Après avoir obtenu mon baccalauréat et après ce stage (voir ’Un stage intéressant’) qui m’a fait découvrir la sexualité grâce au concours de dames appartenant au troisième âge, je dus poursuivre mes études dans une université située dans le chef lieu de département, à une cinquantaine de kilomètres de chez moi et je l’avoue je n’étais pas fâché de m’éloigner du giron familial qui commençait à m’étouffer quelque peu. Bien sur, comme à son habitude, c’est ma mère qui choisit la pension qui m’accueillerait pendant l’année scolaire et, pour rester fidèle à elle-même, elle jeta son dévolu sur une pension de famille dirigée par deux soeurs d’un âge certain, catholiques et respectueuses des valeurs morales et civiques.
Donc, le samedi précédent la rentrée universitaire, ma mère et moi avons débarqué dans cette pension. Madame M. Qui se faisait appeler Madame Gertrude, son prénom, nous reçut, prit un bon quart d’heure sur son précieux temps pour nous expliquer les règles draconiennes appliquées dans son établissement puis nous mena jusqu’à ma chambre en nous ayant montré au passage, la terrasse avec salon de jardin, le living avec télé et la salle à manger. Pendant cette courte visite j’eus tout loisir pour détailler Madame Gertrude. Elle devait avoir la cinquantaine, assez grande, bien en chair, solidement charpentée. Son visage légèrement maquillé était agréable, ses cheveux châtains coiffés en chignon lui donnaient un air sévère. Son tailleur lui marquant bien la taille, laissait deviner une forte poitrine qu’un soutien-gorge maintenait très haute. Sous sa jupe s’arrêtant au genou, on devinait une paire de solides cuisses, des hanches en amphores. Les mollets gainés de bas nylon couleur chair étaient biens dessinés. Elle nous amenas donc à la chambre qui m’était destinée, située au premier étage, elle était spacieuse, bien agencée, sobrement décorée avec bien entendu, un crucifix accroché au dessus du lit. La directrice nous laissa seuls.
Ma mère rangea mes affaires et pendant ce temps, je me rendis sur le balcon qui semblait faire le tour de la maison. Regardant sous moi, je vis Madame Gertrude en conversation avec une autre femme, un peu plus jeune me sembla-t-il, blonde, menue. Les bribes de leur conversation me parvenaient difficilement mais j’avais l’impression que les propos tenus pas la directrice étaient débités sur un ton particulièrement vif.
Ma mère repartit chez elle après d’ultimes recommandations. J’avais donc tout le week-end pour me familiariser avec ma nouvelle résidence et ses occupants. Cette pension n’avait rien d’universitaire aussi je ne fus pas surpris de ne pas y rencontrer d’occupants sensiblement de mon âge. La première personne qui m’aborda était une femme frisant la soixantaine, petite boulotte, bien mise, le visage poupin, souriant.
— Bonjour, me dit-elle. Nouveau? Vous n’avez pas peur de vous ennuyer dans cette sinistre pension?
Je lui expliquais en quelques mot le comment et le pourquoi j’avais échoué ici.
— Madame Gertrude, continua-t-elle, sous un air revêche, est plutôt gentille. Le manger est bon et copieux, vous deviez vous en douter ajouta-t-elle en riant de bon coeur, mon embonpoint est là pour le confirmer. Au fait, je me prénomme Germaine.
— Moi c’est David. Cette pension est peut-être sinistre mais votre bonne humeur la rendra un peu moins et puis, au sujet de vos rondeurs, laissez-moi vous dire qu’elles sont là où il faut et qu’il faut mieux faire envie que pitié.
— Merci de vos compliments mon petit David, même si ce n’est que par pure politesse. Si je n’avais pas le double de votre âge j’aurai pu croire que vous essayez de me faire la cour.
Me rappelant les braves dames de la résidence de personnes âgées, j’avais plutôt l’impression que c’était elle qui me draguait.
