Fraternité coquine
Dimanche matin
Je me réveille, avec l’impression désagréable de ne pas avoir vraiment dormi due à mon insomnie de la nuit dernière. Tout me revient rapidement, ma sur, son pc, la webcam, le site Et lui, ce voyeur dont je ne connais ni le nom, ni même le visage. Sans compter cette promesse qu’Ina lui a faite, et que je lui ai promise de respecter aujourd’hui même.
« Mais putain qu’elle conne ! »
Un bon café, c’est ça dont j’ai besoin. Je me lève, et me dirige vers la cuisine en passant devant la chambre de ma sur. La porte est entrouverte, comme je l’ai laissée, son ordinateur toujours au même endroit sur son lit. J’y entre, et constate que le lit est froid, me confirmant que pour la première fois, Ina n’est pas rentrée dormir à la maison. Je dois faire une croix sur notre rituel du dimanche matin, durant lequel celle-ci me raconte sa soirée passée. Mais m’a-t-elle toujours raconté la vérité, sachant désormais qu’elle me cache une partie de sa vie ? Un sentiment désagréable me prend à la gorge. Je suis en train de perdre ma sur jumelle.
Le téléphone sonne. Certainement Ina, du moins je l’espère. Encore à moitié endormie, je m’en saisis pour répondre.
« Allo ?
-Clara, c’est toi ?
-Oui, qui est-ce ?
-Clara, je t’en supplie ne raccroche pas. Je sais que je devrais te laisser tranquille après ce que je t’ai fait, mais je ne peux pas. Il y a tant de choses que je dois te dire. Tu dois savoir que »
En raccrochant, de rage, je me dirige immédiatement vers la cuisine, puis me ravise. Je dois savoir ce qu’a fait Ina hier.
De retour dans sa chambre, je me dirige vers son lit, et allume son pc. Immédiatement, la page de son site internet de webcam s’allume, et quelques messages affluent.
« Bon dimanche Ina »
« Ouaw, même au naturel tu es toujours sexy »
« Salut Ina, quel plaisir de te voir de si bon matin ! »
« Bonjour Ina. Tu vas bien ? Pas trop fatiguée depuis hier ? »
Ce dernier message m’interpelle. À ma grande surprise, il a été envoyé par une fille, Laure. Mais qu’est-ce qu’Ina a bien pu faire hier ?
« Salut Laure. Ça va pas trop mal, un simple mal de tête et un gros manque de sommeil, mais sinon tout va bien. Et toi ?
-Moi ? On va dire simplement courbaturée avec ce que tu nous a fait faire, mais très satisfait.
-Vous, tu veux dire qu’il est toujours avec toi ?
-Euh mon frère ? Bien sûr, on vit ensemble en colocation, tu ne le savais pas ?
-Euh, non, je n’ai pas le souvenir d’en avoir parlé avec lui.
-Oui je comprends, j’imagine qu’il ne t’a pas beaucoup parlé, surtout regardé. Bref je voulais m’excuser de mon comportement d’hier soir. Grâce à toi, j’ai compris pas mal de choses sur ma relation avec Kévin. Ça te dirait que je t’offre un café un de ces quatre ? Pour me faire pardonner. »
Son frère regarde Ina. Je ne saisis pas très bien la nature de leur relation, mais peu importe. Et qui est ce Kévin ? Bref je crois que Laure peut m’apprendre beaucoup de choses sur ma sur.
« Hum, j’ai une meilleure idée, que dirais-tu de venir manger chez moi ce midi ?
-Oula, tu es sérieuse ? Avec plaisir ! Par contre, je te préviens, ça sera moins classe qu’hier. Pizzas, ça te dis ?
-C’est parfait. Et viens avec ton frère, j’aimerai bien le voir.
-Avec Kévin. Hum ça pourrait être intéressant. Tu comptes aller jusqu’où ? »
Mais dans quoi suis-je encore en train de m’embarquer ? Kévin est son frère, d’accord. Ils regardent tous les deux ma sur nue sur internet. OK ! Et Ina a fait comprendre à Laure des choses sur leur relation ? Mais qu’a-t-elle fait hier ?
