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Claire: Le job qui a changé ma vie – Chapitre 3




Le lendemain, je n’avais pas mis de réveil, j’ai ouvert les yeux dans mon lit à 11 heures du matin.

La crème recommandée par Talia avait fait des miracles et je n’avais quasiment plus de douleur; J’ai noté le nom en me disant que ce serait sans doute une bonne idée d’en acheter un tube et de le garder à la maison ou dans mon sac.

Je me suis levée et j’ai préparé mon petit déjeuner mais j’ai été interrompue par la sonnerie de mon interphone. Un type avec un casque de scooter au bras m’a tendu une enveloppe avant de vite repartir. J’ai compté les 600 euros et j’ai mis avec précaution les billets avec le reste de ma cagnotte. C’était mon troisième jour en tant qu’employée de "Monsieur" et ma rémunération m’était versée exactement comme prévu. J’avais pris quelques billets de 50 euros dans mon magot les jours précédents mais je devais être proche des 6 000 euros. J’ai fait les calculs dans ma tête: je pourrai sans doute atteindre 10 000 euros avant la fin du mois.

Au delà de l’argent j’étais contente de ma nouvelle vie et ce, dans des proportions qui même moi me surprenaient. J’aurais sans doute dû avoir honte ou être perturbée après la journée de la veille mais ce n’était pas le cas. Je jouais à la soumise, je m’étais laissée baiser et ça avait été vraiment hard mais je n’avais pas détesté cela. Pour être tout à fait honnête, bien que je me sois un peu forcée pour coucher avec Jeff et tout accepter dès cette première fois, j’avais ressentie une réelle excitation dans le fait d’obéir aveuglément à mon patron et de jouer la poupée docile.

Je n’allais pas déconner, je gérerai mes nouveaux revenus avec précaution, je savais donc que mes problèmes d’argent étaient derrière moi tant que mon boss me garderait à son service… et j’étais prête à faire tout ce qu’il fallait pour cela.

J’étais heureuse pour la première fois depuis longtemps; Heureuse d’être une pute, certes, mais heureuse quand même.

De toute façon, j’étais célibataire, je n’avais pas d’amis et plus vraiment de famille: personne n’avait de légitimité pour me juger.

Je n’ai pas su trop quoi faire de ces deux jours, je me suis surtout reposée. J’ai pensé à sortir un peu le soir mais j’ai préféré ne pas gaspiller d’énergie inutilement: Mes deux prochains jours de service allaient peut être s’avérer éprouvant et je voulais avoir la forme.

J’ai cuisiné des légumes, mangé des fruits et je n’ai pas bu d’alcool; Je suis même allé faire un jogging: je voulais vraiment être au top.

La veille de reprendre, j’ai proposé à Samia, une ancienne collègue avec qui j’avais travaillé comme serveuse, de déjeuner avec moi. Nous n’étions pas amies mais c’était une de mes rares ex-connaissances de travail avec qui j’avais eu de bons rapports.

Nous nous sommes retrouvées à midi et demi, elle était aussi jolie que dans mon souvenir: fine mais avec une poitrine opulente et arborant de magnifiques cheveux noirs et raides. Nous nous sommes dirigées vers un restaurant de sushis et avons rapidement commandé.

— Samia: "J’étais surprise que tu m’appelles mais ça me fait plaisir".

— Moi "Oui, je suis partie assez vite quand Marc m’a viré. Du coup je n’ai gardé contact avec personne du bar".

— Samia: "C’est vrai que vous vous étiez bien frittés. Quand j’ai démissionné, c’était plus calme !"

— Moi: "On s’entendait plutôt bien toutes les deux, je me suis dit que ça pouvait être sympa de se revoir".

— Samia: "Tu as l’air en pleine forme. Qu’est-ce que tu deviens ?"

Je lui ai dit que je travaillais pour un particulier, que nous étions plusieurs à nous occuper de la résidence et de l’accueil de ses invités. Elle n’a pas cherché à en savoir plus, se contentant d’être heureuse pour moi en me voyant plus apaisée que lorsque j’étais serveuse.

Elle m’a parlé du bar dans lequel elle travaillait maintenant, de l’ambiance et des clients. Rapidement nous avons parlé mode et nous avons décidé de faire du shopping ensemble le week-end suivant. Il lui fallait une paire de bottines et pour moi c’était un nouveau sac, le petit plaisir que je m’offrirai pour fêter ma première semaine dans mon nouveau job.

Nous nous sommes fait la bise et je suis repartie ravie de voir que le courant passait toujours bien avec Samia.

Le lendemain, je me suis réveillée de bonne heure, avant que mon portable ne sonne. Je me suis lovée contre mes oreillers, j’allais partir pour deux jours de travail et je ressentais plutôt une certaine envie, je me demandais "à quelle sauce j’allais être mangée". Cette expression m’a amusée, j’avais le sourire aux lèvres.

J’ai repensé au repas avec Samia: j’allais peut-être enfin retrouver une vie sociale, mes problèmes d’argent étaient résolus et j’allais passer la journée en Jimmy Choo. Je me suis levée impatiente d’aller à lhôtel particulier.

Je suis arrivée un peu avant 10 heures, on m’a coiffée et maquillée puis je suis allé m’habiller sagement. Ce matin encore, je commençais par ma formation en préparation de la soirée poker qui approchait maintenant à grands pas.

