Après nous être promenées dans les bois pendant quelque temps, nous sommes arrivées près d’une cabane abandonnée.
— ’Entrons nous reposer quelque temps’ dit Sandrine l’air visiblement très fatigué.
— ’C’est une bonne idée’ renchérit Stéphanie.
Toutes les trois nous nous dirigeons vers cette maison faite de rondins de bois et couverte d’une mousse indiquant que peu de personne vienne par ici. Je pousse la porte qui me résiste un peu et entre la première. La pénombre qui règne dans la pièce me permet à peine de distinguer les meubles. Devant moi une table mal équarrie avec une chaise sur le côté, dans le fond une commode et face à l’entrée un canapé fort usé. Entièrement à ma contemplation, je suis surprise lorsque Sandrine se colle contre mon dos, me saisie les poignets et les tend à Stéphanie, qui en un tour de mains les attachent avec une fine corde.
— ’Mais … qu’est ce que vous faites … ??’
A peine ai-je terminé ma phrase qu’une traction sur mes poignets m’oblige à lever les bras. Je vois Sandrine tirer sur la corde qui entrave mes poignets, en jeter l’extrémité par-dessus une poutre du plafond et de toutes ses forces elle me soulève. Si bien que rapidement je suis obligée de mettre sur la pointe des pieds si je ne veux pas que mes épaules me fassent trop souffrir.
— ’Vous êtes folles… !! Détachez-moi immédiatement… !!’.
Une boule d’angoisse monte dans ma gorge lorsque je vois Stéphanie, terminant de nouer la corde sur un anneau fixé dans le mur, me regarder avec des yeux de feux.
— ’Que vous ais je fais… ?? Pourquoi… ? Détachez-moi… Je vous en pris… !!’
— ’J’en ais mare que tu nous prennes de haut avec tes grands aires de fille de la ville, nous narguant et nous snobant constamment, aussi nous allons te montrer comment nous traitons les petites prétentieuses de ton genre par ici !!’ Dit Stéphanie pleine de colère.
— ’Je le ferais plus… détache-moi, j’ais mal aux poignets… Pardon Steff Pardon !!’
— ’Trop tard Anne fallait y penser avant !!’
Je vois Stéphanie se diriger vers la commode, ouvrir un tiroir et prendre un objet, lorsqu’elle se retourne vers moi elle me montre une baguette en bois.
— ’Je vais te chauffer un peu les fesses peut être que cela t’apprendra la modestie ?’
— ’Nooonn… !! Tu ne vas pas oser faire çà… !! Nooonn… !! Je veux pas… !!’
Comme Stéphanie passe devant moi je tente de lui décocher un coup de pied mais je perds l’équilibre et une violente douleur monte de mes poignets. J’essai de d’arrêter le balancement de mon corps en me mettant sur la pointe des pieds mais je n’y arrive pas.
— ’Salope… !! J’ai mal aux mains, détache-moi… !!’
— ’Quoi tu oses me traiter de salope… !! Tu ne perds rien pour attendre… !! Je me suis toujours demandé quelle sorte de culotte peut bien porter une fille de la ville’.
Joignant le geste à la parole, elle passe dans mon dos, remonte doucement ma jupe, découvrant petits à petit mes cuisses, lorsqu’elle commence à apercevoir ma petite culotte, elle s’exclame
— ’Tu portes une culotte de pute ma chère Anne. Regarde Sandrine elle porte une culotte de dentelle presque transparente, on lui voit les poils et pour un peu on lui discernerait le minou.
Morte de honte en entendant les commentaires de Stéphanie je me mets à pleurer.
— ’ Ar rêtes, tu as gagn (snif) ées, je ser rai sage à l’ave (snif) nir !!’
Les larmes inondent mon visage, mais, lorsque j’entends Sandrine, je n’en crois pas mes oreilles.
— ’Dit Steff tu crois qu’elle est encore vierge ? A la ville ça doit tripoter sec !!’
— ’Je ne sais pas il suffit de vérifier… !’
Stéphanie termine de remonter ma jupe jusqu’à ma taille, découvrant mes cuisses fermes et fuselées, la roule et la coince dans ma ceinture. Puis elle fait glisser ses mains le long de mes hanches et s’arrête en atteignant l’élastique de ma culotte.
— ’Noonn !! Steff ne fait pas çà !! Baisse pas ma culotte… Noonn… !!’
J’ais beau me débattre, mais attachée comme je le suis, je ne peux rien faire. Je sens les mains de Sandrine faisant descendre ma culotte avec une lenteur extrême, laissant apparaître le duvet roux de ma toison puis la fente de mon sexe. Arrivée à mi-cuisses elle la laisse tombée. Je perçois le frottement du tissu glissant sur mes jambes et découvre sur le sol ma petite culotte faisant une tache blanche. De rage je lance un coup de pied à Stéphanie.
— ’Aiiii… !!’
