Histoires de sexe en groupe Histoires de sexe lesbiennes

RECIT D'UN COCU – DES VACANCES NOIRES – Chapitre 1




Julie et moi nous aimions passionnément. On s’était rencontré en terminale à l’âge de 18 ans. Le coup de foudre fut immédiat : elle était belle, douce, intelligente, et avait un corps parfait. Environ 1m65 pour 48 kg, fine mais pas trop, de soyeux cheveux chatains, la peau un peu mat, des jolis petits seins biens formés, de magnifiques jambes qu’elle savait mettre en valeur, ainsi que de parfaites fesses rebondies. De mon côté, je me défendais pas trop mal sans être le beau gosse parfait : 1m78 pour 65 kg, gabarit assez fin, plutôt intelligent, de l’humour, et une bite de taille moyenne (15cm). 2 ans après, l’amour était toujours aussi intense et tout se déroulait à la perfection.

Cet été, nous étions parti en vacances au Maroc pour deux semaines pour nous changer les idées après une deuxième année d’études chacun. A peine arrivés, Julie voulait absolument profiter de la piscine de l’hôtel :

— Tu te mets déjà en bikini?

— Je descends à la piscine tu viens?

— Tu veux pas attendre une petite heure là je suis fatigué..

— Humm non j’ai envie de plonger tout de suite.

— Bon ba vas-y je te rejoins plus tard

— A tout à l’heure

— Je t’aime

— Je t’aime

Après un petit baiser, je la voyais s’éloigner dans le couloir dans son petit bikini jaune qui mettait très en valeur ses atouts féminins, avec juste une serviette et un sac à main. Je m’allongeais quelques minutes sur le lit double de la chambre.

Une dizaine de minutes plus tard, je me réveillais et allait voir à la fenêtre de laquelle j’avais une vue imprenable sur la piscine de l’hôtel depuis le troisième étage. Je vis Julie sortir de l’eau telle une sirène. Je constatais dans un mélange de fierté et de jalousie que tous les regards des mecs se tournaient vers elle. Elle alla s’installer à une chaise longue et commença à bronzer sur le ventre. Je comptais aller la rejoindre quand je vis un grand black musclé s’approcher d’elle et s’installer sur une chaise longue juste à côté d’elle.

— Salut, lui lança-t-il avec un grand sourire charmeur.

Julie relèva la tête, soulèva ses lunettes de soleil et sourit au mec en lui répondant la même chose:

— Salut

— Tu viens d’arriver au Club aujourd’hui?

— Oui je viens d’arriver avec mon copain, répondit-elle toujours en souriant

— Ah, il t’accompagne pas à la piscine.

— Il se repose pour l’instant.

— Certains supportent pas la chaleur, dit-il moqueur, ce qui fit étrangement rire Julie.

Le black rapprocha encore sa chaise longue pour se mettre juste à côté d’elle.

— Je suis Driss. Enchanté, dit-il en tendant sa main.

— Julie. Enchanté aussi, et elle lui serra la main.

— Julie, tu es une sirène qui va rôtir au soleil, ajouta-t-il en lui baisant tendrement la main, ce qui plu à Julie.

— J’ai l’habitude du soleil t’inquiètes pas.

— Je vois ça, tu as la peau un peu mat comme j’aime…

Il lui caressa le bras en lui tenant toujours la main. Julie le laissa faire et observa son dragueur qui était plutôt bien bati, avec ses pectoraux et abdominaux apparents.

— A la fin du séjour, je serais noire, dit-elle en riant, ce qui fit bien marrer Driss également.

— Mais tu devrais pas exposer ta peau directement au soleil le premier jour. C’est du soleil d’Afrique : c’est bien plus fort qu’un petit soleil de France ridicule.

Julie se contenta de sourire. Driss vit la crème solaire dans son sac à main et s’en empara.

— Voilà ce qu’il te faut pour commencer en douceur ton séjour.

Sans lui demander quoi que ce soit, Driss fit tomber quelques gouttes blanches à différents endroits du dos de Julie, prise de court.

— Heu.. Je peu..

— T’inquiètes pas j’ai l’habitude, l’interrompit Driss en lui adressant un clin d’oeil.

Il s’installa sur la chaise longue de Julie, assis juste à côté de ses fesses, et apposa ses mains sur le haut de son dos, et commença à étaler doucement la crème onctueuse le long de sa peau. Un peu gênée au début, Julie se laissa faire sous les mains expertes de Driss qui massait délicatement son dos, lui provoquant un bien fou. Driss passa sur la nuque en enlevant tendrement ses cheveux lisses, puis sur ses épaules, ses omoplates… Il arriva au niveau du mince fil jaune du soutien gorge.

