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Dominique et l'armée – Chapitre 1




Il y a longtemps le service militaire obligeait tous les jeunes de 20 ans à passer leur temps dans une caserne. Jéchappais à la caserne pour une espèce de camps bien aménagé. De plus javais une planque dabord en étant artilleur-transmetteur, puis au secrétariat du groupe. Je passais mon temps à enregistrer les courriers arrivés et taper les réponses. Au moins jai appris à taper à la machine, une vielle Remington hors dâge. En plus je logeais sur place et mangeais à la gamelle (pour ceux qui ne savent pas, jallais aux cuisines me faire servir la « graille » et le pinard pour déguster le tout chez moi, comme un prince).

Je devenais le flemmard des flemmard en passant le plus clair de mon temps à rôder avec un papier vierge à la main dans tous les coins du camps, depuis le foyer jusquau dépôt de munitions en passant parfois au bureau. Je croisais des fois le commandant. Un drôle de type avec qui nos rapports nétaient pas cordiaux : il était du Nord et moi du Midi. Déjà que je devais tous les trimestres aller avec lui sur le champ de tir comme transmetteur !!!

Un jour de fête militaire, une foire était organisée justement au camp. Au milieu du camp, sur une place, un orchestre civil plein dentrain rythmait tout, y compris la fille du commandant qui accompagnait son père.

Je me devais daller linviter pour une danse. Elle sest levée pour maccompagner sur la piste sous les yeux réprobateurs de son commandant de père. Javais une idée bien précise de la suite, elle nétait pas mal, baisable en un mot. Je décidais den faire ma chose. Nous nous éloignions de son père pour pouvoir bavarder comme je le lui proposais : jétais surpris quand elle me disait son premier oui. A présent éloignés de son père nous pouvions faire plus que bavarder : Je la serrais contre moi à tel point que sans le vouloir je me mettais à bander. Bien sur elle faisait celle qui ne sentait pas ma bite. Je me devais dêtre encore poli. Jessayais de changer de conversation quand delle-même elle parlait de.sexe. Je bandais de plus belle. Jétais gêné dêtre obligé de la raccompagner dans létat où jétais.

Elle prenait la meilleure décision : nous sommes partis ailleurs, pas très loin, je connaissais le camp par cur : nous avons fait un détour jusquau bureau. En nous promenant je lemmenais chez moi. Elle savait fort bien ce qui allait se passer.

Dans la chambre, je lembrassais longuement. Nous avons cessé le baiser pour reprendre souffle. Je lui disais comment je mappelais elle me donnait aussi son nom : Dominique. Je trouvais que son prénom ajouté à son nom faisait plus joli que celui du commandant.

Je la faisais asseoir sur mon lit (pas un lit de luxe, juste pieu de larmée). Cest elle qui me donnait sa bouche. Nos langues se débrouillaient bien dans la bouche de lautre.

Jai eu vite fait de venir sur ses seins. Jouvrais à peine son corsage blanc quelle lenlevait en même temps que le soutien gorge. Je nhésitais plus pour aller plus loin pendant quelle enlevait ma chemise duniforme. Nos mains étaient très actives sur le corps de lautre. Je me souviens encore quelle me pinçait les tétons, chose que je lui rendais.

Elle devenait très chaude : jallais rapidement sur sa chatte : elle était toutes trempée. Jallais finir par la branler quand elle se levait pour se mettre totalement nue. Elle était debout, juste en face de moi, entre mes jambes. Je lui tenais la taille en posant ma bouche sur le pubis. Elle le tendait en avant, je comprenais la sourde demande : elle voulait que je passe ma langue sur son abricot bien mur : il était plein de cyprine odorante.

Elle avait les jambes écartées, me tenait la tête pour que je ne parte pas je ne sais où. Au moment où je mattendais le moins, je la sentais trembler. Je recevais dans ma bouche une bonne dose de cyprine sans doute, en tout cas elle éjaculait. Javalais sa sauce en la dégustant. Elle me faisait bander encore plus.

Quand elle devenait calme je la couchais sur le lit. Ma bouche revenait sur la sienne. Sa langue reprenait son travail contre la mienne. Elle écartait les jambes et sans prononcer une parole elle se donnait à moi. Je sentais ma bite contre sa chatte.

La suite est facile à comprendre quand je suis entré dans son ventre. Là elle gémissait simplement. Je me souviens être allé au fond de son con. Elle était douce, plus que je le pensais, dune douceur que je ne connaissais pas encore. Je me sentais à laise comme elle. Je nai eu besoin de la limer que quelques minutes pour quelle jouisse.

Seule, sans que je le lui demande elle sest retournée en levrette. Cest une des rare fois où elle parlait :

— Mets-moi là au cul.

Je navais quà obéir, même si je nétais pas un foudre de guerre en matière de sodomie (elle était mon deuxième cul) Je passais deux doigts avant de lenculer pour vérifier dans quel état elle était. Sa cyprine abondante avait fait son travail de protection. Je lui mettais ma queue devant lanus, je la faisais aller et venir de son rectum à son vagin.

Décidément impatiente, elle prenait ma bite en main pour le mettre au bon endroit désiré. Je navais plus quà faire la partie agréable : entrer dans un cul sans doute resserré. Je ne pensais jamais entrer si facilement. Elle était presque aussi ouverte derrière que devant. Elle gémissait surtout quand elle sest branlée sans complexe ni pudeur.

Jétais heureux de sentir ses spasmes autour de ma bite. Elle jouissait tellement que moi aussi jai juté dans son cul. Je restais en elle jusquau moment où, malheureusement je débandais.

Elle en voulait encore : elle se levait pour aller se rincer au lavabo (deau froide), me faisait venir pour me laver ma pine ; Bien que son nettoyage était excitant ; ma queue reprenait forme humaine en tout cas pour elle.

— Faisons un 69.

— Comme tu veux.

Elle voulait bien alors, elle ma fait coucher sur le dos, est venue sur moi, me prenant la bite dans la bouche. Sa langue était aussi agile sur ma queue que dans ma bouche. Je posais ma langue sur son clitoris gonflé. Nous nous sommes ainsi léchés, sucés, jusquà épuisement.

Javais peur que son père sache que nous baisions. Nous sommes revenus à la fête séparément. Javais juste le temps de lui donner un baiser de remerciements : nous nous ne sommes plus jamais revus.

Si elle me lit, elle saura que je nai pas oublié cette nuit.

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