Mon histoire commence alors qu’après un repas chez des amis, nous décidons de terminer la soirée en boîte de nuit.
Ma femme est habillée particulièrement sexy. Une jupe noire ultra courte au plus près du corps, mettant en valeur sa chute de reins et ses fesses fermes. Le haut, un juste-au-corps sans soutien-gorge, épouse le galbe de ses seins, laissant apparaître au grè de ses sensations, des mamelons aux tétons agressifs.
Alors qu’elle se préparait, j’ai commencé à la caresser, retroussant sa jupe pour découvrir ses fesses. Je m’apprêtais à écarter son string pour glisser entre les deux globes ma queue en pleine érection quand d’un geste elle m’a arrêté prétextant que nous étions déjà très en retard. Ce n’est que devant mon air dépité qu’elle s’est agenouillée devant moi et, m’a gratifié d’une pipe dont elle a le secret, me laissant lui tapisser la gorge de ma semence qu’elle s’est empressée d’avaler avant de se lever et finir de se préparer comme si de rien n’était.
Repus, je l’ai donc laissée tranquille mais j’ai bien senti que cet intermède l’avait excitée et qu’il allait falloir que je m’occupe d’elle au plus vite car la connaissant, je savais qu’un autre que moi pourrait profiter de ses bonnes dispositions, pour peu qu’il sache s’y prendre.
Durant le repas, je remarquais que mon épouse ne parlait pas beaucoup contrairement à ses habitudes. En y regardant de plus près, je remarquais un comportement suspect de son voisin de table. En effet, régulièrement, une de ses mains disparaissait sous la table, tandis que je voyais ma femme se mordre les lèvres ou encore, porter une des ses mains à sa bouche pour la mordre discrètement.
Je décidais d’en avoir le cour net et, laissais tomber ma serviette au sol ce qui me permis de me pencher pour voir, en levant discrètement la nappe, ce qui se passait sous cette table.
A peine surpris je découvre que ma femme a écarté ses cuisses aussi largement que lui permet sa jupe permettant ainsi à son voisin de table, des intrusions discrètes vers son intimité. De temps en temps, je remarque qu’il porte l’air de rien ses doigts à ses narines, regardant toujours aussi discrètement mon épouse qui, semble flattée et satisfaite, des initiatives de son chevalier servant.
Je ne suis pas particulièrement jaloux mais là, je ne peux m’empêcher de penser qu’ils exagèrent car bien que le repas se déroule dans une ambiance feutrée avec un faible éclairage, leur manège risque fort de finir par attirer l’attention des autres convives.
A un moment, comme souvent lorsque nous sommes éloignés l’un de l’autre, nos regards se croisent, s’accrochent et restent soudés l’un à l’autre pendant plusieurs secondes qui me paraissent durer une éternité.
Je suis troublé car je sais que pendant qu’alors que nous communions, une main étrangère, des doigts étrangers sont sûrement logés le plus profondément possible au fond de sa chatte.
Comme dans un rêve, elle me sourit puis, sans aucun doute sous le coup d’une onde de plaisir plus forte distillée par ces doigts qui la fouillent, ferme les yeux non sans avoir jeté un rapide coup d’oil à son tortionnaire.
Nous nous connaissons si bien qu’à cet instant précis, elle sait qu’elle vient de me faire savoir qu’elle éprouve du plaisir. Elle ouvre aussitôt les yeux comme pour vérifier si j’ai compris puis calmement, se dégage, se lève et vient vers moi en s’arrêtant à hauteur d’une amie pour lui glisser quelques mots à l’oreille.
Enfin elle arrive à ma hauteur, se penche à mon oreille pour me prévenir qu’elle va se refaire une beauté dans la salle de bain de nos hôtes et qu’elle a besoin de moi.
Je la laisse s’éloigner puis me lève à mon tour. La porte est entrouverte, elle m’attend les fesses appuyées contre le meuble des lavabos. Elle me regarde entrer, je ferme la porte derrière moi puis sans un mot, me dirige vers elle.
