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Chambre pour étudiant – Option sperme – Chapitre 1




Nicolas se réveilla en pleine nuit, et mit quelques secondes à réaliser où il se trouvait. Venu sur Paris pour poursuivre ses études, il avait emménagé récemment dans une chambre au domicile d’amis de ses parents.

La maison était plutôt spacieuse, et était occupée, outre lui même, par le couple de parents et leur fille de 18 ans, Marion, qui terminait cette année le lycée. Il ne savait pas précisément quel âge avaient les parents, mais il aurait dit quelque chose comme 45 ans pour les deux. Toute la petite famille lui avait réservé un excellent accueil, et il était très correctement installé dans une chambre nettement plus grande que celle qu’il avait chez ses parents.

Il jeta un il sur son réveil, qui indiquait 1h30 du matin. Ces derniers temps, il avait quelques difficultés à dormir d’une traite, et mettait ça sur le compte du changement de lieu et d’habitudes. Il repoussa les draps et se leva. Sa chambre et celle de Marion étaient à l’étage, tandis que la chambre des parents se trouvait au rez de chaussée. Sans faire de bruit ni allumer pour surtout ne réveiller personne, il ouvrit sa porte et descendit pour chercher de quoi grignoter à la cuisine.

Arrivé en bas de l’escalier, il aperçut de la lumière sous la porte de la chambre des parents et entendit des bruits étouffés. Se déplaçant avec précaution, il s’approcha de la porte et colla son oreille dessus. Les voix, bien qu’étouffées, devenaient à peu près intelligibles :

— Tu l’aime, ma bite ?

— Oui, j’aime la sentir aller et venir dans mon cul…

Manifestement, les parents étaient en pleins ébats, et pas des moindres. Il posa machinalement sa main sur son sexe par dessus le caleçon, et tendit l’oreille.

— C’est ça, bouge ton cul sur ma bite, et continue à te caresser les seins… Tu vas me faire gicler !

— Vas y, remplis moi les fesses !

Nicolas avait maintenant une érection bien tendue, et se masturbait doucement, en imaginant la scène qui se déroulait derrière la porte. Habitué à regarder du porno sur son ordinateur, il n’avait eu que peu de rapports sexuels jusqu’à maintenant, et toujours des coïts classiques avec des partenaires plutôt coincées. Autant dire que ce qu’il entendait lui faisait un effet intense. Il se pencha et colla son il au trou de la serrure, priant intérieurement pour que l’angle de vision soit le bon.

— Je vais plutôt venir tout te balancer dans la bouche, que tu puisses goûter mon jus, salope !

— Oui, j’ai envie d’avaler ton sperme, j’espère qu’il y en aura des litres !

A ces mots, le jeune homme frémit et banda de plus belle. Il avait toujours rêvé de sentir une bouche autour de son sexe, et de faire boire sa semence, mais ses copines avaient toujours refusé ne serait ce que d’approcher leur visage de sa verge. Manifestement, la mère de famille n’était pas si prude. Par le trou de serrure, il voyait l’homme de trois quarts arrière en train de besogner vigoureusement sa femme. Malheureusement, il ne voyait pas le sexe rentrer et sortir, et la femme était en grande partie cachée. Mais la scène, les grognements et les bruits qu’il entendait suffisaient à l’exciter prodigieusement, d’autant plus qu’il pouvait imaginer, à défaut de le voir, le chibre coulisser dans l’anus de la mère de famille.

— Je n’en peux plus, viens me sucer !

Et le miracle se produisit : se retirant du cul de sa femme, le père s’assit au bord du lit et son sexe apparu en plein dans le champ de vision de Nicolas, volumineuse, tendue et veinée. La mère de famille, se retournant, approcha son visage et engloutit la bite luisante, toujours sous les yeux de Nicolas, qui faillit jouir immédiatement dans son caleçon.

Il pouvait voir la femme aller et venir sur le chibre tendu, léchant le gland et la tige, avant de s’empaler le visage jusqu’à la garde sans le moindre haut le cur. Restant en bas quelques instants, elle remontait ensuite jusqu’à la tige, en accélérant le mouvement. Dans le même temps, sans mains caressaient les couilles pendantes.

— Aaaaah, tu suces comme une reine !

Nicolas vis le père de famille attraper les cheveux de sa femme pour lui imprimer un rythme de plus en plus rapide. La salive coulait le long de son membre, et les bruits de succion et de gorge étaient terriblement excitants.

— Tu me fais jouir ! Bois tout !

Le père enfonça complètement sa bite dans la bouche de sa femme et appuya sur sa tête pour la maintenir en place pendant qu’il jouissait en criant. Nicolas la vit déglutir plusieurs fois, les lèvres serrées contre la base de la verge, pendant que l’homme était victime de plusieurs spasmes violents. Il était carrément en train d’expulser tout son jus au fond de la gorge de sa partenaire !

Au bout de quelques secondes, Nicolas vit distinctement du sperme sous pression gicler entre les lèvres et la queue, coulant sur les grosses couilles du père en train de gémir. Immédiatement après, un filet de sperme sortit des narines de la mère de famille, dont les joues étaient tendues comme si elles allaient exploser.

N’y tenant plus, il explosa lui même dans son caleçon, s’éloignant un peu de la porte pour s’assurer de ne pas s’y cogner. Reprenant ses esprit, il recolla rapidement son il à la serrure.

— Tu m’as bien fait gicler, j’ai l’impression d’avoir les couilles complètement vidées !

Il vit la mère se redresser un peu, retirant le pénis de sa bouche. Du sperme maculait le tour de sa bouche et son menton, et un filet de semence coulait encore de son nez. Elle ouvrit la bouche pour montrer à son mari qu’elle était remplie de liquide blanc et gluant, puis déglutit et avala d’un trait, sortant ensuite sa langue pour montrer qu’elle avait tout bu.

— Salop ! Tu m’as tellement rempli la bouche que j’ai cru m’étouffer ! Heureusement qu’une partie à giclé directement dans mon sophage, sinon je serais noyée à l’heure qu’il est !

Elle souriait en se léchant les lèvres et en ramenant avec ses doigts le sperme qui maculait son visage, le poussant vers sa bouche pour l’avaler à son tour.

— Je n’en laisse pas une goutte, mon chéri, comme tu aimes… Tu as presque crié, je te rappelle que les enfants sont à l’étage, ils auraient pu nous entendre, on aurait l’air malin !

Le mari se leva, et Nicolas se recula brutalement, inquiet qu’il ne se dirige vers la salle de bain et le surprenne. Il repartit prestement et en silence vers sa chambre, veillant à ne pas faire le moindre bruit. Une grosse tâche maculait son caleçon, et son sexe avait à peine ramolli. Il retira son short et s’assit sur son lit. Décidément, son nouvel habitat se présentait pour le mieux.

— A suivre —

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