Debout devant la grande fenêtre, je contemple rêveusement la rivière qui coule lentement en contrebas et dans laquelle se reflètent les lumières de la nuit. J’essaye de remettre mes idées en place…

Cela a commencé par une soirée entre amis où j’essaye de dissiper le mal-être lié à mon récent divorce. Ma main qui se tend pour prendre un verre rencontre une autre main qui a le même but : un "pardon" machinal et amusé, un échange de regard ; je découvre Stéphane : grand, mince, petite cinquantaine, cheveux grisonnants, l’air un peu sévère, mais doux et sensible. Nous parlons de tout et de rien, de banalités, des gens présents que nous connaissons. Nos chemins se séparent, nous nous recroisons avec amusement et complicité deux ou trois fois, puis nous retrouvons au moment de partir. Il est à pied, moi en voiture ; il habite près de chez moi ; je lui propose de le raccompagner, cela semble naturel. Je me gare devant chez lui pour prendre le temps de lui dire au revoir, un silence s’installe, il me propose de monter boire un dernier verre, j’accepte sans réfléchir : je prends conscience que je n’avais pas envie de le quitter… Ce sera un thé : nous entamons une conversation plus intime et profonde : je lui parle de mon divorce qui m’a laissé déçu et amer ; il me parle de son homosexualité difficile à vivre dans son milieu professionnel, et de la séparation d’avec son dernier ami, qui l’a laissé triste et solitaire depuis deux ans.

Je me détends : je me sens bien avec lui, mais un trouble commence à m’envahir… Il s’est levé pour ranger les tasses à la cuisine et je me suis approché de cette fenêtre où j’essaye de retrouver mes esprits.

Je le sens s’approcher doucement et se placer à côté de moi ce qui provoque une émotion qui me surprend : mon cur bat la chamade je ne comprends pas pourquoi je suis autant affolé.

Nous restons sans rien dire un long moment ; puis je sens sa main effleurer la mienne, la caresser doucement, remonter vers mon avant-bras. Il se tourne vers moi, saisit mon autre bras qu’il tire délicatement pour m’amener face à lui. Je suis fasciné par son regard doux et déterminé et par sa bouche qui semble se rapprocher de la mienne. J’ai l’idée de partir, de fuir même, mais mes jambes semblent se dérober et je me demande même si ce n’est pas ma bouche qui se tend vers lui. Ses lèvres se posent délicatement sur mes lèvres et je sens le contact doux et chaud de sa langue qui sinsinue entre elles. J’ai l’impression de fondre, de n’avoir plus aucune force ni aucune volonté, mais une sensation de bien-être m’envahit et je me laisse faire, comme abandonné. Sa langue s’enhardit, atteint mes dents que jentrouvre puis ma langue et rentre dans ma bouche : c’est bon et je sens des ondes de plaisir jusque dans mon bas-ventre. Ses mains passent sur mon corps, glissent sous ma chemise, pincent mes tétons ce qui provoque un grand trouble et un grand plaisir ; je me retiens de gémir.

Puis il caresse mon dos, descend vers mon bassin, appuie sur mes fesses qu’il tâte doucement puis presse pour m’approcher lui, ce qui amène nos bas-ventres en contact ; je sens son sexe dur et dressé alors que le mien commence à gonfler. Je suis complètement perdu et affolé par cet afflux de sensations et de plaisirs nouveaux. Très vite il dégrafe mon pantalon le fait descendre saisit mon sexe qu’il caresse, tellement doucement : sa main est chaude le plaisir est divin et cela continue : il sest baissé devant moi a enlevé mon caleçon et pose ses lèvres sur le bout de mon sexe, le lèche, le mouille et finit par l’engloutir. Je ne peux plus me retenir de gémir ; sa main caresse l’intérieur de mes cuisses remontre vers les fesses passe dans ma raie : je sens un doigt qui effleure et presse délicatement mon anus mais sans s’y arrêter, comme pour me tester ou m’exciter ou me préparer: je perçois ses intentions et mon émoi ne fait que grandir. Il s’est levé, m’embrasse goulûment me faisant partager le goût de mon sexe.