— Il y a-t-il beaucoup d’autres pensionnaires demandai-je?
— Non, avec vous nous sommes 4. Il y a monsieur Jean, un vieux, encore très vert, que l’on ne voit qu’aux repas. Le reste de son temps il le passe à l’extérieur à courir la minette.
Puis avec un grand soupir elle ajouta:
— Dommage qu’il n’aime que la chair fraîche.
Je compris le message. Madame Germaine, malgré son âge, n’était pas encore résignée à vivre en bonne soeur.
— Il y a aussi Muguette, une jeune femme de 32 ans qui n’apprécie pas qu’on lui dise Madame car elle est encore demoiselle, une vraie demoiselle comme elle aime encore se définir. Une demoiselle toute neuve qui se réserve pour son grand amour. Pour moi, c’est une refoulée qui attendra encore longtemps son prince charmant mais au fond, étant sa voisine de chambre, ce que j’entends le soir, me laisse supposer que sous ses airs de sainte-nitouche, elle dissimule un sacré tempérament. Vous voyez ce que je veux dire, hein! Il n’y a pas de mal à se faire du bien.
En disant cela elle me fit un clin d’oeil complice qui laissait supposer qui lui arrivait de pratiquer l’autosatisfaction et que je devais certainement la pratiquer aussi. Je ne répondis rien, mon sourire suffit. Germaine reprit:
— Au fait je ne sais pas pourquoi je vous raconte tout cela. Peut-être parce que vous m’êtes sympathique et que je sens que l’on peut vous faire confiance.
— Merci Madame Germaine, je sens déjà que grâce à vous, mon séjour ici sera plus agréable. Mais, tout à l’heure j’ai vu Mme Gertrude parler avec une autre femme.
— Ah oui! J’allais l’oublier celle-là! Elle est tellement effacée. C’est Nini, enfin Nicole, la soeur cadette de Gertrude. C’est sur elle que la directrice se repose pour ce qui est de l’intendance; le ménage, la laverie, la nourriture.
— J’avais eu l’impression qu’elle l’enguirlandait?
— Ce n’est pas qu’une impression. Nini est son souffre douleur. Au moindre petit manquement aux tâches qui lui sont dévolues, elle subit des remontrances et pour l’humilier encore plus, elle n’hésite pas à les faire devant nous et je ne suis pas tout à fait sure, mais dans le privé, elle pourrait bien lui infliger des sévices physiques. Enfin ce sont leurs affaires n’est-ce pas mon petit David?
Pendant le déjeuner je regardais les convives, essayant de me faire ma propre opinion et mes conclusions n’étaient guère éloignées de celles de Germaine. Je sentais aussi les regards des autres s’appesantir sur moi, surtout celui de Nini qui, en faisant son service, ne cessait pas de me regarder. Germaine s’était assise à mes côtés, tentait d’accaparer mon attention, jugeant que notre conversation de tantôt lui en donnait le droit. Pour le repas elle avait mis un corsage quasi transparent dont le décolleté laissait apparaître le sillon d’une poitrine comprimée par un soutif sûrement trop petit pour elle. Sa jambe qui était de mon côté, venait, sporadiquement toucher la mienne et à chaque fois que cela se produisait, elle tournait la tête vers moi et souriait.
Après le café, j’allais rejoindre le living pour suivre les informations à la télé. Germaine bifurqua vers les chambres en me lançant:
— Moi, dit-elle, je vais faire une petite sieste. Au fait David, si vous avez besoin de quelque chose, n’hésitait pas, ma chambre est celle au fond du palier à droite.
Pour une invitation, c’était une invitation, déguisée certes, mais une invitation quand même. Muguette qui montait elle aussi à l’étage, nous regarda avec l’air de dire: ’Ah! La Germaine! Toujours prête à faire des cochonneries celle-là’.