J’avais parcouru tout ce que mon coach m’avait donné à lire, du coup j’étais quasiment prête; nous n’avons fait que des mises en situation pour me mettre face à quelques cas particuliers.

Quand je suis remontée à notre salon, Tatiana et Talia étaient là également. Je suis allé me changer en tenue de soubrette puis nous sommes allées déjeuner dans la bonne ambiance habituelle. Après le dessert, Philippe nous a suivi dans la salon pour nous expliquer le programme de la journée.

— Philippe: "Il y a deux ans, Monsieur a investi dans une entreprise fondée par des jeunes gens tout juste sortis de l’université. En fin d’après-midi, il les reçoit pour décider de la vente de la société à un groupe qui a fait une très belle offre. Monsieur voudrait accepter mais il doit convaincre ses jeunes associés".

Il nous a expliqué que nous devrions être là pour accueillir tout ce petit monde et que si tout tournait comme notre patron l’espérait, il leur offrirai un petit spectacle: Tatiana et Talia feraient l’amour toutes les deux devant eux.

— Moi: "Et moi ? Je resterai ici ?"

— Philippe: "Non, vous participerez aussi mais Monsieur ne m’en a pas dit plus".

Il n’était que 13H45 quand le déjeuner fut terminé, nous n’avions donc rien à faire pendant quelques heures. Tatiana s’est installée devant le PC à notre disposition, Talia est allée faire un jacuzzi et j’ai allumé la TV sans trop savoir quoi regarder. Nous n’étions peut-être pas assez occupées à notre goût mais j’avais l’impression que cela allait changer radicalement un peu plus tard.

Talia et Tatiana n’avaient rien eu à faire depuis le matin: elles ronchonnaient d’avoir passé plusieurs heures à attendre et que cela continue. C’était amusant de constater que contrairement à ce qu’on aurait pu penser, quitte à venir à la résidence, mes jolies collègues semblaient préférer qu’on fasse appel à elles pour prodiguer leurs faveurs plutôt qu’on les laisse de côté.

De mon côté j’étais surtout inquiète de ne pas connaître les plans de mon patron me concernant.

Les heures n’ont pas passé très vite mais finalement à 16h30, Philippe est réapparu.

" Talia, allez dans l’entrée, Tatiana dans l’escalier principal. Vous, Claire, venez avec moi dans le bureau de Monsieur. Vous amènerez les rafraîchissements."

J’ai remis mes chaussures et retouché mon maquillage puis j’ai suivi Philippe qui m’a amenée jusqu’au bureau du patron.

— Philippe: "Y a-t- il autre chose Monsieur ?"

— Monsieur: "Non, ça ira. Vous pouvez nous laisser Philippe".

— Monsieur: "Bonjour Claire. Installez 6 chaises en face de mon bureau".

— Moi: " Bien sûr Monsieur".

J’ai déplacé les chaises de la table de réunion comme mon boss le voulait. Vu leur poids et ma tenue: jupe ultra courte, bas, porte-jarretelles, pas de culotte, je devais offrir quelques angles de vue intéressants en jouant la déménageuse mais pour une fois, Monsieur ne s’amusait pas avec moi. Il était plongé dans la lecture de plusieurs tableaux de chiffres et il ne levait pas la tête.

La dernière fois que je l’avais vu, il m’avait offerte à son ami Jeff… l’ambiance était alors beaucoup moins studieuse !

Il m’a indiqué un côté de la pièce. Je me suis positionnée bien droite, jolie et souriante comme j’avais compris qu’il souhaitait nous voir dans ce genre de situations.

Quelques minutes plus tard, j’ai entendu du bruit venant du hall puis des pas: Le rendez-vous de Monsieur était arrivé. Philippe a fait entrer 6 garçons à qui je donnais à peine 25 ans et il leur a indiqué les chaises que j’avais mis en place.

Ils se sont assis et mon patron a commencé à parler: Il leur a rappelé la situation puis très vite, il est entré dans le vif du sujet.

Je m’en doutais un peu mais il était incroyablement brillant. Les gamins ne faisaient pas le poids et il était évident qu’il leurs ferait faire exactement ce qu’il voudrait, ce n’était qu’une question de temps.

Il m’a fait signe et a demandé à ses invités ce qu’ils voulaient boire. J’ai essayé de me rappeler de tout et je suis sortie chercher ce qu’il fallait à la cuisine.

Une fois revenue, j’ai fait le service. Les garçons n’ont pu s’empêcher de regarder le haut de mes bas et la partie de mon porte-jarretelles que ma tenue laissait visible. J’ai souri quand j’ai senti plusieurs paires d’yeux sur le bas de mes fesses que j’ai découvert en me penchant pour remplir les verres.

Monsieur a continué la discussion et il a écouté les réticences de certains avant de leur donner ses ultimes arguments: leur domaine d’activité lui semblait être une niche temporaire, vouée à grandement se réduire dans les prochaines années.

— Monsieur: "Je n’ai pas besoin de l’argent de la vente. Si je pense qu’on doit accepter l’offre que nous avons reçu c’est simplement parce que je suis certain qu’elle est surévaluée. On n’aura sans doute jamais mieux et il faudra peut-être 15 ans pour que notre activité génère autant d’argent que ce qu’on nous propose aujourd’hui".

Un des jeunes a argumenté que c’était leur "bébé", qu’ils étaient les seuls à pouvoir le faire grandir.

— Monsieur: "Ce n’est pas votre ’bébé’ comme vous dites; c’est juste une idée que vous avez eu pendant vos études d’ingénieurs en revenant d’une soirée à une école d’infirmières ou je ne sais quelle autre connerie et qui va tous vous rendre millionnaires si vous m’écoutez".

Ils se sont tus. Comme mon patron me le demandait, j’ai refait un tour avec la carafe d’eau pour remplir les verres et montrer mon cul puis j’ai repris ma place.

Mon boss a attendu une minute d’un long silence puis il a demandé: "Vous êtes tous d’accord ? On les appelle pour dire qu’on accepte la vente ?".

Le plus courageux a répondu "oui" puis les autres ont suivi.

Monsieur a pris le téléphone.

— Monsieur: "Monsieur Jacquart, je suis avec le conseil d’administration. Nous sommes ouverts à votre proposition"

— Monsieur: "Oui, c’est une bonne nouvelle. En revanche, votre offre ne nous satisfait pas. 20 millions, c’est en dessous de nos attentes. Il nous faut un vote unanime pour valider la vente et je ne l’obtiendrai pas sur ce montant. Nous attendons au moins 23 millions".

Les gamins ont ouvert de grands yeux, mon patron a mis son téléphone sur silencieux et s’est adressé à ses jeunes associés: " Il y en a qui veulent continuer à travailler dans notre boîte après la vente ?"

Celui qui avait le plus objecté a levé la main.

Mon patron a repris le téléphone.

— Monsieur: "Nous souhaitons également qu’un des associés actuels garde son poste au comité de direction, pour trois ans minimum".

Le type à l’autre bout de la ligne a semblé accepter mais a il négocié le montant.

— Monsieur: "Non ça ne peut pas être en dessous de 21 millions"

Quelques secondes ont passé.

— Monsieur: "Très bien. C’est parfait. Nous attendons les contrats".

Puis il a raccroché et il s’est tourné face à la bande de jeunes diplômés médusés.

Un des jeunes a pris la parole: "Vous venez vraiment d’obtenir 1 million de plus ?"

— Monsieur: "Ça m’en a tout l’air. En plus nous sommes sept, ce sera plus simple pour les calculs ! Cela nous fait 3 millions chacun".

Les jeunes diplômés se sont serrés dans les bras les uns des autres puis Monsieur s’est levé en leur disant: "Vous allez dîner ici pour fêter cela. J’avais prévu cette éventualité".

Il m’a fait signe de l’accompagner dans le salon d’attente. Une fois la porte fermée, il m’a attrapé par la taille et m’a serré contre lui; j’ai réalisé que c’était notre premier contact physique et que sentir mon patron contre moi m’était extrêmement agréable.

— Monsieur: "Vous m’avez trouvé comment ?"

— Moi: "Brillant, persuasif, assez impressionnant… Monsieur".

Il a fait glisser le pouce de sa main droite sur mes lèvres puis il l’a enfoncé dans ma bouche.

— Monsieur: "Applique toi".

C’était ma première fois qu’il me tutoyait, cela m’a fait sourire. J’ai sucé son doigt aussi amoureusement que je le pouvais en retroussant mes lèvres et en laissant un peu de salive s’accumuler dans ma bouche. Il l’a extrait après une minute mais il l’a immédiatement remplacé par son annulaire.

J’ai senti qu’il me serrait plus fort avec son autre main, il me faisait me cambrer contre lui et je sentais la bosse dans son pantalon contre mon pubis malgré nos vêtements.

Il a visité mes lèvres avec chacun de ses doigts; j’ai mimé une fellation de mon mieux en en rajoutant juste ce qu’il fallait: Je gémissait doucement à chaque intrusion comme la salope dont je l’imaginais avoir envie.

— Monsieur: "Laisse toi faire"

Il a joint son majeur et son index et les a fait glisser dans ma bouche. Je restais immobile blottie dans ses bras en me laissant baiser les lèvres par ses doigts irrespectueux. Je sentais une chaleur coupable se répandre dans mon ventre, j’étais vraiment bien, je n’avais plus besoin de le feindre et j’ai laissé mes yeux crier que j’avais envie de lui.

Il a joué avec moi encore une minute puis il m’a lâché doucement, me laissant aussi chancelante qu’humide.

— Monsieur: "Et si je vous disais que c’est moi qui leur achète leur entreprise ?"

— Moi: "Je ne comprends pas Monsieur"

— Monsieur: "En fait j’ai reçu une offre à 60 millions mais j’aurais du partager en 7 avec ces gamins… En leur achetant pour 20 millions et en revendant ensuite, cela laisse 40 millions dont ils ne verront pas la couleur".

J’ai écarquillé les yeux: je n’étais pas certaine d’avoir totalement compris mais cela semblait diabolique.

— Moi: "Vous avez vraiment fait ça ?!".

Il m’a serré contre lui en souriant. Je sentais son érection grandissante et je n’attendais qu’une chose: qu’il me fasse l’amour ou me demande de le sucer.

Il a approché son visage de mon oreille puis il a soufflé.

— Monsieur: "Ce soir, je ne ferai encore que vous regarder. M’offrirez vous tout ce que j’exigerai de vous ?"

Il a passé sa main sous ma jupette pour caresser mes fesses. J’ai gémi et soufflé langoureusement.

