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comment je deviens la pute de mon père – Chapitre 1




J’ai 32 ans, 181 pour 71 kg Châtain clair et non poilu, j’ai toujours été homo mais dans ma famille ces choses là ne se disent pas. J’ai donc vécu une homosexualité très discrète jusqu’à mes 30 ans. Etant plutôt charmant et bien fait, j’ai eu beaucoup de succès mais, in fine, mes relations se terminaient toujours sur un échec. Mes petits amis ne voulaient pas vivre caché… Déçu, j’ai décidé à 30 ans de revenir habiter à proximité immédiate de mes parents. Ma mère très catho participait très souvent à des oeuvres caritatives et mon père qui avait toujours été très actif, s’est retrouvé seul à s’embêter ! Ce qui devait arriver est arrivé, il était souvent saoul lorsque ma mère rentrait ! Mais bon, dans la famille, ces choses là non plus ne se disent pas. Ma mère, très forte moralement, avait vécu toute une vie cocue mais toujours fière. C’est qu’elle était frigide et que mon père était chaud comme de la braise. Il avait eu de nombreuses aventures mais pour ses 55 ans, ma mère a soudain mit un arrêt net à ces tromperies. Il faut dire que l’argent vient de sa famille. La propriété est celle de la famille maternelle… Je voyais mon père vieillir mais que pouvais-je y faire… J’avais aussi mes problèmes. Je vivais seul. Je me pliais également à la volonté maternelle !

Un soir, je bus un peu trop… c’est sans doute de famille… Ma mère était partie voir ma sur qui venait d’accoucher, à Paris. JE ne me rendais pas volontiers chez mon père qui avait toujours été très distant avec moi. Nous étions, il est vrai très différent. Lui, était plutôt massif et typé. Très poilu et plutôt musclé, il n’était pas aussi grand que moi. Il devait faire 1M75 pour 85 kg, alors que moi, je suis plus grand, imberbe… et pas assez coureur de fille. C’est quelque chose que mon père n’avait jamais compris. Bref nous étions trop différents pour nous entendre et avoir des discussions intimes. Pourtant ce WE là, j’étais triste. Je voulais changer ma vie. J’avais bu toute la journée car je voulais avouer à mes parents mon homosexualité… Vers 17H, je pris mon courage à deux mains et me rendis chez mes parents. L’absence de ma mère m’avait donné du courage. Je découvris mon père affalé dans le salon. La télévision avait une image brouillée. Il avait du regarder un film. Il avait bu également car une bouteille de whisky était vide sur la table. Je remarquai aussi sa braguette ouverte… Sans doute l’avait-il oublié en allant se soulager… Il ouvrit un oeil et me regarda dans un brouillard. Pour m’a part, je profitai de cet instant pour dire rapidement:

-père, j’ai quelque chose d’important à vous dire. JE ne peux plus le garder pour moi… je… je suis… je suis…

— t’es quoi ? . Il s’était redressé dans son fauteuil et paraissait reprendre rapidement ses esprits

— Je suis homo, j’aime les hommes, et je ne veux plus me cacher…

Mon père fut surpris, me regarda avec étonnement et déclara soudain:

-c’est sans doute ma faute, je ne t’ai pas élevé comme j’aurais du. J’aurais du t’élever à la dure et pas te laisser dans la jupe de ta frigide de mère ! Tu es un faible qui avait besoin d’un homme fort pour te diriger dans le droit chemin ! Tu n’as pas assez reçu de corrections ! Ca t’aurait fait le plus grand bien !

A ces mots, il se leva, se dirigea vers moi et continua:

-mais il n’est jamais trop tard !

Il m’attrapa le bras me tira à lui. Je perdis un peu l’équilibre. Mon père retourna vers son fauteuil en me tenant fermement le bras.

— Père vous me faites mal.

