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Étudiant chez l'habitant – Chapitre 5




Chapitre 5: Fin de partie

Il nous était plus difficile de reprendre la partie, mais les parents de Mathilde arrivaient à garder leurs têtes suffisamment froides afin de calmer nos ardeurs et nous amener progressivement à la jouissance.

Nous perdîmes encore une fois la 5ème manche, de mon fait je crois car Mathilde me déconcentrait par ses mouvements de jambes.

— Une chose me dérange chez vous messieurs, dit Danielle. Vos poils, nest-ce pas ma fille ?

— Oh oui ça cest bien vrai, on ne voit pas vos couilles car vos poils sont trop longs !

— Votre gage sera le suivant : Raser moi tout ça hihi !

Le rasage de nos bites fut laborieux ! Il fallut commencer aux ciseaux, puis à la tondeuse électrique et enfin au rasoir. Il fut décidé que J-Paul ne raserait que ses couilles et la base de sa queue. Il laisserait un duvet coupé ras sur le pubis car poilu de nature, il était plus esthétique den laisser un peu. Pour moi en revanche je dus tout raser à blanc y compris mon torse et ventre qui narborait pas la pilosité fournie de J-Paul ! Il est vrai que la sensation nest pas désagréable, mon sexe est étonnamment doux et je prends plaisir à passer ma main sur mes testicules lisses. De plus, cela dégage beaucoup la verge qui est plus mise en valeur, elle semble également plus grosse.

Ce gage permit à tous de reprendre un peu nos esprits et nous retournèrent à notre partie. La 6ème manche fut perdue par le couple mère-fille. Leur gage fut de se lécher la chatte pendant une minute à tour de rôle.

— Je sais que tu en meures denvie Chérie, dis J-Paul à sa femme.

— Oh cest vrai, Maman, alors viens vite me manger ! lança Mathilde à sa mère en écartant sa moule de ses deux mains.

— Ton père me connait bien, Maman va te donner du plaisir ma petite, ouvres toi bien pour la langue de ta maman !

— Comme ça cest bien ? Oh cest doux, continue Mamounette, oh cest bon mmh !

Mère et fille prenaient énormément de plaisir, surtout Danielle qui dévorait les replis gorgées de sève du sexe de Mathilde. J-Paul dû intervenir pour quelles noublient pas dalterner. Elles échangèrent leurs rôles.

Danielle à son habitude, reprenait des mots crus pour exhorter sa fille : « Vas-y, lèche là, la bonne chatte à ta maman ! Mmmh, taimes ça ma fille bouffer des chattes ! Vas-y régales-toi, Maman mouille pour toi ! Tu pourras la sucer tous les jours, ah cest bon ma fille, suce, suce ! »

Elle avait empoignée la chevelure de sa fille pour lui maintenir le visage au plus profond de son vagin si bien que les réponses de sa fille nous parvenaient étouffées. Cependant nous comprenions que Mathilde appréciait car elle lâchait des « cest bon ton jus » ou des « je taime Maman »

A la fin de la minute qui a dû en réalité en durer 3 ou 4, Mathilde se redressa. Son menton luisait de liquide que sa mère eut tôt fait de laper avant dengouffrer sa langue dans la gorge de sa fille.

— Oh Maman cétait bien, jaime trop !

— Moi aussi jai aimé ma fille on recommencera à chaque fois que tu le voudras !

— Eh, nous aussi on aimé, pas vrai Jérémy ! Regardez dans quel état vous nous avez-mis !

Nos deux bites étaient au garde à vous. Les femmes sourirent, nous navions plus trop envie de continuer la partie. Nous décidâmes darrêter là notre jeu de cartes. Cependant il fallait déterminer les vainqueurs et nous étions ex aequo en nombre de manches : les points nous départageraient.

En nombre de points, ces dames furent déclarer vainqueurs, mère et fille exultaient.

— Cependant il nous faut un unique grand gagnant et un unique perdant !

