Au cours de mes années de lycée puis au début de mes études d’infirmière, je ne me mettais pas en valeur, complexée par ma peau blanche couverte de taches de rousseur, mes cheveux roux flamboyants et ma petite poitrine. Je n’étais pas bien dans ma peau et n’avais jamais eu réellement de petit copain. Je me caressais parfois dans mon lit, mais je sentais qu’il me manquait quelque chose.
Mes collègues étudiantes plus âgées et les infirmières mettaient bien en garde les jeunes étudiantes contre les soirées en salle de garde des internes. Mais peu après mes 20 ans, je veux constater par moi même, et surtout, je veux découvrir le sexe. C’est pourquoi, lorsque Jérôme, un des internes du service où j’effectue mon stage, m’invite à les rejoindre le vendredi après ma journée de stage, j’accepte.
Le vendredi arrive, enfin. Ma collègue de stage, une copine de mon IFSI Institut de Formation en Soins Infirmiers, ce qu’on appelait une école d’infirmière avant part rapidement. Elle va passer un week-end en amoureux avec son copain. Elle ne sait pas que j’ai accepté l’invitation de Jérôme, sinon elle m’aurait engueulée.
Sitôt qu’elle est partie, je sors la mini jupe que j’ai trafiquée avec une de mes vieilles jupes, un chemisier blanc légèrement transparent et un ensemble soutien-gorge et tanga en dentelle rouge que j’ai acheté pour cette occasion. Je vais passer à la casserole ce soir et j’y mets les formes. Je vérifie tout de même que la boîte de préservatifs que j’ai achetée est dans mon sac, même si j’ai entendu dire qu’il y en avait une pleine coupe dans la salle des internes.
En entrant dans ladite salle, je constate que plusieurs d’entre eux ont déjà commencé la soirée en avance. L’alcool coule à flots et plusieurs bouteilles vides jonchent un coin de la pièce. Mon entrée attire les regards et quelques sifflets et quolibets fusent. Jérôme, en bon seigneur, vient me recevoir et fait taire les ivrognes. Il me présente à ses 5 collègues présents et encore assez sobres. Il y a avec eux une jeune externe, Raphaëlle, et une autre stagiaire infirmière, Virginie, que j’ai croisées parfois aux vestiaires. Toutes deux sont mignonnes et bien roulée. Elles ont commencé une bière, et Raphaëlle est déjà en train de se faire peloter par deux des garçons sur un des canapés meublant la salle. Jérôme me propose à boire et m’invite à m’installer avec lui sur un autre canapé. Il reste très attentionné avec moi et tente de me mettre à l’aise. Il est vrai que, même si je suis là volontairement, je n’en mène pas large. Virginie après avoir bue sa bière embrasse un des garçons et commence à lui caresser l’entrejambes en dansant avec lui. Je regarde tout ça et je me sens toute émoustillée.
Jérôme me prend ma bière des mains et me propose de danser avec lui. Ce que j’accepte. La musique qui passe est une succession de slows. Il m’attire et pose ses mains sur mes fesses et commence à me caresser par dessus ma jupe. Je cache mon visage dans son cou pour ne pas qu’il voit mon trouble grandissant. Il soulève alors ma jupe et passe dessous, je sens ma chatte qui commence à suinter. Ce dont Jérôme ne peut que se rendre compte, ses doigts viennent de passer sous mon tanga et de caresser mes grandes lèvres. Il continue ses caresses sur mon sexe d’une main et de l’autre, il me saisit le menton pour m’embrasser avec douceur. Il me glisse dans l’oreille :
Je connais la réputation de la salle des internes, mais toutes les filles passant ici depuis que j’en suis responsable ont été consentantes. Si tu dis "non" à quelque chose, nous veillerons à ce que ta décision soit respectée.
Ses caresses sur ma chatte humide et son discours m’incitent à ouvrir encore plus mes jambes pour lui faciliter son travail de préparation. Je le regarde et lui dit :
Je suis prête à vous recevoir en moi, mais allez-y en douceur.
Il cesse alors ses caresses pour m’embrasser et m’attire vers un canapé pour m’installer dessus. Il me lève ma jupe, écarte mon tanga et commence un cunnilingus des plus agréables. Je sais depuis qu’il est presque aussi doué que certaines de mes meilleures amantes, ce qui est rare pour un homme.
Tout en me prodiguant cette caresse experte, il fait signe au dernier garçon inoccupé, et pas bourré, de venir et de me présenter sa queue à sucer. L’autre, Joachim, s’approche de moi, m’embrasse avec douceur et se présente à moi. Il baisse ensuite son pantalon et son caleçon et me présente un service trois pièces dont la queue est en semi érection. J’ai déjà vu des images de sexe et des films de cul sur le net, aussi fais-je la fille qui sait en le prenant en bouche d’une langue gourmande. Sentir cette queue grossir sous mes caresses et mes coups de langue, mhhhh, quel bonheur ! D’autant que Jérôme continue ses jeux de langue sur ma chatte trempée de sa salive ou de mon propre jus, je ne saurais dire, en ajoutant des doigts dans mon sexe.
