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De Hervé à Vanessa, chienne soumise – Chapitre 27




De retour sur le yacht, je remets Véro à Axiana et je cours voir Émile. Je le trouve en passerelle avec Aléxia sur ses genoux. Je lui raconte le fiasco de la soirée.

— J’en suis navré pour toi, me dit-il, mais ce n’est pas grave, vu qu’elle est à bord. Tu vas pouvoir la dresser comme tu l’entends…

— Mais non, je ne suis pas une Sado moi, je n’y arriverai pas… Mes yeux commencent à rougeoyer.

— J’espérai que tu me dises ça, mais pourquoi l’avoir emmené à bord, alors…

— Pour la faire la plus parfaite des femmes pour Gégé. Obéissante et totalement bisexuelle.

— Je vois et tu m’en vois ravie… C’est très bien ma fille…

— Euh… Si je puis me permettre, nous dit Aléxia, pour ce qui est de gouines, j’en connais trois à qui cela un plaisir de l’éduquer… Sous la direction d’Axiana. Rajoute-t-elle avec un sourire coquin.

Elle nous montre les trois matelotes en train d’astiquer la plage avant. Émile nous donne carte blanche et nous signale que nous partons demain pour trois semaines de navigation. Je précise que Gégé m’a donné son accord. Il fait descendre Aléxia. Le bruit de succion que j’entends me fait éclater de rire. On part tous les trois dans un fou rire.

— Ha, mes filles, je revis, je revis. Dit-il en descendant du pont.

— Désolé de t’avoir dérangé.

— Non, on n’était pas en train de baiser…

— Juste un p’tit câlin à son papa ?

— Rhooo, jalouse…

— Non, du tout. J’aime vous voir vous aimer.

Elle se retourne et la vue de son entrecuisse trempée me confirme que ce n’était pas juste un câlin. Je souris et je la prends dans mes bras. Elle sent mon sexe gonfler entre ses fesses.

— Tu ne débandes jamais…

— Pas en te voyant, Penche-toi. Voilà comme ça.

— Non tu ne vas pas… Han, hummm…

Trop tard, je suis déjà au fond de sa chatte, mon pubis collé sur ses fesses. Elle bouge son cul sur ma bite. Je l’embrasse dans le cou. Elle respire de plus en plus fort. Je lui pince les tétons. Je bouge mon bassin et ressors ma queue entièrement. Elle couine d’impatience.

— C’est tout ce que tu auras… Pour le moment. Lui dis-je en tournant les talons.

— T’es qu’une salope…

"CLAC", une bonne claque sur les fesses avant de rejoindre le salon, deux ponts plus bas. Toutes les filles sont en train de bronzer. Je les rejoins. Malika et Théna s’empressent de me passer de la lotion solaire sur tout le corps. Les mains s’attardent sur mes seins. Elles jouent avec mes piercings. Malika descend plus bas et me lèche la queue.

— Hum, Aléxia a bon gout, un délice. Dit-elle avant m’enfourner jusqu’au fond de sa gorge.

C’est un doux supplice que de voir ma belle princesse s’occuper de ma verge. Elle joue avec mon "Prince Albert". Elle s’est installée entre mes cuisses et me regarde en souriant. Théna, quant à elle, elle nous regarde, les yeux pleins d’amour. Je la prends par la nuque et l’embrasse goulûment. Axiana vient dans mon champ de vision.

— Mademoiselle Véro est dans sa cellule… Me dit-elle.

Malika et Théna se relèvent et me demandent si elles peuvent aller la voir. Je leur réponds par l’affirmative. Tel des cabris, elles courent vers le dernier pont.

— MALIKA, THENA, arrêtez de courir, bon sang de bonsoir… Hurle Maria, un ces quatre elles se casseront une jambe…

Les deux donzelles ont stoppé net leur course folle et dandinent du cul en marchant posément, ce qui a pour effet de nous faire rire. Maria se lève et les accompagne.

Je suis seule avec Caro.

— Tu veux que je continue ce que Malika a commencé ?

— Non, un peu de repos à "Popol" lui fera le plus grand bien.

