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Ma féminisation progressive – Chapitre 4




Je me leva rapidement et m’engagea dans le couloir à sa poursuite.

L’ascenseur se referma juste devant mes yeux. Je voulu prendre les escaliers mais je pris conscience que je n’étais encore habillé que d’un string et d’un soutien-gorge.

Je retourna dans la chambre. Piégé…

Je pris mon téléphone et tenta de l’appeler, mais elle ne répondit pas.

Je repensa à ce qu’elle m’avait dit avant de partir :" Je t’ai mis tes affaires dans la penderie"

La penderie!!!

Lorsque j’ouvris celle-ci, je fus soulagé d’y découvrir un jean, une veste ainsi qu’une chemise.

Mais ce soulagement fut de courte durée.

En effet, bien que tous les vêtements étaient à ma taille, le jean et la veste avait des coupe typiquement féminine!

De plus, la chemise qu’elle m’avait laissé était en soie et de couleur crème.

Je réfléchis à un moyen de retourner chez moi, mais je n’avais pas le choix.

Je n’avais que ses habits à me mettre.

Comme elle avait garder mon caleçon, et que je n’aimes pas ne pas avoir de sous-vêtement, je décida de garder le string sur moi. De toute façon, celui-ci ne serait pas visible à première vue, contrairement au reste.

Pour le soutien-gorge, je n’avais pas le choix, les poches de la veste et du jean étaient trop petite pour le cacher à l’intérieur.

Je devais le garder sur moi également.

J’enfilai ensuite le jean et constata que celui-ci me moulait le cul.

Heureusement, Catherine m’avait laissé une fine ceinture.

Sans celle-ci le string aurait finalement pu être visible.

Lorsque je mis la chemise sur moi, j’eus un début d’érection.

Sentir cette matière, si douce sur ma peau m’électrisais

Je ne pu m’empêcher de me caresser le torse au travers de cette chemise.

Enfin, je mis la veste, la referma complètement pour ne pas que la chemise soit à vue.

J’avais une allure très féminine.

Si je rentrais chez moi maintenant dans cet accoutrement, au mieux j’avais l’air d’un pauvre type qui sait pas s’habiller, au pire d’un gay.

Heureusement pour moi,je n’avais aucun quartiers gays à traverser.

Je récupéra mon téléphone portable et mon permis puis sortis de la chambre avec appréhension.

Je pris l’ascenseur, traversa l’accueil sans m’arrêter puis sortis de l’hôtel.

Le garçon de l’accueil me vit mais ne me rappela pas. Catherine devait avoir régler.

Lorsque jarrivai dans la rue, je marchais droit devant moi en évitant les regards.

Je marcha comme cela durant plusieurs centaines de mètres, jusqu’à arriver au métro le plus proche.

Sans me poser de question, je m’engouffra dans le premier métro qui allait en direction de mon appartement.

Le wagon dans lequel j’entrai était plein à craquer.

Cela me permettrais peut-être de me fondre dans la masse et de ne pas trop attirer l’attention durant le trajet.

Deux stations plus tard, alors que je me cachait près de la porte opposé à celle qui s’ouvrait, je fus bousculer par un individu qui ne s’en excusa pas.

Je ne lui dit rien, car je ne voulais pas attirer l’attention sur moi. Ça n’était pas le moment de me battre.

Si je commençais, ne serait-ce qu’à m’engueuler avec cet homme, il aurait tôt fait de me rabaisser devant tout le monde, voyant ma tenue.

Et la dernière chose que je souhaitais, était de me faire traiter d’homosexuel…

Pour être sur de ne pas croiser son regard, je lui tourna le dos et me concentra sur l’extérieur, mais je voyais bien dans le reflet de la vitre qu’il me regardait.

Quelques minutes plus tard, je sentis une main se poser sur ma fesse droite.

Je me décala de quelques centimètres, mais vu le nombre de personnes présente dans le wagon, je ne pouvais pas aller bien loin.

Lorsque le train repartit de l’arrêt suivant, je ressentis cette main se poser sur ma fesse et la palper.

Je ne rêvais pas ce mec, me pelotait les fesses!!!

Il avait dû remarquer ma tenue.

En temps normal, je lui aurais fait la réflexion, mais là je ne pouvais vraiment pas attirer l’attention.

Je le voyais déjà en train de m’insulter de travelo devant tout le monde en plein métro….

Je ne lui dis rien, bien que cela me gênait.

Voyant mon silence, je sentis sa main se faire plus insistante sur mes fesses, plus entreprenante.

Elle me caressait sans retenue les fesses.

S’en était trop pour moi, je n’avais qu’une seule solution, quitter le wagon même si cela signifiait rester une demi heure sur un quai de métro dans cette tenue.

Lorsque les portes s’ouvrirent enfin, je me lança vers ses dernières, mais au moment où je bougea, la seconde main de l’individu me ceintura et me plaqua contre la vitre.

Dans la bousculade, personne ne saperçut de rien.