« On mange juste un morceau ensemble, et on passe un bon moment, ok ?
-Oh, oui je vois. Promis, ça sera appétissant ;).
-Allez, c’est conclu, à tout à l’heure.
-À tout à l’heure Ina, hâte de te revoir, et je suis sûre que Kévin aussi. Pleins de bisous ma chérie. »
Eh bien, je ne sais pas vraiment ce que je fais, mais je vais enfin pouvoir découvrir quelle vie mène Ina en secret.
Il est midi, ils ne devraient plus tarder. Entre temps, je me suis préparée afin d’être présentable pour accueillir mes invités. Deux cafés, une douche et un brossage de dents plus tard, je me retrouve dans le dressing pour choisir ma tenue. Un jean et un top blanc feront l’affaire. En dessous, je mets une culotte en coton noire, entourée de dentelle rose, et décide de ne pas m’entraver la poitrine avec un soutien-gorge. Nous sommes dimanche, et il ne fait pas froid, parfait pour être à l’aise non ? J’enfile mes chaussons à pompons, et descends au salon pour les attendre.
Midi trente, on sonne à la porte. Mon cur fait un bond, je dois me mettre dans mon personnage. Je coupe la télévision, et me rends à la porte pour accueillir mes invités. Je reste bloquée, pantoise, en découvrant mes invités. Lui est grand, assez mignon, avec un air un peu gauche de garçon timide. Mais c’est elle qui me surprend, car sur le coup j’ai cru qu’Ina me faisait une mauvaise blague. Elle est blonde, tout comme nous, petite aussi, les mêmes yeux bleus. Mais très vite, je me rends compte qu’elle est à la fois très différente. Ses courbes sont plus dessinées, sa poitrine est plus grosse, et si ses yeux sont similaires, son regard est lui plus dur, moins rieur et tendre que celui d’Ina, ce qui ne m’empêche pas de la trouver très belle.
« Salut Ina. Désolé du retard, mais Kévin a pris un temps fou dans la salle de bain pour se préparer.
-Salut Laure. Ne t’inquiète pas pour cela, même si j’avais hâte de vous voir. Allez-y, entrez. »
Alors que je leur fais signe d’entrer, Laure me colle un baiser sur la joue, puis entre dans la maison, suivie de Kévin qui me lance un regard gêné en me tendant la joue tout en portant les boites à pizzas.
« Super, merci à tous les deux pour le repas. Venez, installez-vous au salon, faites comme chez vous ».
Je prends les boites, et leur fais signe de me suivre, et les installe sur le canapé devant la table basse. Kévin s’assoit le premier, puis Laure qui se colle à lui malgré les deux places encore disponibles. Cette dernière remarque ma légère surprise, et me lance un sourire radieux tout en posant une main sur la cuisse de son frère qui lui semble de plus en plus tendu.
« On te doit une explication il me semble.
-Vous ne me devez rien Laure, mais je suis vraiment curieuse. »
Elle se met à rire, d’un rire si enjoué, presque enfantin, que je ne peux m’empêcher de la suivre, accompagnée un peu à ma surprise par Kévin qui se déride enfin. Tout en séchant les larmes qui perlent au creux de mes yeux, je reprends la conversation :
« Alors, racontez-moi. Je veux tout savoir de votre soirée.
-Vraiment tout ? Tu étais aux premières loges pourtant. Enfin, plutôt tu tenais le rôle principal.
-Hum, c’est vrai, mais j’aimerai savoir comment cela s’est passé pour vous ».
Kévin et Laure se lancent un regard, comme cherchant à savoir par où commencer. Alors qu’elle est sur le point de prendre la parole, c’est Kévin qui fait le premier pas.
« Tu as été extraordinaire Ina. Je t’ai vue très souvent derrière ta caméra, mais hier, merde, j’ai vraiment cru que je rêvais.