— Tu permets?

Et sans attendre de réponse, il défit le noeud du haut de son bikini, laissant son dos entièrement à nue. Julie hésita à dire quelque chose mais n’osa pas vraiment. Allongée sur le ventre, elle était à la merci des mains noires qui se baladaient le long de son corps. Driss fit maintenant des allers retours entre le haut et le bas de son dos, allant de plus en plus loin à chaque fois vers le bas, atteignant le début de ses fesses, à peine protégée par un minuscule tissu jaune. Il reprit un peu de crème blanche et l’étala sur les côtes de Julie, s’attardant au niveau des seins. Il tenta d’aller chercher un peu en dessous pour aller délicatement palper le début de ses jolis petits seins. Julie ne disait toujours rien et appréciait énormément son massage innatendu.

— Tu aimes bien?

— Oui c’est agréable, merci. Je me sens protégée comme ça.

— Attends, c’est pas fini, il faut pas oublier ses magnifiques jambes, dit-il en reprenant de la crème solaire.

Driss recula et se mit au niveau des genoux de Julie. Il commença par étaler la crème sur ses délicats petits mollets. Il fit quelques chatouilles sous les pieds de Julie, ce qui la fit un peu se tortiller et rire :

— Je suis sensible

— T’inquiètes, je suis un spécialiste des endroits sensible, dit-il en remontant doucement.

Il massa les cuisses parfaites de Julie, en prenant totalement son pied, tout comme Julie d’ailleurs. Son regard se focalisa sur l’entrejambe mouillée de Julie, et pas seulement par l’eau de la piscine. Il fit des allers retours de haut en bas des cuisses en laissant trainer ses pouces entre les deux pour aller progressivement effleurer sa chatte cachée derrière son bikini jaune, sans trop insister. Puis Driss observa avec insistance les fesses rebondies et attrayantes de Julie. Il ne put s’empêcher de laisser filer un WAHO !!

— Quoi? Qu’est ce qu’il y a? Demande Julie

— Des fesses aussi parfaites que ça, il faut les laisser bronzer aussi au lieu de les cacher derrière ton maillot.

Toujours sans demander de permission, Driss posa ses mains sur les fesses de Julie, se saisit de sa culotte et la fit rentrer doucement dans sa raie pour en faire un string. Julie se relèva doucement suite à ce mouvement un peu trop audacieux mais Driss lui sussura « Tchhhuu » pour la calmer, comme pour endormir un bébé. Cela fonctionna et Julie reposa sa tête, se laissant totalement faire par cet inconnu. Driss étalait la crème blanche sur ses fesses à découvert. Il massait allégrement ses belles fesses rebondies. Sans aucune gêne, il palpa son derrière, ne se lassant pas de pincer la graisse de son cul, redescendant parfois sur ses cuisses pour mieux revenir sur ses fesses en passant subtilement par sa chatte, ce qui provoquait des frissons d’excitation chez Julie. Totalement vulnérable sur le ventre, elle ne pouvait qu’apprécier les attentions de son dragueur.

De ma fenêtre, j’avais vu toute la scène mais pas entendu les dialogues. Pris par l’excitation de la voir se faire doucement massée par un black, je n’avais pas réagi tout de suite; surtout qu’il ne s’agissait que du dos et des jambes. Un geste amical en quelque sorte, même s’il y avait des intentions derrière évidemment. Mais quand Driss attaqua les cuisses, puis les fesses de ma copine, je n’en revenais pas qu’elle se laissait faire comme ça. En 2 ans de relations, elle avait toujours été fidèle, envoyant doucement sur les roses ses nombreux dragueurs occasionnels. Je bandais certes comme un âne en voyant un black masser les fesses parfaites de ma chéri en public, mais je ne pouvais pas laisser faire ça sans réagir. Je descendais rapidement de l’immeuble et me dirigea vers la piscine. Julie avait la tête de l’autre côté et ne me voyait pas arriver, au contraire de Driss qui dut comprendre rapidement que j’étais le copain de Julie. Malgré cela, il continuait à peloter les fesses de ma copine alors que je me dirigeais droit vers eux.

Je m’arrêtais juste devant la chaise longue. Driss me regarda droit dans les yeux tout en continuant à masser les fesses de Julie juste devant moi, sans aucune gêne.

— Ca va je vous gène pas? Avais je lancé comme un con.

