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De la petite Marie à la redoutable Malika – Chapitre 3




Je m’approchai de Stella. Elle souriait tristement."Tu fumes trop", me contentai-je de lui dire platement. Elle plantait ses yeux dans les miens :"Ben, tu es le mec le plus mignon de la colo… J’aurais trop aimé sortir avec toi. Je suis vraiment trop jeune pour ça ?". Je m’approchai d’elle pour lui répondre discrètement.

Tu as 17 ans, et je suis moniteur ici, ce n’est pas possible. Tu comprends, c’est comme ci j’étais responsable de toi comme des autres, ce serait moche. Mais tu es très jolie.

J’ai dix-huit ans dans six mois. Tu m’appelleras plus tard ?

Elle approcha sa main, glissa un papier dans la poche de ma chemise :"c’est mon téléphone…". Puis elle passa les bras autour de mon cou et chercha à poser ses lèvres sur les miennes. Je tentai de tourner la tête doucement et elle m’embrassa le coin de la bouche. Je sentais ses gros seins pressés contre mon torse. Cette minette était vraiment magnifique, mais je ne cédai pas.

Stella, je te rappellerai. C’est promis. Va dans ta tente, maintenant. S’il te plaît. Je vais aussi me coucher. Demain, on se lève tôt, il faudra tout démonter avant de pouvoir partir.

Je portai sa main à mes lèvres puis caressai sa joue. Elle ne cessait de me fixer lorsque je m’éloignai pour regagner ma tente.

Lorsque je revins rejoindre mon couchage, Marie n’était plus là. Je poussai un soupir de dépit, mais j’étais tout de même bien fatigué par cette drôle de soirée. Je sortis la culotte de Malika de ma poche. La dentelle sentait bon la femme, la chatte, et mon sperme qui n’avait pas encore séché sur le tissu. Quel plaisir j’avais pris… Ma queue durcissait encore tandis que je revivais cet épisode marquant qui s’était passé quelques minutes auparavant. Je pris mon téléphone pour regarder plus longuement les photos volées sur celui de Malika, je n’avais pas eu le temps de les examiner vraiment. Mes yeux s’écarquillèrent à cette vision !

Les photos représentaient Malika, nue à l’exception de bas résille noirs et d’un bustier laissant échapper des gros seins ronds aux pointes brunes. Elle portait un loup qui dissimulait mal une partie de son visage. Attachée sur la plupart des images, elle était entourée d’hommes. Le plus choquant, c’était la vision de sa chatte brune très velue complètement dilatée et fistée par des poings masculins ou féminins. Une autre photo faisait apparaître cette même chatte pénétrée en même temps par deux queues de belle taille… Je ne m’étonnais plus de m’être senti peu serré, dans le con de cette garce de Malika, celle qui m’avait méprisé durant tout le séjour.

Que faire de ces photos ? Je remis cette question à plus tard. Il était temps de dormir.

***

Le lendemain matin, il y avait beaucoup de travail et je n’eus le temps que de croiser rapidement Marie, ma petite blonde, de lui faire un chaste et rapide bisou sur la bouche en prenant garde que personne ne puisse le remarquer. Cette jolie petite bouche qui avait commencé la veille à sucer doucement ma queue durcie…

Le camp fut démonté, les valises faites et tout le bazar chargé dans la soute du car. Les enfants, ados et adultes s’installèrent et nous partîmes, venant le temps pour chacun de regagner son foyer. Dans ce même car, il y avait ma petite vierge blonde amoureuse, la grande fille noire amoureuse également et la terrible Malika, qui menait tout ce petit monde d’une main de fer tandis que Francis, le directeur en titre, lui déléguait l’essentiel de ses missions, préférant suivre tranquillement le mouvement. J’avais eu le temps de discuter 2 minutes avec Oumar, tout en rangeant les sacs et les valises des gosses :"Alors, Oum’, la nuit fut chaude ?". Il me fit un large sourire :"oh la la, mec, si tu savais comme elle est bonne ma chérie !". Je me gardai bien de lui faire part de ma propre soirée. D’ailleurs, Malika était dans les parages et Francis venait inspecter les travaux finis.

Une dizaine d’heures plus tard, tout le monde descendait du car. Les parents venaient récupérer leurs rejetons. Même les parents de Marie vinrent chercher leur fille. Rougissant un peu, elle me fit un coucou de la main avant de s’éloigner avec eux.

Plus rien ne se passa pendant huit jours. Je pris le temps de me reposer avant de repartir à la recherche de boulot et j’étais en train de consulter distraitement les petites annonces lorsque le téléphone sonna :

Oui ?

Qui est à l’appareil ? – fit une voix féminine que je ne reconnus d’abord pas.

C’est à moi de vous poser la question ; c’est vous qui m’appelez, dis-je, surpris.

Ben, espèce de salopard ! C’est toi…

Malika ?! répondis-je, effaré.