Les deux mains de l’individu se rejoignirent rapidement et il m’enlaça par derrière.

J’entendis le signal sonore et les portes se refermer.

Vu d’extérieur, nous avions l’air d’un couple de gay, personne ne faisait attention à nous.

Le train repartit et alors que sa tête se posa sur mon épaule, ses mains reprirent leurs explorations.

Sa main droite longea ma ceinture puis remonta ma veste en déboutonnant chaque pression de celle-ci.

Lorsque la veste s’ouvrit, sa main marqua un temps d’arrêt en sentant la chemise en soie.

Puis elle marqua un second temps d’arrêt lorsqu’en remontant vers mes tétons, elle sentit que je portais un soutiens-gorge.

Je l’entendis rire dans le creux de mon cou et je l’entendis me chuchoter:

-"Alors tu aimes ça, être une femme? Je l’ai vu tout de suite! Ne t’inquiète pas j’aime ça aussi!"

Je voulu lui expliquer que non, ça n’était pas volontaire, j’avais été manipulé, je n’étais pas gay et je voulais qu’il cesse mais avant que je ne puisse prononcer un mot, il conclut par un léger :

-"Chuuuuuut, tout va bien, je ne vais pas te faire de mal, au contraire…"

Je sentis sa main gauche défaire quelques crans de ma ceinture.

La facilité avec laquelle il y arriva me fit froid dans le dos.

Sa main disparu ensuite dans mon pantalon.

Immédiatement, j’ai voulu lui retirer sa main mais il me mordit au cou comme un lion l’aurait fait avec sa proie.

La douleur me fit cesser mon geste et il me relâcha aussitôt et me dit:

-"Tut tut, ne bouge pas, laisse moi faire et tout se passera bien. Sinon tout le monde ici saura qui tu es vraiment!"

Cette pensée me terrifia.

Je l’entendis rire à nouveau lorsque sa main sentis la présence du string mais cela ne l’arrêta pas et il se saisit de mon sexe et commença à le caresser.

Je regardais dehors, j’essayais de penser à autre chose.

Ça ne pouvait pas être possible!! D’un rendez-vous avec une belle brune, je me retrouvais à être travesti et caresser dans le métro par un gay!!

Malheureusement pour moi, le contact avec la soie de la chemise, le soutiens gorge qui compressait ma poitrine,le jean qui me moulait le cul, la présence du string qui passait entre mes fesses et maintenant une main qui me caressait contre ma volonté, me provoqua un début d’érection.

Il n’en fallut pas plus à cet homme pour s’emparer de mon sexe à pleine main et commencer à le branler.

L’arrêt suivant, je regardais à droite et à gauche pour voir si quelqu’un pourrait m’aider, mais tout le monde s’affairait à leurs affaires. Un journal dans la main pour certains, un téléphone ou un livre pour d’autre.

De plus ma veste ainsi ouverte cachait les mouvement de va et viens de la main de cet individu.

A l’inverse cela permettait, aux gens attentifs de l’autre coté des quais, lors des arrêts, de voir que je portais une chemise en soie.

Le problème, c’est que malgré moi, la main de cet individu me faisait de l’effet.

Et cette tenue aussi et surtout d’ailleurs!

Ainsi habillé et excité, je me sentais quelqu’un d’autre.

Je n’aimais pas être branler par un autre homme, mais cela m’excitait quand même.

Étais-je en train de devenir gay?

Maintenant il me branlait sans retenue de plus en plus vite.

Il alternais les caresse douce et longue ainsi que les petits mouvement plus secs et rapides.

Il me glissait à l’oreille des mots crûs comme:

-"T’es qu’une pute de travelo! Ça te plaît de porter ses fringues de chiennes en chaleur?! T’as vraiment un petit cl de salope!! Tu aimes ce que je te fait, hein?? Je sais ce qu’elles apprécient les putes dans ton genre!! Tu va jouir n’est-ce pas?"

Et effectivement, je jouis dans sa main alors qu’il me glissait ses mots.

Je n’en revenait pas moi même. Un homme venait de me branler et j’avais jouis!

Je m’écoeurais moi même et débanda aussitôt.

Sa main ressortit de mon pantalon et vins s’essuyer a plusieurs reprise sur ma chemise.

Il me fit un bisou dans le cou puis son corps se désolidarisa de mon dos sur lequel il était greffé jusqu’à présent.

Il me fallu quelques instants pour comprendre que le métro était arrêté au terminus.

Quelques personnes de l’autre coté de la voie me regardait.

Moi, essoufflé, tout rouge avec des traces de spermes sur une chemise en soie que je portais.

Je referma ma veste rapidement et descendit rapidement du métro.

Évidemment j’avais louper mon arrêt, mais mon violeur n’était plus là.

J’attendis quelques minutes, puis changea de quai pour repartir dans l’autre sens.

Tête baissée, en restant le plus loin possible de toute personnes, je fis le reste du trajet qui m’amena chez moi….

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