Je me suis allongée entre les deux jeunes hommes, et j’ai laissé mes mains courir doucement sur leur peau douce et un peu moite … J’avais envie de leur laisser un peu de répit, et ils semblaient décidément plus du genre lascifs et tendres que sauvages bêtes de sexe. Moi-même, je n’avais pas tant envie de me faire défourailler par leurs deux queues telle une actrice X que de les câliner, ensemble ou successivement, et de partager un peu de cette intimité sulfureuse qui s’était miraculeusement instaurée entre nous au cours de nos précédents câlins …
Un seul avait pour le moment été gratifié d’un orgasme, l’autre me semblait de ce fait tout à fait à plaindre, c’était lui qui m’avait le mieux léchée, et qui avait su faire jouir l’autre mec avec une pipe de la mort qui tue, et pourtant il restait à présent fort calme et tendre, caressant mon corps du bout des doigts sans même faire mine de vouloir m’encourager à me livrer à des turpitudes plus hard…
Nous ne parlions guère, nous ne nous connaissions pas, nous n’avions rien à nous dire, seulement du plaisir à partager … Peut-être aussi commencions-nous à être un peu fatigués …
Celui qui avait joui – c’était Egoïste, me semblait-il, mais à vrai dire nos odeurs s’étaient entre-temps mélangées et je n’en étais plus vraiment sûre – semblait en fait le plus pressé de poursuivre nos ébats, il recommençait assez rapidement à bander et d’ici peu il serait probablement tout à fait en mesure de se remettre à l’action .
C’était l’autre dont j’avais maintenant le plus envie, peut-être parce qu’il m’avait émue avec sa façon d’embrasser et de sucer . Je me suis relevée et je me suis assise au dessus de lui, en prenant appui sur mes genoux et en me soulevant légèrement de manière à sentir sa queue tendue effleurer mon sexe au rythme de mes mouvements de bassin, sans appuyer dessus.
Il a glissé sa main entre mes jambes et a commencé à me caresser, l’intérieur des cuisses d’abord, là où la peau est tellement douce et où personne ne pense jamais à s’arrêter.
Je gardais le regard plongé dans le sien, j’étais presque dans la posture de l’amazone qui va chevaucher son mâle mais j’étais simplement stimulée par des doigts experts qui me faisaient mouiller grave et qui me donnaient autant envie d’engloutir cette queue dure dans mon ventre que de rester dans cette position encore pendant des heures et de ne jamais laisser ces doigts s’échapper de mon entrecuisse …
De temps à autre il me pénétrait, d’un ou deux doigts, une phalange et demi à peine, puis sans forcer davantage il recommençait à me caresser délicatement. J’étais tellement trempée que j’avais l’impression que ses doigts patinaient presque sur ma chair palpitante.
Je commençais à avoir une sérieuse envie de me ficher sa queue en plein ventre …
Son ami s’est relevé et est venu se placer derrière moi. Il m’a refait le coup du souffle dans le cou, ça a encore marché, j’ai attrapé ses mains et je les ai posées sur mes seins, il a joué avec mes tétons en les pinçant légèrement puis est lentement descendu vers mon ventre, avant de repasser à mon dos, me caressant le creux des reins d’une pression infime qui me faisait énormément d’effet.
J’ai glissé une main dans mon dos et j’ai saisi sa queue, que j’ai commencé à caresser doucement tout en m’abaissant lentement sur celle de son ami.
Celui-ci a tendu l’autre main pour attraper le sexe bien gonflé que je tenais, et il a commencé à le branler en même temps qu’il me caressait ….
A entendre les gémissements qui m’arrivaient au creux du cou, ça avait l’air diablement excitant …
Et j’étais là, le ventre noué de désir, deux sexes presque rien que pour moi à deux centimètres de mes orifices ; j’avais à la fois terriblement envie d’être pénétrée et de me sentir ultra remplie par leurs deux bites et comblée par leurs caresses et leurs baisers, et envie de rester sur cette frustration de plus en plus déchirante pour la transformer peu à peu en tension électrisante et puis par la suite en excellents souvenirs…
A ce moment, de façon fort imprévue, j’ai entendu un gros bang à ma porte.