-Il a raison Ina, tu es une bombe. Et pas seulement physiquement. Je veux dire, tu es magnifique c’est vrai, mais hier tu étais plus que ça, beaucoup plus. C’est toi qui a fait monter la température, toi qui nous a mis à l’aise au point que nous avons fini à 7 dans un lit. Hier soir, c’est toi qui nous a fait toutes et tous jouir. Une vraie déesse ».
Voilà, j’ai ma réponse. Voilà ce qu’Ina faisait hier, une espèce d’orgie je ne sais où, avec je ne sais qui. Je sais que je devrais être choquée par cette révélation, et pourtant, je me sens de nouveau excitée comme après avoir découvert les activités d’Ina devant sa webcam. Je n’étais peut-être pas présente hier, mais je ressens ces compliments comme s’ils m’étaient réellement adressés. Je ne dis rien, sentant la chaleur me monter aux joues. Laure me croyant intimidée, se lève, contourne la table basse, et tout en passant une main derrière ma nuque, m’embrasse délicieusement. Je ne peux réagir autrement qu’en répondant à ce baiser, le premier partagé avec une femme. Laure finit par écarter ses lèvres des miennes, et me dit délicatement :
« Ne sois pas timide, hier a été pour nous la plus belle nuit de notre vie.
-Vraiment ?
-Oui, vraiment. Au-delà de tout le plaisir que tu nous as donné, tu nous as surtout fait comprendre à Kévin et à moi à quel point notre relation dépassait un simple amour fraternel.
-Comment ça ?
-Il ne s’est rien passé, enfin presque. Nous avons simplement dormi dans les bras l’un de l’autre. Mais nous savions que cela voulait dire beaucoup plus ».
Mes yeux se tournent vers Kévin, qui ne dit rien. La timidité semble avoir totalement quitté son regard, et il ne cherche même pas à cacher son érection qui forme une bosse très proéminente dans son jean, alors que Laure reprend :
« Je voulais te demander Ina, as-tu des frères et surs ?
-Oui, une sur.
-N’as-tu jamais eu envie que votre relation devienne plus charnelle ?
-Si ».
Voilà, les mots sont sortis, à mon insu, comme si une autre personne parlait à ma place. Et pourtant, je sais pertinemment que cette autre personne exprime mes sentiments profonds, ceux apparus dans mes rêves la nuit dernière.
« S’il te plait Ina, guide-nous ».
Le temps de l’hésitation est passé. Je dois tenir mon rôle, et c’est deux-là sont venus pour une chose claire, et je sais maintenant ce qu’Ina aurait fait. Je me lève, prends la main de Laure, et lui fais signe de s’asseoir sur le canapé avant de m’y installer moi-même entre eux. Tout en posant une main sur la cuisse de Kévin, le bout de mes doigts effleurant la bosse formée par son sexe, je me penche pour l’embrasser.
Sa réponse ne se fait pas attendre, fougueuse et pleine d’entrain, sa langue venant sans gêne se glisser dans ma bouche, une main venant caresser ma poitrine à travers mon tee-shirt. Je m’écarte de lui, alors que sa main s’aventure sous mon top, venant titiller mes tétons, et me tourne vers Laure pour l’embrasser à nouveau. Ce baiser est tout aussi délicieux que le précédent, cette fois-ci en revanche teinté d’une forme d’impatience. Je décide qu’il est temps pour eux de briser la dernière barrière qui les sépare, et dit :
« Embrassez-vous ».
Leur regard se plonge dans celui de l’autre, je ne compte plus à leurs yeux, la main de Kévin sortant de mon tee-shirt, se dirigeant vers la joue de sa sur pour la caresser. Je me sens presque comme une intruse alors que leurs visages se rapprochent, doucement, comme dans les films, et que leurs lèvres se rencontrent pour la première fois. Ce n’est plus de l’excitation que je vois transpirer d’eux, mais quelque chose de plus profond, presque plus fort que de l’amour.