Elle a juste le temps de me dire :
— Je suis trempée.
Et moi de lui répondre :
— Je sais.
Puis, sans fioriture, je l’embrasse à pleine bouche, lui trousse sa jupe jusqu’aux hanches, fait craquer l’attache de son string qui tombe à ses pieds et la soulève pour la poser au bord du meuble.
Elle a ouvert ma braguette pour extirper ma queue déjà en train de baver d’excitation. Sans un mot, je m’enfonce en elle. Elle ne dit rien non plus, ouvrant un peu plus ses cuisses, prête à tout pour se faire pardonner. Elle passe ses jambes autour de ma taille puis, toute penaude me dit :
— Pardon mon amour.
Je ne réponds pas tout de suite, me contentant de lui asséner plusieurs violents coups de reins qui lui arrachent immédiatement de sourds gémissements où se mêlent plaisir et douleurs.
Ses yeux basculent vite dans le plaisir. Je la regarde, pantelante au bout de ma queue et le regard dur je lui assène :
— Tu t’es conduite comme une salope. Tu mérites une punition.
— Pardon mon amour. Je t’aime.
— C’était bon ?
Un léger moment d’hésitation puis :
— Il m’a fait jouir. T’es fâché ?
— Racontes-moi tout sans rien oublier, petite salope de bourgeoise. Dis-moi comment tu as pu te laisser fourrer les doigts dans la chatte par un inconnu.
— Il a su me faire rire avant de commencer à me peloter discrètement les cuisses sous la table.
— Continue.
— Rapidement, il a retroussé ma jupe pour pouvoir accéder à mon entrejambe. J’étais déjà excitée en arrivant à cause de toi, j’avais encore le goût de ton sperme dans ma bouche. Je l’ai laissé faire.
— T’avais l’air d’aimer çà.
— Oui, j’étais déjà mouillée aussi il a facilement glissé un doigt dans ma fente avant de commencer à me branler le clito.
— J’ai vu sa main entre tes cuisses. Qu’est-ce qu’il t’a fait ?
— Il m’a prise avec deux doigts puis s’est mis à me tripoter le bouton. J’ai joui sur sa main. C’était excitant de le voir, sentir ses doigts trempés de mon jus.
— Salope, je t’ai vu jouir, j’ai imaginé ses doigts enfoncés dans ta fente. J’en avais mal à la queue d’excitation de savoir qu’un inconnu te fouillait le ventre en face de moi comme si de rien n’était.
— C’était excitant de se faire doigter au milieu des autres en train de parler de choses insignifiantes et surtout avec toi en face de moi. C’est ce qui m’a fait jouir.
— J’ignorais avoir épousé une vraie salope.
— J’ignorais avoir épousé un voyeur, excité de voir sa femme se faire doigter par un autre homme.
— Rectification, je n’ai rien vu, juste imaginé.
— Tu dis çà comme un regret. T’aurais peut-être voulu le voir me mettre sa grosse bite dans la chatte, non ?
— Et si je te dis oui ?
— Je suis à toi, c’est toi qui décide mais si tu l’exiges je suis prête à tout pour satisfaire mon seigneur et maître.
— Méfies-toi, tu ne sais pas à quoi tu t’exposes.
— Si tu es là, je n’ai pas peur.
— D’accord, alors, je veux le voir te prendre et se faire sucer.
— Quand ?
— Ce soir.
— Baises-moi fort, fais jouir ta salope qui s’apprête à se faire mettre par un autre, et qui mouille rien que d’y penser.
Pendant ce long dialogue, je n’avais, pas une seconde, arrêté de la secouer. A chacun de mes coups de boutoir, ma femme, poussait un long râle de plaisir. Nous arrivions au bout du voyage. Elle s’appuya contre le miroir avant de laisser éclater sa jouissance. Je continuais sur le même rythme, la laissant profiter pleinement de son plaisir puis, je me retirais doucement, avant de poser mon gland sur sa rosette.