Circonspecte, j’ai observé mes deux camarades, et je leur ai fait signe que j’allais voir ce qui se passait.
A regret, je me suis arrachée aux mains douces et aux corps chauds et aux queues dures qui s’offraient à moi et je me suis faufilée jusqu’à ma porte d’entrée. Posant l’oeil sur le judas j’ai reconnu Lucia, j’ai donc ouvert sans plus tarder et elle s’est engouffrée dans l’appartement telle la rafale qu’elle était.
’Tu ne dormais pas déjà quand même?’ a-t-elle demandé avec surprise en considérant ma tenue.
J’ai gloussé. Il faut dire que mes invités se tenaient vraiment très tranquilles. On n’entendait pas un bruit venant de la chambre.
Sans façon, Lucia n’a pas attendu que je l’invite à y entrer pour s’y engouffrer.
Je suis arrivée à sa suite et nous sommes restées en arrêt devant la jolie vision qui s’offrait à nous : assis le dos au mur, le lécheur d’exception se faisait sucer par l’autre, qui payait enfin de sa personne!:) Ce dernier avait les machoires grandes ouvertes et entre ses lèvres coulissait la queue du second mec. Il n’avait pas l’air d’avoir pris conscience de notre entrée, mais l’autre si, qui nous regardait droit dans les yeux tout en se faisant pomper par ces lèvres viriles.
Il avait reconnu Lucia et lui souriait d’un air un peu mystérieux. Lucia s’est assise sur le bord du lit.
’Ca ne vous dérange pas que je me joigne à vous?’ a-t-elle demandé d’un air bien lubrique en faisant sa meilleure oeillade d’italienne surchaude.
Je la croyais bien capable de transformer ces deux jeunes éphèbes à la sexualité hybride en bêtes de sexe entièrement dévolues à son propre plaisir, chose que je n’avais pas envie de faire, trop curieuse que j’étais d’entrer par la petite porte dans une intimité mâle dont j’étais, en toute logique, généralement exclue.
Le mec parfumé à Egoïste a changé de technique : au lieu de continuer à sucer son pote pour nous régaler du spectacle, il s’est relevé vers Lucia, l’a attrapée par le cou et a attiré son visage vers le sien pour l’embrasser.
Puis, malicieuse, elle s’est mise à partager ses coups de langues entre la bouche de l’un et la queue de l’autre, rendant à ce dernier un peu des délices dont elle l’avait privé .
Mon amie se prêtait de bonne grâce à ce jeu que je trouvais très troublant… Je la voyais faire à présent ce que j’accomplissais quelques temps auparavant, et c’était incroyable ce que cette vision d’une belle bite léchée alternativement par un homme et par une femme qui par ailleurs s’embrassaient pouvait me faire mouiller.
Peu à peu je me suis laissée glisser dans le rôle de la voyeuse, laissant ma place à Lucia qui en était manifestement enchantée.
Elle a commencé à se deshabiller lascivement, faisant jaillir ses énormes seins de son soutien-gorge, puis dandinant sa croupe incroyablement galbée pour se débarrasser de sa robe.
’J’étais sûre que vous deviez être de bons compagnons pour finir une nuit en beauté ..’ dit-elle en livrant ses courbes aux quatre mains mâles qui les apprivoisaient.
’Et puis je suis contente d’en profiter un peu, mais bien sûr je ne voudrais pas vous empêcher de poursuivre vos projets initiaux !’
Lucia avait de la sauvagerie dans l’oeil, je le voyais, et je savais qu’elle n’allait pas tarder à suggérer un truc énorme …
’Lequel a envie de se faire enculer pendant qu’il me lèche?’ a-t-elle-dit d’un ton des plus anodins.