Au glapissement que j’entends, je sais que mon talon l’a atteint à l’estomac. Je vois Stéphanie se tenir les mains sur l’estomac, pliée en deux de douleur.
— ’Vache j’ais mal… !! Tu vas me payer çà !!’
— ’Attends Steff ont va l’attacher autrement ’ intervient Sandrine.
— ’Comment ??’ Demande Stéphanie se redressant avec peine et me jetant un regard noir.
— ’On va lui ligoter les jambes ainsi elle ne pourra plus bouger.’
Sandrine et Stéphanie s’approchent de moi.
— ’Pardon Steff Pardon !! Je ferai tout ce que tu veux. Excuse-moi’
Arrivée à ma hauteur Stéphanie s’abaisse et attrape une de mes chevilles.
— ’Anne, si tu bouges je te promets que tu le regretteras’
Le ton de la voie de Steff est si dur que je n’ose pas faire un mouvement. Sandrine détend la corde de mes poignets ce qui me fait un bien fou car je peux enfin reposer les pieds sur le sol. Très vite un fourmillement parcourt mes bras et mes mains, puis des picotements de plus en plus douloureux au fur et à mesure que le sang se remet à circuler. Sandrine et Stéphanie en profitent pour lier une corde à chacune de mes chevilles, puis elle en passe l’extrémité dans des anneaux fixés dans le sol et, elles tirent sur les cordes m’obligeant à écarter les jambes. Lorsqu’elles sont satisfaites, elles nouent les cordes aux anneaux. Je suis immobilisée entièrement à leur merci.
— ’Qu’allez-vous faire de moi ?’
Sandrine s’approche de moi et me dit en me regardant dans les yeux.
’ Tu n’aurais pas dû faire ça Anne…’
Elle se laisse tomber à genoux son visage arrive à hauteur de mon sexe. Elle place ses mains sur mes fesses me faisant sursauter.
— ’Que vas tu me faire ?’
— ’Juste vérifier si tu as encore ta pastille.’ Me répond t’elle en riant.
Le souffle du rire de Sandrine sur ma chatte, les caresses de ses mains sur ses fesses et la situation dans laquelle je me trouve commencent à provoquer des troubles au creux de mes reins. Une chaleur que je connais bien irradie mon minou. Je lutte de toutes mes forces pour ne pas laisser paraître mon trouble. Mais lorsque Sandrine écarte les lèvres de ma chatte, je suis bien obligée d’admettre l’évidence.
— ’Regarde moi çà Steff non seulement elle n’est plus vierge mais elle mouille comme une fontaine. Elle aime çà, une vraie petite salope.’
Les mots de Sandrine me blessent mais je préfère ne rien dire.
— ’Si elle aime se faire tripoter je lui réserve une bonne surprise’ dit Stéphanie en ce dirigeant vers la porte. Avant de sortir elle me regarde
— ’Je crois que tu vas aimer Anne tu n’aurais pas du me frapper je t’aurais pardonnée ta morgue mais maintenant j’ais un compte avec toi.’ Et elle referme la porte sur elle.
— ’Que vas t’elle me faire ?’
— ’Je ne sais pas’ me répond Sandrine ’Mais depuis le temps que j’ais envie de toi je vais en profiter…’
Je regarde Sandrine, son visage ovale encadré de cheveux blonds est tourné vers moi, de ses yeux bleus un torrent sensuel s’échappe. Elle approche sa bouche de ma vulve, écarte à nouveau les lèvres de mon minou, attrape avec délicatesse mon clitoris et commence à le sucer comme un bonbon. Une violente décharge secoue mon bas ventre, mon bassin ondule au rythme des caresses de Sandrine. Le plaisir d’abord insidieux devient de plus en plus fort. En femme experte Sandrine contrôle la monté de mon orgasme, reculant le plus possible les limites de l’explosion.
-’Sandrine.. . Je… Oui… en peu plus… Oui… Ouuii… Ouuiii !!! Je veux jouir Hoo0o !! Ouuii… Haaa… Ouuuiiii… !!!’
Un orgasme fulgurant me parcourt le corps me laissant sans force, au bord de l’évanouissement. Lorsque que je reprends conscience je vois Stéphanie devant moi.
— ’Alors petite pute, je vois que tu ne t’es pas ennuyée pendant mon absence. Depuis le temps que Sandrine voulait te faire une minette. Maintenant à mon tour de jouer avec toi. Regarde je t’ais cueillie de fleurs…’
Dans ses mains Stéphanie tient délicatement un bouquet de fleurs. Elle les dépose une à une sur la table. Six en tout. C’est alors que je me rend compte que ce ne sont pas des fleur mais des orties. Un cri jaillit de ma bouche
— ’Que vas tu faire avec çà !!’