Elle comprit mes intentions et, encore dans les brumes du plaisir, tira sur ses jambes pour me faciliter la tâche. L’entrée était trempé de ses sécrétions, aussi, sans attendre, j’avançais fermement mon bassin en avant. Les chairs ne résistèrent pas, s’ouvrant sans rechigner à l’assaut.
Je la regardais se donner, ouvrant toute grande sa bouche, en sentant mon vit s’engouffrer dans son cul.
— Oui mon amour, encules-moi. Casses-moi le cul car dans quelques heures un autre que toi, va planter sa grosse queue dans mon ventre et me faire jouir puisque tu le veux.
— Je veux que tu le suces aussi, n’oublies pas !!!
— Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, avant qu’il m’enfonce sa grosse bite dans le ventre, je l’aurais sucé comme tu aimes, en lui léchant les couilles et en lui permettant de s’enfoncer tout au fond de ma gorge.
— Aaaaaaaaaaaaaahhhh, je vais jouiiiiiiiiiiiir ma salope adorée.
— Ouiiiiiiiiiiiiiiiii, jouiiiiiiiiiiis mon amour, moi aussi, je viiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiens.
Je m’immobilisais profondément enfoncé dans ses entrailles, savourant le plaisir de lui inonder les intestins. Ma femme qui pendant tout ce temps n’avait pas cessé de se masturber, se remit à jouir bruyamment à peine quelques secondes après moi.
On resta un moment, soudés l’un à l’autre, savourant cet instant d’éternité. Mon épouse était encore excitée, elle m’attira contre elle, pour réclamer un baiser profond, aspirant ma langue avec gourmandise, puis, me dit :
— Les autres vont s’inquiéter de cette absence prolongée.
— Tu crois ? c’est surtout ton chevalier servant qui doit se languir de ta petite chatte.
— Allons les rejoindre.
— C’est parti.
— C’est sérieux ce que tu m’as demandé.
— Très sérieux.
— J’ai peur !!
— Je ne serais jamais bien loin.
Notre retour parmi les convives passa presqu’inaperçu. Seul le voisin de table aux doigts baladeurs, se pencha vers elle pour lui dire quelque chose.
Je vis ma femme se pencher elle aussi vers lui pour lui répondre, une de ses mains posée sur son avant bras.
Ce qu’elle lui dit sembla lui convenir car cela déclencha un grand sourire tandis qu’il levait les yeux vers moi, comme pris en flagrant délit.
Le repas se termina normalement puis, plusieurs convives proposèrent de finir la soirée dans une boîte réputée du coin. J’acceptais avec plaisir, sachant que nous pourrions plus facilement nous éclipser pour mettre notre projet à exécution.
Nous voilà tous partis vers cette fameuse boîte de nuit. Nous commandons un verre et comme par enchantement, le voisin de table, Angelo pour ne pas le nommer, se retrouve à côté de mon épouse. Je m’éloigne un peu, histoire de lui laisser le champ libre. C’est tout naturellement qu’ils se retrouvent au milieu de la piste de danse pour un premier slow. Je recommence à bander car il la serre de près. Ses mains s’égarent souvent aussi discrètement que possible sur sa croupe. Ma femme le laisse faire. Elle doit mouiller la salope de savoir que je la surveille bien à l’abri d’un coin sombre.
Angelo, se penche souvent pour lui parler à l’oreille, ce qui déclenche inévitablement des sourires entendus de ma femme, qui, de temps à autre, essaie de me localiser mais sans y parvenir.
J’en déduis qu’elle doit avoir besoin de me parler aussi, je sors de ma cachette afin qu’elle puisse m’apercevoir. Aussitôt, elle se détache de son cavalier pour venir vers moi et me glisser :
— Il voudrait que nous nous éclipsions pour aller passer un moment chez lui.
— Et toi ?
— Moi j’ai envie qu’il me baise mais j’ai un peu peur d’aller chez lui. Je préférerais chez nous. Tu veux bien ?