Il prend ma main et m’entraîne vers la douche. Très vite nous sommes nus tous les deux, nos corps se rapprochent se frottent se caressent se tâtent… Je me sens maladroit mais tout va vite et il me guide. Sa main sur ma nuque m’incite par une légère pression de m’agenouiller devant lui et il pousse son sexe vers mes lèvres que j’entrouvre puis ouvre : il investit ma bouche. Jai l’impression qu’il prend possession de moi : j’aime son sexe long droit et épais, j’aime sa texture et son goût, j’aime le sucer. Il me relève assez vite et m’entraîne vers son lit où il m’allonge sur le dos. Ses mains, ses lèvres parcourent mon corps, il va vers le bas, puis entre mes cuisses ; je le sens caresser mes fesses, ma raie mon orifice où son doigt se fait plus insistant. Sa langue rejoint ce doigt : il lèche mon trou, le mouille, bave dessus: je sens la pointe de sa langue s’insinuer en moi c’est délicieux : un doigt prend la place de sa langue et rentre doucement, tellement doucement et délicatement que je ne sens aucune douleur et j’en suis surpris : il imprime un très léger mouvement de va-et-vient puis de rotation.

Une sensation de fraîcheur me fait comprendre qu’il met du gel ; il recommence ses mouvements les amplifient pousse un autre doigt, puis le bout d’un troisième…

Puis il se redresse au-dessus de moi prend de nouveau ma bouche avec la sienne me faisant goûter mon odeur intime. Je le vois dressé au-dessus de moi, je vois son sexe raide tellement tendu, je le vois diriger son bel organe entre mes cuisses qu’il a relevées et écartées, puis entre mes fesses, je sens le contact de son gland contre mon anus lubrifié ; je le sens pousser doucement mais fermement ; je me contracte puis me relâche : il en profite pour avancer un peu plus. Je suis emporté par l’émotion de toutes ces sensations intenses : à peine lucide, je n’ai plus de volonté, je me sens à sa merci. Il pousse encore, tellement doucement que je ne sens pas de douleur ; je sens mon anneau s’écarter, c’est une sensation troublante. Le gland est rentré ; il appuie ses mains sur mes épaules et me regarde droit dans les yeux ou je lis son plaisir et un drôle d’éclat comme celui de la victoire de me posséder : j’en suis troublé! Il pousse encore progressivement mais inexorablement : le voilà complètement entré : il me possède, cette sensation nouvelle d’être possédé, rempli me trouble au plus haut point et je gémis de plaisir ! Il commence alors des mouvements de va-et-vient d’abord lents et courts puis de plus en plus amples et rapides : il me lime et très vite me bourre, ses coups de butoir soulevant mon bassin.

Je me sens possédé, soumis, féminisé presque, et j’adore ça : j’adore être à lui : je m’ouvre, je m’écarte, je mouille, je sens des bouffées de chaleur dans tout mon corps. L’intensité de nos plaisirs est à son comble : je sens son gland frapper sur ma prostate ce qui accroît mon excitation ; il a saisi mon sexe raide et le masturbe très vite tandis que ses coups de boutoir s’amplifient. Nous jouissons ensemble en criant: il décharge dans mon ventre et moi jusque sur ma poitrine et la sienne. Il s’écroule sur moi et nous mélangeons mon sperme et nos sueurs. Il pose ses lèvres sur les miennes et nos langues se mélangent. Après un moment il sort son sexe de mon rectum et je rentre dans ma bouche que, sans résistance, j’ouvre : je lèche mes sécrétions et son sperme

Je comprends qu’il parachève sa prise de possession et que pour moi plus rien ne sera plus comme avant…

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