur Paris !

Le voyage se poursuit ainsi, en se remémorant nos ébats dans tel hôtel… dans tel ascenseur… dans telle forêt…

Au bout d’un moment, la voiture prend une petite allée dans une petite forêt, qui nous mène à un grand portail, derrière lequel se cache une superbe propriété ! Je n’ose même pas demander la superficie du jardin… c’est rempli de parterres de fleurs, de petits bosquets d’arbres … Il y a déjà de grandes tentes d’installées (sûrement pour le mariage) !

Mathilde s’arrête devant une immense maison, « façon Moulinsart » (vous savez, le château du capitaine Haddock dans les aventures de Tintin).

Mazette ! Il me faudrait la même ! dis-je en rigolant.

Soit pas jaloux : sincèrement et entre nous, je préfère bien mieux ta petite maison, en bord de mer, sur ta petite île de Bretagne ! Elle est peut-être plus petite et plus simple, mais elle est « vivante ».

Il est vrai qu’en entrant dans la demeure, tout n’est que grandes pièces, meublées façon Versailles ! Entre nous, vu la propriété, je m’attends à tomber sur des « châtelains-bourgeois de la Hau​te »… Ben non ! Les (futurs) beaux-parents sont tout à fait « normaux », de même que le fils ! … La seule petite ombre que je trouve, c’est Elizabeth, la fille : chignon et lunettes pas trop à la mode, elle a l’air « vieille-fille » avant l’âge… Dommage, car elle semble avoir une agréable silhouette…

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