— C’est plus prudent effectivement. Et puis, je pourrais vous rejoindre discrètement pour admirer le spectacle. Va dans la chambre d’amis et laisse la porte ouverte.
— Merci mon amour.
— Salope, tu ne perds rien pour attendre.
Son plus beau sourire aux lèvres, elle m’embrasse à pleine bouche, frottant une dernière fois sa langue contre la mienne, la suçant goulûment puis, s’éclipse, me soufflant doucement :
— Bientôt, tu verras une bonne grosse queue dans cette jolie bouche. A tout de suite et ne me laisse pas trop longtemps seule avec lui car je ne suis pas trop rassurée.
— Files avant que je ne change d’avis.
Je la voie rejoindre son futur amant, qui, après l’avoir écouté, lui mets carrément la main aux fesses tandis qu’elle se dirige vers la sortie de la boîte.
J’attends un moment puis, à mon tour, je décide de les rejoindre.
Une voiture est stationnée derrière la maison. J’en déduis que c’est celle d’Angelo qui a préféré se réserver un moyen de repli au cas où. Les lumières sont éteintes mais je sais que ma femme a dû monter directement dans la chambre d’amis à l’étage.
J’entre en ouvrant le plus discrètement possible la porte d’entrée que ma femme avait pris soin de ne pas verrouiller. Bien m’en prends car je réalise immédiatement qu’elle n’a pas pu aller bien loin et en tout cas pas à l’étage où se trouve la chambre d’amis.
J’entends ses gémissements de plaisir tout près de moi. Ils sont dans le salon, c’est-à-dire à deux pas de l’entrée.
Son prétendant a dû lui sauter dessus à peine la porte d’entrée franchie. Je jette un coup d’oil et, j’aperçois ma femme, les bras en croix sur la table de la salle à manger, deux chaises qui devaient les gêner sont à terre, Angelo debout derrière elle, son pantalon à ses pieds, la maintient solidement par les hanches.
La jupe de mon épouse est retroussée sur sa taille, elle porte encore ses chaussures aux pieds, s’agrippant comme elle peut des deux mains de chaque côté de la table pendant que son amant la bourre littéralement en faisant claquer son pubis sur ses fesses à chacun de ses coups de boutoir.
Je ne peux m’empêcher de penser qu’elle voulait de la queue et que là, elle était servie.
Je ne sais pas bien entendu depuis combien de temps, Angelo est en train d’aller et venir entre ses reins, mais à ce rythme, je me dis qu’il ne va pas tarder à lui balancer la purée.
Je suis un peu déçu car, s’il jouit tout de suite, ma femme restera sur sa faim et ne gardera pas un bon souvenir de cette première aventure extraconjugale.
Angelo ne faiblit pas et j’entends maintenant les cris de mon épouse qui lui annonce que sa grosse bite va la faire exploser. Elle le supplie de ne pas arrêter, qu’il lui fait trop de bien.
Angelo, n’en a visiblement pas l’intention. Il se met à l’invectiver dans des termes crus, que jamais jusqu’à cette soirée je n’aurais osé utiliser.
— Petite salope de bourgeoise. Tu cachais bien ton jeu devant ton mari, alors que j’avais deux de mes doigts enfoncés dans ta moule et que tu lui faisais tes petits sourires. Tu vas prendre ce que tu mérites et t’as pas intérêt à faire la mijaurée.
— Continues, ça vient, je vais jouir. Baises plus fort, je t’en prie. Secoues-moi avec ta grosse bite. Mets la moi bien profond. C’est trop boooooooonnnnn.
— Et t’as pas encore vu celle de mon pote Amir, je vais l’appeler et on va te baiser comme tu le mérites, tu vas voir ce que c’est qu’une bite d’arabe.
— Fais-moi jouir d’abord, plus fort. Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhh.
C’est comme çà que ma petite femme a explosé une deuxième fois grâce à ce cher Angelo. Il l’a laissée récupérer un peu, se contentant de faire coulisser sa grosse queue dans la chatte de ma femme, histoire de garder une forme olympique.