— Hummm, dommage…

Je sais, la volonté de ce que femme veux… Elle s’allonge à côté de moi et me caresse le sus-dit "Popol" du bout des ongles.

— On ne dirait pas qu’il veuille du repos ton "Popol".

Elle dit ça en me regardant et en se pinçant la lèvre inférieure. Je ferme les yeux et elle prend cela comme une acceptation. Elle plonge ma queue dans sa cavité buccale et entame une gorge profonde. Je ne résiste pas longtemps à ce traitement. Elle me malaxe mes deux valseuses et je lui remplis la bouche de ma semence. Comme à son habitude, elle n’en perd pas une goutte et avale tout. Elle me fait un bisou sur le gland et se rallonge comme si de rien n’était, juste un petit clin d’il avant de réajuster ses lunettes de soleil.

Le retour des quatre filles se fait entendre. Outre les remarques sur les piercings de Véro, elles trouvent très joli les tatouages et me dise qu’elle porte fièrement son collier. Domi, qui était resté avec Véro, me dit que ce sera plus long à cicatriser qu’elle ne pensait et que David était en train de lui mettre du baume.

La première semaine de mer fut calme. Je fécondais mes trois femelles plusieurs fois par jour, J’offrais mon cul à Émile et à David, je baisais avec plaisir Maria, Caro et Domi. Véro prenait son rôle de soumise avec plus de dévotion que je ne l’imaginais. Elle mangeait parfois avec nous, mais sur la table basse du salon. Axiana, en bonne gouvernante, la ramenait avec plaisir jusqu’à sa cellule. Elle s’amusait de trainer derrière elle une grosse chienne tenue en laisse. Je soupçonne même qu’elle devait baiser toutes les deux. Une fois, je l’ai surprise avec les triplées revenir la gueule pleine de mouille et ma Véro, étalée par terre dans sa cabine, inerte, un gode planté dans chaque trou.

La deuxième semaine, Véro a bien cicatrisé. Elle se gouine comme si elle l’avait toujours fait. Je l’offre en pâture à toutes les filles et les deux hommes du bord s’en donnent à cur joie. Ils lui ont offert une double vaginale. Moi, je lui apprends la gorge profonde. Elle fait des progrès. Je crois que Gégé va apprécier.

La troisième est plus cool. Véro est la chienne de service. Toutes les chattes, toutes les queues n’ont plus de secret pour elle. Elle pompe et lèche divinement bien. Les trois surs lui ont fait une éducation parfaite.

Arrive le jour où nous mouillons au large du Cap-d’Agdes. Véro est impatiente de retrouver son Gégé. Il arrive par l’annexe et monte à bord. Elle est stressée. Je la tiens en laisse. Gégé est pantois devant la transformation. Je lui tends la laisse. Il l’embrasse d’un baiser passionné. Elle dénoue son bermuda de bain qui lui tombe à ses pieds. Sa bite tendue attire les lèvres de Véro, qui s’agenouille. Elle regarde Gégé et lui gobe la bite. Gégé est aux anges. Ils se regardent avec amour. Je les laisse à leurs retrouvailles.

Je descends vers ma cabine retrouver mes trois chéries. Elles jacassent entre elles. Elles m’annoncent qu’elles vont à la plage. Connaissant les us et coutumes du Cap, je me vois mal les accompagner.

— Mais si, me lance Malika, on sera là, avec toi… S’te plait… Au moins tu sauras si tues aussi belle que nous… HIHIHIHIH…

Comment résister à une telle demande ? Je craque toujours, je cède toujours à ses demandes. J’enfile un mini-sort en toile blanche et un tee-shirt sans manche blanc. Je prends mon nécessaire de plage dans un grand sac et un paréo.

— Je suis prête.

On croise Gégé et Véro en train de forniquer dans la coursive. Ils ne nous calculent même pas. Véro est plaquée sur la paroi et le Gégé la défonce en l’injuriant. On est toutes les quatre pliées de rire. On les laisse.