Je m’installais devant la télé. Je vais résister un bon quart d’heure me dis-je puis j’irai rendre visite à cette brave dame. A cette pensée mon sexe pris du volume. Malheureusement, le fauteuil confortable et le repas copieux eurent raison de ma résistance et je sombrais rapidement dans un profond sommeil. Je ne me réveillais que 2 heures plus tard. Germaine passa devant moi, une tasse de thé à la main, en me lançant un regard furibond.
Après tout me dis-je, ça ne lui fera pas de mal d’attendre. Plus c’est long, plus c’est bon.
Le repas du soir fut très calme. Chacun avait le nez dans son assiette, on entendait que le bruit des fourchettes. Nini, comme pour le déjeuner, assurait le service et comme à midi, elle cherchait à capter mon regard. Ce manège n’avait guère échappé à Germaine qui me lança un regard noir.
Je me couchais de bonne heure et avant de m’endormir j’essayais de récapituler ma journée et, en passant en revue toutes les pensionnaires, je me mis à bander. Ce n’était plus un problème car, depuis mon stage, je savais comment faire retomber la tension aussi ma main caressa la hampe et après quelques petits titillements, j’attaquais une masturbation en règle. Mon imagination allait bon train. Mentalement je déshabillais Mme Gertrude et admirais son solide corps ou je dévoilais la poitrine de Germaine ou je me représentais Muguette en train de se branler mais, au moment où le plaisir s’annonça, c’est à Nini que je dédiais mon éjaculation.
Le lendemain matin, je croisais Nicole et l’abordais sous le prétexte de savoir où l’on pouvait déposer son linge sale.
— Vous de descendrez au sous-sol, c’est là qu’est la buanderie. Vous verrez, il y a un panier à votre nom. Le linge lavé et repassé sera ramené dans votre chambre.
Nicole avait débité sa réponse, tête baissée, sur un ton monocorde comme si elle récitait une leçon apprise par coeur. A peine eut-elle fini son monologue qu’elle fit demi-tour et j’aperçus, non loin d’elle, sa soeur Gertrude qui l’apostropha dés qu’elle passa à sa portée. C’est bizarre, me dis-je, on a l’impression que la patronne la surveille constamment.
En remontant vers les chambres, je tombais sur Mme Germaine qui arborait une magnifique robe de chambre en satin, tenant dans la main une serviette et un nécessaire de toilette.
— Je vais prendre un bon bain, minauda-t-elle, si vous voulez m’accompagner pour me frotter le dos je n’y verrais aucun inconvénient. Elle avait lancé cela sur le ton de la plaisanterie mais, au fond, elle n’aurait pas refusé mes services. Sur le même ton je lui répondis:
— Commencez à vous baigner, j’arrive.
Germaine avait compris que je n’irais pas aussi laissa-t-elle tomber sa serviette et s’agenouillant pour la ramasser, non seulement le décolleté de sa robe de chambre bailla si fort que je vis ses seins jusqu’aux tétons qu’elle avait très saillants au demeurant, mais les pans de son peignoir s’écartèrent et je pus voir entre ses cuisses sa touffe de poils un peu roux, comme sa chevelure. Mme Germaine resta dans cette position un peu plus que nécessaire pour être sur que je ne perde rien du spectacle qu’elle m’offrait et profiter de sa position pour regarder ma braguette qui se trouvait à hauteur de ses yeux. Ce n’est qu’une fois dans la chambre que je m’aperçus qu’elle n’était pas fermée.
— Elle a vraiment le feu au cul la Germaine, me dis-je, je vais peut-être essayer d’en profiter ce soir.
Sitôt le déjeuner avalé, je me précipitais dans ma chambre. Je fis un petit somme et me réveillais avec une trique terrible. J’ouvris ma braguette et, avec beaucoup de difficultés tant elle était raide, je sortis ma bite et commençais à me la caresser quand j’eus l’envie de m’exciter grâce à quelques revues pornos que j’avais réussi à dissimuler, à l’insu de ma mère, dans mon cartable. Ce n’est guère facile de se masturber quand il faut tenir la revue et tourner les pages en même temps mais il y a un avantage car, comme il faut retirer sa main de temps en temps, cela permet de ne pas jouir trop vite.