Julie, surprise d’entendre ma voix, se retourna doucement et quand elle me vit, elle souleva ses lunettes et me dit :

— Ah chéri ça y est t’es descendu?

Elle était en train de se faire masser le cul par un inconnu juste devant moi et elle restait là, allongée sur le ventre, à me regarder, alors que Driss continuait son traitement. Je n’en revenais pas. Pendant quelques secondes, je restais bloqué devant cette situation incongrue. Je bredouillais finalement :

— Oui je suis là.. Qu’est ce qui se passe là?

Mon ton accusateur était loin d’être convainquant. Julie ne ressentait étrangement pas de gêne au vu de la situation, mais elle se redressa quand même en tenant son haut de soutien gorge et s’assit sur la chaise longue, juste à côté de Driss.

— Chéri je te présente Driss, dit-elle en mettant une main sur son épaule musclée.

Driss me tendit la main, pleine de crème solaire, qui venait de passer de nombreuses minutes à parcourir le corps de ma copine. Comme un con, je lui serrais la main. Il avait eu une poigne forte qui m’avait fait sortir une petite grimace.

— Enchanté gars. T’as une copine charmante..

Il me l’avait dit mais en regardant Julie droit dans les yeux, qui n’était qu’à une dizaine de centimètre de lui. Julie lui adressa un franc sourire. J’ai craint un moment qu’ils allaient s’embrasser comme ça, devant moi. Mais Julie revint un peu à la raison et détourna le regard vers moi pour me dire:

— Il m’a gentiment proposer de m’étaler de la crème solaire. Le soleil d’Afrique est bien plus fort et puissant tu sais.

— Ah.. avais je sorti bêtement, au lieu de l’attaquer sur le fait qu’étaler de la crème sur ma copine, ok à la rigueur, mais lui peloter les fesses, j’étais pas d’accord.

— Attends, je vais te remettre ça, balança Driss, en se saisissant les fils jaunes du haut de maillot de bain de Julie qu’il avait enlevé auparavant.

Julie se mit un peu dos à lui en lui disant merci. Elle prit ses cheveux à deux mains pour les faire tenir en l’air pendant que Driss lui fit tendrement un noeud et une boucle. Juste après avoir fait ça, Driss passa ses bras de chaque côté de Julie et se saisit doucement de ses seins pour les remonter légèrement pour les rehausser dans le soutien gorge. J’étais abasourdi par ce que je venais de voir. Ce black venait maintenant de palper les seins de ma copine devant moi. Julie ne réagissait pas comme si c’était la suite logique du noeud de son maillot. L’espace d’un instant, les jolies petits seins ronds de ma chérie venait de disparaître derrière les grandes mains noires de son dragueur, qui ne se priva pas de bien les peloter au passage, comme il avait peloté ses fesses, et tout le reste de son corps, sous mes yeux pendant une dizaine de minutes.

— Et voilà le travail, dit Driss en se relevant.

Julie se retourna et le remercia à nouveau.

— Bon il va falloir que je bouge mais c’était un plaisir de vous rencontrer les tourtereaux. Vous allez vous plaire au Maroc je vous le garantis. D’ailleurs ce soir je vous invite à une soirée au Club Mix, il se trouve juste à 500mètres de là sur la grande rue.

Avant que je ne trouve la moindre excuse pour refuser, au vu de ce qui venait de se dérouler là, Julie prit la parole:

— Ah carrément! Merci beaucoup de nous inviter! Ca va être génial! Elle se tourna vers moi pour avoir confirmation que je pensais bien la même chose.

— Euh.. Oui oui ça a l’air cool, bredouillais-je sans aucune conviction.

— Cool. A ce soir alors. A partir de 23h. Dites que vous venez de la part de Driss, vous rentrerez gratuitement.

Il ne s’était adressé tout le long qu’à Julie et lui fit même un petit clin d’oeil coquin avant de partir. Au dernier moment, il me lança juste un petit regard à la fois moqueur et de défi. Il voulait baiser Julie et avait fait une sacré entrée en matière. En à peine 10mn, il avait totalement possédée ma copine et l’avait pelotée de toutes parts, elle tellement vulnérable dans son petit maillot de bain sexy.

En à peine 10mn, il avait fait craqueler deux ans de relations parfaites. Je ne le savais pas encore vraiment, mais à partir de cette séance d’étalage de crème solaire, rien ne serait plus pareil, et tout allait rapidement changer au cours des prochains jours de vacances…

Related posts

Déflorée par mon petit beau-frère – Chapitre 3

historiesexe

Le club des nymphes – tome II – Chapitre 7

historiesexe

Chroniques villageoise – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .