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mon nouvel amant – Chapitre 1




Enfin je suis en vacance. Enfin je retrouve les lieux de mes exploits. Dès que je suis en bord de mer je vais me jeter à leau. Comme mon coin est toujours désert, jen profite pour être nue, comme jaime: tant pis pour les autres, sils ne sont pas contents, ils nont quà changer de place.

Jai eu tord de me jeter dans cette eau froide: malgré le soleil, le cers que les ignares assimilent au mistral ce vent désagréable a réussi son coup: je me gèle. Le seul moyen est de me mettre à labri dune petite dune. Jy cours après avoir récupéré ma serviette. Ouf enfin la chaleur. Je me retrouve tartinée de crème solaire. A coup de pile et face, je mexpose partout.

Lennui commence à venir, jai eu tord de ne pas venir avec une bonne copine (ne croyez pas quil y a des cachotteries entre nous). Je me retrouve comme une vieille fille de 50 ans. Je sens ma boule dans le bas ventre alors que ce matin je me suis masturbée. Je sens mon sexe demandeur dautres caresses. Un coup dil à droite, un autre à gauche: personne. Je peux écarter les jambes, y mettre mes deux mains, sortir le bouton de sa cache. Je le mouille avec de la salive, je le sens gonfler encore. Jaime le sentir sous mes doigts. Dès que je le caresse un peu il me semble gonfler encore. Je me branle maintenant avec mes fantasmes: je me vois entourée de 5 garçons qui veulent me baiser. Je nai rien contre, au contraire. Il me semble les sentir le premier dans mon sexe, lautre dans ma bouche le troisième est dans mon cul et je branle des deux autre. Si ça pouvait être vrai. Je reste sur ce souhait en jouissant.

Jessuie ma fente à cause du trop plein de cyprine. Jai bien joui cet après midi. Je sens que je le referais tout à lheure dans mon lit, à moins que sous la douche.

A lhôtel je monte vite dans la chambre, me mets nue à nouveau. Je file sous la douche. Je rince dabord mes cheveux. Leau coule sur mon corps. Cest agréable cette sensation de caresse que donne cette eau chaude. Jécarte encore les jambes je ne me pose plus de question: cette fois je reprends ma rêverie: ces 5 hommes ont changé de bites: elles sont plus grosses que tout à lheure: il me semble que jai le cul enfoncé par une queue dâne. Je sens au fond de mon ventre léjaculation de ce type.

Lheure tourne, je suis bien forcée daller au restaurant: presque plein quen jarrive. Je suis placée à une table restante, la seule, dailleurs. Bien sur arrivent dautres personnes, entre autre un gars qui ne me déplaît pas du tout. Un type grand baraqué, brun aux yeux bleus. Jaimerai quil soit près de moi. Le garçon doit entendre ma prière; il me demande daccepter à ma table un autre hôte. Jaccepte bien sur.

Quand il sinstalle, il me demande de lexcuser de son intrusion. Il est pardonné déjà. Jai envie de lui, comment arriver à mes fins? Cest simple à dire. Enfin cest lui qui me cherche, à la façon dun Apollon quil est. Il me complimente longuement en me détaillant. Il me ferait presque rougir.

Il cesse de parler pendant que nous dégustons un très bon repas accompagné des crus des Corbières. Il me semble être comme un oie après le gavage. Lui est en pleine forme. Il minvite à passer un moment dans une boite voisine. Nous ny restons quun instant: lambiance est négative.

Nous nous promenons: il prend ma main que jabandonne. Il la passe ensuite sur ma taille. Il y a longtemps que personne ne ma touchée là. Je le laisse faire en mappuyant contre lui. Il nous arrête: sa bouche se pose sur la mienne. De sage, son baiser tourne vite à loutrage aux bonnes murs. Nos langues se connaissent enfin. Il me colle contre lui. Je me laisse faire tout en appuyant mon bas ventre contre lui. Sil ne comprend pas je suis une sotte. Je sens se développer sa queue contre mon ventre. Jaurais pu la toucher: je nose pas comme une pucelle. Par contre lui ne se gêne pas; il me touche à peine la poitrine, ses mains descendent vers ma chatte. Vite quil la touche, vite quil me fasse des machins que normalement nous ne devrions pas faire. Il commence les machins quand il soulève larrière de ma robe: il y cherche ma raie fessière. Un seul doigt descend vers le bas: il cherche ma chatte à lenvers. Jai bien écarté les jambes quand il trouve enfin le clitoris. Il me branle à sa façon: ce nest pas celle que jaime, pourtant il me fait jouir rapidement. Jessaie de rendre la politesse: je narrive pas à sortir sa queue. Il laisse tomber me robe, me reprend par la taille: nous partons vers lhôtel. Il prend sa clé: juste à coté de la mienne. Pour ne pas être obligée de redescendre je prend la mienne aussi.