— Moi: "Je ferai tout ce que vous voudrez, pour votre seul plaisir même si c’est la queue d’un autre que vous voulez que j’accueille en moi".

Il m’a lâchée et s’est éloigné. Je n’avais encore jamais vu autant de désir dans son regard. Quant à moi, je n’avais pas eu à me forcer pour le flatter, je pensais chaque mot que j’avais prononcé.

Je l’ai vu prendre un téléphone.

— Monsieur : " Philippe, vous pouvez tout mettre en place. Les négociations se sont parfaitement déroulées, il faut fêter cela."

Il m’a envoyé rejoindre les filles dans notre petit salon en attente des prochaines instructions. 30 minutes plus tard, Philippe est venu nous voir avec une tenue et une paire de chaussures pour chacune.

Il nous a expliqué que Monsieur faisait servir un buffet dans la salle de réception et que nous allions distraire ses ex-associés.

Des fauteuils avaient été placés en rond autour d’un grand canapé. Talia et Tatiana devraient se gouiner devant tout ce petit monde. Par contre il ne savait toujours pas ce qui était prévu me concernant.

Nous avons filé dans nos chambres passer les tenues. J’ai cru qu’il y avait une erreur quand j’ai ouvert la protection qui recouvrait le cintre: La tenue prévue pour moi ressemblait plus à un filet de pêche qu’a un vêtement. C’était une robe très courte faite d’une sorte de résille à très larges mailles (7 ou 8 centimètres). Il y avait aussi une jolie culotte noire dans le pack que Philippe m’avait fourni.

J’ai enfilé le sous-vêtement et la robe avec beaucoup de précautions. Il était facile de l’abîmer en passant le bras dans une maille.

J’ai aussi mis les chaussures; elles étaient magnifiques, puis je suis fébrilement allé me regarder dans la glace. C’était comme si j’avais été à poil… mais en plus hot. La robe ne cachait rien et était un appel au sexe. La soirée s’annonçait torride.

Je suis sortie et j’ai été surprise de découvrir mes 2 collègues dans la même tenue que moi.

Philippe semblait gêné mais il nous a tout de même emmenées dans la salle de réception, là où les hostilités allaient débuter. Nous sommes entrées, Tatiana en premier, Talia ensuite et moi derrière elle, un peu effrayée de tout ceci.

Les garçons se sont tus alors que nous prenions place dans un coin de la pièce. J’ai vu les trois majordomes, Yohan, Pierric et Said de l’autre côté. J’ai trouvé leur présence rassurante, ils étaient sans doute là pour éviter les débordements.

— Monsieur: "Ces demoiselles vont commencer."

Il a fait signe à Talia et Tatiana d’approcher, il n’y a pas eu de grands discours; elles se sont mises sur le canapé à genoux, face à face puis elles se sont embrassées… sans tricher… vraiment sans tricher.

On voyait leurs joues déformées par le ballet de leurs langues. Des garçons ont sifflé, d’autres ont applaudi puis enfin elles se sont écartées.

Mes deux collègues se regardaient avec une envie évidente. J’avais du mal à croire que ce ne puisse être qu’un rôle qu’elles endossaient. Elles ont fait glisser leurs culottes puis simultanément, chacune a placé sa main entre les cuisses écartées de l’autre pour mutuellement se caresser sans se quitter des yeux.

Elles soufflaient comme des chattes; même moi, pure hétéro, j’avais du mal à rester totalement insensible à ces 2 déesses en plein exercice.

Tatiana a pris les choses en main: Elle a tourné autour de Talia pour venir se placer dans son dos, elle lui a enlevé sa robe puis d’autorité elle a saisi les tétons de la blackette et elle les a malaxé sans ménagement. Talia grimaçait en poussant des petits cris mais elle a retrouvé le sourire en glissant un doigt entre ses propres lèvres vaginales.

Les garçons appréciaient le spectacle; Plusieurs commençaient à se branler plus ou moins discrètement par dessus leurs pantalons.

Tatiana s’est allongé sur le dos et elle a fait venir Talia entre ses cuisses écartées. La black s’est mise à quatre pattes et elle a commencé à lécher docilement sa partenaire. Les deux veinards assis dans le dos de Talia ont échangé un clin dil en contemplant les orifices de ma collègue.

Les deux filles gémissaient à l’unisson, l’ambiance de la pièce était électrique.

Elles ont changé de place et cette fois c’est Tatiana qui a montré toute l’expertise de sa langue et son majeur. Talia a joui devant l’assemblée quelques instants plus tard, transportée par un délicieux cunnilingus et trois doigts enfoncés en elle.

Monsieur a fait un signe à Pierric, un des majordomes. Ce dernier est allé ouvrir un sac resté au fond de la pièce et il est revenu avec un sex toy. Il a lancé sur le canapé un gode rose d’environ 35-40 centimètres de long, 5 centimètres de diamètre et disposant d’un gland à chaque extrémité. Les filles l’ont regardé en rigolant puis elles se sont replacées face à face comme au début mais cette fois, elles tenaient toutes deux le gode par son milieu.

Elles se sont cambrées pour laisser un écart suffisant entre leurs bouches pour avoir le sex toy entre elles puis elles ont chacune pris une extrémité du gode à deux têtes en bouche pour commencer à le sucer.

Elles ont progressé sous les applaudissements et petit à petit, la partie en plastique séparant leurs lèvres a perdu des centimètres. Elles ont avancé lentement devant leurs spectateurs envoûtés et elles ont fini en ne laissant qu’un petit espace entre leurs visages.

Je voyais les yeux de Talia commencer à couler mais toutes les deux sont restées ainsi. Pendant plusieurs minutes elles ont astiqué cette double bite factice sur quelques centimètres tout en caressant leurs chattes.

— Monsieur: "préparez aussi vos petits culs, vous en aurez besoin".

Pierric est venu verser un peu de gel sur les doigts des filles et l’assistance a pu les observer glisser leurs index entre leurs fesses tout en continuant cette double fellation.

Pierric a fait une seconde tournée de lubrifiant pour que les filles finissent de préparer leurs corolles puis il a déposé un second double-gode identique au premier sur le canapé.

— Monsieur: "Faites nous disparaître tout ça, vous voulez bien ?"

Tatiana a essayé de répondre "Oui Monsieur" mais avec deux doigts dans le cul et 15 centimètres de sex toy dans la bouche, cela n’a pas été compréhensible.

Les jeunes associés de Monsieur se sont marrés…. " Bande de petits cons !" me suis-je dit intérieurement.

Les filles ont enduit les deux godes de gel puis elles se sont placées à 4 pattes dos à dos, ou plutôt cul à cul pour être précise. Elles gardaient les bras bien tendus pour avoir le corps parallèle au sol et ainsi garder leurs orifices dans le même axe. Elles ont essayé de s’introduire une première fois les deux godes parallèlement et simultanément: C’était loin d’être simple… vous n’avez qu’à essayer si vous n’êtes pas convaincus !

… Mais je pense que ce n’était pas la première fois que Monsieur leur demandait de réaliser cette "performance" et chacune a finalement réussi à s’introduire un gland virtuel dans la chatte et l’anus.

Elles ont ondulé leur bassin et centimètre par centimètre la magie a opéré: la partie visible des sex toys se réduisait lentement au fur et à mesure de leurs progression dans les chairs de mes deux collègues. Elles soufflaient toutes deux, gardant un sourire coquin malgré des mâchoires un peu crispées.

Talia a poussé un "Hoouuff" en sentant son rectum maltraité puis ce fut au tour de Tatiana de pousser un cri aigu.

Tous les mâles de la pièce étaient captivés; il n’y avait pas à dire, notre patron disposait d’une sacrée équipe !

Sous les regards admiratifs, Talia et Tatiana sont parvenues à presque se toucher. Elles ouvraient toutes les deux la bouche en grand trop troublées par les sensations dans leurs culs et leurs chattes pour calculer.

Un des garçon a lancé: "T’imagines si en plus, elles avaient chacune un mec à sucer !"

Talia a eu l’air paniquée et Tatiana a froncé les sourcils. Elle avait du se contracter malgré elle en attendant cette brillante proposition… ce qui était une très mauvaise idée vu sa position.

— Monsieur: "OK. Mais on fait ça aux enchères".

— Monsieur: "Les filles: restez bien dans cette position"

— Monsieur: "On commence à 300 euros, les deux qui proposent le plus cher peuvent aller mettre leur bite dans la bouche de ces jeunes femmes".

Je n’y croyais pas, j’étais à la limite de me pincer pour réussir a croire que j’assistais vraiment à cela. Je ne sais pas pourquoi mais l’image d’une militante qui était venue dans ma classe de terminale nous parler de l’égalité homme-femme m’est apparue à l’esprit… on était loin du concept.

Après quelques cris, deux types ont payé 1600 euros chacun pour participer au show. Ils se sont déshabillés à toute vitesse et sont venus se placer devant les filles.

Elles avaient besoin de leurs bras pour se maintenir en position, elles ne pouvaient donc pas les aider.

Le type devant Tatiana a pris sa queue à la base et l’a fourré sans ménagement dans la bouche de la jolie blonde. Il lui a agrippé les cheveux et il lui a tout de suite mis des coups de bassin peu romantiques. Tatiana fronçait les sourcils, je voyais à son attitude qu’elle détestait ce qui était en train de lui arriver. Le mec lui a enfoncé sa queue à fonds, elle bavait pour supporter cela mais elle ne pouvait pas faire grand chose d’autre, les deux godes enfoncés à moitié en elle et dans l’intimité de Talia limitaient ses possibilités de mouvement.

Celui qui était devant Talia avait été plus respectueux: Il n’avait tout d’abord mis que son gland dans la bouche de la blackette et s’était contenté qu’elle roule une pelle à sa queue.

Malheureusement pour elle, voyant ce que son camarade faisait à la blonde, il avait à son tour perdu son éducation: Il avait lui aussi saisi sa partenaire par les cheveux et lui imposait maintenant une deep throat agressive.

Mes collègues se faisaient sérieusement secouer ce qui avait également pour conséquence de faire jouer les gode dans leurs orifices.

Pendant une minute personne n’a parlé, laissant la pièce s’emplir du bruit sale des fellations trop profondes jusqu’à ce qu’un commentaire misogyne d’un des deux chanceux fasse rigoler leurs camarades.

Pas très solidaire, je me disais que j’étais mieux à ma place qu’à celle de mes collègues et je me faisais toute petite dans mon recoin pour que personne n’ait l’idée de m’imposer le même traitement.

Plusieurs des autres garçons m’avaient regardée avec envie mais Monsieur ne semblait pas souhaiter que je rejoigne les festivités pour l’instant.