L’excitation montait lentement quand j’entendis cogner à ma porte.
— C’est Germaine, entendis-je, il faut que je vous parle!
— Oui, oui, j’arrive criai-je légèrement en colère.
Je jetais ma revue de l’autre côté du lit, rangeais tant bien que mal ma queue dans mon pantalon puis allais ouvrir.
— Entrez Mme Germaine, de quoi voulez-vous donc me parler?
— Et bien voilà, attaqua Germaine une fois la porte refermée. Je veux vous parler de… En fait de rien. Je voulais vous voir. Depuis hier vous semblez m’éviter pourtant vous avez sans doute remarqué que j’aurais aimé que l’on devienne, comment dirai-je, plus intime.
Tout en parlant elle avançait dans la chambre et bientôt elle remarqua la revue que j’avais essayais de dissimuler sous le lit. Sur la couverture couleur on pouvait distinguer un visage de femme faisant une fellation à un énorme sexe masculin.
— Vous me désolez, mon petit David, reprit Germaine en s’approchant de la revue, préférer le virtuel à la réalité. Peut-être ne me trouvez-vous pas assez bien pour vous, mon âge, mes rondeurs, peut-être?
— Non, répondis-je en bégayant quelque peu, furieux de m’être laissé surprendre, ce n’est pas ça mais…
— Alors, vous préférez vous soulager tout seul? Ne protestez pas, votre braguette n’est pas refermée. C’est une habitude chez vous, déjà ce matin! Allons, ne rougissez pas, c’est normal à votre âge, vous êtes plein de sève. Je vous fais peur? Vous êtes puceau?
Germaine se baissa et ramassa la revue.
— Je n’en ai jamais lu, dit-elle. Mon dieu, quel bel engin ajouta-t-elle en regardant la queue en gros plan.
Elle s’assit au bord du lit et feuilleta le magazine.
— Alors dit-elle en continuant à feuilleter le magazine, peur ou puceau? Ou les deux?
— Ni l’un ni l’autre répondis-je.
— Alors je suis trop vieille, c’est ça?
— Oh non! J’aime les vieil… Pardon les femmes mûres. D’ailleurs ce sont-elles qui m’ont déniaisé.
— Ah bon! Tant pis si je passe pour une vilaine curieuse mais racontez-moi.
Je lui narrais les événements survenus durant le stage sans toutefois entrer dans les détails trop scabreux. Mon récit, plus les images de la revue, semblaient échauffer Germaine.
— Si je vous comprends bien, toutes ces dames d’un âge plus que certain, avaient une vie sexuelle intense qu’elles devaient, faute de partenaires, satisfaire elles-mêmes. Donc, si vous me rangez dans cette catégorie, je devrais donc, moi aussi, soulager mes besoins par la masturbation? Eh bien oui! Je me masturbe, je me branle, je me fais reluire. Bien entendu je préférerai que ce soit d’autres doigts que les miens, ou bien une belle bite comme celle que j’admire en ce moment dans ton bouquin mais ce n’ai très facile de trouver un partenaire pour le jeu simplement car, tu t’en doutes bien, je ne cherche pas l’amour sentimental.
Germaine venait de passer du vouvoiement au tutoiement.
— Je peux vous avouer un de mes fantasmes lui demandai-je? Enfin pas un vrai fantasme puisque je l’ai déjà vécu, disons plutôt ce que j’aime beaucoup.
— Lâches-toi, mon petit David. Tu peux tout me dire.