C’est toi qui as volé mes photos, pauvre con…

De quoi…

Tais-toi, il y avait une photo bloquée dans ma boîte d’envoi, avec ton numéro, que je ne connais pas, tu as volé mes photos et les as envoyées je ne sais pas quand… j’aurais dû me douter que c’était toi, petite crevure, c’est bien ton genre !

Bon, euh, ça suffit… – J’étais pitoyable devant ce contact inattendu et ne savais comment réagir calme-toi…

Je vais venir te régler ton compte.

Elle raccrocha. Elle était bien capable de venir avec Farid et de m’exploser les genoux à coups de batte de base-ball ou même de… Malika habitait non loin de chez moi et pouvait être chez moi dans l’heure. Je n’hésitai pas et appelai Oumar. Je lui racontai tout et, bien que surpris et presque choqué par mon récit des événements de la dernière nuit au camp, il accepta immédiatement de venir chez moi. Trente minutes après, il était là. C’était un véritable ami, celui qui est présent, quelles que soient les péripéties :

Écoute, Ben, je vais me cacher dans la petite chambre d’ami, j’ai un flingue à grenailles, si elle ne vient pas seule ou s’il y a du grabuge, je sortirai.

Tu es vraiment un frère ! N’interviens que si nécessaire. Si je ne t’appelle pas, ne viens pas."

***

On sonna à l’entrée. J’entrouvris. La chaîne de sécurité était mise. C’était bien Malika, apparemment seule.

Ouvre, ou je fous le feu à ta porte.

Qu’est-ce que tu veux faire ?

Je veux ton ordi et ton putain de téléphone pour être sûre que mes photos ne traînent pas n’importe où. Donne-moi tout ça ou je reviens accompagnée.

OK…

Je détachai la chaîne et Malika entra brutalement, me poussant dans le couloir. Elle était vêtue d’un jean bleu ciel, de hautes boîtes noires et d’un pull de laine, couvert d’un blouson de cuir. Elle était très impressionnante et je fus à deux doigts de me déballonner devant elle, d’implorer son pardon et d’être aussi minable qu’elle le pensait. Je voyais son regard méprisant qui me fixait et semblait me haïr, ce que -pour la première fois- je pouvais aisément admettre. Mais toutes les images me revinrent en tête, celle de l’appareil photo et surtout celles de la nuit où je l’avais baisée malgré elle. Curieusement, elle ne semblait pas s’être aperçue de mon passage nocturne entre ses cuisses.

Je me sentis soudain envahi d’une soudaine énergie et d’une rage subite, je me mis contre elle et l’empoignai des deux bras tandis que, étonnée, elle tentait de se dégager de mon étreinte. Elle voulait me griffer ou me frapper et je parvins à repousser ses bras derrière elle, je voulais la bloquer au sol :

– Calme-toi Malika, je vais tout te rendre, mais j’en ai marre de ton attitude de merde et de tes grands airs alors que tu n’es qu’une grosse salope uniquement bonne à se faire bourrer sa grosse chatte !

Elle tomba sur le canapé puis sur le tapis du salon, toujours agrippé à elle, je l’avais accompagnée dans son mouvement et étais dorénavant allongé sur elle, la bloquant sur le dos en tenant ses bras. Elle était très forte et j’avais du mal à la maintenir ainsi. En même temps, je sentais son corps de déesse de la fertilité, ses cuisses, sa chair ferme et ses gros seins appuyés contre mon torse. Le moment était étrange, je détestais cette fille et pourtant j’étais excité à l’extrême par la situation et m’énervais de son ressentiment à mon encontre, celui qu’elle avait exprimé sans un mot au premier instant de notre rencontre professionnelle. Paradoxalement, cette haine décuplait mon désir et mon envie soudaine de reprendre le dessus, de retourner cette situation de domination.

Elle dut sentir qu’il se passait quelque chose en moi car elle cessa un instant de se débattre et son regard devint moins dur pendant une fraction de seconde. Elle reprit ses mouvements, mais cessa lorsque je me retrouvai la queue durcie contre elle et qu’elle ressentit l’objet de mon excitation.

Espèce de salaud, tu veux me violer maintenant ? Je sens ta grosse queue de porc.

Je sentis ses bras se relâcher et s’étendre en croix sur le tapis. Je descendis les mains sur ses hanches pleines et elle frémit lorsqu’elles touchèrent sa peau à la douceur de satin. Elle était bien en chair et je remontai encore les mains entre sa peau et la laine douce du pull. Je pris ses gros seins à pleines mains, les pétrissant et en pinçant leur grosse pointe. Je lui remontai le pull jusqu’au cou tandis que je l’embrassai dans le cou, je n’en pouvais plus d’aller d’un sein à l’autre, de les pétrir, les sucer, les lécher, les mordre….. Malika gémissait de drôle de phrases, comme "salaud, oui c’est bien, profite bien de mes gros nichons de putain"…..