Le type dans la bouche de Tatiana a vraiment abusé: il poussait sa queue au maximum et écrasait le visage de la jolie blonde contre son ventre. Elle prenait cher mais il a fini par la libérer. Elle a levé un regard de haine vers lui mais cela ne l’a pas impressionné et il en a même rigolé.

— Le type: "Tu m’excusera poupée mais à 1600 boules la gâterie, je me fais plaisir !"

J’ai failli rigoler, il n’avait pas complètement tort !… J’ai tout de même essayé de rester impassible, je me suis dit que Tatiana aurait mal pris de me voir avec un air moqueur.

Il a repris sa partenaire par les cheveux et il l’a fait coulisser sur sa bite aussi loin qu’il pouvait.

Leurs 4 compères restés spectateurs se sont mis à applaudir et encourager, cela na ne présageait rien de bon pour les filles. Les 2 mecs se sont lâchés maintenant le visage de la blonde et la black enfoncés jusquà leur couilles. Ils mettaient tout deux des petits coups de reins qui les laissaient au fond de la gorge des jeunes femmes tout en leur procurant une divine caresse sur la longueur complète de leurs membres.

Je sentais Tatiana enrager mais malgré tout, elle acceptait de se laisser faire. J’étais en train d’appréhender les sacrifices qu’il me faudrait parfois faire pour garder ce job.

— Le type: "On change ?".

Son camarade a hoché de la tête et les deux garçons ont fait le tour des jeunes femmes. Tatiana a pu un peu souffler avec son nouveau camarade de jeu, pas Talia qui avait perdu au change en récupérant le plus agressif des deux.

Il lui a baisé la bouche sans la moindre tendresse, elle lutait comme elle pouvait, lèvres retroussées et coup tendu dans l’axe du corps pour supporter cette deep throat rageuse.

Les deux mecs ont fini par craquer. Ils ont extrait leurs verges et ont éjaculé abondamment sur le visage de leur partenaire; leurs salves se sont écrasées sur les minois de mes collègues. Elles étaient dans un sale état après la punition qui venait de leur être infligée.

Une fois leur mission accomplie, les filles sont tombées sur le côté et se sont enlevé les godes, souillées et épuisées par la fin de séance.

Un des majordomes les a aidées à s’essuyer et remballer les sex toys puis il les a escortées à l’extérieur. Un second a nettoyé les traces de leur prestation et le dernier a resservi du champagne à tout le monde.

Un des jeunes a crié: "Putain c’était trop bon ! C’est la meilleure soirée que je n’ai jamais fait"

— Monsieur: "On n’en a pas encore fini, il y a un second acte".

Il n’a pas eu besoin de me regarder pour que je comprenne qu’on parlait de moi.

Une trentaine de minutes a passé calmement, les verres se sont vidés et remplis plusieurs fois, tout le monde a pris des petits fours sucré puis enfin mon moment est arrivé. Entre terreur et excitation, je n’avais pas su gérer cette trop longue attente: j’avais les jambes en coton et ma tête tournait un peu avant même de commencer.

— Monsieur: "Claire, venez devant nous"

Je me suis exécutée mais en avançant vers le centre de la pièce, je me suis rendue compte que j’étais seule au milieu de 10 hommes: mon patron, ses 6 associés et les 3 majordomes. D’un coup, j’ai imaginé le pire des scénarios: être livrée en pâture à tous.

J’ai essayé de me calmer en me disant que mon patron ne pouvait pas me faire ça. Malgré tout ce qu’il pouvait nous faire faire, il avait une forme de respect pour nous, ses trois "hôtesses", et je ne l’imaginais pas aller aussi loin.

— Monsieur: "Restez face à moi et faites nous profiter de votre corps".

Comme pour l’entretien, je me suis lancée pour conjurer mon appréhension. J’ai commencé à me dandiner, à danser lascivement. Je ne quittais pas Monsieur des yeux.

Doucement, j’ai ôté ma culotte puis j’ai fait descendre un doigt sur mon clitoris tout en tiraillant le mamelon de mon sein gauche. J’ai gémi doucement en dévorant mon boss des yeux, il semblait satisfait de moi. Il n’aurait eu qu’un mot à dire pour que je vienne le sucer ou m’empaler sur son sexe que j’imaginais déjà dur et gorgé de désir. Même sans l’argent, je me serais donnée à lui, toute entière, sans retenue.

… Mais ce n’était pas pour aujourd’hui. Il me l’avait dit: ce soir encore, il m’offrirait à d’autres. Peu m’importait: je subirai tout ce qu’il me demanderait même si c’était encore pire que ce que Talia et Tatiana avaient enduré. Je voulais lui plaire, le faire bander, qu’il se branle ou baise une autre après en pensant à moi, en ne pensant qu’à moi.

Ces pensées m’avaient troublées. J’avais entendu du bruit derrière moi mais comme il le voulait, je n’avais pas quitté Monsieur du regard.

— Monsieur: " A genoux"

— Monsieur: "Très bien Claire. Tournez vous maintenant".

J’ai obéi puis j’ai cru que mon cur allait s’arrêter quand j’ai vu les trois majordomes face à moi. Ils ne portaient plus de pantalon ni caleçon. Les trois étaient seulement vêtus de leurs chemises, gilets et chaussures; ils se tenaient devant moi, leurs sexes à la main.