— Et bien, ce que j’adore par dessus tout c’est de voir une femme se donner du plaisir. Cela peux vous paraître pervers mais j’adore voir ses doigts sur sa chatte, voir son visage se déformer par le plaisir qui l’envahit, entendre ses gémissements, voir son corps se tendre sous l’orgasme, entendre enfin ses cris de jouissance.
Pendant que je parlais, Germaine avait soulevé sa robe et enlevé sa culotte.
— Oh mon David! Comme j’aime t’écouter. Comme tu parles bien de la femme et de son plaisir, viens, approches, regardes-moi, regardes ma chatte elle est trempée. Je vais t’offrir le spectacle que tu aimes tant voir.
Germaine s’était laissée tomber en arrière sur le lit et avait écarté ses grosses cuisses. A deux mains elle tenait sa moule ouverte. Entre ses petites lèvres, monstrueuses, des filets de mouille s’accrochaient, son vagin formait un large gouffre et son clito, bandé, ressemblait à une petite bite.
— Maintenant continua-t-elle, je vais te faire plaisir et me faire plaisir, je vais me branler devant toi.
La valse des doigts commença. Par sa dextérité on voyait bien qu’elle avait une longue pratique de la masturbation. Je bandais comme un dingue. Germaine s’en aperçut.
— David, montres-moi ta bite, il y a si longtemps que je n’en ai pas vu.
Je n’en pouvais plus. Je sortis ma queue.
— Fais comme moi, branles-toi. Moi aussi j’aime ça voir quelqu’un se branler surtout un homme, ça fait si longtemps. La dernière fois c’était avec mon beau-fils, je te raconterais. Il y a eu aussi une petite aventure avec une pensionnaire avec qui j’avais sympathisé et lui ayant avoué que je souffrais beaucoup de ma solitude affective et surtout sexuelle et lui ayant fait comprendre que je compensais ce manque par une forte activité masturbatoire, m’avoua qu’elle était dans la même situation que moi. Bien entendu nos aveux respectifs nous ont conduit à nous donner du plaisir en commun et, bien que mes préférences vont vers la gente masculine, cet intermède féminin ne m’a pas déplu.,
Les révélations de Germaine, surtout son épisode lesbien, enfin presque lesbien (situation que j’ai connu et fortement appréciée lors de mon stage) me firent bander plus fort encore. Je fis coulisser la peau de ma bite, lentement d’abord, faisant bien jaillir mon gland, puis j’accélérais la cadence. Lorsque je fus sur le point de jouir, j’approchais mon chibre de la chatte de Germaine. Pensant que je voulais la pénétrer, elle enleva sa main et j’en profitais pour poser mon gland sur son gros clitoris et fis des va et vient. Au moment où mon foutre jaillit et arrosa le ventre de Germaine, celle-ci appuya fortement ma queue sur sa chatte et deux ou trois aller-retour supplémentaires la fit partir vers une fulgurante jouissance.
— Merci David, ahana Germaine toute essoufflée. Tu peux recommencer quand tu veux.
— Il vous faudra attendre un peu lui dis-je en montrant ma queue qui ramollissait.
— Je peux te laisser seul si tu veux. Je peux emmener un ou deux de tes revues cochonnes?
— Bien-sur, mais ménagez-vous un peu car, d’après ce que vous venez de me dire, la lecture de telles revues associée à votre tempérament volcanique risquent de vous entraîner vers de fréquentes masturbations.
— N’ayez aucune crainte pour moi mon petit David, si vous saviez le nombre d’orgasmes que peux enchaîner.
— Combien demandai-je curieux.
— Mon record est de 12 en 2 heures.
Pendant qu’elle me parlait Germaine se titillait le bouton et sans signe avant-coureur, un spasme la secoua.
— Plus que dix, dis-je en riant, et le record sera égalé.