— ’Te nettoyer la chatte. Regarde toi, tu a de la mouille partout. Ce n’est pas très propre cela. Toi qui passe des heures dans la salle de bain à te pomponner tu dois bien le comprendre.’ Me dit elle un sourire aux lèvres.
— ’Non…Noonn…Nooonnn…!!! pas çà Steff tout ce que tu veux mais pas çà’
Comme une hystérique je me débats dans mes liens. Je tente de resserrer mes jambes. Chose impossible car je suis trop bien attachée.
— ’Steff je tends prie ne fais pas çà…!!
Stéphanie contemple mes efforts infructueux. Elle tire un mouchoir de l’une des poches de son jean’s, l’enroule autour de la tige de la première ortie, la soulève et se dirige vers moi.
Une peur panique me saisie.
— ’Nooonnn…!!!’
Soudain Sandrine et Stéphanie éclate de rire.
— ’Regarde elle pisse…elle a tellement la trouille qu’elle fait pipi’ dit Sandrine entre deux hoquets.
— ’La cochonne faire cela devant nous…elle n’a pas honte ?’ enchérie Stéphanie.
Rien n’y fait, je ne peux pas m’arrêter, je regarde cette fontaine d’or jaillir de ma chatte et imprégner le sol sablonneux de la cabane. Petit à petit le flot se tari pour ne laisser place qu’a quelques gouttes. Je suis rouge de confusion et je n’ose pas regarder devant moi, je garde la tête baisser sentant monter un flot de larmes.
Tout en s’avançant vers moi Stéphanie me dit
— ’Tu es vraiment une sale fille. Reconnaît qu’il faut bien t’essuyer la foufounette maintenant.’
Je ne répond pas. Mais lorsque je vois les feuilles d’ortie entre mes jambes je ne peut m’empêcher de supplier Stéphanie.
— ’tu m’as assez humiliée comme çà…arrête Steff…!!’
Je vois les doigts de Stéphanie séparer les lèvres de mon sexe. Je retient mon souffle car les feuilles d’ortie montent vers ma chatte. Saisie par l’appréhension je ne bouge plus. Lentement Stéphanie fait glisser les feuilles d’ortie entre les lèvres de mon minou, entre mes jambes et pour finir dans le sillon de mes fesses. Dans un reflexe je crispe mes fessiers ce qui a pour effet de ralentir encore plus le mouvement des orties. Une fois entièrement passez Stéphanie jette la tige sur le sol.
— ’Et d’une…!’
Ces mots sont comme un déclic, jusqu’à présent je ne sentais rien. Brusquement un picotement se propage à l’intérieur de ma vulve, bientôt remplacé par une véritable démangeaison, puis des élancements semblables à des piqûres se répandent le long du trajet suivie par les feuilles d’orties se transformant en une unique brûlure.
— ’Aiiii…!! Je suis en feu…!! ais mal’
A travers le brouillard de larmes qui obstrue mon regard j’aperçoit Stéphanie qui revient vers moi avec une autre tige d’ortie.
— ’Noonn…!! Plus…Plus…Trop mal…!!’
Malgré mes suppliques et les déhanchements de mon corps pour échapper aux orties de Stéphanie. Une deuxième tige suit le même chemin le long de ma vulve et dans la raie de mes fesses. La douleur est encore plus vive que précédemment.
— ’Plus…Noonn…!! …plus Steff…trop mal…!! …arrête…!!’
— ’J’espère que tu as compris maintenant !!’
— ’Ouuii…!! …Ouuii !! …je serai sage je ferai tous ce que tu voudras…!!’
Stéphanie profite quelques temps du spectacle de mon corps se contorsionnant en tous sens pour échapper à la souffrance qui le ronge. Elle semble se délecter de mes cris et de mes suppliques
— ’bien. Sandrine, détache la.’
Sandrine s’approche de moi, me délit les chevilles et lorsqu’elle détache la corde qui maintenait mes bras levés je m’effondre sur le sol. Je me tord comme un vers, une main frottant ma chatte l’autre mes fesses pour tenter d’apaiser la souffrance. Au bout de quelque temps la douleur s’estompe. Comme je tente de me relever Sandrine me dit
— ’Reste à genoux et approche à quatre pattes esclave…’
C’est la première fois que j’entend ce mot mais à partir de cette instant je sais qu’il va rythmer toute ma vie. Je m’approche de mes cousines déjà soumise à leurs nouveaux caprices.
— ’C’est bien Anne, relève toi est habille toi correctement, nous devons rentrer à la maison.’ Dit Stéphanie.
J’abaisse ma jupe. Je cherche ma petite culotte du regard mais Sandrine me dit
— ’A partir de maintenant tu ne portes plus sous-vêtement.’
— ’Oui…maî…maîtr…maîtresse Sandrine.’
Nous sommes sortie de la cabane. Arrivée sur le chemin, je me suis tournée vers la cabane pour figer à jamais l’image de cet endroit qui me fit découvrir ma vocation d’esclave.