Ses phrases et ses mots produisaient sur moi une excitation extrême. Je descendis mes lèvres d’entre ses gros seins à son ventre, puis jusqu’au nombril, décoré d’un piercing, en dessous duquel, comme dans mon souvenir, apparaissaient les premiers poils bruns qui descendaient en triangle jusqu’au pubis velu que je découvris bientôt en retirant le jean de la dame. Elle gémissait toujours : "salaud, salaud". Elle ne portait pas de culotte et la large touffe épaisse et frisée apparut, largement en friche à part un petit rasage autour des lèvres du con, lèvres percées de 4 anneaux, sur un seul côté, et desquelles coulait un miel que je voulus goûter, portant ma bouche avide entre les cuisses de Malika.

***

Dans la fièvre qui m’habitait, j’eus à peine la sensation de voir la silhouette d’Oumar qui quittait discrètement les lieux, sur la pointe des pieds. Je lui en sus pleinement gré ! Peut-être aurait-il voulu ou pu participer à la fête, mais peut-être la magie sublime de l’instant aurait-elle pris fin par une intervention de sa part… On ne savait jamais quelle aurait été la réaction de Malika et si elle n’aurait pas retrouvé sa part la plus obscure et désagréable, nous occasionnant les pires ennuis…

***

Je passais et repassais ma langue dans cette chatte juteuse, aspirant son clitoris, broutant ses poils noirs bouclés, la léchant dans l’aine, sur les cuisses, je ne pouvais me rassasier de ce corps de déesse ! Il fallait que je la baise encore, au grand jour et en pleine conscience cette fois. J’ouvris ma braguette et sortis difficilement ma queue que j’enfournais tout de suite et directement dans sa grosse chatte bien large. Je n’étais pas très serré, mais je pilonnais son sexe avec bonheur, repassant les mains sous son pull pour caresser ses énormes seins, ses aisselles naturelles non rasées sur lesquelles je passais rapidement ma bouche avide. Je la touchais partout où je pouvais, sans interruption, tout en la besognant à grands coups de queue.

Retourne-moi, salaud, dit-elle soudainement, ce que je fis, pendant qu’elle accompagnait complaisamment le mouvement, m’offrant son large groupe. Sa chatte était largement ouverte, sous sa toison épaisse et étendue qui se poursuivait jusqu’à son petit. Je pris ses hanches et approchai mon gland du con lorsqu’elle intervint de nouveau :"non, pas par là, prends-moi le petit, encule-moi". Elle passa la main entre ses cuisses et entreprit de glisser directement 3 doigts, puis 4 dans son sexe. J’enduisis sa rondelle de ma salive et approchai ma queue de son petit entouré de poils noirs. J’entrepris doucement de l’enculer, en empoignant ses hanches pleines. Ma queue était bien mieux serrée et Malika cria lorsque mon engin fut tout en elle. J’attendis quelques secondes et commençais des allers-retours fermes et réguliers. Je fermai les yeux un instant pour me concentrer et maîtriser mon plaisir. Les ouvrant de nouveau, je constatai qu’elle était en train de mettre sa petite main presque entièrement dans sa chatte et j’en ressentais également la sensation en dessous de ma queue, encore plus à l’étroit dans le cul de Malika.

Elle gémissait de plus en plus, le miel coulait entre ses cuisses et, sentant venir son cri et sa jouissance, je martelai du plus fort que je pouvais, à grands coups de pine, ce cul magnifique que je claquai plusieurs fois de chaque côté, avant de me vider les couilles, déversant ma semence à grands jets dans le ventre de Malika.

***

Je restai quelques minutes allongé sur elle, sur son dos, tandis que nous reprenions difficilement souffle. Soudain, elle me repoussa d’un coup de coude, se releva et remonta son jean en me toisant d’un il noir. Je me relevais aussitôt, face à elle. Elle approcha son visage du mien et m’embrassa vigoureusement sur les lèvres avant de se reculer légèrement et de m’administrer une paire de claques aussi violente qu’inattendue. Tandis que je reculai en portant ma main à mon visage, elle m’ordonna : "file ton téléphone et ton ordi, maintenant ! Dépêche-toi !"

Je lui donnai mon portable. Elle en inspecta rapidement le contenu avant de me lancer. Il ne contenait plus rien la concernant. Elle fila vers mon bureau, débrancha mon ordinateur, récupéra un disque dur externe qui était posé à côté :"j’emmène tout, tu pourras le récupérer plus tard. J’espère que tu n’as pas mes photos cachées autre part ?". Je lui assurai que tout était sur le disque dur. Malika prit le chemin de la sortie, sans se retourner et sans refermer la porte derrière elle. Quelle drôle de femme, et quelle drôle d’histoire.

J’étais en train de me servir un verre bien mérité lorsque la sonnerie retentit. Oumar réapparut, un large sourire éclairant son visage.

***

… A suivre ?

Toutes vos suggestions sont les bienvenues ! 🙂

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