— Vilain cochon répondit-elle en se masturbant de plus belle, tu te moques de moi et pour te faire mentir, regardes je vais jouir encore une fois. Aaaaah…
Germaine était déchaînée. Je la regardais avec des yeux attendris, conscient que ma présence apportait beaucoup à Germaine qui se rendait compte qu’à son âge, elle pouvait encore tirer d’énormes plaisirs de son corps.
— Racontez-moi lui demandai-je pour entretenir son excitation et voir jusque où elle pouvait aller, racontez-moi l’épisode avec votre beau-fils.
— A quel salaud ce Bernard, dit-elle, en continuant à se caresser la chatte, c’était le mari de ma fille. J’étais veuve depuis un an et, le deuil passé, je refaisais lentement surface et les envies de sexe se faisaient sentir de plus en plus. Ma fille venait d’accoucher et mon gendre vint habiter chez moi quelques jours. Bernard avait l’habitude de déambuler dans la maison en petite tenue et plus d’une fois, le matin, il sortait de sa chambre et son caleçon n’arrivait pas à dissimuler son érection matinale. Mets-toi à ma place, moi en manque et lui bandant comme un âne. Je me mis à me masturber de plus en plus fréquemment et ce qui devait arriver arriva. Tandis que je me labourais la chatte sur mon lit en imaginant le pieu de mon gendre, celui-ci fit irruption dans ma chambre. Je n’avais pas fermé à clef persuadée qu’il n’oserait pas entrer ou alors, inconsciemment j’avais désiré son intrusion. Aussi, lorsque par pur réflexe je cherchais à me dissimuler, Bernard ouvrit son pantalon et me présenta sa queue déjà raide.
— Continuez à vous branler me dit-il d’une voix ferme. Vous n’êtes qu’une chienne. Allez! Branlez-vous!
Comme il commençait à s’astiquer je fis ce qu’il me demandait et, si au début j’eus un sentiment de honte, le plaisir l’emporta vite et bientôt je me branlais avec un plaisir non dissimulé.
Pendant qu’elle me racontait son histoire, Germaine n’avait pas arrêté de se caresser et les souvenirs qu’elle évoquait étaient si présents, qu’elle cessa son récit un instant pour se concentrer sur son orgasme qui pointait. Je la regardais jouir une nouvelle fois. Moi aussi je bandais à nouveau et, prenant la main de Germaine je la posais sur ma queue. Elle trouva tout de suite les gestes qu’il fallait et tandis que j’éjaculais, Germaine jouit une fois encore. Moi qui étais persuadé que son record de 12 jouissances consécutives n’était que pure vantardise, je commençais à la prendre au sérieux.
— Bernard et moi, continua Germaine, avons joui. Toute la journée nous n’avons pas arrêté de nous provoquer et à chaque fois cela finissait par une masturbation. Jamais nous n’avons porté la main sur le sexe de l’autre bien que je fus parfois tentée tout comme lui surement mais le fait de n’avoir pas cédé à la tentation donnait l’impression que je ne trompais pas ma fille et que lui ne trompait pas sa femme. Ce fus juste un moment de folie me disais-je et qui prendrait fin lorsque ma fille rentrera de la maternité. Et bien non, cela dura encore plusieurs mois car ma fille n’ayant pas repris tout de suite ses activités sexuelles avec son mari, ce dernier me rendait visite fréquemment et se plaignant de sa chasteté forcée, de ses masturbations pour se soulager, nous finissions par des séances de masturbation mutuelles.
Et hop! Nouvel orgasme pour Germaine.
— Et avec cette pensionnaire demandai-je? C’était Muguette?
— Oh non! J’aurais bien voulu et j’ai bien essayé mais la sainte-nitouche est restée sourde à mes sous-entendus. Non, il s’agissait de Chloé qui n’est restée malheureusement que 6 mois dans l’établissement. Je dis malheureusement car j’appréciais de plus en plus nos séances en commun et que j’aurais vraiment souhaité aller plus loin dans nos relations.
— C’est à dire demandai-je?