Une angoisse me gagne quand on atteint les dunes. Les gens se baladent tous à poil, signe qu’il est temps pour nous d’en faire de même. Pour les filles, facile, mais pour moi avec ma bite qui balance entre mes cuisses (au fait, Malika me l’a mesuré. Elle fait 22×7 cm en pleine forme. C’est bien ce que je pensais, le traitement de David a joué un rôle. Avant elle faisait 20×5. Il va falloir que je lui en touche deux mots). J’ôte mon tee-shirt, jusque-là, pas de problème. Vient le tour de mon mini short. Je cache mon sexe avec le sac de plage et nous voilà partis pour le bord de la grande bleue. Une fois trouvé une place où il n’y a pas trop de monde, on s’installe. Théna et Aléxia ont prévu des pares-vent, ce qui me rassure. Je me mets à poil et mallonge sur le ventre. Quand les filles décident d’aller se baigner, c’est plus dur. À contrecur, le me lève et cours à l’eau. Elle est un peu fraîche, mais je m’en fous. Personne ne semble me regarder. Tout le monde s’en moque de voir une superbe créature aux seins parfaits et avec une bite entre les jambes. Je me détends, je batifole avec mes trois amours comme une gamine. Après deux heures de baignade, bronzage, elles décident de prendre un verre à la paillote de la plage. Inconsciemment, prise dans l’euphorie, me voilà assise sur un tabouret de bar, entourée des filles. Le Barman, la cinquantaine vient prendre notre commande. Il a bien remarqué ce que j’ai entre les jambes, mais ne fait aucune remarque.

— Alors tu vois, me dit Malika, ça ne dérange personne…

— Oui, bon bin ça va…

On sirote notre second cocktail quand le barman, qui s’avère être le patron, nous offre un verre. La température monte et on lui demande s’il est possible de manger. Il nous répond par l’affirmative et il nous installe a une table au bord de l’eau. Le paradis. Un vent chaud vient me caresser les couilles. Ma bite, qui était restée sage jusqu’à maintenant, remonte fièrement. Malika, Théna et Aléxia me sourient. Le patron vient nous servir nos salades et repart, pas offusqué par ma bite qui grossit encore. Quand il nous apporte le pain, il bande.

— C’est ma femme qui vous met dans cet état. Lui lance Malika.

— Il faut dire que vous êtes largement la plus jolie qui m’a été de rencontrer. Répond-il en me regardant.

— Merci, c’est gentil, lui dis-je, si vous voulez en profiter…

— Non, non, c’est pas que l’envie me manque, mais je crois que bobonne ne serait pas de cet avis… Dit-il en me montrant la plantureuse blonde derrière le comptoir.

— Tan-pis. J’aurai essayé…

On part tous dans un fou rire avant que le patron ne soit rappelé à l’ordre par sa femme.

On règle et on va déambuler dans les boutiques sexy. Il y a de tout, mais de piètre qualité. On décide de prendre une glace et de rentrer.

À bord, tout et calme. On monte en passerelle pour y trouver Émile et David en grande discussion. En nous voyant habiller, Émile nous dispute comme des gamines, comme ses filles. On a compris le message, on part vers notre cabine pour se mettre à poil. Une fois "habillé" de nos colliers et de nos plugs, on remonte plage arrière. Émile y est.

— Bon, les filles, il faut que je vous laisse. Je dois repartir à Lyon et je vais profiter d’être ici en France. Je pars dans deux heures. Aléxia sera votre commandant pour votre retour vers Ibiza.

— Bien papoune, mais avant j’ai une question.

— Oui, vas-y Vanessa, je t’écoute.

— Malika et moi en avons marre de cette coupe de cheveux, on voudrait les laisser pousser.

— Hum, hum, pourquoi pas… Vous êtes mes filles, alors oui…

Il n’a pas le temps de finir sa phrase, que Malika et moi lui sautons au cou. On est heureuse de pouvoir enfin à ressembler à de charmantes jeunes femmes.

Il donne ses consignes à Alexia et disparait dans sa cabine. David nous apprend que Gégé et Véro ont débarqué depuis deux heures, ils semblaient plus amoureux que jamais. Tant mieux, je me voyais mal à la fouetter.

Il nous faut deux jours de navigation. Aléxia prend son rôle très au sérieux et nous mène à bon port. Les trois petites pestes nous regardent quitter le bord en espérant nous revoir très vite

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