Ma femme ma trompé. Non pas une fois, jaurais pu passer léponge, non pas deux. Cest devenu un comportement habituel. Notre couple perdure dans le mensonge et le faux semblant.
Je men suis aisément rendu compte. Une femme qui trompe son mari change ses habitudes. Elle shabille différemment, modifie ses centres dintérêt, passe du temps sur internet et ses factures de téléphone explosent. Bref, pas besoin dêtre détective ou policier pour détecter le problème. Pour en connaitre lampleur, la pose dun mouchard sur lordinateur familial est amplement suffisante et à la portée de nimporte qui. Illégal ? Peut être, mais où est le problème si vous ne destinez quà vous-même les informations que vous collectez.
Jai probablement des torts. Jai un métier prenant, suis régulièrement absent et donne des cours dalphabétisation le week-end. Ma femme a 36 ans, et des besoins à satisfaire. Avec son mètre soixante dix pour soixante kilos, ses cheveux longs et blonds, sa poitrine 95c parfaite et ses fesses accueillantes, elle na aucun problème pour trouver des partenaires qui laccompagneront plus ou moins longtemps dans la réalisation de ses désirs. Reste que la situation était devenue pour moi intenable. Je décidai donc quelle devait payer, et recrutai pour ce faire, via mes relations dans les cités avoisinantes, cinq hommes que je proposai de rémunérer pour pénétrer chez moi une nuit et faire delle leur objet. Carte blanche à tous leurs désirs, seule limite : la violence gratuite, le sang ne devait pas couler. Je posai une caméra miniature dans la chambre à coucher et partit un matin vers trois heures, soit disant pour me rendre à laéroport, en prenant bien soin de laisser ouverte la porte de mon domicile. Je me rendis rapidement à mon bureau et branchai mon ordinateur sur la caméra de surveillance afin de suivre en direct les événements.
Les cinq hommes pénétrèrent masqués vers trois heures et demie du matin dans la maison et montèrent directement à létage où se trouvait la chambre, suivant les indications que je leur avais données. Je les vis pénétrer dans la pièce, prendre silencieusement position autour du lit puis, dun coup, tirer la couette, saisir ma femme par chacun de ses membres et la bâillonner. Elle dormait quasiment nue, vêtue simplement dune culotte dont je me doutais quelle ne la conserverait pas longtemps Les deux hommes qui tenaient les bras les remontèrent pour les attacher en haut du lit, pendant que les jambes étaient écartées et elles mêmes attachées aux pieds du lit par des cordages dont ils avaient pris soin de se munir sur mon conseil. Ainsi offerte sur le dos, attachée et sans aucune défense possible, la fête allait pouvoir commencer.
Un des hommes passa la main dans la culotte et commença visiblement à lintroduire dans les orifices, les autres pinçaient les seins, les malaxaient, pétrissaient les fesses. Rapidement, un couteau fut sorti, placé sous la gorge de ma femme et le bâillon retiré. On lui avait probablement expliqué quil était préférable de sabstenir de crier. Une paire de claques la conforta dailleurs dans cette impression. Puis le couteau servit à couper la culotte et le sexe rasé de ma femme apparut à la vue des hommes qui sexcitaient rapidement. Lun sortit son sexe, sassit sur les épaules de sa victime et commença à se faire sucer. Les autres attendaient leur tour et pétrissant ses seins ou doigtaient vigoureusement le sexe et lanus. Je crus même en voir un introduire sa main dans le sexe offert, mais la définition de limage nétait pas assez bonne pour que je puisse en être certain. Je vis ensuite un concombre servir de sextoy. Mon frigo avait visiblement été inspecté mais je nallais pas me plaindre devant ce qui me semblait une idée assez plaisante.
Ils se firent sucer tour à tour pendant que le premier, profitant des entraves, pénétra avec violence celle qui était devenue leur objet dans un missionnaire inédit. Il se retira et éjacula sur le visage de ma femme, pendant quun deuxième prenait sa place et ainsi de suite. Lorsque le dernier fut satisfait, je devinais le visage de ma femme dégoulinant du sperme de ces inconnus.
Alors que je me demandais sils en avaient terminé ou non, je les vis défaire les liens, attraper ma femme sans ménagement et la mettre à genoux au sol. Je la voyais passer ses doigts sur son visage, puis les porter à sa bouche. Ils lui avaient visiblement imposé de faire un peu de toilette en avalant leur semence, avant de recommencer. Lorsquils furent satisfaits du résultat, ils la plaquèrent à nouveau sur le lit, lattachant cette fois ci sur le ventre. La visite allait se poursuivre par la porte arrière.
Le premier sintroduisit dun coup dans ses reins. Il dut être surpris de la résistance et probablement des cris car je vis lun de ses acolytes ramasser les lambeaux de la culotte et les enfoncer sans ménagement dans la bouche de ma femme. Le second utilisa longuement le fameux concombre avant dentamer sa visite, puis les trois autres se succédèrent. Pas déjaculation externe cette fois ci, tout était visiblement resté à lintérieur et je commençai à mexciter en imaginant lanus dilaté de ma femme suintant de ce sperme non désiré.
Alors que je pensais que tout était terminé, japerçus le plus costaud du groupe, un malabar dune bonne centaine de kilos, attraper ma femme par derrière et, la ceinturant sous les seins de ses bras massifs, la soulever de terre puis diriger vers son cul son sexe toujours en érection. Aussitôt un de ses comparses sapprocha par devant et, soulevant le cul de sa victime, la pénétra dans la chatte en un incroyable sandwich. Les coups de boutoir se succédaient dans une double pénétration de film pornographique.
Une fois leur pilonnage terminé, ils laissèrent glisser Steph à terre. Ils finirent leur travail dhumiliation en lui introduisant divers objets dans tous les orifices, puis se rhabillèrent. Les quatre premiers quittèrent la pièce. Le cinquième pissa sur ma femme puis, refermant sa braguette, se tourna vers la caméra et me fit un doigt dhonneur. Mon petit montage avait été découvert et cela ne présageait rien de bon.