Ce que je sais en revanche, c’est qu’ils m’ont demandé de les guider dans cette aventure, et que je me dois de jouer mon rôle à fond malgré ma relative inexpérience. Ma main gauche, qui n’a toujours pas quitté la cuisse de Kévin, et rejointe pas la droit afin de déboutonner son jean, puis plonge sous l’élastique de son caleçon et en fait sortir un sexe tendu, prêt à exploser. Je sens leur lèvre se décoller, puis se tourner vers moi, Laure prenant la parole.
« Il est vraiment gros, tu ne trouves pas ?
-Hum oui ma chérie, tu es vraiment chanceuse ».
Si elle le dit, c’est que cela doit être le cas. Après tout, comment peut-on juger sur la base d’un seul amant ?
« Donne-moi ta main Laure »
Elle s’exécute, sans un mot, consciente de ce que j’ai derrière la tête. Je lui prends la main, la sentant trembler, et l’enroule délicatement autour du sexe de son frère. Alors qu’elle reste ainsi, sans bouger, les yeux rivés sur ce sexe qu’elle sent pulser entre ses doigts pour la première fois, je mets ma main sur la sienne, et lui fait faire un mouvement de va-et-vient déclenchant instantanément de petits gémissements de la part de Kévin, dont les mains se sont à nouveau glissées sous mon top mais cette fois si pour me le retirer. Je me laisse faire, sentant qu’il a besoin de maitriser en partie la situation, et recommence à l’embrasser alors que Laure se penche maintenant sur mes genoux et donne de légers coups de langues sur la bite de Kévin. Ce dernier, de plus en confiance glisse une main entre mes cuisses tout en posant l’autre sur la tête de sa sur pour l’encourager à aller plus loin. Je sens ses mains déboutonner mon jean, alors que Laure prend le sexe de son frère dans sa bouche, commençant des va et viens, sa main venant lui caresser les couilles. Notre position, de plus en plus inconfortable, empêche Kévin d’aller plus loin dans son exploration, le poussant à intervenir.
« Ina, on pourrait aller plutôt dans ta chambre ?
-D’accord, mais tu sais ce que cela implique.
-Oui. »
Laura se redresse, nous regardant l’un après l’autre, semblant comprendre nos intentions.
« Tu es d’accord Laure ? »
Elle semble hésiter quelques secondes, puis finit par acquiescer d’un mouvement de tête. Je me lève, et leur fais signe de me suivre à l’étage. Arrivée devant la porte, je ne peux m’empêcher d’avoir un temps d’arrêt en mettant la main sur la poignée, puis je l’abaisse enfin et entre suivie de Laure. Kévin lui a les yeux ronds en passant la porte.
« Je, Ouaw Ina, je ne pensais pas me retrouver ici un jour. C’est impressionnant en vrai !
-Tiens, je crois que j’ai un fan. Allez, ne fait pas l’idiot, installe-toi pendant que j’allume l’ordinateur. »
Tous les deux s’allongent sur le lit, Laure recommençant immédiatement à branler Kévin dont le pantalon et le caleçon ont disparu depuis nos échanges sur le canapé. J’ouvre le PC d’Ina, la page web s’affiche immédiatement, allumant de fait la webcam. Ça y est, nous sommes en ligne.
« C’est impressionnant de se voir comme ça. Jamais je n’aurai cru faire ça un jour.
-Ne t’inquiète pas ma chérie, on se prend vite au jeu. »
Plusieurs messages s’affichent.
« Eh bien ma salope, tu ne fais pas semblant aujourd’hui. »
« Je rêve ou Ina a invité sa sur à branler un mec ? »
« Putain le veinard ! On fait comment pour venir chez toi nous aussi ? Un nouveau concours ? »
Je souris face à toutes ces remarques, et décide qu’il est temps de poster mon premier message public. Je sens Kévin et Laure se rapprochent de moi pour regarder l’écran, elle mettant son menton sur mon épaule tandis que je sens dans mon dos la bite tendue de Kévin.
