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GLADYS – Chapitre 4




GLADYS 4

Cétait ma troisième expérience avec mon oncle lubriqueJe me demandais pourquoi jétais aussi consentante ? Peut être lenvie de découvrir des plaisirs nouveaux pour moi. Je mendormis la tête dans le creux de mes bras, les fesses à lair ouverte au soleil qui me chauffait la peau. Jaimais terriblement cette sensation de me sentir nue et de me laisser caresser par ce vent chaud qui venait de la mer

Je partis dans mes rêves, bercée par le ronflement de mon oncle allongé sur le dos le ventre à lair les mains posées sur celui-ci. Il était loin dêtre sexy ! pensais-je, avant de sombrer dans les nuages de mes rêves les plus fous.

Lorsque je me réveillai, javais comme une sensation de présence près de moi. Serait-ce mon oncle qui sétait levé ? Non, car il dormait toujours, ses ronflements moins bruyants que tout à lheure. Je levais la tête de mes bras, un regard à droite, à gauche rienpourtant je métais jurée que javais entendu quelque chose. Je me retournais, puis je massis.

La tête encore embrumée par mon somme, je pris mon téléphone portable afin de regarder lheure Bientôt 13 heures. Une envie de faire pipi me prit. Délicatement sans faire de bruit je me levais et jallais vers un gros rocher sur notre droite

Les cigales chantaient de plus belle. Je maccroupis et je me laissais aller à un pipi des plus copieux. Je messuyais avec un kleenex et soulagée je me mis à scruter les alentours. Et si quelquun était passé par ce sentier et quil mait vue le cul nu sans pudeur ?

Je réveillais mon oncle qui grommela

-Tu as faim la petite ?

Nous nous installâmes chacun sur notre serviette, je restais nue puisque tel était le jeu. Le soleil était pratiquement au zénith, il faisait très chaud, jentrepris de mettre ma casquette fétiche. Javais pris de belles couleurs dans le dos et mon oncle avait pris un coup de soleil sur le ventre.

-Tu me mettras de la Biafine ce soir minette ?

-Si tu en as

Notre pique-nique fut arrosé dun bon rosé qui était resté frais dans sa sacoche thermique.

-Dis donc Gladys tu as lair daimer la sodomie ?

-Je ne connaissais pas mais.

-Mais tu as pris un sacré pied tout à lheure, on a dû tentendre jusquau village !

-Je nai pas fait attention

Le rosé sous ce soleil me tournait la tête. Mais jappréciais cette ambiance. La panorama vu de ce monticule était magnifique., la brume de chaleur envahissait la région côtière. On discernait de moins en moins Cannes.

-Tu peux mettre les parasols mon oncle ?

Je mabritais sous lun dentre eux, bien heureuse déchapper au soleil. Le repas fini, nous rangeâmes les paniers.

-On partira vers 4 heuresce soir on ira manger au Suquet okay Minette ?

— Super jai envie de pizzas en ce moment !

— Comme tu voudras

-Bon je me remets à rôtir…

Mon Oncle sarrosa deau avant de se mettre sur sa serviette… Sans attendre il retira son short dévoilant son sexe au repos. Je le regardais pendant sur le côté de sa cuisse, même au repos il semblait énorme. Je pouvais le contempler tout à mon aise, mon oncle ayant abaissé son chapeau de paille sur son visage. Je me surpris à avoir envie de le prendre dans ma main et de le caresser afin de le voir grandir, se gonfler et se dresser. Je revoyais ces longues giclées de sperme sexpulser par saccades et couler sur ma main. Bon si tu changeais didée me dis-je en lallongeant sur le ventre. La tête à lombre posée entre mes bras croisés, je me laissais aller à cette plénitude. Je me surpris à écarter les jambes afin de sentir lair passer entre mes cuisses et sur mon sexeMais je mouille me surpris-je à penser !

Je somnolais depuis une heure lorsque jentendis un bruit de froissement venant sur ma droite… intriguée je me relevais sur mes coudes afin de voir doù venait ce bruit.

-Mon oncle il y a quelquun !

-Ben alors où est le problème ?

A peine avais-je dit cela quun homme sortit du sentier se dirigeant droit sur nous. Moment de panique

-Donne moi ma culotte il y a quelquun qui arrive ;

-Pas question on reste comme ça.

Lhomme qui arrivait devait être un berger à son allure et à ses vêtements, arrivant sur nous il eut un moment de surprise presque tétanisé sur place

-Peuchère voila une bien belle bichette me dit-il en sarrêtant à un bon mètre de moi.