— J’aurais aimé que l’on se caressât l’une l’autre, avec les doigts, dans un premier temps puis avec la langue ensuite.
— Ainsi, affirmai-je, tu ne serais pas contre une séance de broute-minou? Cela te rappelait peut-être ton adolescence?
— Ma préadolescence même, ajouta-t-elle. J’avais environ onze ans, avec ma copine, après les jeux de touche-pipi qui devinrent de plus en plus appuyés, les caresses furent plus précises et c’est à cette époque qu’elle et moi nous découvrîmes le plaisir. Ah! Mon dieu, je m’en souviens comme si c’était hier. J’ai l’impression de sentir encore ses doigts sur ma chatte.
Boostée par ses souvenirs, Germaine qui n’avait encore jamais cessé de se caresser vraiment, accéléra ses mouvements jusqu’à ce qu’une nouvelle jouissance la terrasse. J’essayais de me remémorer son nombre d’orgasmes depuis qu’elle était entrée dans ma chambre mais j’en fus incapable.
— Parles-moi de Chloé questionnai-je.
— Elle avait sensiblement mon âge mais physiquement elle était tout le contraire de moi. Grande, mince, voire même maigre, presque pas de poitrine ni de fesses, le visage ingrat. Avec son air sévère elle n’inspirait pas la sympathie et ce fut-elle qui m’aborda la première sous le futile prétexte de me complimenter sur ma nouvelle robe puis pour me dire que j’étais jolie. Une fois la discussion entamée je me rendis compte qu’elle gagnait à être connue, qu’elle s’était forgé une carapace pour se protéger des personnes peu élogieuses sur son physique ingrat. Pour parvenir à aborder les sujets plus intimes, plus personnels, elle parla des difficultés à trouver un partenaire, toujours à cause de ce physique peu avenant et que ce n’était guère compatible avec ses désirs trop souvent inassouvis. Je lui fis remarquer qu’elle n’était pas la seule, que moi-même etc… Etc…. Nous nous sommes donc avouées que nous étions obligés de nous satisfaire seules. Ensuite, nous avons pris l’habitude de nous offrir l’apéritif dans nos chambres, chacune notre tour et un jour où nous avions abusées du porto, après avoir parlé de choses plutôt coquines, je ne sais qui a commencé mais nous nous sommes retrouvées avec chacune une main dans la culotte. On s’est branlée en nous regardant et nous avons si bien joui que, les jours suivants, sans l’aide de l’alcool, nous avons recommencé. Je me souviens de sa chatte avec ses petites lèvres démesurées qu’elle prenait plaisir à étirer, de ses secrétions abondantes, de son clito long et fin comme une petite bite. Ah! Vilain David! Me faire parler de Chloé, quels pieds nous avons pris, aussi bons qu’aujourd’hui, David, mon salaud de David, je vais encore venir. Aaaah….
Germaine n’était pas loin de son record. Comme je m’étais remis à bander, je pris la main de Germaine et la posais sur ma queue. Dans un premier temps elle fit quelques va et vient, découvrant et recouvrant mon gland puis elle se positionna jambe ouverte au-dessus de mon bassin et se servit de ma bite comme d’un pinceau, en la passant le long de sa fente, insistant un peu plus lorsqu’elle rencontrait son clitoris. Les frottements de mon gland sur ses muqueuses la firent jouir très rapidement. Je lui pris la main pour qu’elle reprenne ses mouvements de va et vient, lui montrant par la même occasion, les endroits et les gestes qui me procuraient le plus de plaisir. Lorsqu’elle comprit mes désirs je la laissais agir seule et j’en profitais pour m’occuper de son pussy. Lorsque j’éjaculais je reçus un flot de cyprine sur la main.
Epuisé je sombrais dans un sommeil réparateur. Quand, une heure plus tard, j’ouvris les yeux, je vis Germaine, regardant une revue cochonne, la main entre les cuisses.
A suivre