— Monsieur: "Vous connaissez déjà celle de Yohan, gouttez aussi celles de ses collègues".

J’ai posé mes mains sur mes genoux et docile, j’ai tourné mon visage vers la gauche offrant ainsi mes lèvres à Said, le premier de ces 3 messieurs.

J’ai entrouvert mes lèvres puis quelques secondes après, j’ai senti deux grandes mains tirer mon visage vers l’avant et une bite généreuse s’emparer de ma bouche.

Il m’a fait glisser sur une douzaine de centimètres doucement puis plus vite puis lentement encore; je faisais de mon mieux pour m’adapter et être accueillante.

Said a grogné puis j’ai senti d’autres mains derrière ma tête. J’ai rouvert les yeux: Yohan n’en pouvait plus. Mon premier partenaire a souri en enlevant sa verge de ma bouche pour me laisser me tourner et accueillir celle de celui qui avait déjà goûté mes lèvres lors de mon entretien d’embauche.

Il m’a maintenue le visage et a baisé ma bouche, en étant doux tout d’abord puis plus brutalement. Il a accéléré le rythme jusqu’à me faire baver, le public a apprécié et applaudi, ce fut le signal pour de nouveau changer de queue. Pierric m’a tiré par les cheveux pour m’amener jusqu’à sa verge puis il m’a pénétrée; il soufflait fort en me sentant m’offrir sans retenue: je crois que je lui plaisais un peu trop.

Ils m’ont fait faire 6 ou 7 passages sur chaque bite. Ma tête tournait et je commençais à perdre le fil des événements, je ne savais pas toujours qui était entre mes lèvres, je pensais juste à m’appliquer. Cela s’est arrêté quand Said m’a prise par le bras pour me mettre debout face à lui.

— Said: "Écarte tes jambes et cambre toi".

Je n’ai pas bougé, me contentant de tourner mon visage vers mon patron.

— Monsieur: "Faites ce qu’il demande Claire".

J’ai alors obtempéré à souriant à mon boss.

Yohan et Pierric se sont agenouillés chacun contre une de mes jambes pendait que Said enfonçait sa langue dans ma bouche pour m’embrasser avec intensité. Ensuite, j’ai senti qu’un des garçon, sans doute Pierric, commençait à caresser mon clitoris. Derrière, j’ai senti du gel couler dans la raie de mes fesses puis deux doigts commencer à masser ma rosette.

Said m’a embrassé encore un peu plus intensément, je me suis cambrée au maximum comme Monsieur me l’avait demandé et j’ai senti les majeurs de Pierric et Yohan pénétrer ma chatte et mon anus.

J’ai grogné malgré la langue dans ma bouche. Said s’est écarté en rigolant et il a introduit à son tour un doigt entre mes lèvres.

C’était la première fois que trois garçons s’occupaient de moi en même temps.C’était même la première fois que je faisais l’amour avec plus d’un homme à la fois.

La sensation d’avoir des doigts simultanément devant, derrière et dans la bouche était très troublante. La légère douleur au niveau de la corolle était compensé par la plaisante sensation dans ma chatte; Cet équilibre fut toutefois modifié quand ils glissèrent tous deux doigts en moi au lieu d’un seul.

J’ai gémi plus bruyamment en essayant de m’accrocher au regard de mon patron. Les majordomes y sont allé plus fort, ma bouche était envahie par les gros doigts de Said, Pierric cherchait mon point G, quant à Yohan, il ne ménageait pas mon rectum: il me faisait un peu mal en tapant ses articulations contre mon périnée à chaque intrusion mais je n’étais pas en position de protester.

Monsieur a fait un signe puis Said m’a attrapé par les cheveux et m’a mise à 4 pattes sur le canapé, le visage dépassant au dessus de l’accoudoir. Yohan est venu devant moi. Il m’a souri comme un prédateur puis il a enfoncé sa colonne entre mes lèvres en me maintenant derrière la tête pour que ne puisse pas me libérer de son étreinte. Derrière moi, j’ai senti des mains qui me faisaient écarter les jambes et cambrer mon dos.

Une bite a pris possession de ma chatte en même temps que la poigne sur mes cheveux se faisait plus irrespectueuse. Cela a été intense tout de suite: mes deux partenaires m’ont prise sans ménagement. J’ai eu mal dans la gorge et au fond de mon vagin mais heureusement, ces sensations se sont un peu apaisées malgré nos ébats qui eux ne perdaient pas en intensité.

Je criais à moitié et je grognais sous ce traitement de choc sans que cela ne perturbe mes amants. Pourtant d’un coup tout s’est arrêté, il y a eu du mouvement autour de moi, je pense que les majordomes ont interverti leurs place puis ils se sont déchaînés de nouveau. Je ne savais plus qui je suçais et qui me baisait, cette sensation m’a fait mouiller plus que je ne l’aurais voulu. Je devenais vraiment une traînée.

Il y eut encore deux changements puis celui qui me baisait à enfoncé son pouce entre mes fesses; j’ai grogné de surprise mais je me suis laissée faire. Il a fait fait jouer son doigt puis il l’a enlevé, j’ai senti un filet de bave venir éclabousser ma rondelle et le majordome s’est extrait de ma chatte pour venir présenter son gland contre ma petite porte.