Bien que occupée à sucer le belle bite de Joachim, qui a pris son plein volume depuis, je me rends compte que Jérôme a soigneusement évité mon petit bouton lors de ses caresses. C’est surtout quand il passe sa langue dessus, et que je me retrouve à avoir un orgasme, que je réalise la qualité de ses caresses et la longue préparation qu’il a effectuée. Pendant ce temps, Joachim se retire de ma bouche et à eux deux, ils commencent à me déshabiller, en me caressant tout le corps. Je constate qu’ils se sont eux même déshabillés avant, mais j’étais trop occupée pour m’en rendre compte.
En regardant autour de moi, je vois Raphaëlle et Virginie nues avec deux garçons chacune. Virginie en a un avec la bite plantée dans la chatte et l’autre lui labourant le cul ; pendant que Raphaëlle a la queue de celui qui lui lèche la chatte dans la bouche, et l’autre qui l’encule. Ils ont l’air de tous prendre leur pied à entendre les gémissements qui s’échappent des deux trios.
Quant-à moi, mes deux amants terminent mon effeuillage avec des caresses de plus en plus appuyées et précises. Je cherche de mes mains leur queues et entame une lente masturbation sur chacun d’entre eux. Ils ajoutent leur langues à leurs mains en pendant qu’un s’occupe de mes seins, l’autre descend embrasser ma chatte.
Joachim est entre mes jambes, il les écarte et après avoir enfilé une capote, me regarde avec un air interrogateur. Je hoche la tête en signe d’approbation et sens son sexe à l’entrée du mien. Ça y est, ma première pénétration par un mâle, bien que n’étant plus vierge, j’appréhende ce moment. Pour ne pas montrer mon trouble, je prends en bouche la queue de Jérôme et entame une fellation digne d’une bonne suceuse. J’ai acquis une bonne expérience depuis, je sais faire jouir un homme pratiquement quand je le désire.
Joachim se montre très doux lors de la pénétration, ma chatte est tellement lubrifiée que la seule chose que je ressens, c’est du bonheur. Son intromission m’arrache un gémissement de plaisir et ses premiers mouvements dans mon corps me font oublier la sucette que j’ai dans ma bouche.
Jérôme passe sa main derrière ma tête et me rappelle à l’ordre en faisant deux ou trois allers et retours dans ma bouche. Je recommence à pomper ce bâton à plaisir tout en gémissant de bonheur sous les coups de boutoir de Joachim entre mes jambes.
Au bout d’un temps que je ne peux estimer, j’entends les râles de plaisir des deux autres trios. En même temps, Joachim accélère ses mouvements entre mes jambes et Jérôme m’annonce qu’il va venir et tente de se retirer de ma bouche. Bien décidée à aller jusqu’au bout de mon rôle de fille qui est habituée, je retiens sa queue entre mes lèvres et attends son jus dans ma bouche. Concentrée sur cette queue qui commence à bondir dans ma bouche, je sens à peine Joachim jouir dans la capote et se retirer de mon corps. Jérôme se vide enfin dans ma bouche, ce qui me provoque un nouvel orgasme, alors que je pensais qu’il fallait une stimulation sexuelle pour ça. Cette queue que je contrôle à volonté et qui vient dans ma bouche a pourtant déclenché cet orgasme qui montait en moi. Je me délecte du sperme de Jérôme, bien que le goût me paraît étrange au début. Jérôme puis Joachim se penchent vers moi et me déposent un baiser sur mes lèvres. Les deux autres filles passent me féliciter aussi, elles ont admiré ma prestation. Nous nous rhabillons et c’est autour d’une nouvelle bière que nous discutons de tout et de rien, de nos études, de notre vie, de notre avenir
Depuis, Jérôme, Joachim, Virginie, Raphaëlle et moi sommes amis et parfois amants. Les autres internes participant à la soirée étant partis, je ne les ai pas plus connus que ça. Sauf lors d’autres soirées chaudes.
Je travaille toujours dans cet hôpital, au service des urgences. Après le passage de Jérôme et les règles qu’il a réussi à y imposer, la salle des internes est un lieu de jouissance partagée avant d’être un lieu de débauche et de plaisir masculin voire de viol dans certains cas.
J’y passe d’ailleurs encore de temps en temps, quand j’ai envie d’une jeune queue. J’ai une sacrée réputation auprès des internes. Mais ce sera l’objet d’autres histoires.