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mes cousines à gros seins – Chapitre 1




C’était durant les grandes vacances, la famille entière était réunie dans une grande maison du Massif central. Mes cousines, Clémence et Marie étaient venues elles aussi. Elles ont 19 et 18 ans, et moi 18. Je m’appelle Antoine, je venais de passer ma première scientifique avec brio et je comptais bien profiter de cet été avec mes cousines.

On était donc tous chez mon oncle et ma tante, Jackie et Michelle (les parents de Clémences et Marie), j’ai donc dû monter ma valise dans la chambre de Clémence, car c’était la seule chambre avec assez d’espace pour accueillir mon matelas gonflable. Ainsi, le premier soir, on a pu dormir dans la même chambre. Et cela sest déroulé comme ça :

Clémence: Prépare-toi, Antoine, car demain on va se dépenser à la rivière

moi : La rivière, celle où on sétait baigné il y a six ans

Clémence : Celle la même

moi : OK, bonne nuit

Clémence: Bonne nuit

Le lendemain matin, nous sommes donc allés à la rivière. En maillot, mes cousines étaient très sexy. Clémence avait un petit maillot de bain sans bretelle avec juste un clip à l’arrière qui mettait en avant son ventre fin et son opulente poitrine. Marie possède elle aussi une bonne poitrine que l’on a envie de serrer mais qui est un peu plus camouflé par son maillot de bain.

J’avais pris soin de prendre un caleçon ample pour qu’elles ne voient pas mon érection naissante. On s’éclaboussait et se noyait jusqu’à ce qu’une idée me vienne en tête.

Je pris mon courage à deux mains et j’avançais, dos à Clémence, j’avançais mes mains, silencieusement et je décrochai son soutif.

Elle se retourna de surprise et je pus admirer ses deux magnifiques seins avec au milieu deux mamelons qui pointaient à cause du froid. On se regardait, mes yeux hésitant entre son regard et sa poitrine, mais Marie nous fit réagir

Marie : Clémence, fais gaffe ton haut se fait emporter par le courant.

Clémence: Merde

Tandis que son maillot s’en allait, elle décida de plonger pour que sa poitrine soit cachée mais Marie trouva une autre idée.

Marie : T inquiète, je vais retirer mon haut et comme ça on sera tous torse nu

Clémence: Ouais mais… et Antoine ?

Marie : Ah oui, tu as raison. Antoine, tu dois toi aussi retirer un vêtement !!

Étant assez pudique et commençant à bander à la vue de ces mamelons pointus, je n’étais pas très sure mais je pris quand même le temps de retirer mon caleçon, maintenant que je bande dure. De là où elles étaient, elles ne pouvaient pas voir ma bite du coup Clémence me poussa à aller sur la berge pour mieux admirer ma queue elle me mit à terre.

Clémence : Tu crois que tu peux m’enlever mon maillot et me mater à ta guise ? Marie, viens un peu ici.

Marie me prit alors par la queue et commença à me branler vigoureusement, je tentais de m’accrocher à quelque chose quand je rencontrai le sein de Clémence, par réflexe, je commençais à pincer ce mamelon rose qui pointait vers moi.

Comme elle était surprise par ce geste, je la serrai contre moi pour lécher ses tétons. Jusqu’à ce que Marie décide de s’empaler par surprise sur ma queue, et de faire des va et viens rapide. Je lâchai alors Clémence et elle sassit sur mon visage pour que je lui fasse un cunnilingus. Ma langue entrait dans sa chatte et son jus coulait dans ma bouche en continu. Je continuais de pilonner avec force Marie tandis que sa cyprine coulait le long de mon membre. Je sentais que son vagin était très serré et au cri quelle faisait, jusqu’à ce quelle jouisse sur ma queue.

Marie : Antoine, ta queue est super ! Merci cousin !

Clémence : Attends-moi je n’ai pas joui, à mon tour !

Je me redressais et je me mis face à Clémence, prêt à entrer en elle, tandis qu’elle se massait les seins, Marie me léchait les bourses et les mordait, ce qui à réussi à me faire jouir dans Clémence. Quand ma bite est enfin sortie, le vagin de Clémence dégoulinait de sperme.

Clémence n’ayant pas joui, elle se frottait vigoureusement son clitoris que l’excitation avait durci. Je lui mis alors deux doigts dans la chatte, déjà bien humide. Marie lui pelotait les seins et je vis qu’elle n’était pas indifférente à cela. Je la doigtais le plus profondément possible, le plus rapidement possible jusqu’à ce que son vagin se contracte violemment pour jouir sur ma main. On est ensuite partis se nettoyer à la rivière.

Étant midi passé on a décidé de rentrer pour ne pas alerter nos parents, mais je pense que l’on était tous déçus de ne pas pouvoir continuer.

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