Said qui était entre mes lèvres s’est écarté, j’en ai profité pour tourner la tête et constater que les 3 garçons étaient maintenant derrière moi prêts à me sodomiser à tour de rôle. Ces messieurs faisaient la queue pour m’enculer. J’ai commencé à paniquer puis j’ai essayé de me reprendre, j’ai respiré doucement et j’ai fait mon possible pour me détendre.

J’ai rougi mais j’ai posé mes yeux sur mon patron pour me rassurer, je sentais son regard sur moi comme celui de ses 6 associés, tous impatients de voir sur mon visage mes réactions quand je me ferai pénétrer.

La situation était très rabaissante mais je trouvais dans l’excitation que je pouvais lire dans les yeux de Monsieur la force de continuer.

Pierric a saisi mes hanches puis il a poussé sur sa queue forçant mon rectum sans ménagement. J’ai grimacé en meuglant une plainte rauque mais j’ai continué de tendre mes fesses. La brûlure s’est amplifiée quand il a continué à s’enfoncer, j’ai senti mes yeux couler et ma corolle se distendre. Je ne pouvais m’empêcher de baver.

J’ai entendu quelques remarques désobligeantes et j’ai du me concentrer pour ne pas me contracter quand un des types a lancé: "Faudrait l’attacher et qu’on lui défonce tous le cul".

Mais déjà c’était le moment du premier changement. Pierric m’a libéré quelques secondes mais on m’a vite ré-envahie. Le second garçon est allé plus loin encore et je pense que j’ai crié encore plus fort.

" Regarde ça, elle chiale cette conne. Pourtant elle continue, c’est vraiment une pute !".

C’était un des garçons qui me renvoyait à la réalité de ma nouvelle condition. J’ai encore crié deux fois en sentant mon anus se distendre puis ce fut au tour du troisième de découvrir mon cul.

Il m’a enfoncé sa queue jusqu’à la garde et il m’a tringlée brutalement malgré mes cris, mes gémissements et mes larmes.

Quand il m’a lâchée je me suis à moitié écroulée mais Yohan, que j’avais réussi à reconnaître, m’a rattrapé et ré-empalée. Il m’a prise aussi durement que son prédécesseur, c’était vraiment difficile à encaisser. Pierric et Said de nouveau, m’ont enculée sauvagement puis ils m’ont enfin laissée reprendre mon souffle.

Yohan s’est allongé sur le dos, il m’a fait venir sur lui. J’ai ressenti un soulagement en sentant mes seins frotter son torse et sa queue remplir ma chatte, je n’en pouvais plus de me faire sodomiser. Said a fait le tour du canapé et il m’a tiré par les cheveux pour que mon visage dépasse du dossier et qu’il puisse réinvestir mes lèvres dès les premiers vas et viens de son collègue dans mon vagin.

J’ai senti du mouvement dans mon dos et j’ai compris trop tard ce qu’ils avaient en tête. J’ai paniqué mais c’était trop tard. Celui dans ma chatte m’a maintenue sur sa queue bien raide et a saisi mes fesses qu’il a écartées au maximum pour le troisième larron. J’ai senti sa bite forcer une fois de plus mon petit cul, c’était ma première double pénétration et j’allais la subir avec un sexe dans la bouche.

Il paraît que le double frottement devant et derrière peut être agréable mais les majordomes avaient déjà trop abusé de mon cul, j’ai détesté cela.

Les verges dans mon ventre m’ont rempli successivement puis parallèlement. J’avais du mal à supporter ce traitement mais je voulais m’offrir comme "Monsieur" l’attendait. Pendant ce temps, Said me baisait les lèvres comme il l’aurait fait avec la dernière des putes. C’était un calvaire, je voulais que cela se termine. Je sentais les deux majordomes dans mes orifices bander au maximum: Au moins, j’étais "bonne", c’était déjà ça !

J’ai cru que cela allait enfin cesser mais ce n’était qu’une nouvelle permutation entre mon enculeur et celui que je suçais. Yohan lui, base de notre pyramide humaine restait en place, calé au fonds de ma chatte et profitant de se faire branler par mon ventre secoué de toute part.

Signe que ce cirque était bientôt fini, les coups de boutoirs se sont faits plus rudes. Le public a pu profiter de mes grimaces et de mes cris. Je suis parvenue à tourner la tête pour voire mon boss, il avait posé sa main sur son entrejambe en me regardant avec une envie évidente. C’était mon éclairci dans cette épreuve humiliante: Je le satisfaisais.

Cela m’a remotivé pour la suite. J’ai offert mes lèvres et subi les derniers assauts de cette double pénétration comme je pouvais. J’ai entendu Monsieur et ses jeunes associés parler, il leur a répondu à plusieurs reprises mais je n’ai pas pu comprendre ce qui se disait.

Les majordomes ont fini par me lâcher et me laisser étendue sur le canapé. J’ai failli m’assoupir après tant d’efforts mais une voix puissante m’a ramené sur terre.

— Monsieur: " A genoux, mains dans le dos. Fermez les yeux et avalez tout le foutre qu’on mettra dans votre bouche".

C’était une humiliation supplémentaire mais j’étais de plus en plus sous l’emprise de mon patron, le simple fait qu’il me donne des ordres suffisait à faire revenir la chaleur dans mon ventre.

Je me suis rapprochée à deux mètres et je me suis mise à genoux perpendiculairement à lui pour qu’il ait la meilleure place puis j’ai fermé les yeux, ouvert ma bouche et légèrement tiré la langue.

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