Son regard parcourait mon dos, mes fesses, mes jambes que javais resserrées afin quil ne puisse pas voir ma vertu.

— Et voila un bon gros sanglier dit-il en riant en regardant mon oncle qui navait pas bronché dun centimètre sinon davoir relevé son chapeau de paille pour lorgner le berger.

-Tu cherches tes brebis dans le coin lami ?

-Non je rentre chez moima maison est à 600 mètres dici et cest le sentier que jemprunte pour revenir du parcage

-Alors tu veux boire un coup de rosé ?

-Si cela peut vous faire plaisir, cest votre fille cette jolie poulette ?

-Non ma nièce…

-Elle est appétissante, la gamine !

Je regardais lhomme à travers mes lunettes de soleil, il devait avoir dans les 45 ans, le visage buriné par le soleil.

-Vous navez pas peur de vous exposer comme çaon ne sait jamais qui traîne ici ?

-Ben cest plutôt désertique non ?

Lhomme accroupit à côté de moi ne quittait pas mes fesses de ses yeux.

-Tu bois un coup avec nous redemanda mon oncle, comment tappelles tu ?

-Simonelle est vraiment belle cette poulette

-Elle vient de la Réunion

-ben mon vieux si toutes les nanas sont comme ça là-bas je prends le premier avion.

Mon oncle tendit le verre de rosé à Simon qui le prit en sasseyant près de moi.

-Tu te la fais demanda Simon à mon Oncle ?

-Je fais son éducation

-Ah et que lui apprends tu ?

— Tu es bien curieux lami ? La leçon N°1 savoir se servir de son cul !!! ah ah (quinte de toux)

-et la leçon N°2 ?

-On ne la pas encore commencée

-Allez, tu peux me le dire ?

-Apprendre à sucer

-Bien bien et la N°3..

— Le dépucelage

-Ah parce quelle est toujours

-Vierge…tout à fait !

-La 4 ?

-Là mon ami cest mon secretmais ce que je peux te dire cest quelle jouit merveilleusement bien par son petit trou

-Mon oncle tu ne penses pas que tu exagères un peu non ?

-Regarde bien ce cul lami tu nen verras pas souvent dans ta vie ?

Mon oncle joignant le geste à la parole, mattrapa lune de mes fesses et la malaxa sous le regard enflammé du berger

-Tu veux voir sa rosetteapproche

Lhomme posa son verre à même le sol et se leva pour sapprocher de mon fessier que mon oncle tenait dans en pleine main.

-Regarde son étoile magnifique non ?

-Elle est vraiment désirable, bon dieu, jai une sacré triqueElle accepte que je la touche ?

Ne voulant pas entrer dans ce jeu je remis ma tête dans le creux de mes bras, laissant les deux hommes me mater sur toutes les coutures.

-Je peux la toucher demanda Simon à mon Oncle ?

-demandes lui ?

-Mademoiselle je peux ??

-Non laissez-moi tranquilleje suis là pour me reposer

-Bof bof répondit mon oncle elle dit toujours non maiselle aime cela ! allez, vas y.

-Non dis-je sur un ton vif en serrant au maximum les fesses et les cuisses.

-Allez, je te dis cest moi qui commande ici.

Je me dis que jétais en mauvaise posture, voila deux hommes maintenant en train de vouloir soccuper de ma croupe. Cette situation minquiétait, mais mexcitait de plus en plus. Et si je rentrais dans leur jeuje navais quà me laisser faire ! Je décidais de desserrer les fesses et imperceptiblement je relâchais mes cuisses. Simon posa sa main sur la fesse opposée de celle que maintenait mon oncle.

-Allez profites en mon gars. !

Je sentis que lon mécartait les globes de mes fesses découvrant à la vue des deux hommes ma rosette.

-elle a une belle chatte dit Simon en frôlant mon puits damour de son index. A ce contact mon sphincter se resserra.

-attends dit mon oncle je vais taider.

Quelques instants après je sentis couler un liquide entre mes fesses

-cest quoi demandais je inquiète à mon oncle.

-te fais pas de bile cest de lhuile de bronzage.

Simon trempa son index dans le liquide et dun trait entra son doigt dans mon petit trou marrachant un cri de surprise.

-elle est serrée remarqua Simon en commençant son va-et-vient.

-allez mon gars fais ce que tu as à faire.

-quel beau cul elle a, je nen ai jamais vu daussi beau si ce nest dans les magasines.

Ce que je ne vis pas cest le clin dil que fit mon oncle à Simon. Celui-ci abandonna mon petit trou déjà dilaté et je sentis le doigt boudiné et plus gros de mon oncle qui senfonça en me tirant un nouveau cri.

