Laure quitte son dernier amant. Lhôtel où elle arrive est celui où elle réserve mercredi après mercredi une chambre des plus confortables au premier. En passant vers le concierge déjà des hommes la regardent avec envie : elle ne porte pas de culotte et le montre. Tous peuvent se rincer les yeux en regardant sa chatte encore humide du sperme du premier.
Son premier soin en arrivant est de se déshabiller. Nue, elle va dans la salle de bain, ouvre les robinets de la douche. Cest totalement accroupi quelle dirige le jet dans la chatte. Personne ne doit sentir la semence quelle a reçue ce matin. Il lui échappe quelques gestes coquins quand elle se touche le clitoris. Se faire du bien nest pas interdit, elle en profite pour se branler doucement. Le vagin est propre, sa main continue sur le bouton : elle ferme les yeux dans le vague en se laissant aller vers linfini.
En sortant de la douche, elle se regarde attentivement dans le grand miroir de la chambre. Elle se plaît en gonflant la poitrine et faisant ressortir les seins quelle caresse négligemment. Elle remet sa jupette en oubliant le string volontairement. Lheure de son rendez-vous approche. Laure tire un fauteuil pour sy asseoir, juste en face lentrée. La cérémonie attend le prêtre.
Il ouvre doucement la porte en passant sa tête grise. Il la voit bien assise, les jambes écartées, sa motte offerte à sa gourmandise. Il bande déjà sans lavoir mérité. Elle mouille dimpatience, son désir monte de seconde en seconde. Enfin il pénètre dans la pièce. Il ne lembrasse pas, cest hors de propos. Il vient à ses pieds, regarde sa moule brillante de cyprine. Sa langue est impatiente daller se poser sur ce sexe de femme en chaleur.
Il se met à genoux devant cette déesse de lamour, nouvelle Héra, en moins pudique. Il pose ses mains sur chaque cuisse, les caresses en montant vers le temple bénit dÉros. Elle est prête à mettre ses jambes sur ses épaules. Laure gémit de désir. Elle écrase les seins, lèche ses lèvres. Elle veut quil la lèche, quil lépuise en orgasmes.
Enfin il pose sa bouche sur labricot. Il est assez mur pour lui, il sort sa langue la goûte un peu, rentre la langue avec de recommencer. Il ne la lèche plus, il la picore. Cette fois elle pose ses cuisses sur ses épaules, elle lentoure en le serrant dans ses jambes unies.
Lui tire la langue à fond : il la lèche à grand coup. La tête de Laure divague dans tous les sens. Ses yeux sont dans le vague : elle prend son pied largement en gémissant longuement comme une chatte sous son matou. Lui bande à lui faire mal. Il patiente en espérant que cette fois elle lui donnera ce quil attend : son con ou son cul : elle le lui a promis il y a quelques mercredis de ça. Il se touche à peine en attendant.
Elle part dans un cri de jouissance. Ses jambes se serrent complètement sur le cou de son amant : elle ne saperçoit de sa présence que maintenant. Elle souvre et enfin lui donne ce quil attend en parti. Aujourdhui elle préfère quon la baise par derrière. Mais cest lui qui décide de la suite : il met le pouce doucement sur lanus. Il lenfonce presque totalement : elle gémit. Il pousse lavantage en mettant lindex dans le con. Il fait coulisser les doigts en cadence. Laure ne sait plus quelle mouvement elle doit suivre ou précéder. Ses mains sont sur ses seins, tirent sur les mamelons à lui faire mal. Cette douleur ajoute à son plaisir du ventre. Son ventre se plisse plusieurs fois en jouissant.
Sans trop tenir compte de Laure, il la tire, les fesses au-delà du siège. Elle est à sa portée. Laure regarde le membre venir sur elle. Elle aime le gland violacé qui va entrer dans sa féminité. Il sort à moitié du prépuce, de la bite. Elle grossit sans cesse cette pine, cette grosse queue qui va la défoncer comme elle aime.
Prise dun mouvement incontrôlé, brusquement elle ferme les jambes. Lui les ouvre avec colère : il est venu baiser, pas passer les caprices dune dingue. Elle laura voulu. Il la lui met au cul. Elle sattend à quelques douceurs préliminaires. Il pénètre en force dans le tuyau rectal.
Laure pousse un cri comme si il légorgeait, cri qui sarrête quand elle ronronne. Cest bon pour elle de se faire défoncer le cul. Elle aime ça, remercie encore son mari de lavoir initié à la sodomie. Elle aime sentir contre ses fesses les poils du pubis masculin.
Il lui prend la main, la pose sur le clitoris. Elle comprend ce quil veut. Elle commence à se masturber devant lui sans honte aucune, avec un désir encore plus vif de jouir plusieurs fois avec une pine au cul. Elle ajoute son autre main pour entrer dans la moule. De un elle passe à trois doigts : elle est totalement écartelée volontairement. Son immédiat : jouir, encore jouir.
Elle laisse la pine dans son con décharger son contenu. Elle imagine bien le liquide blanc visqueux, goûteux qui envahi son ventre. Elle regrette de ne pas lavoir dans la bouche pour sen régaler.
Son amant se relève un peu groggy Pour elle la queue débandant est agréable. Elle la prend dans la main avec laquelle elle se caressait le clitoris. Elle rajoute sa cyprine à celle sur la queue. Dans un dernier geste de gourmandise elle la prend sans la bouche comme une sucette. Le gland est transformé en bout de glace. Elle le lèche pareil. Puis le prend en totalité dans la bouche. Sy sent le gout de son cul, de sperme et de sa propre cyprine : un régal pour son mercredi.