— T’es vraiment une salope, toi. J’en reviens pas comme tu aimes la bite. Si ton mari te voyait, il n’en croirait pas ses yeux, ni ses oreilles d’ailleurs tellement tu brailles fort.
Ma femme n’était pas en état de répondre. Elle se laissait insulter sans réagir. Je vis Angelo, fouiller dans la poche de sa veste. Il en sortit un téléphone et, sans demander l’avis de ma femme, composa un numéro.
Je réalisais qu’il était en train d’appeler son copain. Il lui donna l’adresse et lui dit de se manier car il était tombé sur une grosse gourmande de bourge qui ne demandait qu’à se faire défoncer.
Ma femme tendit l’oreille, protestant mollement en disant qu’elle ne voulait pas d’une partouze et que de toute manière son mari allait rentrer lorsqu’il s’apercevrait qu’elle avait disparue de la soirée.
— Tais-toi salope. Tu va voir que tu vas en redemander. Allez, écartes tes fesses et plus vite que ça, j’ai envie de t’enculer.
— Non, s’il te plaît, pas çà, tu es trop gros, tu vas me faire mal.
— Tais-toi et détends-toi sinon, je vais te casser le cul.
Dans l’ombre, je me demandais s’il n’était pas temps d’intervenir car le gentleman commençait à devenir un peu trop violent pour mon goût.
Avant toute chose, je retournais vite à la porte d’entrée et, donnait deux tours de clé, pour empêcher l’autre lascar d’entrer par surprise si j’ose dire, puis je retournais à mon poste d’observation.
Ma femme avait obtempéré et écartait ses fesse à deux mains.
— Regarde-moi ce petit fion qui ne demande qu’à être perforé. Demandes-moi de t’enculer ma belle, allez, j’attends.
J’attendais moi aussi, prêt à intervenir au moindre appel de ma femme mais je l’entendis dire comme dans un rêve :
— Encules-moi. Casses-moi le cul. Mets-moi ta grosse bite qu’on en finisse.
Satisfait, Angelo, lubrifia une dernière fois son chibre dans la chatte de mon épouse et, posa le gros gland noueux sur sa rosette. Sans attendre, il avança son bassin en avant, tandis que ma chérie, se mit à pousser des petits cris de douleur :
— Aie, aie, putain tu vas me déchirer le cul. Doucement, s’il te plaît, doucement.
— Arrêtes de brailler, tu m’as déjà aspiré la moitié du noud. Encore un coup de reins et tu l’auras dans le cul jusqu’aux couilles.
— Aaaaahhhhhhhhhhhhhhhhh, j’ai maaaaal. Attends. Laisses-moi m’habituer, s’il te plaît. Je t’en supplie, doucement.
— Trop tard ma p’tite enculée. Allez, je te laisse souffler un peu.
— Je regardais le visage de ma femme. Des gouttes de sueur perlaient sur ses tempes. Elle soufflait comme un petit chien pour atténuer la brûlure en attendant que ses muqueuses s’habituent au mandrin qui la perforait.
Au bout de quelques secondes, c’est elle qui commença à bouger ses fesses. Son enculeur, posa ses mains sur son cul pour la bloquer et recula doucement. Je voyais le gros morceau de chair sortir doucement des deux globes, entraînant avec lui, l’anneau de chair, comme s’il allait sortir du cul de ma femme.
Je me dis qu’elle allait se souvenir longtemps de cette sodomie hors norme.
Toujours les mains bien ancrées sur les fesses de ma femme, Angelo, replongea d’un trait dans les entrailles offertes.
Ma femme poussa un nouveau ouuuuuuuuuffffffffffffff, encaissant le coup sans pour autant essayer de s’y soustraire.
Angelo, se mit à coulisser dans l’arrière-train de ma chérie, lentement d’abord mais puissamment puis, commença à accélérer la cadence.
Ma femme ne se plaignait plus. Je voyais ses chairs sortir de ses fesses à chaque fois qu’Angelo sortait son mandrin. Elle accompagnait maintenant les coups de reins, allant carrément à la rencontre de l’énorme bite.