— Que proposes-tu pour départager les perdants Maman ? demanda Mathilde.

— Eh bien comme ces messieurs ont la queue haute, ils vont décharger sur le verre de la table basse, celui qui ira le moins loin aura perdu !

— Oh oui excellent ! Jveux pas louper ça ! Et comment fais-t-on pour se départager toi et moi, Maman?

— Oh pour ça cest simple, dis son père, vous choisissez lun dentre nous ! Celle qui gagnera sera celle qui aura choisi celui qui va le plus loin ! Mais attention, il prit un temps de silence, la perdante nettoiera la table avec sa langue !

La mère regarda sa fille : chiche ! Cest ok pour nous, vous pouvez prendre place ! Mathilde tu prends Jérémy, moi ton père.

J-Paul et moi prîmes place au bout de la table rectangulaire du salon et commencions à nous astiquer la tige. Dire quil ny a pas si longtemps, jétais un jeune garçon timide et pudique et là au contact de cette famille si particulière, je métais révélé et pouvait désormais sans gêne me branler devant un public !

Ma bite était dure comme de la pierre, je navais pas arrêté de bander et débander de la journée sans jamais décharger, Danielle le savait, je minterrogeais du pourquoi ne mavait-elle pas choisi ? Les femmes nous encourageaient je nallais pas tarder

Whoa ! Tas vu Maman, il a presque atteint le bout de la table !

Je venais déjaculer 5 giclées de foutre liquide qui fusa en sortant de ma verge et sétala violemment sur toute la longueur de la table qui devait bien faire 1 m 1m20 !

J-Paul vint à son tour, mais son sperme sextirpa difficilement de son sexe, retombant en partie sur ses doigts. Comparer à la couleur translucide et à la texture liquide du mien, le sien était laiteux et consistant : il navait pas pu aller plus loin que moi, javais gagné !

Mathilde exultait : Jai gagné, jai gagné, jai gagné! Oh ! Maman, excuses-moi, je suis désolée, dit-elle sincèrement.

— Ne tinquiètes pas pour ta mère, lui répondis Jean-Paul, je mettrais presque ma main à couper quelle a fait exprès de miser sur le mauvais cheval !

— Oh chéri, comment aurais-je pu savoir ? dit-elle faussement en sagenouillant face à la table.

Ne laissant pas le temps à son mari de répondre, elle approcha son visage de la surface vitrée, allongea sa langue et commença à laper mon sperme comme un petit chat.

Elle en profitait pour pousser des petits soupirs de contentement quelle agrémentait de « délicieux, mmh ». Sa fille qui écarquillait les yeux depuis le début, sétait approchée de la table et sinquiéta auprès de sa mère:

— Maman, ça va ?

Je pensais en moi-même que Mathilde devait complètement halluciner de voir sa mère se comporter de la sorte

— Mais oui, ma fille, ça va pourquoi ? Cest bon ! Cest même très bon ! Jai toujours apprécié le goût ! Ne tinquiète pas !

Puis, après avoir aspirée les dernières traces de mon jus, elle se retournât vers sa fille : Tu veux goûter ?

Je vis alors Mathilde hocher lentement la tête en silence.

— Il ne reste que celui de ton père, attends, je vais te faire goûter.

Mathilde ne pouvait détacher son regard du verre de la table. Danielle recueillit un peu de la semence épaisse de J-Paul avec son index et le porta à hauteur de ses yeux. Le sperme de J-Paul pendait un peu au bout de son doigt, elle lapprocha de sa fille qui avait commencée à ouvrir la bouche, la langue légèrement sortie.

— Le sperme, la première fois, soit on aime soit on déteste, mais quand on aime ; on adooore ! Cest même devenu une de mes friandises préférées, hihi !

Mathilde referma sa bouche sur le doigt de sa mère qui le ressortit aussitôt qu’elle l’eut sucé.

Nous attendions tous le verdict de Mathilde.

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