— Ta gueule pédé

Assis, il me fit basculer sur ses jambes. Il lâcha mon bras gauche pour saisir le droit et le tenir serré dans mon dos avec sa main gauche. Sa main droite s’abattit alors durement sur mon postérieur. Je hurlai plus de surprise que de douleur. MAis la douleur allait arriver car mon père continuait à me fesser de toutes ses forces. Il me disait:

— ta gueule pédé ! Quel malheur d’avoir une femme frigide et un fils qui se fait baiser comme une salope ! Car t’es sûrement un passif, une bonne salope à baiser !

Mes fesses brûlaient, mes yeux emplis de larmes. Mon humiliation n’était pas terminée. Mon père me dit soudain:

-baisse ton froc pédé.

Il ne s’agissait pas de refuser. J’avais peur. J’obtempérai, et la main ferme de mon père se remis à me fesser.

— Salope, tu te fais baiser souvent ?

Sa main à présent alternait caresse et fessée sévère

— Répond, salope ! Tu te fais baiser souvent ou t’es une frigide comme ta mère ?

Aucun mot ne pouvait sortir de ma bouche. Seul les sanglots me secouaient…

— Alors salope, tu réponds ?

A ces mots je sentis un de ses doigts me labourer l’anus sans ménagement.

— Humm un anus bien large ! Bien ouvert ! Tu dois te faire baiser abondamment ! T’es bien différent de ta mère qui ne m’a jamais permis de la sodomiser ! Ses coups avaient cessés. Avec ses deux mains, il étirait mes fesses, déjà trois doigts me fouillaient la rondelle. Mon père divaguait.

— Quand je pense que ta mère ma toujours refusé son cul et maintenant elle me prive de celui des autres femmes ! Pourtant moi j’adore ça, un beau cul, lisse et bien rebondit ! Et en tant que spécialiste du cul je peux affirmer que tu as un sacré beau cul de femelle.

Il avait craché sur mon trou. Deux de ses doigts s’enfonçaient maintenant rapidement dans mes fesses. IL me poussa et exigea que je me foute à poils. Pendant ce temps, il se leva et sortit une paire de couilles et un sexe impressionnant ! Il bandait ferme. Le sexe de mon père était à l’opposé du mien. Gros, épais et circoncis. Un bon 19 sur 7 ou 8 de diamètres ! Les yeux encore emplis de larmes, il me prit par la nuque et me poussa vers le bas. Je dus m’agenouiller. Je me retrouvai donc à la hauteur de son sexe tendu. Mon père me força alors à le sucer.

— humm vas-y chérie, suce, t es une bonne suceuse.

Il ne tarda pas à éjaculer au fonds de ma gorge. Je restai assis par terre, sous le choc de qui venait de se passer. Qu’avais-je fait ? Que venions-nous de faire ? Mon père se rassis dans son fauteuil. Sa bite molle se redressait déjà légèrement. Il me dit:

— Approche. Lève toi et tourne-toi. Montre-moi ce cul de femelle.

Au stade ou nous en étions. Que pouvais-je faire d’autre ? C’était donc au tour de mon père d’être assis à la hauteur de mes fesses.

-Ecarte tes jambes.

Il me tripotait les fesses avec passion, excitation intense. Il les écartait, doigtait à nouveau mon anus. Je sentais à présent son souffle sur ma rondelle. Puis sa langue commença à me fouiller. Il gémissait et moi je bandais ferme. Mon père faisait totalement abstraction de mon sexe. Il me pinçait parfois le tétons à me faire hurler de douleur et de plaisir ! Il me tira soudainement à lui et m’empala sur son majestueux sexe. Il m’embrassait la nuque et me pénétrait de plus en plus rapidement. Sa main droite me pris le sexe qu’il se mit à masturber. De l’autre main il me pinçait un téton. Nous gémissions comme des fous. C’était bon. Il jouit une nouvelle fois. ME repoussa avant que je ne jouisse également et me lança un :

-fous le camp et pas un mot à ta mère …

A SUIVRE…

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