Il ouvre à peine sa porte quand il membrasse encore comme si jallais me sauver. Jai toujours envie de lui. Nous sommes presque au pied du lit. Il abandonne ma bouche pour se consacrer à ma mise à mort, enfin il me déshabille avec dextérité. Je ne peux que défaire sa ceinture: le reste lui appartient. Il est vite nu. Quelles tablettes de chocolat, quels muscles et quelle bite.

Contre moi encore, je sens maintenant tout son corps et sa bite bien dure. Il est comme moi, il a envie de baiser. Je voulais le branler un peu: je nai pas le temps, il me couche sur le dos au bord du lit, les jambes près du bord. Il se met à genoux pour mhonorer à sa façon: cest sa langue qui opère. Il ne fait rien que je ne connais déjà, sauf quil a la manière en plus. Il sait exactement quand il doit me laisser jouir, quand il faut changer dendroit. Bref il la passe partout dans la chatte. Jai commencé à frissonner deux secondes après le premier contact, je fini de le faire quand elle quitte. Entre temps jai joui je ne sais combien de fois, surtout quand il ma introduit la langue dans lanus.

Il arrêterait maintenant que jaurais eu ma dose. Lui na pas joui, il veut aussi sa part. Il me fait mettre au milieu du lit. Je suis sur le dos, les jambes ouvertes comme sil ne connaissait pas mon sexe. Il vient près de moi, embrasse ma poitrine, fait bander encore mes tétons. Mon désir reprend. Mon sexe le demande. Comment il va sy prendre, comment il va me prendre. Je me pose des questions ridicules. Il vient sur moi, ses jambes entre les miennes que je noue autour de lui. Il est très lent à venir. Je le sens enfin juste à lentré de ma grotte. Jattend une entrée brusque. Il est dune douceur extrême: il doit mettre plus dune minute pour entrer son mandrin. Par contre une fois dedans, il nen sort plus même pendant les aller et venues. Je le sens dans mon ventre, comme je sens ses couilles. La vache, il me fait encore jouir. Il accélère son allure; je pense quil va éjaculer. Pas du tout. Il est dur à la jouissance. Alors il me tourne sur le ventre. Il est encore entre mes jambes. Je sens sa queue contre mon anus. Il ne va pas lenculer, je naime pas trop ça. Il me mouille lentrée avec sa salive, il me mouille beaucoup. Quand il pose sa pine sur le rectum je la sens bien sur, il écarte mes chairs sans me faire mal, au contraire. Quand il est à fond dans mes boyaux, je ressent pour la première fois de ma vie un étrange bien être en moi. Je connais cet état; il va me faire jouir du cul. Cest vrai, je jouis différemment mais je jouis. Je ne pensais jamais jouir ainsi.

Il jouit aussi; je sens sa queue avoir des soubresauts dans mon postérieur. Quand il sort, je me retiens pour ne pas le sucer.

Nous restons un bon moment sans rien faire, uniquement des baisers. Nos bécots entraînent inévitablement son réveil: sa bite reprend une forme normale pour un couple nu dans un lit. Il me caresse encore la chatte. Je lui rend la même chose, je prend sa bite à pleine main pour le branler. Elle est dure, pleine de veines apparentes, avec un beau gland violacé. Elle me plaît autant dans mon ventre quentre mes doigts. Et si jessayais de la goûter. Je me tourne pour la sucer. Il en profite pour passer sous moi, prendre encore ma chatte dans la bouche. Je sens sa langue dans mon intimité avant que je lai dans ma bouche. Je prend son gland violacé dans la bouche: je trouve quil est doux de ce coté. Il gémit quand je lai au fond de ma gorge. Mes lèvres lentourent comme le ferait ma boite à jouissance. Jose même lui entrer deux doigts dans le cul. Je suis déchaînée. Jai pris ses couilles dans une main, joccupe entièrement son bas ventre. Il est à moi pour le moment. Il m’a fait jouir sans cesse, jarrive à lui faire cracher le sperme enfin. Il jouit comme sil navait pas éjaculer depuis de longues semaines. Il remplit ma bouche. Je peux déguster sa semence un long moment.

Nous reprenons un positions normale. Il me félicite pour mes capacité: pour lui cest rare de trouver une fille comme moi. Pour moi cest rare de trouver un baiseur pareil.

Laprès midi nous allons dans mon coin, leau est froide. Cest un bon prétexte pour baiser encore, nu, dans la nature, devant la mer. Que demander de mieux pour la durée des vacances.

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