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Espionner ses parents – Chapitre 2




Info importante : J’ai commencé à me masturber en commençant cette histoire, et j’ai joui à la fin, en me remémorant de super souvenirs. Si vous avez des souvenirs identiques, n’hésitez pas à en parler en commentaires, ou dans mes messages ! Bonne lecture !

Voici la suite de mon histoire ! Pour rappel, dans la dernière, je vous racontais comment je rajoutais une dose de mon propre sperme dans les capotes usagées de mes parents…

Cet espionnage auditif a duré presque un an, avant que je ne passe à l’étape supérieure :

J’étais sorti passer du temps avec des amis pour la soirée, et j’avais prévenu mes parents que je ne rentrerais peut-être pas. Finalement, étant très fatigué, je suis rentré aux alentours de minuit, très discrètement, puisque tout était éteint dans la maison.

Je suis passé à la cuisine boire un verre d’eau (soirée arrosée oblige), et commence à entendre un bruit suspect. Un bruit que je connais bien, puisque j’ai le loisir de l’écouter en me vidant les couilles depuis près d’un an.

Mes parents sont en train de baiser !

Je redouble donc de discrétion, et me dirige vers ma chambre, sans faire grincer une seule latte. En arrivant dans ma chambre, mon cur bat à 100 à l’heure, et pour cause ! Pour la première fois, leur porte est ouverte ! Je me déshabille donc dans ma chambre pour ne garder que mon caleçon, et retourne toujours aussi discrètement regarder par l’entrebâillement de la porte. Ils ne savent toujours pas que je suis là, et ne se censurent en rien.

Dans la lumière tamisée à côté de leur lit, je vois ma mère à 4 pattes sur le lit, en train de masser les couilles de mon père, en lui suçant la bite. Il a une demi-molle, mais ma mère a déjà du mal à s’occuper d’un engin pareil. Et je comprends pourquoi il ne bande pas à fond… Je vois au pied du lit une boule de mouchoirs, translucides, puisque pleins d’un liquide que j’imagine être une première dose de foutre paternel. Vu les gémissements de ma mère quand je suis rentré, ça devait déjà faire un moment qu’ils baisaient, et ils ont déjà joui tous les deux. Mais ils sont gourmands !

Au bout de deux ou trois minutes d’une pipe bruyante et baveuse, mon père arbore une belle grosse queue longue et surtout hyper-large ! Ma mère se redresse un peu, et ils s’embrassent, en se caressant de partout. Dans cet état-là, ma mère n’a eu qu’à se retourner et à tendre sa croupe pour que mon père se penche et lui embrasse ses fesses, en léchant sa chatte et son cul… Il présenta son mat à l’entrée de la chatte de ma mère et entra en un seul mouvement. J’ai vu ma mère se tendre, sa chatte avait certainement eu le temps de se resserrer depuis la dernière pénétration. Il la prit par les hanches et commença à imposer une cadence lente, mais en faisant de grands mouvements. Tous deux gémissaient déjà, certainement encore sensibles du fait de leur orgasme récent. (J’ai oublié de vous dire qu’ils ne mettent plus de capotes, sauf dans certains cas expliqués par la suite…)

La cadence augmentant, ma mère essayait de parler :

-Je vais… je vais… jouiiir…

Alors mon père sortit d’un seul coup de sa chatte, et lui mit une belle fessée en simultané. Je l’ai vu sucer son pouce, puis le poser sur la rondelle de ma mère. Immédiatement, ils se sont regardés et sont partis dans un fou rire. Fou rire qui s’arrêta dès les premiers gémissements de ma mère, quand mon père a appuyé sur son anus qui a cédé. Il lui a alors massé le conduit pendant 5 bonnes minutes, en n’oubliant pas son clitoris par moments. Enfin, il a posé son gros gland, seul morceau qui ne soit pas veineux de sa queue, sur la rondelle assouplie. Il n’a fallu qu’une seconde à ma mère pour réagir : "Non… c’est sale, mets une capote". Un peu déçu, mon père attrapa une capote dans leur table de chevet, et l’enfila. Il a reléché l’anus maternel un moment avant de poser son gland dessus.

A la seconde où il a commencé à appuyer, j’ai vu ma mère devenir rigide, se cambrant doucement. Impossible de ne pas fermer les yeux, de ne pas ouvrir la bouche. J’ai eu l’impression qu’elle était en apnée, jusqu’à ce que mon père, qui s’insérait petit à petit dans ce joli cul blanc colle ses couilles à sa vulve. A ce moment-là, elle a recommencé à respirer dans un long gémissement.

J’avais envie de vivre ça, de ressentir les mêmes sensations que lui… Alors pour les imaginer, je suis allé à la salle de bain, chercher la capote de l’avant-veille, et je l’ai enfilée… Je suis retourné assister à ce spectacle avec la capote dans laquelle mon père a déposé tout son sperme en jouissant dans le cul de ma mère…

Quand je suis arrivé, mon père faisait des mouvements lents, mais avec toute la longueur de sa queue, pour permettre à ma mère de s’habituer en douceur. Quelques secondes seulement plus tard, ma mère gémissait comme une folle :

— Vas-y… c’est trop bon quand tu vas bien au fond…! Je vais jouir très vite !

Alors mon père n’a eu qu’à augmenter la cadence. Ses couilles claquaient contre la chatte de ma mère qui devait ruisseler de mouille chaude, et son ventre, sur le cul bien rond et blanc au milieu duquel il était planté. Il commençait lui aussi à pousser des râles de plaisir… l’orgasme était proche. Moi aussi je m’acharnais sur ma queue qui baignait dans le sperme.

T’arrête pas mon chéri, je vais jouir.

Moi aussi, ça va venir très bientôt… Serre les fesses s’il te plaît !

Puis, ma mère s’est mise à crier, et à remuer dans tous les sens, ne faisant que décupler les sensations de mon père prisonnier dans son anus serré. Elle était en train de jouir ! Mon père a alors lancé l’assaut final et a joui avec elle, en se tenant à ses hanches, pour aller le plus loin possible en elle, tout en se penchant pour se coller à son dos. Il n’a arrêté ses va-et-vient que lorsque ma mère a arrêté de gémir. Ils se sont souri, et se sont embrassés, puis mon père est sorti doucement de l’anus hyper-sensible. Sa bite, bien que sur la décroissance était impressionnante, et surtout la quantité de sperme qu’il a lâché ! On ne voyait pas son gland qui était recouvert de sperme dans la capote. C’est quand il l’a enlevée que je suis parti dans ma chambre.

J’avais joui en même temps qu’eux, remplissant à ras bord une capote déjà bien pleine. Je l’ai ensuite reposée où je l’ai trouvée, dans la poubelle.

Si cette histoire vous a plu, n’hésitez pas à me dire en commentaires quelles aventures vous exciteraient ;)

A bientôt !

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