En fait ce que je ne voyais pas cest que Simon était en train de tirer son pantalon, puis baissant son slip alors que mon oncle continuait à me masturber, son sexe noueux en main il demanda de la tête laccord de mon oncle.

Mon oncle se mit sur ses genoux le ventre sappuyant contre mon flanc et me prit par les hanches fermement

-quest ce que tu fais lui demandais-je pressentant quil changeait de stratégie

-laisse-toi faire ma chérieme dit-il en enfonçant au maximum son index dans mes entrailles.

-aie tu me fais mal.

— je sentis Simon sappuyer sur mes cuisses

-non… ; laissez-moi, non.

Simon se coucha presque sur mon dos et cest à ce moment que mon oncle retira son doigt et là je compris que Simon présentait son sexe contre mes fesses

-Nooonnn vous profitez de moi, je ne veux pas

Jessayais de me débattre mais mon oncle me maintenait fermement

Je sentis le gland de Simon se présenter à lentrée de mon anus, il appuya doucement dans louverture dilatée laissée par le doigt de mon oncle

-Ahhhhhh criais-je vous me faites mal arrêtez.

Je ne pouvais résister à cette invasion, je sentis son sexe senfoncer dans mes fesses remplissant mes entrailles. La douleur était vive marrachant des larmes

-arrêtez, jai trop malarrêêtttez !

Simon après sêtre enfoncé à moitié commença à me prendre par des aller et retour, sortant son sexe puis replongeant en moiMon oncle le souffle court me maintenait plaquée au sol.

-allez lâche-toi Simon, elle est parfaitement dilatée maintenant défonces la.

Excité par les paroles encourageantes de mon oncle Simon se lança dans des va-et-vient frénétiques je le sentais entrer et ressortir claquant contre mes fesses. Je sentais ses bourses contre mon sexe à chaque fois quil senfonçait. La douleur avait laissé la place au plaisir et je sentais monter en moi un orgasme très particulier. Jécartais à présent mes cuisses afin de faciliter les pénétrations du sexe de Simonje sentais ma chatte couler.

Jimaginais le bassin de Simon sactiver sur moi et pousser de plus en plus profondément son sexe. Je criais à chaque coup de boutoir de Simon puis soulevant mon bassin dans un rythme instinctif, je sentis lorgasme monter et exploser dans un râle profond alors quexcité par mes cris de jouissance Simon éclata en moi, inondant mon intestin de longs jets de sperme, lui-même criant de plaisir. Je sentis son sexe secoué de spasmes libérant les derniers jets de ce liquide chaud.

-Cest géant dit Simon en se retirant de moi, me laissant complètement cassée.

-Tu viens de la dépuceler par son petit troudit mon Oncle en relâchant sa pression sur mon dos.

-Tu sais dit Simon cest la première fois que je prends une femme par là et qui plus est une belle minette comme elle…jen ai toujours rêvé !

-je suis cassée dis-je en me relevant sur mes coudesvous auriez pu mettre un préservatif ! bande de salauds. Javais à présent mal aux fesses et me dis que jaurais du mal à marcher ce soir.

-Jai vu le côté pile est-ce que je peux voir le côté face demanda Simon ?

— Allez montre ton beau ventre et ton minou à Simon !

Appuyée sur mon coude, je pouvais à présent voir Simon debout entre mes jambes. Son sexe était noueux, son gland décalotté laissait apercevoir un long filet de sperme qui sécrasa sur la serviette. Il était musclé et presque complètement imberbe tout le contraire de mon oncle.

— Tu te souviendras toute ta vie de ce dépucelage de ton petit trouta foufoune on sen occupera un jour.

Je me retournais sur le dos mexposant à présent mon sexe, mes seins, mon ventre aux deux hommes. Simon le regard rivé sur mon entrejambe regardait avec envie les lèvres de mon sexe encore gonflées de sang.

-Cest pas tout dit Simon avec des regrets dans la voix il faut que jy aille on mattend. Il se rhabilla rapidement et prit congé. Je le vis disparaître au bout du sentier dans un dernier signe de la main.

-Si on rentrait demandais-je à mon oncle en me levant.

-Si tu veux mon angeça va ?

-Jai mal à mon petit trou Je me levais pour me détendre les jambes. A cet instant je sentis couler le long de mes jambes, le sperme de Simon qui séchappait de mon petit trou.

-essuie- toi me dit mon oncle en me tenant une serviettetiens voila ton maillot.

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