Angelo, ne put s’empêcher de l’invectiver encore une fois :
— Alors petite pute blanche. T’aime çà une grosse bite dans ton cul, non ? dis-le que tu aimes te faire enculer. Dis-le.
— Oui, j’adore. Tu me fais mal, mais j’adore sentir ton gros machin m’ouvrir le cul.
— Ouais. Ton cul ne ment pas. Il aime la bite et ça se sent. Mais putain, qu’est-ce qu’il fout ce con d’Amir. Il est temps qu’il arrive à la rescousse car t’es trop bonne. Je vais jouir.
— Oh oui, Angelo, jouis, jouis s’il te plait. Remplis-moi les boyaux de ton jus. J’ai trop envie de te sentir jouir dans mon cul.
— Salope. T’es vraiment une salope. Aaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhh, je viens. Tiens, prends ça, salope. Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiissss.
Dans un dernier coup de reins. Angelo, tenant solidement les hanches de mon épouse, se raidit et, avec un cri de bête sauvage, se laissa aller à la jouissance. Ma femme, le laissa docilement s’épandre dans ses entrailles, balayant du regard autour d’elle pour s’assurer de ma présence.
Enfin elle m’aperçut. Rassurée, elle se laissa alors retomber sur la table, les bras en croix, offerte aux caprices de son bourreau sexuel. Elle état épuisée, son cul lui faisait mal. Heureusement la dose de sperme qu’elle venait de recevoir, calmait un peu le conduit anal malmené.
C’est à peine si elle sentit son enculeur, s’extraire de son cul pour la prendre dans ses bras et lui demander où se trouvait la chambre où elle voulait l’emmener. Je l’entendis lui répondre :
— A l’étage. 1ère porte à droite.
Angelo, monta les escaliers quatre à quatre avec son colis dans les bras. Je les suivais le plus discrètement possible.
Il la posa à plat ventre en travers du lit, puis, se remit à la caresser doucement.
Il est habile car pendant qu’il la caresse, je m’aperçois qu’il a récupérer sa ceinture ainsi que le foulard qu’il avait autour de son cou.
Doucement, il attache les poignets de ma femme aux montants du lit en lui disant qu’il adorait caresser une femme attachée. Sans méfiance, ma femme accepte de le laisser faire.
Il décroche alors les cordelettes des rideaux et finit d’immobiliser ses jambes, prenant soin de les écarter au maximum.
Mon épouse essaie de bouger mais se rend compte qu’elle est totalement à sa merci. Elle commence à paniquer, lui demandant de la libérer car elle n’avait pas l’habitude et tout çà lui faisait peur.
Angelo un sourire aux lèvres lui répondit :
— C’est trop tard ma petite pute blanche. Tu es totalement à ma merci jusqu’à ce que ton mari rapplique.
Sur ces mots, il recommença à la caresser. Mon épouse effrayée malgré ma présence toute proche, n’osait pas le contrarier.
Il passa plusieurs fois ses doigts dans la fente ouverte, dégoulinante de secrétions et, finit par y plonger plusieurs de ses doigts. Un, deux, trois et enfin quatre. Il les faisait aller et venir de plus en plus profondément dans la fente, si bien qu’ils étaient maintenant enfoncés jusqu’au pouce.
Mon épouse, qui ne pouvait pas bouger, savait qu’il s’apprêtait à lui enfiler sa main entière dans la chatte. Elle essayait de se détendre le plus possible, pour que cela se passe dans les meilleures conditions.
Elle avait mal mais en même temps ces 4 doigts dans son intimité lui faisaient un bien fou. Elle se surprit à donner des petits coups de reins à la rencontre des doigts qui la perforaient. J’entendais le bruit indécent que faisaient les va-et-vient dans la vulve en feu. Tout à coup, ma femme hurla :
— Mets-là moi. Enfonce-là toute entière. Viiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite.