« Bonjour à tous. Petite surprise du dimanche, deux de nos membres sont venus me faire une petite visite. Je vous présente Kévin et Laure. Ils sont frère et sur, ils s’aiment et vont se le prouver pour la première fois. Alors préparez-vous à kiffer ! »
De nouveaux messages affluent mais c’est sans importance, sauf celui-ci, du voyeur anonyme.
« Bien joué Ina, je vois que tu as su marquer les esprits hier, je n’en doutais pas. Allez vas-y ma petite salope, montre-leur comme c’est bon de faire l’amour en famille. »
La tête de Laure a quitté mon épaule, cette dernière s’étant mise à quatre pattes pour reprendre sa fellation commencée dans le salon, Kévin étant à genoux face à elle. Je décide de la suivre dans cette position pour venir lécher les couilles de Kévin qui semble être aux anges. Il prend la tête de sa sur entre ses mains, et commence à lui baiser la bouche, doucement d’abord puis de plus en plus rapidement, ses couilles frappant mon visage à chaque nouveau va et viens. Je le sens sur le point de jouir, et décide d’intervenir.
« Stop, arrête-toi. Je crois que tu as besoin de te calmer. Allonge-toi et profite du spectacle. »
Il s’exécute à l’écoute de mon ton autoritaire. Laure, les larmes aux yeux à cause du rythme imprimé par son frère dans sa bouche, se relève et me fait face. J’approche mes mains de son chemisier et commence à le déboutonner tout en déposant des baisers dans son cou. Après l’avoir retiré, je m’attaque à l’accroche de son soutien-gorge, qui défait me permet d’admirer une poitrine superbe, plus grosse que la mienne et aux tétons fièrement dressés. Je les prends dans mes mains, sentant dans mes paumes leur poids, caressant les aréoles. J’approche ma bouche et en prends un entre mes lèvres pour le téter, le titiller avec ma langue, faisant lâcher un soupir de plaisir à Laure alors qu’elle passe une main dans mes cheveux. Je regarde Kévin du coin de l’il qui se masturbe en nous regardant tandis que de nombreux messages indéchiffrables à cette distance s’affichent sur l’ordinateur.
Je me relève et pousse délicatement Laure pour la faire s’allonger, puis recommencer mes baisers sur sa poitrine, puis son nombril, et enfin arrive à la limite de son short que je déboutonne. Tout en le faisant glisser sur ses jambes, je continue mes baisers, cette fois si sur l’intérieur de ses cuisses, puis aux abords du triangle formé par son string. Mon nez est collé à ce morceau de tissu qui me cache encore ce que je n’ai jamais vu de près, l’odeur de son humidité me montant à la tête. Je n’ai qu’une envie, c’est d’y plonger ma langue, d’y goûter. Mais ce n’est pas à moi de le faire.
« Kévin, viens ici s’il te plait. »
Comme hypnotisé, ce dernier se lève, et se met à côté de moi. Il n’a d’yeux que pour Laure, et pourtant je sens qu’il a encore besoin de moi. Je glisse mes mains sous l’élastique du string de Laure, et le fais rapidement disparaître révélant à notre vue une petite chatte épilée. Je me place derrière Kévin, et d’une légère poussée sur ses fesses, lui fait comprendre qu’il est temps de rejoindre sa sur. Il est entre ses jambes, en missionnaire, sa queue au bord de l’antre de sa sur. Je m’éloigne pour les laisser savourer ce moment ensemble, et m’allonge là où se trouvait Kévin une minute auparavant. Leurs lèvres se joignent, et d’une poussée leurs sexes s’emboîtent pour ne former plus qu’un arrachant à Laure un petit cri étouffé par les lèvres de Kévin. Ses mouvements sont doux, langoureux, amoureux. Je ne fais plus partie de la scène, j’ai fait ce qu’ils m’ont demandé, je les ai guidés.
La porte s’ouvre tout à coup en grand à l’entrée dans la pièce d’une Ina aussi abasourdie qu’en colère en découvrant la scène qui se déroule devant ses yeux. Elle croise mon regard, et voit l’ordinateur allumé à côté de moi.
« Mais putain Clara, qu’est-ce que tu fou dans ma chambre ? »
