Elle chante un peu voilée souple comme le vent

C’est une mélodie sans paroles hors du temps

Elle chante les yeux fermés en fléchissant le cou

Plongée dans un pays très éloigné de vous

Alors les mots qu’elle improvise

Sont faits de violence et de couleurs

Sa voix qui était fluide d’abord se brise et se renforce

Comme les blessures de l’âme dans la profondeur de l’écorce

Mais d’où lui vient cette infinie douceur

Cette sensualité mélangée de pudeur

Ses belles mains quand elles se pose

Sur une épaule ou sur mon bras

Tout se métamorphose

On oublie la mort on s’en va

Elle chante la terre rouge la sèche la stérile

Elle chante les hommes proscrits les sans terre dans les villes

Les jeunes filles en noir et tous les enfants dans les rues

Les longues années sans pluie et ceux qu’on n’a jamais revus

Elle a ce don cette lumière pour chanter des mots à sa terre

Le rêve qui la berce devient un grande vent ravageur

Et puis innocemment parle d’amour et de chaleur

Mais d’où lui vient cette infinie douceur

Cette sensualité mélangée de pudeur

Ses belles mains quand elles se posent

Sur une épaule ou sur mon bras

Tout se métamorphose

On oublie la mort on s’en va

Elle chante des mots qu’elle improvise

Venus de loin des profondeurs

Sa voix qui était fluide d’abord se brise et se renforce

Elle est la vie la mort la fragilité et la force

Elle est la vie la mort la fragilité et la force

Elle chante un peu voilée souple comme le vent

C’est une mélodie sans paroles hors du temps

Elle chante les yeux fermés en fléchissant le cou

Plongée dans un pays très éloigné de vous

Alors les mots qu’elle improvise

Sont faits de violence et de couleurs

Sa voix qui était fluide d’abord se brise et se renforce

Comme les blessures de l’âme dans la profondeur de l’écorce

Mais d’où lui vient cette infinie douceur

Cette sensualité mélangée de pudeur

Ses belles mains quand elles se pose

Sur une épaule ou sur mon bras

Tout se métamorphose

On oublie la mort on s’en va

Elle chante la terre rouge la sèche la stérile

Elle chante les hommes proscrits les sans terre dans les villes

Les jeunes filles en noir et tous les enfants dans les rues

Les longues années sans pluie et ceux qu’on n’a jamais revus

Elle a ce don cette lumière pour chanter des mots à sa terre

Le rêve qui la berce devient un grande vent ravageur

Et puis innocemment parle d’amour et de chaleur

Mais d’où lui vient cette infinie douceur

Cette sensualité mélangée de pudeur

Ses belles mains quand elles se posent

Sur une épaule ou sur mon bras

Tout se métamorphose

On oublie la mort on s’en va

Elle chante des mots qu’elle improvise

Venus de loin des profondeurs

Sa voix qui était fluide d’abord se brise et se renforce

Elle est la vie la mort la fragilité et la force

Elle est la vie la mort la fragilité et la force

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