— Salope va, tiens prends ça grosse gourmande.
Joignant le geste à la parole. Angelo, joignit son pouce aux quatre autres doigts et, les enfonça dans la vulve en tournant. Ma femme grimaça de douleur au moment où la main entière s’engouffra dans son ventre, inexorablement aspirée par la cavité en ébullition.
Elle se mit à jouir bruyamment, insultant son tortionnaire tandis qu’un flot de mouille se mit à gicler de ses entrailles.
— Aaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhh salopaaaaaaaaaaaaaarrrrd. Tu m’as ouvert le ventre avec ta main. Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiisssssssssssss.
— Jouis ma belle, je te l’avais promis. Jouis.
— Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhh. Tu vas me tuer. Salauuuuuuddddd.
Angelo, actionnait sa main comme un piston dans le fourreau de chair de ma tendre épouse. Elle jouissait en permanence. Criant et pleurant en même temps. Hurlant son plaisir à qui voulait l’entendre. Angelo, imperturbable, continuait de la défoncer. Je ne voyais que son poignet qui entrait et sortait inlassablement de la chatte de mon épouse. Celle-ci n’en pouvant plus de plaisir, secouant la tête dans tous les sens, le suppliant d’arrêter, que c’était trop, qu’elle allait mourir. Sa voix perdit rapidement de l’intensité pour ne plus former qu’un râle à peine audible, vaincue par le plaisir, elle finit par perdre connaissance.
Angelo, fier de lui, continua un moment à la pistonner mais, voyant qu’elle n’avait plus aucune réaction, s’arrêta enfin. Il extirpa doucement, sa main qui m’apparu couverte d’abondantes secrétions intimes, pour ne pas dire poisseuse.
Le lit était trempé, on aurait juré qu’elle avait carrément uriné dans les draps.
Angelo resta ainsi un bon moment à côté de mon épouse mais celle-ci restait désespérément inerte. Il se leva, montrant quelques signes d’impatience en regardant sa montre.
— Putain mais qu’est-ce qu’il fait ce con ?
Je me rendis compte que son compère devait être sur le point d’arriver. Il fallait vite que je trouve un moyen de mettre un terme à cette sauterie car ma femme ne pourrait pas satisfaire un deuxième lascar sans y perdre des plumes.
Je réfléchissais à toute vitesse et la seule solution me parut celle du mari qui revient à la maison à la recherche de son épouse. C’était à mon sens, le moyen le plus sûr pour faire fuir l’intrus sans qu’il n’y ait de grabuge.
Je ressortais en vitesse de la maison, courait à ma voiture, lançait le moteur et après un rapide demi-tour dans la rue, entrait tous feux allumés dans la cour de la maison. Je traînais un peu dans la cour avant d’ouvrir la porte d’entrée et, appelait ma femme pour savoir si elle se trouvait bien là.
Sans me presser je fis mine de chercher au rez-de-chaussée puis je montais à l’étage. J’arrivais finalement dans la chambre d’amis pour découvrir ma femme, dans la position où je l’avais laissée quelques minutes plus tôt mais, heureusement seule. Son amant avait judicieusement pris la poudre d’escampette. Ouf.
L’aventure se terminait plutôt bien mais avec un peu trop de risques pour ma femme cependant. Elle était toujours dans les vaps lorsqu’après l’avoir détachée, je l’ai portée puis déposée dans notre lit. A peine a-t-elle ouvert les yeux pour m’esquisser un sourire pendant que je lui faisais un brin de toilette, retombant immédiatement dans les bras de Morphée jusqu’au lendemain matin déjà tout proche.
Même si le plaisir avait été à la mesure de nos espérances, la situation avait failli nous échapper aussi, nous nous sommes jurés dorénavant, de ne plus se lancer tête baissée dans n’importe quelle aventure aussi tentante soit-elle.
Heureusement que ma femme avait suivi mon conseil et, réussit à convaincre son amant de venir chez nous plutôt que chez lui, car je n’ose imaginer la suite de cette aventure.